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Temps de lecture estimé : 66 mn
26/05/24
corrigé 26/05/24
Présentation:  Nous explorons tardivement toutes les facettes d’une sexualité conjuguée à un amour rare
Résumé:  Découverte de toutes les distractions possibles quand on s’aime
Critères:  exhibition groupe naturisme
Auteur : dodo40      Envoi mini-message
Les quarantaines rugissantes

Notre soixantaine est aujourd’hui bien entamée, mais nous avons eu – et avons toujours – une vie merveilleuse, pleine d’amour et d’action(s).


Nous recevions récemment un vieux copain fana de voile qui nous a saoulés toute la soirée avec les « quarantièmes rugissants ». À son départ, nous avons éclaté de rire. Nous pensons souvent la même chose : nous, nous avons eu des quarantaines rugissantes !


Comment tout cela a-t-il commencé ?


Mon épouse, que j’appellerai Amour, et moi avions toujours été décontractés vis-à-vis de nos corps : naturisme avant même notre rencontre, relations « décomplexées », mais hyper classiques jusqu’à mes 43 ans. Mariés, jeunes, fidèles, mais ouverts !


En ce temps-là, il y a maintenant une vingtaine d’années, Amour travaillait avec une collègue Jeannette. Jeannette n’aimait pas son prénom et se faisait appeler Jannick. Nous avons assez vite décidé d’écrire son surnom Ja-Nique.


Amour a trois ans de moins que moi et elle était (a toujours été et est toujours) splendide, du moins à mes yeux : à cette époque 1,60 m, 50 kg, 85 D et des rondeurs partout où il faut pour remplir la main d’un honnête homme ou d’un moins honnête !


Moi je suis banal : 1,75 m, 75 kg et un visage sévère… qui trompe son monde.


Pour mes 45 ans, Amour m’a offert un petit carnet de photos d’elle très suggestives et même plus, de la tenue coquine, mais sortable à la nudité intégrale, de la pose statique à des poses plus dynamiques : sautant en string sur le lit, poussant ses seins vers l’objectif, et pour finir, en train de se masturber !


Le plaisir de la voir ainsi fut grand, mais immédiatement vint la question : « qui est la photographe » ?


Jannick a été la réponse… surprenante pour moi qui la connaissais peu.


Nous avons regardé, admiré, ces photos ensemble, les avons commentées et la conversation est naturellement venue sur Jannick.


Comment en sont-elles arrivées à ces photos ? Aujourd’hui, les souvenirs sont un peu flous. Amour a fini par me dire que Jannick était une vraie libertine, qui s’en vante en privé et qu’elle ne demandait pas mieux que de nous faire partager certaines expériences. Pourquoi pas ? C’est le moment ou jamais, n’ayons pas de regrets avant de devenir vieux.


Nous voilà donc partis pour une sortie en club libertin avec Jannick, sans son homme du moment.

Accueil bienveillant pour les nouveaux comme pour l’habituée. Et dès l’entrée, le choc : une femme était juste derrière le rideau séparant la première salle de l’entrée, à quatre pattes, en train de se faire prendre en levrette tout en suçant un deuxième homme. Cette image reste depuis dans mes yeux, gravée.


« Pourquoi pas nous ? » a été ma première pensée.


La soirée s’est déroulée agréablement, mais timidement : Amour et moi nous sommes « contentés » de faire l’amour ensemble, devant les yeux de ceux qui passaient – et restaient – dans le couloir et de beaucoup regarder ceux, dont Ja-Nick devenue Ja-Nique, qui osaient, en trouvant ça naturel, des choses auxquelles nous n’avions jamais vraiment pensé.


Après avoir récupéré Ja-Nique, épuisée par une soirée plus vigoureuse que la nôtre, nous sommes rentrés et avons longuement parlé.


C’est là que nous avons réalisé que la « dame de l’entrée » comme nous l’avions baptisée et le spectacle des participants nous avait donné des envies :

Pour Amour, l’envie de « faire des excentricités », d’essayer à plusieurs, d’essayer tout ce que nous venions de voir.


Pour moi l’envie très forte de voir Amour jouir, dans mes bras et, mais aussi dans d’autres.

Nous regrettions un peu notre sagesse toute relative : baiser devant spectateurs avait été une première appréciée de nous deux !


C’est ainsi que tout a commencé. Comme cette période de nos quarantaines rugissantes (de sexe) a duré au-delà de la quarantaine, je vais vous en raconter certains épisodes, dans un ordre plutôt aléatoire.




Première nuit avec Ja-Nique



Quelques semaines plus tard, nous avons programmé un week-end à trois. Le mec de Ja-Nique n’était pas libre… ou Ja-Nique avait prévu d’y aller progressivement !


Après une ballade en bord de mer, pas très loin de chez nous dans le Pas-de-Calais, nous rentrons à l’hôtel où nous avions pris deux chambres. Douche rapide et dîner. Très arrosé pour faire passer des inhibitions, mais aucun sous-entendu. Dernier verre dans notre chambre. Innocemment ! Enfin officiellement, car nous avions tous les trois des pensées à ne pas mettre entre toutes les mains.

Ja-Nique remplissant le rôle d’initiatrice qu’elle s’était fixée nous suggère un massage. Sans nous laisser le temps de réfléchir, elle se déshabille. Entièrement. Nous découvrons ce corps seulement aperçu il y a quelques jours. De longues jambes, nous le savions, des seins petits, ronds et fermes, un cul rond et ferme lui aussi et un sexe totalement épilé. Ce n’était pas encore la mode et Amour et moi avons eu un choc. Très bref, car Ja-Nique me donne alors un tube de crème et s’allonge sur le ventre.


Un échange de regards avec Amour, pas besoin de parler, et Amour en fait autant.


J’ai devant moi deux magnifiques fessiers, bien différents, mais tout aussi attirants. J’ai dans la main le tube de crème. Par où commencer ? Par me déshabiller à mon tour. Mon érection saute hors du caleçon et entraîne des commentaires flatteurs (hypocrites ? Intéressés ?) des deux visages tournés vers moi.


Mais après ? Que faire de ce tube ? Pas de jalouse ! Ma main droite s’occupe du dos d’Amour, ma main gauche de celui de Ja-Nique. Le dos, les épaules, les jambes et enfin ces deux culs qui s’entrouvrent sous mes doigts indiscrets. Demi-tours. Les épaules encore, mais pas longtemps : je suis trop attiré par ces deux poitrines. Je mets plus de crème, ça y est, on dérape : la bouche alternativement sur le sein droit de l’une, puis le sein gauche de l’autre. Pas besoin de grands mouvements pour passer de l’une à l’autre. Je vois Ja-Nique se tourner en souriant vers Amour et lui prendre tendrement une main. Amour prend ma queue de l’autre. Elle va exploser ! Non pas encore. J’ai le temps de descendre d’un étage : un sexe totalement épilé d’un côté, un sexe entretenu façon ticket de métro de l’autre. Que préférer ? L’ennui c’est que pour descendre j’ai dû éloigner mon engin douloureux à force d’attendre des mains serviables !


Ja-Nique a compris la situation. Elle demande à Amour si « elle peut ? ». Pas d’hésitation dans le oui d’Amour. Une bouche avide s’empare de mon engin. Que c’est bon de se faire sucer devant Amour… !

Mais Amour s’ennuie. Elle s’approche timidement de Ja-Nique et pose sa main droite sur un sein. Ja-Nique murmure un OUI franc et massif alors l’autre main d’Amour va explorer une zone inconnue. Et dans mon excitation, j’entends :



Mais Amour n’est pas prête à franchir cette étape.


Alors notre initiatrice change de position. Elle allonge Amour, lui écarte les jambes, se met à genoux au bord du lit et approche doucement sa bouche du sexe d’Amour qui geint immédiatement.

Et moi je regarde, émerveillé, ce spectacle de rêve. Pas longtemps, car la question revient, légèrement modifiée :



Et c’est encore un OUI toujours aussi franc et massif, mais sans doute légèrement agacé par l’interruption des activités buccales féminines découvertes ce soir-là.


Ja-Nique sort de son sac voisin un préservatif que je m’empresse d’enfiler. Enfin, « empresser » est une façon de parler, vu mon manque d’expérience ! Et là, la scène du club se reproduit, avec de sérieuses modifications : je pénètre enfin quelqu’un ! Et pas n’importe qui : celle qui me fait fantasmer depuis un moment. Et Amour est en même temps léchée par sa collègue. C’est, m’a-t-elle dit après, sa première expérience homosexuelle aboutie, après quelques touche-pipi à l’adolescence. Mais, a-t-elle ajouté :



Ce n’est pas ce que j’avais imaginé, mais c’est fantastique !


Et puis nous avons interverti : j’ai tendrement fait l’amour avec Amour pendant que Ja Nique nous caressait.


Après une première décharge retenue longtemps, Ja-Nique a demandé l’autorisation de finir ce qu’elle avait commencé. Amour a énergiquement répondu d’arrêter de demander, et déclaré que Ja-Nique avait tous les droits ! Alors Ja Nique s’est jetée sur ma queue et lui a redonné vie jusqu’à pomper tout ce qu’il restait, sous les yeux d’Amour qui caressait fesses et sexe de Ja-Nique d’une main, tout en me tenant l’autre.


Nous nous sommes endormis tous les trois dans ce grand lit, en rêvant au futur… et sans regretter la deuxième chambre inutilisée.


Après un retour sans ombre, une fois chez nous, nous avons parlé à nouveau. Conclusion rapidement obtenue : c’était génial, ça ne fait de mal à personne, donc on recommence autant qu’on peut !




Deuxième soirée avec Ja-Nique



C’est le grand soir ! Ja-Nique nous a proposé une soirée avec son mec Julien.

Là encore, un échange de regards entre Amour et moi a suffi. C’est oui bien sûr, et cette fois sans hypocrisie, ce sera sans doute sans massage d’introduction, mais plutôt introduction sans massage !


Julien est un beau mec au milieu de la trentaine d’années comme Ja-Nique. Nous nous sentons vieux et moches. Devant nos inquiétudes Ja-Nique nous avait rassurés :



Je ne suis pas sûr que cette réponse soit très flatteuse pour moi, mais mon orgueil serait bien mal venu…

Nous voilà donc partis pour chez Ja-Nique.


Pas de fleurs ni de chocolat, nous savons que nous serons les cadeaux mutuels !


C’est Julien qui nous ouvre. Il est en peignoir. Ja-Nique est dans le jacuzzi ! Toute nue, bien sûr !

Elle sort pour nous embrasser. Une femme nue au milieu de trois autres personnes vêtues, je trouve ça très érotique… Mais ça ne dure pas : Julien enlève son peignoir et se retrouve nu à son tour. Il plonge vite, sans que nous ayons le temps de voir si les paroles rassurantes de Ja-Nique sur les dimensions sont justes ou seulement faites pour nous rassurer.


À nous ! Repensant aux plages naturistes de nos vacances, nous les rejoignons dans l’eau et dans le plus simple appareil.


La conversation s’engage. Comment ai-je pu, avons-nous pu, être naturels, nus, à reparler de notre soirée précédente ? Mystère, mais nous l’avons été suffisamment pour passer aux étapes suivantes.

Comme prévisible, c’est Ja-Nique qui a donné le coup d’envoi en déclarant à Amour :



Sans laisser le temps à Amour de demander quoi, elle se jette sur elle et lui roule le patin du siècle ! Julien et moi regardons avec passion… et Amour prend le cou de Ja-Nique pour faire durer. Les mains sous l’eau s’agitent. Amour est partie à la recherche de ce grand clito qui lui avait tant plu, pendant que Julien, timidement, pose une main sur sa cuisse. Cuisse qui s’ouvre et colle à cette main pour montrer son consentement, son contentement. Ja-Nique tend une main vers moi et trouve tout de suite une bite en pleine expansion. Julien avance les doigts et trouve un nid chaud et humide, et pas seulement à cause de l’eau du jacuzzi !


Mais notre cheffe de soirée(s) crie :



Nous sortons du jacuzzi, tous nus, et restons sur la terrasse, en juillet c’est possible, même dans le Pas-de-Calais… Mais avec les voisins, est-ce possible ?



Le repas est rapide, mais bien arrosé. Nos tenues, ou plutôt nos absences de tenues, nous permettent de mieux voir que Ja-Nique n’a pas menti : sans avoir un micropénis, Julien n’est pas un géant ! Voyant qu’Amour le regarde, il dit qu’il compense la taille par la technique et qu’il va le démontrer à qui veut… en nous regardant tous les trois à tour de rôle. J’ai bien compris ? Moi aussi ? Ça ce n’était pas prévu et je ne suis pas certain d’être prêt !


Amour a vu ma gêne et en profite :



Un blanc dans la conversation !


Ce qui permet à Ja-Nique de nous faire des effets de fesses pour aller à la cuisine chercher le dessert. Des fraises avec de la Chantilly… Vous voyez la suite ! Une classique bataille de crème avec léchage d’abord dans les couples respectifs puis dans les couples échangés.


Nous rentrons dans la chambre où un immense lit nous attend, celui des photos qui ont tout déclenché. Il attend encore un peu le passage, rapide et sage, de chaque couple sous la douche pour enlever de très hypothétiques restes de Chantilly. Et on reprend où on en était. Julien caresse Amour. Ils sont sur le lit, nous sommes accroupis sur le tapis. Je caresse presque distraitement Ja-Nique. Distraitement, car le grand moment est arrivé : je vais voir Amour jouir sous les coups d’un autre homme après l’avoir vue avec Ja-Nique. Oui, ça y est, après des caresses, sa petite queue va entrer. Ja-Nique, qui connaît mon fantasme, se contente de me tenir par la queue pendant que nous regardons. Soudain, Amour crie, Elle jouit. C’est beau. Son visage est crispé, sa main cherche et trouve la mienne. Ja-nique se baisse et entame une fellation qui me soulage enfin pendant que Julien sort sa queue et éjacule sur le ventre d’Amour.


Un peu de repos et Amour donne le signal de la reprise en allongeant Ja-Nique et en lui disant :



Visiblement, l’essai a été transformé ! Mais Amour nous avait rejoints par terre, donc Amour, penchée sur le sexe imberbe, avait les fesses en l’air. C’était trop pour moi ! La crème de massage est réapparue et son petit trou s’est ouvert sous mes doigts plein de crème. À genoux derrière Amour je l’ai lentement pénétrée tout en caressant son clitoris. Mais Julien était abandonné. Après la conversation précédente, j’aurais dû y penser ! J’ai senti des mains sur mes fesses, sur mon œillet, un doigt est rentré, puis deux. Enfin, je crois ! Quand on aime, on ne compte pas, et j’aimais ! Ja-Nique a très vite éclaté. Le quatuor s’est défait et Amour m’a regardé :



Alors, sans rien dire, Julien m’a retourné, relevé mes jambes pour ouvrir mes fesses et a continué à me caresser.



Et pour la première fois de ma vie, j’ai été pénétré par autre chose que le petit gode que manie si bien Amour… Et comme elle avec Ja-Nique je me suis dit que si c’était la première fois, ce ne serait sûrement pas la dernière !


La soirée s’est terminée beaucoup plus classiquement si l’on peut dire : chaque couple s’est retrouvé pour d’abord baiser sauvagement puis faire l’amour tendrement.


De retour à la maison, nous avons une nouvelle fois fait le point. Oui, nous avons tous deux des tendances homosexuelles, ou au moins bisexuelles. Oui, nous les assumons, et non, cela ne change rien à notre amour, notre complicité. Oui, je suis heureux de voir jouir Amour dans d’autres bras que les miens. Oui, elle accepte volontiers de me voir en faire autant. Merci à Ja-Nique de nous avoir fait découvrir cette facette de nos personnalités. Nous continuerons avec elle, mais aussi sans elle et d’abord pendant les vacances qui arrivent.




Vacances en Corse



Cette année, comme d’habitude, nous avons recherché des plages naturistes où nous pourrions vivre nus, nous montrer et regarder.


Mais cette année, pour la première fois, sur les conseils d’amis qui habitent Bastia, nous sommes partis en Corse. Dans un village naturiste bien connu près de Porto-Vecchio. Amour a arrangé son ticket de métro, de plus en plus petit, et moi, sur sa demande, je me suis complètement rasé, même si « ça fait pédé »… « Mais tu es en train de le devenir » fut la réponse à mon objection timide et encore politiquement acceptable à cette époque !


Un tout petit bungalow pour une semaine, le soleil, la plage, des corps plus ou moins beaux, mais tous décomplexés, et toujours pour moi la même envie de voir Amour hurler sous les coups de bite ou les langues affamées, pour elle l’envie de plusieurs personnes, de n’importe quel sexe, pour s’occuper d’elle et l’acceptation de tout ce qui pourrait me faire plaisir.


Après trois ou quatre jours, nous avons rencontré « notre » Italien.

Amour, nue et resplendissante, était sur un rocher, moi à ses pieds dans le sable lorsqu’elle me fit remarquer un homme, nu bien sûr, qui la fixait avec insistance.



Alors Amour lui a souri. Il me regarde, je lui souris aussi. Il sait qu’il ne dérange pas.


Amour me fait remarquer son geste : il écarte index et majeur en V, les rapproche et recommence. Il voudrait qu’Amour ouvre les cuisses. Pourquoi pas si elle est d’accord ?


Il est plutôt beau mec, dans la même quarantaine que nous. Mais a-t-il fait exploser les limites comme nous ?


Amour ouvre les cuisses, il sourit. Elle referme, il fait semblant de pleurer. Elle les rouvre très largement après avoir regardé autour d’elle si elle pouvait. Je me lève et m’approche de lui en faisant pouce levé pour le rassurer. Je m’assois à côté de lui pour profiter du spectacle et lui demande si ça lui plaît. Il est italien et ne parle pas français. Ça va être difficile ! Un baragouinage français – anglais – italien nous permettra de communiquer succinctement.


Après quelques minutes de ce petit jeu d’exhibition très poussée, Amour se lasse et referme le rideau. Il se lève, lui tend la main et nous demande d’aller « a la tua casa ». Non, nous ne voulons pas lui donner notre numéro de bungalow, un regard nous a suffi, une fois de plus pour être d’accord. On ment et on lui dit que ce n’est pas possible, que nous sommes au camping.

Il nous prend alors chacun par une main et nous partons en laissant nos serviettes de plage, les naturistes sont honnêtes, du moins on l’espère, vers les sanitaires.


Il nous fait rentrer dans une cabine de douche assez vaste pour trois, mais de justesse. Visiblement, il connaît les bonnes adresses… mais il n’est pas bien organisé : au moment fatidique il n’a pas de préservatif ! Nous non plus, rien n’était prévu. Tant pis, il se contentera de ce qu’il pourra avoir : il se met à genoux sur le ciment et s’approche du buisson ardent (petit buisson bien taillé, mais très ardent !). Je passe derrière Amour et lui prends les seins dans les mains pendant que ma queue frotte sa raie.


L’italien se jette sur le sexe d’Amour et le lèche, le lèche. Pendant ce temps, ma queue toujours aussi dure essaie de se frayer un chemin vers l’un des orifices à sa portée, mais la position verticale ne permet pas l’introduction. Je murmure à l’oreille d’Amour des mots tendres puis des mots plus cochons, je l’encourage à se laisser aller au plaisir que veut lui donner notre Italien, et lui demande si elle veut se faire enculer. Oui, mais pas sans capote, donc par toi. Dommage, pas moyen pour le moment. Ma queue glisse dans sa raie pendant qu’Amour est dégustée plus longtemps qu’elle ne l’a jamais été. Il met les mains sur ses cuisses, les remonte, attrape ses fesses somptueuses… mais je suis là ! ça ne le gêne pas. De toute façon, il n’y a pas assez de place pour nous écarter… et je n’en ai pas vraiment envie.


Amour se fait gamahucher sans arrêt, je sens les doigts de notre italien se glisser doucement dans son petit trou en touchant au passage ma bite en pleine forme, de plus en plus si c’est possible.

Combien de temps cela a-t-il duré ? Aucune idée. Sans doute moins longtemps que nous l’avons cru. Le temps s’était arrêté. Il se lève en nous présentant une érection royale. Amour la prend en main et le branle. Pas longtemps, ça, c’est sûr : il n’en pouvait plus. Il gicle, un peu sur les cuisses d’Amour, beaucoup sur le ciment. Grand sourire et « Grazie mille, baci, arrivederci ». Il a compris que nous avions besoin d’être seuls. Dès son départ, je m’empresse de satisfaire la demande précédente qui n’était pas oubliée ! Cette fois, à deux, il y a assez de place pour qu’Amour se baisse, jambes écartées, mains aux chevilles, ce cul magnifique est pour moi. Je vais chercher devant, dans son sexe excité et trempé, du lubrifiant et l’encule sans autre préambule. Nous jouissons tous les deux à peu de secondes près ensemble.


Nous profitons de la douche pour reprendre un aspect présentable et repartons vers la plage et nos affaires, Amour disant qu’elle a joui au moins trois fois, moi regrettant un peu de ne pas l’avoir vue de face dans ces moments




Retour et conséquences



En marchant pendant la centaine de mètres qui nous sépare de nos affaires, nous « philosophons ». Faire l’amour avec un autre, ce n’est pas tromper si l’autre le sait et nous sommes d’accord pour nous donner mutuellement cette autorisation permanente, à la condition donc de tout nous raconter !

Retour à notre place. Ouf, nos affaires sont toujours là. Mais en plus, il y a un petit papier sur nos serviettes :


Nous venons nous amuser sur cette plage tous les soirs vers minuit. Venez nous rejoindre ! PS : Madame est très belle.


Notre attitude n’a pas été aussi discrète que nous le croyions ! L’écriture est féminine. C’est une femme qui trouve Amour très belle. Et moi alors ? Je pourrais être vexé encore une fois, mais pas du tout… Je suis fier d’elle, heureux qu’elle soit fidèle au sens que nous venons de définir et qu’à la fin ce soit avec moi qu’elle finisse ses journées.


Nous nous regardons et nous taisons : un peu de répit après cette aventure.


Mais le soir, après dîner, nous nous posons la question. La réponse est commune, rapide et positive. On va y aller.


Nous nous habillons, et oui, le soir on met des vêtements dans un camp naturiste, et partons passer le temps au bar.


Minuit passé de vingt minutes, pour se faire désirer, et nous retournons sur ce bout de plage.

Effectivement depuis le début du séjour nous avons beaucoup raté en nous couchant avant minuit.

La lune éclaire au moins quatre couples, pas très éloignés les uns des autres, mais restant à deux par groupe. Qui nous a « invité » ? La question ne reste pas longtemps sans réponse, une jolie petite femme d’une trentaine d’années nous fait signe :



Nous reprenons notre tenue de jour en posant nos vêtements près d’eux et nous asseyons. Un peu gênés : pour eux cette invitation est une première. Ils viennent régulièrement sur cette plage le soir, mais n’ont jamais vu autre chose que des couples ensemble : nous ne sommes pas au Cap d’Agde !


Pour nous, ce serait une première avec des inconnus s’il n’y avait pas eu cet après-midi. Qui devient le sujet de leurs questions ! Oui, nous avions bien été repérés quand l’italien sans nom donnait ses instructions avec les doigts et qu’Amour les suivait. Il a fallu raconter, d’abord avec des circonlocutions, puis plus directement et franchement nos exploits. On les sentait envieux ! Antoine s’était rapproché de Charlotte et lui caressait le dos. Puisque nous étions les plus expérimentés, même si ce n’était pas de beaucoup, je me suis senti obligé (il faut bien parfois faire des efforts !) de donner un signal plus fort, en m’asseyant derrière Amour et lui prenant les deux seins dans les mains. Antoine n’attendait que ce signal. Il s’est jeté sur Charlotte et ils ont fait l’amour devant nous. Esprit de solidarité entre vacanciers : nous ne pouvions pas les laisser seuls et nous voilà tous les quatre en train de faire de jolis missionnaires par couple légitime, sans nous préoccuper des autres couples voisins. La tolérance est de mise dans ces moments et personne ne s’est offusqué ! Charlotte a pris la main d’Amour et a répété ce qu’elle avait écrit.



Elle a ajouté :



Amour est trop charitable pour laisser dans la frustration son prochain, même si c’est sa prochaine. Prochaine amante, surtout ! Antoine a compris qu’il fallait laisser la place et nous nous sommes assis côte à côte pour regarder ces dames. Amour a pris tout son temps, a commencé par caresser les cheveux, puis les épaules d’une Charlotte à la fois inquiète et impatiente. Les mains ont glissé sur les seins généreux, mais un peu mous de Charlotte qui s’est alors lâchée et a immédiatement mis sa main sur le buisson d’Amour. En rugby, on parle de demi-tour contact, le rugby féminin n’existait pas à l’époque, mais le mouvement venait d’être inventé ! Nos deux naïades l’ont effectué et se sont mises en 69, et nous, les hommes, sommes restés des spectateurs passifs. Passifs, mais pas inactifs : nos érections ne pouvaient pas être négligées. Voilà donc le tableau qui pouvait être regardé de quelques mètres par les autres couples : deux femmes en 69 et deux mecs en train de se masturber vigoureusement. Chacun s’occupant de lui-même. J’avais pourtant envie de toucher le tube vibrant à côté de moi, mais à un mouvement de mon bras qui a entraîné un recul d’Antoine effleuré j’ai abandonné l’idée.


Charlotte apprenait vite, ou n’était pas si naïve qu’elle le prétendait, car il n’a pas fallu longtemps pour qu’Amour se mette à bouger vigoureusement, à grimacer puis à crier sa jouissance. Antoine s’est jeté sur Charlotte et l’a pénétrée sans ménagements le temps qu’Amour reprenne ses esprits. Amour l’a alors gentiment repoussé pour rendre à Charlotte la pareille et lui donner, outre une leçon complète, une jouissance bruyante.


La discussion qui a suivi nous a confirmé que nous étions allés aussi loin qu’ils étaient prêts à accepter : pas d’échange, pas de quatuor, seulement une découverte pour Charlotte.


Nous avons été heureux de lui avoir permis cette aventure, même si ma jouissance avait été très personnelle et que, encore, je n’avais pas eu le plaisir de voir une queue pénétrer Amour. Elle avait bien joui et c’était suffisant pour nous deux.


La fin de la semaine a été plus calme : notre italien avait disparu, alors que Charlotte aurait aimé la même séance qu’Amour. Parti ? Et nos soirées se sont passées dans le bungalow. Ne pas gâcher de beaux moments par des répétitions ratées !




Dîners de pétasses



L’automne est là. Ja-Nique nous a fait raconter nos vacances. Pendant les siennes elle a jeté Julien et fait des essais : plus question de prendre un amant « avec une petite ».


En attendant de trouver l’heureux élu qui aura le droit de la suivre plusieurs semaines, elle est souvent seule et nous propose une idée : le « dîner de pétasses ».


Aller au restaurant toutes deux « fringuées en pétasses » et moi en costume-cravate pour le contraste.


Amour hésite de peur de rencontrer une connaissance. Pas grave, nous ferons 50 km.

Et voilà donc un soir, une réservation pour trois dans un restaurant plutôt guindé.

Amour met un chemisier blanc quasiment transparent laissant deviner son 85 D et son soutien-gorge à dentelles ajourées, sa mini-jupe noire, la plus courte de sa garde-robe et des talons de 12 cm ! Bandante.


Nous partons chercher Ja-Nique. C’est pire… ou mieux ! Le chemisier est rouge, mais réellement transparent et sans soutien-gorge, la mini-jupe ressemble plus à une ceinture qu’à une redingote, ses talons battent ceux d’Amour. Galant, je lui ouvre la portière. Elle rentre dans la voiture en écartant les jambes. J’ai une vue splendide sur ce sexe entièrement épilé qu’elle expose volontiers à son chauffeur… et au passant ravi sur l’autre trottoir.


Entrés dans la voiture, les critiques fusent : Amour, on avait dit « pétasses »… C’est quoi ce sous-tif ? Et je parie que tu as mis une culotte. Même s’ils sont sexy, enlève ces accessoires !


Et voilà comment au premier feu rouge j’ai vu Amour se soulever et m’offrir un petit string noir.

Les protestations sur les tailles respectives des poitrines et les mouvements de balancier inhérents rendant l’absence de soutien-gorge plus ou moins facile n’ont pas eu d’effet et Amour s’en est aussi débarrassé. Cette fois, le 85 D est vraiment visible !


Prudentes quand même, elles ont toutes deux une petite veste pour sortir dans la rue.


Arrivée remarquée dans la salle de restaurant ! Même avec la veste, les jupettes et les talons attirent les yeux gourmands. Le maître d’hôtel nous conduit à une table en fond de salle… Était-ce ce qui était prévu ou est-ce une façon de nous cacher ?


Debout, elles enlèvent les vestes sous les yeux exorbités du serveur qui va bien s’occuper de nous, c’est sûr !


La table de droite est occupée par un couple dans la cinquantaine. Ni lui ni elle ne perdent une miette du spectacle. Personne à gauche. Mais devant une paire de messieurs sérieux un peu plus âgés qui se montrent respectivement le spectacle.


Surtout quand les deux beautés prennent place, en prenant bien soin de ne pas serrer les jambes. Que peuvent-ils découvrir ?


Mais Ja-Nique ne peut pas rester si « timide » : lorsque le serveur revient prendre la commande, elle a défait un bouton de plus de son chemisier. L’ouverture est maintenant au milieu de ses jolis petits seins… et la langue du serveur pend au milieu de son ventre, ou presque ! Le couple sourit, mais les deux messieurs ne regardent plus leur assiette. Amour est-elle jalouse de l’intérêt porté à son amie ? Ce sont deux boutons qui se décrochent au départ provisoire du serveur. De profil, j’ai la vue sur la totalité du globe de ses seins plantureux et fermes. Que se passe-t-il sous la table ? Il faut que je sache : une main à droite, une à gauche, comme lors de notre première aventure en trio. Aucune résistance, mais au contraire des cuisses largement écartées des deux côtés. Petit passage sur une petite toison d’un côté, sur une peau lisse et humide de l’autre… et une légère réprimande : pas maintenant !


Dommage, mais le repas arrive et se déroule avec des regards de tous côtés. Amour semble fière de son audace, Ja-Nique heureuse de ce moment, moi béat devant ces audaces et nos tables voisines ravies du spectacle.


Avant l’arrivée du dessert, Amour souhaite aller aux toilettes. Ja-nique demande :



Et là à ma grande surprise c’est Amour qui dit :



Il leur faut traverser la moitié de la salle. À l’aller, certaines tables font des commentaires, mais au retour, elles sont visiblement attendues et ce sont toutes les tables occupées, une dizaine, qui suivent du regard ces deux beautés provocantes. Elles sont certainement prises pour des professionnelles et moi pour le client ! S’ils savaient…


Le repas traîne, mes mains aussi sur des cuisses accueillantes. Le couple vient de payer et s’en va. Madame nous fait un grand sourire et nous souhaite une bonne soirée au passage, monsieur se contente de dire « Merci ! »


Dans notre coin, il ne reste plus que les deux messieurs sérieux qui n’ont visiblement pas envie de le rester puisque l’un d’eux s’approche pour nous proposer du Champagne. Ja-Nique accepte avant que nous ayons pu répondre. Ils tirent leurs chaises pour s’installer à notre table et commandent une bouteille que le serveur apporte et sert lentement en essayant de voir en même temps les verres et les décolletés ! Ses efforts sont remarqués et à son départ ces messieurs disent qu’il en a bien profité ! Ja-Nique répond qu’il a eu raison et Amour, de plus en plus surprenante, ajoute que c’est dommage pour lui d’être parti si vite en déboutonnant les derniers boutons et en écartant légèrement les deux pans du chemisier, libérant ainsi les seins magnifiques à la vue latérale. Ja-Nique ne lui laisse pas prendre l’avantage et en fait autant. Quelle vue, quel plaisir : deux inconnus admirent Amour avec envie et posent leurs mains sur les jambes les plus proches. Moi, au centre, ai droit aux deux, nos hôtes à une seule chacun. Mes mains ont du mal à se coordonner, mais mes doigts trouvent un hébergement chaud et humide de chaque côté. Je bouge lentement, les deux clitos sortent. Celui de Ja-Nique est toujours aussi impressionnant et sensible. Les deux beautés gesticulent sur leur chaise, ce qui fait remuer des seins bien appétissants, mais qu’il n’est pas possible de mordre ici. Mes doigts sont touchés à droite comme à gauche par d’autres doigts. Ces messieurs nous ont invités, je suis poli et leur laisse la place, les places en posant mes mains sur les cuisses accueillantes et en serrant un peu plus fort celle d’Amour qui me sourit.



Et Ja-Nique se lance alors dans un numéro dont elle a le secret pour « charmer » son voisin, elle va directement sur sa braguette, protégée par la table. Amour n’est pas aussi téméraire et je ne la sens pas prête à en faire autant. J’essaie de donner le signal du départ, Amour est d’accord, mais pas Ja-Nique qui nous dit de l’abandonner en de bonnes mains. Nous prenons tous ensemble le chemin de la sortie, aucune des deux ne se réajuste et les seins traversent la salle aux trois quarts vide, précédant leurs propriétaires, mais eux seuls sont admirés. Nous relevons par prudence le numéro de la Mercedes dans laquelle Ja-Nique s’en va et nous serrons l’un contre l’autre.


Le retour à la maison me permet de libérer le trop-plein d’énergie accumulée dans mon pantalon en faisant l’amour à Amour, brutalement d’abord puis plus calmement, mais longtemps. Amour se lance dans la description de ses sensations : c’est la première fois qu’elle fait de l’exhibitionnisme dans un lieu public non prévu pour ça, contrairement à nos plages habituelles, et elle a « ADORÉ ».



Pouvais-je rêver d’une meilleure fin de soirée ?

Le lendemain, Ja-Nique téléphone :





Patrick



Ja-Nique est une amie d’Amour. À moi de faire rentrer dans le jeu un ami ! Ce sera un collègue aussi, Patrick. 45 ans, grand et mince, Amour le trouve sympa, mais le connaît peu.



Nous l’invitons à dîner. Amour est à l’étage quand il sonne avec ses fleurs à la main. Je le fais rentrer et asseoir, nous bavardons un peu quand Amour nous cloue le bec en descendant en mini-mini-jupe orange et large, chemise ouverte sur le décolleté et tenue uniquement par un nœud sous les seins, jambes nues et talons plus hauts que je ne lui en ai jamais vus. Elle embrasse Patrick à la commissure des lèvres. Il ne sait plus que faire que dire sauf « que tu es belle ». Le service de l’apéritif lui permet de plonger dans le décolleté. Amour s’assoit en face lui sur un pouf bas qui fait remonter ses genoux qu’elle écarte doucement. Elle n’a pas de string ! Son mouvement laisse deviner son buisson. NON ! Surprise. Je me penche pour vérifier : il n’y a plus de buisson. Le rendez-vous chez l’esthéticienne a amené à un changement que j’apprécie de loin, en attendant de pouvoir admirer de près. Nous en avions parlé, je lui avais dit que j’appréciais la douceur intime de Ja-Nique. Elle l’a fait.


Patrick me regarde et malgré mes sourires n’est visiblement pas à l’aise. Mais il regarde plus Amour que moi ! Je vois les yeux de mon épouse pétiller. Elle est ravie de pouvoir s’exhiber par surprise.

Nous passons à table. Le service est l’occasion de plonger dans le décolleté à nouveau, lorsque – quel hasard – un accident se produit et le nœud du chemisier se défait, révélant complètement cette poitrine que j’aime tant. Oops ! Pardon, et le nœud reprend sa place. Ce n’est pas le cas du mien, de nœud, qui ne reste pas en place.


Déception. Patrick ne fait rien d’autre que regarder timidement, même lorsque je caresse doucement Amour pendant le café. Il s’en va, mal à l’aise avec moi et gêné par la bise d’Amour de plus en plus près des lèvres.


Après son départ, nous nous jetons l’un sur l’autre et je peux enfin goûter ce fruit juteux et libéré de tous poils. Nous commentons et regrettons la timidité de mon copain. C’est ma présence qui l’a perturbé. Il n’a pas compris notre fonctionnement.


Mais le lendemain, quand je rentre du travail, Amour m’annonce qu’il l’a appelée « pour la remercier de cette excellente soirée ». Et là, encouragé par Amour, il l’a clairement draguée ! Amour me demande si je suis d’accord pour qu’elle réponde. Bien sûr. Elle s’en doutait et a déjà accepté un rendez-vous pour la semaine suivante.


C’est amusant de voir Patrick au travail, qui cherche une excuse pour justifier auprès de moi le congé qu’il a posé pour jeudi.


Amour et moi en parlons. Il faudra faire comprendre à Patrick comment nous fonctionnons. Amour s’en chargera. Je rentre déjeuner à la maison, contrairement à l’habitude, pour voir les préparatifs. Ils sont simples : Amour a décidé de s’habiller, si on peut dire, comme pour le repas ! Elle a ajouté des bas résille. Je regarde de plus près : ce sont ses collants de sex-shop montant jusqu’à la taille, mais complètement ouverts devant et derrière, laissant libre accès aux portes des deux paradis. Elle est un peu tendue, car c’est, me dit-elle, la première fois qu’elle va me tromper. Non, correction, qu’elle va faire l’amour sans moi : elle ne trompe personne puisque je suis au courant, et même complice.


Le rendez-vous a lieu, comme c’est curieux, au bar d’un Campanile, un hôtel avec des chambres qui ne nécessitent pas de passer par la réception.


Excité comme vous l’imaginez, au bureau j’attends des nouvelles. Texto bref :


TVB ! Grosse queue ! Je t’aime.


Impossible d’en savoir plus, mais c’est rassurant et bandant ! Nous nous retrouvons le soir : il ne l’a jamais laissée seule à part un bref passage dans la salle de bain pendant lequel elle m’a fait ce texto et elle n’a pas pu me tenir au courant.


Un café rapide au bar et montée dans la chambre réservée. Admiration devant le collant, devant le corps et baise. Le résumé est un peu rapide ! Il faut développer… Amour me raconte alors que sur la galerie qui mène à leur chambre du 1° étage, galerie vide, il a essayé de l’embrasser. Elle a accepté un rapide baiser, mais s’est vite éloignée pour défaire ce fameux nœud en lui disant qu’elle avait eu l’impression que l’autre soir la chute du nœud lui avait plu ! Voilà donc Amour dépoitraillée sur cette galerie et cette audace la fait mouiller. Elle se sent maintenant prête !

À l’entrée dans la chambre, Patrick s’est jeté sur elle pour reprendre le baiser entamé, en malaxant cette poitrine orgueilleuse et offerte. La chute de la mini mini-jupe a dévoilé l’accessoire de pute qui a eu le succès espéré. Il s’est jeté sur le puits d’Amour vierge – de poils au moins – et la séance de baise a commencé. Amour n’a pas l’habitude d’employer ce genre de termes, mais me dit-elle, il n’y en a pas d’autre pour traduire la furie de Patrick. Après avoir baisé autant qu’il est possible, Patrick lui a demandé s’il pouvait la sodomiser. Oui, c’est un garçon correct qui ne parlerait jamais d’enculer. Amour a vu là le moment de clarifier la relation. Elle lui a expliqué que j’étais au courant de leur rencontre, que j’étais d’accord, que nous faisions ensemble tout ce qui nous semblait bon, et que c’était une première pour elle de baiser sans moi depuis notre mariage. Alors la sodomie, oui, mais pas aujourd’hui : quand je serai avec eux.


Patrick est tombé de haut. Non seulement il est correct, mais il est aussi, nous le découvrons, assez « classique ». Tout ce qu’il a trouvé à dire c’est :



Eh oui, une occasion perdue, mais dix de retrouvées.


Dix, c’est pas sûr, mais une, c’est sûr : ils ont rendez-vous jeudi prochain, même lieu, même heure, mais cette fois Amour, qui a une idée derrière la tête, s’occupera de l’hôtel.


Une semaine à attendre. Une semaine pendant laquelle Patrick ne sait pas comment se comporter avec moi, il ne croit pas trop Amour à propos de nos relations et a peur de ma réaction.


Mais le jeudi arrive vite. Amour va à l’hôtel prendre une chambre avec deux clefs, revient et m’en donne une. Elle part, chemisier transparent, jupe courte en cuir, chaussures hautes et c’est tout.

Comme convenu, je la laisse partir et attends une petite, mais longue, demi-heure. Direction Campanille.

Ouverture de la porte avec ma clef : ils sont nus tous les deux, Patrick en train de faire minette à ma minette. Il sursaute et bafouille. Amour lui dit qu’il avait tort de ne pas croire ce qu’elle lui avait dit sur notre relation… et que cette fois son souhait pourrait peut-être être satisfait !


Je m’approche et Amour m’embrasse tendrement. Drôle de goût dans la bouche !



Patrick n’en revient pas, mais commence à retrouver ses moyens, c’est visible ! Oui, Amour avait raison, elle est plutôt grosse ! Je ne parle pas d’Amour, mais de l’engin brièvement commenté dans le texto ! Amour me déshabille doucement. Pressé, je l’aide et nous nous enlaçons sur lit devant Patrick qui ne bouge plus. Mais cette immobilité ne nous convient pas. Amour l’attrape par la main pour le faire monter à son niveau, puis par la queue qu’elle serre pendant que je m’approche de sa bouche : j’ai une pipe de retard, non ? Patrick se détend, enfin, pas de partout, heureusement.

Il faut aider ce garçon timide. Je sors héroïquement de la bouche accueillante pour prendre les centimètres nécessaires pour remplacer la main d’Amour par la mienne. Il sursaute, mais comprend vite, car je l’entraîne par la bite jusqu’au sexe d’Amour et remue doucement son bel engin sur le clitoris excité avant de le guider pour la pénétration dont Amour a visiblement envie. Faites comme si je n’étais pas là : voir Amour jouir est un spectacle dont je ne me lasse pas. Mais non, il ne faut pas qu’elle, qu’ils jouissent trop vite. Je glisse ma main entre leurs corps et retiens doucement le bel engin. Décidément, je suis de plus en plus persuadé d’être bisexuel ! Je le garde en main plus longtemps que nécessaire, alors que Patrick a compris que le moment est venu de changer de programme.


À mon tour de pénétrer Amour. Bizarre cette sensation d’être le second dans cet endroit. C’est physique ou psychologique ? En tous cas, c’est plaisant. Patrick regarde, Amour le prend par le cou et le baisse sur sa poitrine. Il faut que je me soulève sur les coudes, mais je vois mieux Amour qui commence à avoir le rictus que j’aime tant et qui annonce la jouissance.


Alors une nouvelle fois j’arrête. Patrick, la semaine dernière, tu n’as pas eu ce que tu voulais ; c’est le moment.


Amour se met à quatre pattes sur le lit, fesses bien tendues et écartées par ses mains et les miennes. Patrick approche doucement et caresse le petit trou dont il rêvait. Il change de préservatif, mouille ses doigts à la source dont il dispose juste à côté de l’entrée convoitée et pénètre lentement sous mes yeux écarquillés ce fessier si rond. Ça y est. Amour le crie. Alors doucement – et difficilement – je me glisse sous elle, elle se baisse lentement pour ne pas perdre Patrick et je rentre ! Mouvements difficiles à coordonner, mais jouissance là aussi physique et intellectuelle. Je sens le con d’Amour plus serré que d’habitude, je sens la queue de Patrick à travers une membrane et je vois, je vois Amour qui grimace de plaisir, Patrick qui ahane derrière, les seins flotter sous mes yeux. Je vois enfin Amour se crisper et nous l’entendons crier.


Ça y est, elle a joui. Comme jamais, dira-t-elle, ce soir. Pour moi, c’est l’essentiel. Il ne reste plus que des opérations techniques à assurer : Patrick et moi nous démanchons et nous allongeons, avec Amour au centre. Nous sommes tous les deux en érection. Il ne nous reste plus qu’à nous finir à la main. Je n’hésite pas et Patrick en fait autant. Ça ne va pas durer longtemps ! Surtout qu’Amour s’est levée et est venue sur le bord du lit à côté de moi. Elle met la main sur des boules douloureuses à force d’être excitées et les caresse doucement. Je vais gicler ! Non, pas tout de suite, encore quelques secondes : Si Amour m’a laissé à côté de Patrick, ce ne peut pas être innocent. Elle a découvert avec Julien une de mes facettes que nous ne connaissions pas et me donne une occasion de confirmer. Comment puis-je penser tout ça tout en avançant doucement la main inutilisée vers l’aine de Patrick qui, sonné, ne bronche pas. Ma main est autonome. Elle s’approche doucement et rejoint celle de Patrick sur ce beau membre qui a déjà fait tant jouir Amour. Elle a tout compris ! Elle repousse mon autre main de ma queue et la remplace par la sienne. Mes deux mains ainsi libérées se jettent toutes deux sur la bite de Patrick qui pose une main sur ma cuisse et se laisse faire en regardant Amour.


Amour et moi continuons jusqu’à la libération de ses deux hommes épuisés, heureux puis nous nous câlinons.


Patrick a compris, il s’en va et en se rhabillant nous remercie tous les deux pour lui « avoir ouvert l’esprit et des horizons ». Il espère nous revoir vite. Il a vraiment tout compris puisqu’il a dit nous.

Seuls nous somnolons un peu puis, comme d’habitude, on « débriefe ». Encore un peu d’exhib pour Amour à l’arrivée : elle adore de plus en plus, ça suffit à la faire mouiller et elle peut « attaquer les choses sérieuses » immédiatement. Première double pénétration pour Amour : génial, mais difficile. Première fois à trois pour nous deux : génial aussi. Voir Amour jouir : toujours aussi fort, addictif. Première masturbation masculine pour moi : ce ne sera pas la dernière si Amour est d’accord. Elle est d’accord… à condition de voir et aimerait que j’aille plus loin, comme avec Julien et plus !




Avec Patrick à la plage



Le jeudi va devenir notre jour de coquineries avec Patrick, mais le jeudi suivant il fait trop beau pour s’enfermer à l’hôtel même si c’est bien tentant.


Notre Pas-de-Calais offre une belle plage naturiste à Berck. Patrick n’a jamais fait de naturisme. Son défi : nous accompagner.


Nous avançons un peu pour être tranquilles. Mais dès l’arrivée en zone naturiste Amour se laisse aller à son exhibitionnisme et se dénude complètement. J’ai envie d’en faire autant, car marcher nu est un plaisir, mais je résiste : Amour sera plus remarquée, regardée, si elle est nue avec deux hommes vêtus à ses côtés. Elle a vu mon hésitation et me remercie d’une pression de doigts.


Un coin tranquille près de la dune, personne à moins de trente mètres. Nous posons nos serviettes et je me déshabille. Doux Jésus, une demi-érection ! D’habitude, ça ne m’arrive pas sur les plages naturistes, mais là le contexte est différent. Nous sommes deux pour elle et ça m’excite déjà.

Patrick nous regarde, il regarde ma queue et est rassuré, car lorsqu’il pose le maillot inutile qu’il avait mis, le benêt, il est en érection complète ! Même éloignés, les voisins (un voisin, ça regarde toujours les nouveaux arrivants se dévêtir) n’ont pas pu manquer cette hampe de drapeau !


C’est le drapeau d’Amour qu’il porte. C’est Amour qui le fait bander… et cette pensée suffit à me mettre dans le même état que lui.


Soyons sages, enfin, essayons. Nous nous allongeons. Les deux hommes se calment un peu, malgré les regards d’Amour. Patrick est très à l’aise pour une première. Ou il se force ?


Non, il est à l’aise puisqu’il propose d’aller à l’eau. Très peu pour nous qui ne sommes pas des pingouins pour profiter de cette eau très fraîche. Il se lève et, engin à moitié tendu, traverse la plage. Il rentre. Il n’est pas frileux !


Nous le regardons un peu puis nous nous caressons doucement, amoureusement.


Il revient lentement, il s’est laissé dériver et fait donc une petite marche sur la plage. Il avouera plus tard que c’était volontaire pour passer devant le maximum de naturistes. Voir et être vu : il s’y met vite notre ami à la sexualité « classique ». Nous le moquons gentiment : l’eau froide ne l’a pas mis à son avantage pour se montrer aux belles nanas allongées ! Mais non, affirme ce galant menteur, il n’y a aucune belle nana quand Amour est là !


Il repose sa serviette de façon à ce qu’Amour soit encadrée par ses deux hommes du jour.

Nous nous tournons tous les deux sur le côté pour bavarder et admirer notre sirène centrale.

Amour a alors un geste qui laissera pour toujours son image dans mon esprit : elle pose sa main droite sur la queue de Patrick et sa gauche sur la mienne. Mains posées, rien de plus. Elle est propriétaire de ces deux engins – pour ce moment, car je sais que ce soir il n’y aura plus qu’un propriétaire : le légitime. C’est fou cette confiance ! Et pourtant, vingt ans après, je peux affirmer qu’elle n’a jamais été trahie.


On bavarde, de travail, du temps, de nos sports et de la séance à l’hôtel ! Je m’aperçois que Patrick a trouvé tout naturel que je le masturbe : c’était un échange puisque tu m’avais prêté Amour !

Le silence se fait lentement et nous profitons du soleil en nous rallongeant, toujours avec une main d’Amour sur chacun de nous. Les mains bougent très lentement. Ce n’est pas une masturbation, c’est plutôt une caresse.

Lorsque je rouvre les yeux je vois Patrick les yeux fermés, mais Amour, les yeux grands ouverts et regardant droit devant elle :



Amour a toujours les mains sur nos sexes et ne les a pas enlevées devant ce jeune homme ! Elle lui sourit. Moi aussi ! Enhardi, il fait encore trois mètres dans le sable vers nous et demande à Amour si deux ce n’est pas trop pour une seule femme. Ça devient une habitude cette réflexion ! Mon exhibitionniste libertine le regarde droit dans les yeux et affirme que, quel que soit le nombre, ce n’est jamais trop !



Grand sourire du jeune. Patrick a rouvert les yeux, pris la mesure de la situation… et Amour peut à son tour prendre une autre mesure, celle d’un outil en pleine extension. Pardon celle de deux outils en transformation.


Le jeune s’assoit juste devant nous après une interrogation muette qui n’a pas recueilli d’objection.

Alors Amour se lâche : elle nous masturbe tous les deux en parallèle en regardant le jeune droit dans les yeux. Elle écarte doucement les jambes et offre le spectacle de son sexe nu, en train de s’ouvrir, à notre voyeur. Un regard autour : personne n’a rien remarqué, ou au moins personne ne s’offusque. Plus besoin de permission entre nous, elle sait que je suis d’accord, alors elle murmure :



Je ne comprends ce qu’elle voulait que lorsqu’elle en sort un préservatif qu’elle garde discrètement sous la tête. Bien sûr que je suis d’accord ! Patrick n’a pas son mot à dire. Reprenant nos queues dans ses mains, Amour soulève les genoux et écarte les jambes. Le voyeur doit tout avoir sous les yeux. Je sais qu’Amour est alors grande ouverte et sans aucun doute très mouillée. Elle nous lâche un instant, le temps de tendre la pochette plastique au gamin qui se jette dessus, l’ouvre et enfile bien plus vite que moi le petit boyau de latex sur un engin robuste. Il pénètre Amour sans hésitation, sans fioritures. Les jambes levées, bien écartées, elle doit offrir un sacré spectacle aux autres plagistes, même s’ils ne sont pas tout près. Patrick et moi nous glissons chacun de notre côté et nous prenons chacun un sein en bouche. Ça ne sera pas long. Le jaune est dans la place ! Amour nous a lâchés pour poser une main sur mon ventre et Patrick est abandonné. Le visage se crispe, la main qui me serre le flan rentre ses ongles dans mes (légers) bourrelets. Je vais à nouveau voir Amour exploser de jouissance. C’est le plus beau spectacle que je connaisse.


La jeunesse manque de politesse : à peine son affaire terminée il nous abandonne avec un :



Trois minutes de somnolence au soleil, mais ni Patrick ni moi n’avons obtenu satisfaction. Amour le sait : elle se glisse doucement vers mon membre gonflé et le prend en bouche. Patrick est seul et abandonné à nouveau. Il a vraiment tout compris, car pour remédier à ce triste état de choses, il s’approche doucement de moi. Osera-t-il ? Oui, sa queue s’approche de ma bouche, encore une première pour moi, mais sans hésitation je vais remédier à l’état désespéré de mon copain ! Et c’est ainsi que très vite je gicle dans la bouche d’Amour qui se soulève pour nous montrer ses babines qu’elle lèche et pour regarder Patrick qui à son tour explose dans ma bouche. Il a voulu se retirer, mais je l’ai tenu par les fesses. J’avale, ou plutôt j’essaie, car non, ce n’est pas ma tasse de thé…


Le retour se passe en silence ou presque. Nous déposons Patrick et la parole reprend ses droits.

Amour est fière d’avoir été prise par un gamin qui pourrait être son fils. Le champ de ses possibilités s’est élargi : elle est de plus en plus consciente d’être « très baisable ». Elle est aussi très contente de s’être donnée en spectacle, même si aucun des spectateurs potentiels ne s’est manifesté. Elle est aussi ravie que moi de ma nouvelle expérience et de l’avoir vue de si près. À refaire ! Ça aussi !!




Passage rapide



Je rentre du tennis. Nous avons fait un double avec mes partenaires habituels et pour une fois – nous en avions parlé avant que je ne parte – j’ai proposé à mes trois partenaires de se rafraîchir à la maison.

Nous sommes au salon, avec nos verres de jus de fruits (si, si, sportifs aujourd’hui) quand nous entendons :



Et Amour passe lentement, très lentement de la salle de bain à notre chambre.


Normal… Sauf qu’Amour est nue, totalement nue.


Trois bouches ouvertes, mais pas de réponse au salut !


Ça y est, la tornade est passée !


Un petit mot de ma part pour rassurer les partenaires : Amour est naturiste, comme moi, et très souvent à poil à la maison. Elle ne vous attendait pas (menteur !) et est restée naturelle. J’espère que personne n’est choqué…


Concert de protestations, bien sûr que non, elle fait ce qu’elle veut, qu’elle est belle, elle peut revenir au salon…


Mais non, elle ne reviendra pas.


Ils en ont eu pour leur argent, d’ailleurs ils n’ont rien payé !


Le départ a été difficile et chargé d’allusions plus lourdes que légères. Il va falloir gérer la prochaine partie de tennis… Mais ça valait le coup : la satisfaction d’Amour est grande. Elle a fait son numéro d’exhibition complète, plus encore qu’elle en rêvât. Ma joie aussi : elle est heureuse et moi fier et comblé.


Nous nous retrouvons une nouvelle fois pour apaiser des besoins importants dans la chambre où nous nous livrons à notre jeu favori et de moins en moins personnel. Amour avoue avoir dit salut pour être sûre que les trois profiteraient de son passage !


Que je l’aime ! Que je suis fier d’elle ! Pourquoi la terre entière ne peut-elle pas profiter de ses trésors ?




Exhibition qui dérape



Revoilà Ja-Nique à qui nous racontons ce dernier exploit d’Amour.


Puisque tu as des envies d’exhib, je te propose un après-midi courses coquines. J’ai repéré certains magasins qui pourraient te plaire.


Toujours en confiance avec notre amie, Amour accepte bien volontiers.


Ja-Nique part avec elle dans sa penderie chercher le matériel approprié pour couvrir (le moins possible) ma beauté. Elle revient transformée, la mini jupe orange est de sortie : très très courte, le chemisier noué sous les seins, des chaussures « normales » puisqu’il va falloir marcher. Je m’approche de cette mini-jupe qui fait mon bonheur : à la fois courte et évasée, elle flotte autour des cuisses d’Amour, du haut des cuisses, et s’envole dès qu’il y a du vent ou qu’Amour tourne sur elle-même. Je la fais donc tourner assez vite et bien sûr je vois un fessier splendide, un sexe libéré. Il n’y a rien sous la jupette. Ce n’est pas dans un magasin de lingerie que se feront les courses !


Nous passons chez Ja-Nique pour qu’elle se change. Elle met une tenue à peu près identique à celle qu’elle avait pour notre restaurant ! Qu’elle est belle, bandante, plutôt ! Amour le comprend et me dit d’en profiter : elle est très en avance sur moi dans la découverte de terres inconnues. Ja-Nique s’assoit sur moi, face à face, après avoir relevé sa ceinture, non, c’est une jupe. Je sens la moiteur de son sexe sur mon pantalon qui devient trop petit. Autant se libérer avant des aventures qui ne me permettront sans doute pas de le faire puisque c’est leur journée, leurs courses, leurs exhib. Ja-Nique se soulève et me dégrafe. Elle enfile sur mon membre la pellicule caoutchoutée obligatoire, s’assoit dessus et remue doucement. Comment un vagin aussi utilisé peut-il être aussi serré ? Amour regarde en me serrant la main. Le rythme de ma cavalière s’accélère et nous éclatons ensemble. Il n’y a plus qu’à passer à la salle de bain avant de partir !


Toujours prudents, nous changeons de ville pour faire les magasins.


Première étape : un supermarché. Les courses ne sont qu’un prétexte. Les deux coquines ne sont visiblement intéressées que par les produits situés très bas dans les rayons et j’ai droit, comme d’autres clients, à un fesse-tival. Après l’achat de trois bricoles pour nous justifier, nous changeons de magasin.


Marche dans la rue commerçante et piétonne. Un petit vent soulève parfois la jupette orange et jamais Amour ne s’en aperçoit ! Mais les passants, si. Certaines sont offusquées et commentent, méchamment, d’autres sont amusées et sourient. Bizarrement, aucun commentaire désagréable n’est masculin ! Je sens Ja-Nique agacée par sa jupe serrée qui ne dévoile rien de plus que ses magnifiques jambes ! Ma belle a quelques années de plus, il faut bien qu’elle ait des compensations !


Deuxième étape : un magasin d’articles ménagers. Direction un rayon, n’importe lequel pourvu que le vendeur qui va s’approcher soit un vendeur et non une vendeuse. Ce sera le rayon cave à vins, au fond du magasin. J’ai l’air intéressé… mais le vendeur a du mal à me répondre. Il ne connaît pas son sujet ou il est perturbé par le chemisier de Ja-Nique qui vient de se détacher jusqu’au nombril ?


Le chemiser rouge et transparent pourrait être couvert par la veste qu’elle tient sur le bras, mais elle ne s’est certainement pas aperçue de la situation… Amour s’approche d’elle et la prend tendrement par l’épaule. Le vendeur ne comprend pas à qui s’adresser pour emporter le marché : les deux nanas ont l’air très proches, mais qui va choisir avec moi ? Le nœud du chemisier d’Amour est de plus en plus lâche et le bras de Ja-Nique entoure sur sa hanche. Elles se regardent et mettent fin au jeu en faisant semblant de s’apercevoir de leur état. Amour referme doucement les boutons de Ja-Nique et cette dernière défait complètement le nœud d’Amour, écarte quelques secondes les deux pans et refait un nœud en laissant traîner ses mains nettement plus longtemps que nécessaire sur ces seins que j’aime tant. Nous laissons le vendeur en disant qu’on allait réfléchir, mais je ne pense pas qu’il oubliera vite cette non-vente ! Il y a des clients plus rentables, mais moins agréables !


Ja-Nique nous entraîne maintenant vers notre troisième étape : elle a repéré un petit magasin de chaussures avec une vendeuse sympa lors de son dernier passage.


Toujours le même vent fripon de Brassens et du Nord dans la rue, toujours le même fesse-tival d’Amour pour moi qui suis derrière. Que se passe-t-il devant ? Je ne saurai jamais, mais à voir l’homme que nous venons de croiser, il se passe quelque chose !


Effectivement, c’est un petit magasin. Ces dames regardent la vitrine. Cette fois, je sens l’achat à venir !

Il commence à se faire tard. Nous rentrons. C’est une dame d’une petite cinquantaine d’années qui nous accueille. Tant pis pour Amour qui avait découvert son pouvoir d’attraction sur les jeunes garçons. Mais c’était prévu et on peut faire confiance à Ja-Nique pour les découvertes.


Les deux minettes parlent de spartiates.



Nous tirons les sièges : toutes deux côte à côte, moi en face. Elles prennent place et jouent avec mes yeux en écartant et refermant les jambes. Mais lorsque la vendeuse revient, fin du jeu. Elle commence par Ja-Nique. La jupe-ceinture est gênante, elle remonte encore. Ja-Nique ouvre les jambes et la vendeuse découvre le sexe épilé. Croit-elle à un accident ? Non, ce ne peut pas en être un, car Ja-Nique ouvre et referme, comme elle faisait avec moi. La vendeuse se tourne vers moi. Je lui souris. Elle enfile les chaussures et monte les lacets sur les mollets en prenant son temps, en effleurant les jambes, mais c’est professionnel, non ?


Mauvaise taille. Je vais aller en chercher une autre, mais avant j’essaie Madame. Même jeu d’Amour. Même regard de la vendeuse. Amour est mieux placée pour moi et, comme la vendeuse, je vois son jeu… et ses grandes lèvres humides. La vendeuse a compris la situation : cette fois, les lacets vont plus haut, la main aussi, la main dépasse même le haut des lacets…


Nouveau regard vers moi, hochement de tête de ma part. Elle a le feu vert et le sait.



Mademoiselle ! Tu parles…


Elle a tellement compris qu’elle revient changée, donne un tour de clef à la porte d’entrée et s’approche de ses deux clientes. Elle a quitté sa tenue classique de vendeuse et est maintenant en tee-shirt long qui lui descend jusqu’aux genoux.



Mais la conversation cesse lorsque la vendeuse s’accroupit devant Ja-Nique. Je suis du mauvais côté alors Ja-Nique me donne la légende :



Et c’est reparti pour une conversation de salon, enfin de salon libertin. Mais non, je suis sûre que vous pouvez. Mais non. Mais si…


Amour bouillait, abandonnée. Alors elle glisse une main sous sa jupe ! Mais si, elle ose. À cinquante centimètres de sa copine et de la vendeuse inconnue ! Elle se branle en me le montrant.


La conversation continue :



Un coup d’œil vers le vieux cochon qui regarde et qui approuve de la tête et la vendeuse se précipite sur l’entrejambe de Ja-Nique. Une dizaine de coups de langue et un coup sur l’épaule, Amour dit :



J’ai donc assisté à un festival de langue, la vendeuse alternant les bénéficiaires de sa gourmandise !

Mes deux beautés ont joui presque simultanément et Ja-Nique, toujours charitable, est descendue de son fauteuil pour passer la main sous ce long tee-shirt, le relever pour me faire profiter de la vue d’un cul généreux, mais effectivement un peu fatigué. Amour l’a relevé un peu plus pour dégrafer le soutien-gorge objet de la discussion précédente. La vendeuse avait raison : elle en a besoin, mais la situation n’est pas catastrophique. La preuve : Amour semble trouver à son goût ces deux grosses mamelles qu’elle lèche et mordille. Je m’approche et mets la main aux fesses découvertes.



Pas de chance pour moi… Mais les trois femmes se sont éclatées. Tous les vêtements sont maintenant par terre et je vois un splendide triangle. La vendeuse a repris Ja-Nique en bouche, Ja-Nique tient Amour et Amour ferme le triangle. Pythagore a-t-il un théorème pour ça ?


Je bande trop. Puisque Madame ne veut pas d’homme et que Ja-Nique m’a déjà accordé bien du plaisir, je m’approche d’Amour. Ja-Nique comprend et lâche Amour. Pendant qu’Amour suce avec enthousiasme le sexe inconnu, je la pénètre avec la vigueur que la situation impose.


Tous les quatre épuisés, nous nous rhabillons. La vendeuse n’a pas perdu le Nord : Amour essaie les spartiates noires, Ja-Nique, la nouvelle taille et nous repartons avec deux paires de chaussures, une réduction de 40 % et de très gros souvenirs !




Professeurs



Les copains qui habitent en Corse nous ont fait cette année une proposition qu’on ne refuse pas : ils partent un mois aux États-Unis en août. Voulons-nous garder leur maison ?


Sur les hauteurs de Bastia, cette maison louée à l’année par notre ami continental qui travaille à Bastia est située dans un grand domaine qui ne compte que quatre villas. Très espacées les unes des autres, on y est seuls au monde. Seuls pour avoir la vue sur la mer, profiter de la piscine et du soleil, ainsi que de l’hospitalité corse dès qu’on sort.


Un mois de vacances de rêves avec au milieu une aventure inoubliable.


Voilà maintenant deux semaines que nous vivons nus dans cette parcelle. Nous sommes bronzés, regonflés et amoureux, mais ça, c’est habituel.


Il est 19 heures quand j’entends une voiture monter le raidillon menant « chez nous ». Amour, malgré sa tendance exhibitionniste et ne sachant pas qui arrive, part à l’intérieur. Je m’entoure la taille d’une grande serviette de bain. Une petite 4L arrive devant chez nous et un jeune couple en descend.



Il y a confusion. Le panneau en bas dit « Domaine de… » et ils ont pris ça pour l’indication d’un hôtel.



Devant l’air catastrophé de ces jeunes à bonne mine, j’approfondis : ils en sont à cinq hôtels dans leurs prix et tous ces hôtels pas trop chers sont complets.

J’ai une idée, pas très honnête, il faut bien le dire. J’appelle Amour qui sort dans sa splendide nudité. Nos jeunes n’ont pas l’air choqués. Je lui résume la situation et c’est elle qui leur propose la chambre d’amis.



Et re bla-bla…



Nous les accompagnons, leur montrons la maison et les laissons s’installer.


Direction piscine


Amour est toujours aussi nue et belle. Je pose ma serviette et suis aussi nu qu’elle… mais moins beau, soyons honnêtes !


Petite discussion rapide :



Bref, nous nous sommes compris et si nous pouvons manger ces délicieux agneaux ce sera un excellent repas !


Les voilà qui arrivent. Mademoiselle est seins nus, pas trop bronzés, Monsieur, en caleçon de bain.



Anita est petite, très brune avec des cheveux longs, des yeux pétillants, un sourire avenant et apparemment permanent, une toute petite poitrine, tout le contraire de celle d’Amour que Florian regarde, discrètement, croit-il. Pourvu qu’il aime le changement ! Lui est beau, grand, odieusement jeune, blond et musclé. Serais-je jaloux ou ai-je envie de toucher ?



C’est visiblement Anita qui porte la culotte, mais pas longtemps : les deux slips tombent et nous voilà tous quatre à poil et à converser poliment. Ne rien brusquer.


Ils nous disent avoir fait du naturisme chaque fois que possible, c’est-à-dire rarement à Lyon où ils habitent, mais jamais avec d’autres personnes.



Ils se regardent, c’est Anita qui répond pour deux. Non, ils sont à l’aise et ne se sentent pas obligés :



L’heure tourne doucement et je me lève pour préparer le plateau apéritif. Anita se précipite pour aider, en demandant si elle doit se couvrir. Devinez ma réponse. Lorsque nous revenons, Florian et Amour sont en grande discussion, apparemment sur les études des tourtereaux, mais les regards de Florian sont toujours bloqués sur la poitrine d’Amour. Anita le voit comme moi et toujours avec son sourire lui dit de ne pas se gêner.


Florian s’excuse alors qu’Amour fait l’innocente. Anita demande à son ami si sa poitrine est moche pour qu’il regarde ainsi ailleurs !



Amour fait sa pudique :



Sa réponse nous scotche un peu :



Mais nous en restons là, ni Amour ni moi n’osons approfondir : quelles seraient leurs réactions ? Dîner rapide à base de plats froids et déjà prêts, un peu augmentés pour passer de deux à quatre parts, re-bavardages et dodo.


Une fois dans notre chambre, nous nous interrogeons sur les possibilités de suite. Provoquons timidement pour ne pas effrayer. Nous allons faire l’amour, sans autre provocation que les cris d’Amour. À mon avis, elle exagère. Mais elle a raison : sa puissance vocale s’est forcément entendue dans la chambre voisine. Et elle a donné des envies (ou ces jeunes en ont toujours ?), car c’est maintenant à nous d’entendre des râles caractéristiques. Je me lève pour aller bruyamment aux toilettes. Les bruits s’interrompent deux secondes et reprennent. Nous ne dérangeons pas ! Je reviens en laissant la porte ouverte. Quand ce sera leur tour d’aller à la salle de bain, ils passeront forcément devant.


Les bruits se calment ; Amour anticipe : ils vont sûrement sortir, alors elle se jette sur mon engin bien fatigué et tente de lui redonner vie de ses lèvres gourmandes. Je vois passer Anita, fais semblant d’être absorbé, en fait je le suis, par la bouche d’Amour… Anita s’arrête cinq secondes, regarde et repart. Elle repasse, re-regarde et laisse sans doute à son tour sa porte entrebâillée, car nous l’entendons dire à Florian :



Deuxième représentation du même spectacle pour un autre spectateur. Cette fois à son retour, c’est sûr, il a laissé sa porte ouverte, car on entend leur conversation.



Voilà une phrase qui s’applique aux deux chambres !


Qui est Richard ? De quel « bien » parle-t-elle ?


Le lendemain matin, les choses sont plus claires : nous n’avons pas affaire à des innocents, ils n’ont pas affaire à des puritains. Nous prenons le petit déjeuner, Amour et moi vêtus d’un tee-shirt, la matinée est encore fraîche. Tous deux arrivent à la fin de notre repas, en tenue de vacanciers, tee-shirts eux aussi, mais en plus shorts et sandalettes. Ils nous disent : encore merci pour cette nuit très agréable dans un confort que nous n’aurions pas pu nous payer. Nous allons vous laisser et repartir à la recherche d’un hébergement pour les trois jours qui nous séparent de l’accueil par nos potes à Calvi.


Polis, sincères ou hypocrites ? Vigoureuses protestations de notre part :



Et les politesses recommencent, pour finir par :



C’est le moment d’avancer et Amour sait faire ! Et c’est une bouche féminine, plus facile à entendre.



Anita enlève son tee-shirt et d’un air innocent répète :



Sommes-nous censés savoir quelle est cette envie ? Je ne sais plus. On se tait.


Nous avons fini de déjeuner, alors Amour et moi nous levons de table : si ça ne vous embête toujours pas, nous reprenons notre tenue de jour. Nudités des deux « pas si vieux ». Et pendant que nos invités s’installent, Amour refait l’innocente :



Florian a pris un coup de soleil cette nuit ? Pourquoi est-il écarlate ? Anita répond à sa place qu’il trouve Amour très belle et qu’elle a des avantages qui lui manquent et que Florian aimerait admirer !


C’est à mon tour de jouer :



Le coup de soleil a augmenté ! Le sourire d’Anita aussi, elle est à la limite du vrai rire : ça existe des gens comme vous ! J’y croyais pas quand j’en entendais parler.


Florian n’ose plus bouger, alors Amour s’approche de lui, lui prend la main, regarde Anita qui opine, et la porte sur un sein.



Le bouton marche a été enfoncé et Florian se met en branle. Le français est riche ! Il caresse ce sein, puis les deux, puis se lève et cajole tout le corps d’Amour. Anita me regarde, toujours avec son sourire. Amour voit le sourire : elle a le droit, tous les droits, elle le sait. Elle prend Florian par la main et le tire vers notre chambre, qui doit bien sentir le sexe depuis cette nuit. Anita tire son mini-short et vient s’asseoir sur mes genoux.



Non parce que je sais qu’Amour en a envie et qu’elle va être heureuse, non parce que tu es là et que je peux prendre tes seins dans les doigts et sentir ton sexe sur ma queue. Mais oui, j’ai une petite contrariété : un de mes plaisirs préférés est de voir Amour jouir.


Anita réagit avec toujours ce sourire qui tue. Tu sais, nous sommes jeunes, mais pas inexpérimentés, surtout moi. Si tu veux les rejoindre, Florian ne sera pas contre. Oui, mais avec toi bien sûr. Et tous deux, main dans la main, nous rejoignons cette chambre où Florian est en train de déguster sauvagement la poitrine d’Amour. Ils nous voient rentrer et ne s’interrompent pas.


Anita s’allonge à leur côté et n’a pas besoin de beaucoup de me tirer par la main pour que je la rejoigne. Amour se lasse-t-elle des hors-d’œuvre ? Elle tire Florian pour qu’il passe au plat de résistance qui ne résiste pas, le sexe d’Amour s’ouvre sous mes yeux qui ne savent plus où regarder : le cunni de Florian, la tête d’Amour, Anita, si fragile et forte à la fois ?


Anita ne veut visiblement pas de préliminaires et me conduit sur elle pour une pénétration douce dans un petit vagin étroit et inondé. Florian abandonne les langues étrangères pour en faire autant et nous voilà tous les quatre en train de baiser sur ce lit un peu étroit pour la surpopulation qui l’occupe.


Amour va jouir, je le vois dans ses lèvres qui se pincent. Elle me prend la main. Anita s’agite de plus en plus, elle aussi est au bord du gouffre. Et tous les quatre nous faisons un grand pas en avant au bord de ce gouffre et tombons dans quatre jouissances quasi simultanées.



Anita a bien vu notre complicité.

Petit déjeuner pour ceux qui n’avaient pas commencé, douche pour tout le monde et piscine. Qu’il est agréable de vivre nus à quatre qui s’entendent si bien !


En fin de matinée, il faut aller faire des courses : nous sommes plus que prévu ! Les femmes vont y aller. Amour a envie de faire son exhibitionniste, ce qui n’est pas trop dans la culture corse, mais elle est encouragée par Anita qui lui dit qu’elle va la suivre… dans cet exercice aussi.


Les revoilà prêtes, disent-elles, chacune un immense tee-shirt qui descend jusqu’aux genoux et des tongs. Florian et moi avons le même réflexe : levé de tee-shirt et même constat. C’est le seul vêtement des deux pin-up. Anita n’a pas le même problème qu’Amour avec un balancement de poitrine qui montre clairement l’absence d’artifice textile. Et quand elle lève le bras, la vision latérale est plus qu’intéressante ! Mais Amour aime être regardée et elle sait qu’elle le sera. Elles prennent notre voiture, en meilleur état que la 4L, et nous laissent, Florian et moi, un peu coincés pour débuter la conversation.


Florian parle d’Anita :



Ils sont vraiment mignons ces petits agneaux. On va les manger… Mais sans leur faire de mal.



Gloups ! Florian ne sait plus quoi dire, mais sa bite parle pour lui : elle gonfle à vue d’œil ! Je m’en saisis et la triture doucement :



Mais nous nous arrêtons là : rien sans elles et leur accord.


Florian sourit et se lève vers sa chambre. Il bande bien, c’est tentant, mais je résisterai comme je lui ai dit. Que va-t-il faire ? Non, pas encore ! C’est beau la jeunesse, je fais finir envieux si c’est ce que je pense. Je m’approche de sa chambre ouverte et c’est bien ce que je pensais : je regarde Florian se branler avec énergie et éjaculer dans son Kleenex. Quel gâchis, mais c’est de ma faute.


Retour des deux femmes, rangement des courses et passage dans la chambre pendant qu’Anita prépare un repas d’été. Je raconte à Amour ce que je viens de vivre. Elle me raconte Anita. Ça concorde.


Pour Anita, ils s’aiment, mais Florian est coincé par son éducation, pas elle. Ils ont déjà essayé à trois, avec Richard. Florian a accepté sans trop de jalousie, mais ce n’est pas assez pour la petite beauté : il faut qu’il devienne un meneur à mi-temps, l’autre mi-temps c’est elle qui reprendrait les rênes et le plaisir de chacun serait satisfait.


Amour lui a expliqué notre fonctionnement :



Elle lui explique le rôle de Ja-Nique dans cette libération et lui propose de l’aider à son tour.


Nous avons eu les mêmes raisonnements puisqu’Amour lui a aussi parlé de deux, trois, quatre ou plus.

Anita est d’accord pour tout essayer. Oui, elle a aussi envie d’Amour que de moi. Mais aussi elle aimerait voir Florian se faire sodomiser et sucer un mec, oui elle a envie de tout essayer !


Elle a commencé avec Amour pendant les courses. D’abord, elles ont laissé les sandales dans la voiture. Anita trouve, et elle a raison, pourquoi n’y avons-nous pas pensé, que pieds nus, c’est érotique ! Un type regardait la poitrine d’Amour avec autant d’intérêt que d’insistance, en la négligeant. Amour était ravie de son succès, comme d’habitude, mais Anita ne pouvait s’en contenter. Alors dans ce rayon de Super U où il n’y avait qu’eux trois pour quelques instants, elle a relevé son tee-shirt jusqu’à sa petite poitrine, exhibant ses seins, mais aussi son sexe broussailleux et dit au mec :



Rideau immédiatement baissé devant le mec bouche bée et courses continuées ! Elle a demandé dans la voiture :



Amour l’a embrassée tendrement, mais l’élève ne s’en ai pas satisfait et elles se sont roulé le patin du siècle. Encore un vocabulaire inhabituel dans la bouche d’Amour, mais la situation aussi est inhabituelle !


Quel bonheur que ce hasard qui les a mis sur notre chemin !


Déjeuner, sieste à la piscine et après les bains rafraîchissants, Amour et moi suggérons de nous mettre un peu au frais. Notre idée est de commencer par le plus traditionnel pour apprivoiser Florian : nous les entraînons dans notre chambre et nous entamons un 69 exhibitionniste, c’est-à-dire en faisant le maximum pour que nos spectateurs aient un spectacle approfondi. Les élèves ont compris : ils en font autant. Puis la pénétration classique. Ils suivent. Levé de jambes, titillage du petit œillet, ils suivent toujours. Je vais faire jouir Amour par le cul ! Je la prends, elle aime et le dit. Ils ont suivi ? Oui, Amour le voit et prend la main d’Anita, comme elle prend souvent la mienne dans ces moments. Comme ce matin, quatre jouissances quasi simultanées.



Pas totalement, mais aller plus loin serait présomptueux de ma part après cette journée et serait sans doute trop pour Florian.


Soirée calme, coucher presque sage et réveil le lendemain en pleine forme pour chacun.

Je prends Florian à part : il va très bien, est un peu mal à l’aise et bien qu’un peu mal à l’aise prêt à continuer.


Journée découverte des environs en voiture, passage à la plage avec strings et exhibition de poitrines bien que le monokini soit de moins en moins à la mode. Nos nanas se sont senties un peu isolées dans cet exercice qui ne fait plus qu’environ 10 % des femmes présentes. Isolées, mais pas seules donc. Pas seules, c’était stimulant ! Alors au moment de partir, après un rapide conciliabule, elles se sont levées simultanément, ont posé leur string, sont restées nues le plus longtemps possible, le temps de chercher avec d’apparentes difficultés les shorts dans les sacs, ont enfilé le tee-shirt court puis seulement le short. Elles ont enfilé le tee-shirt, mais Florian et moi, il y a autre chose que nous aurions bien enfilé ! Il y a eu des spectateurs ravis sur ce bout de plage sans enfants heureusement. Il y a eu deux femmes ravies aussi de s’exhiber et leurs deux hommes donc ! Le bonheur tient à pas grand-chose ! À rien même, à condition que ce rien soit sur les fesses !


Retour à la maison pour une douche. Par couple, mais non : Amour prend Florian par la main et l’entraîne, sous le regard toujours pétillant d’Anita. Amour me racontera ce soir qu’elle a nettoyé Florian : surtout le dos et le membre… Il en a fait autant, mais timidement, en insistant sur cette poitrine qui nous fait visiblement rêver tous les deux. Anita et moi les remplaçons à la salle d’eau. Anita exprime son contentement et prend ma queue en mains, nous nous savonnons mutuellement, elle d’une seule main. Je passe derrière elle et prends ses petits seins en main tout en me collant contre ses fesses. Elle a un petit cul très ferme, tout rond et surtout une raie large, les fesses sont assez séparées pour que je me glisse entre elles. Je remue doucement, sans pénétration, lui enlève le sable du dos par des caresses qu’elle semble apprécier. Mais il faut s’économiser et retrouver nos conjoints. Sur cette opération propreté approfondie, piscine avec la tenue de rigueur, de l’absence de tenue plus précisément. Je ne savais pas, mais plus je vois Anita et plus je comprends l’attirance de certains pour Jane Birkin ! Ses seins sont irrésistibles. Dîner et leçon du soir : que faire à trois ?


Amour se jette sur Anita et l’embrasse goulûment : il faut terminer ce qui avait été commencé sur le parking du supermarché ! Puis elle descend vers ce sexe qu’elle n’a pas encore goûté. Anita semble plus que d’accord puisqu’elle écarte les jambes plus que la gymnaste moyenne. Amour est près de tout gâcher :



Pourquoi tant de bavardages ? Revenons aux choses essentielles : je m’avance et pénètre sans ménagement Amour qui répercute mes coups de queue sur le sexe poilu. Florian regarde : trois, ce n’est pas quatre ! Alors, charitable, je lui laisse ma place et il s’engouffre dans le tunnel ouvert d’Amour pendant qu’Anita semble prête à éclater !


Non, c’est Amour qui explose en premier.


Elle se recule et pour rester à trois, je prends sa place. Mais plus de bouche, les sexes s’attirent, se trouvent, se complètent. Florian ne se laisse pas exclure. Il avance et se fait tailler une magnifique pipe par Anita. Je peux voir le jeu de joues tout en continuant à barater la crème abondante du con d’Anita, avec la main d’Amour posée sur mes fesses.


Usé, je laisse la place à Amour qui a repris de la vigueur. Elle s’allonge et Anita lui rend le cunni qu’elle lui devait pendant que Florian se place derrière elle et – non, je ne me trompe pas – l’encule. Il se lâche le petit… Alors, pourquoi hésiter plus, je m’approche du trio et place, comme me l’avait fait Amour, ma main sur une fesse masculine qui ne se dérobe visiblement pas.


Si je vais plus loin, la leçon ne sera plus à trois, mais à quatre. Tant pis, un bon professeur sait s’adapter à son public : la main descend et tourne autour d’un petit trou qui s’ouvre. Un peu de lubrifiant, ça ne manque pas côté féminin, et le doigt s’enfonce dans la caverne garantie inviolée. Florian se retourne une seconde et sourit. Tout va bien.


Raconter est plus rapide que vivre. Tout a une fin et nous somnolons, tous les quatre sur ce même lit.


Dernier jour, nos amis-amants partent dans l’après-midi pour Calvi. Il reste tant de choses à faire ensemble : une partie de cartes, une de pétanque ? Non ! Un petit déjeuner et la fin de nos leçons.


Leçon du matin : fin du paragraphe « à deux ».


Florian s’inquiète un peu : il croyait ce chapitre complet.


Nous reprenons le grand lit et nos beautés commencent. Si elles se sont déjà largement broutées, d’une part ce n’était pas seules, d’autre part Anita avait encore les poils enlevés ce matin dans la salle de bain, avec MON rasoir !


Amour lui dit combien c’est plus doux et fait le nécessaire pour le lui montrer. Nous regardons un instant, mais ce n’est pas ce que j’attends : l’égalité des sexes impose une action de ma part devant la timidité de Florian. Je me penche vers lui et prends son membre en bouche. Les filles se sont arrêtées et nous regardent. À nous d’être dignes de cet intérêt. Je pompe de tout mon cœur ce sexe si appétissant. Florian geint et appelle Anita. Elle s’approche, se met à la tête de Florian, le prend par les genoux et lève les jambes. Le message est clair.



Mais moi aussi je crève d’envie de progresser dans ce domaine. Je reprends la caresse de l’œillet qu’il avait apprécié lors de la séance précédente. Il n’y avait eu qu’un doigt. Maintenant, il y en a deux, non trois. Non, un seul, plus gros et pas situé sur la main ! Ça y est, je suis entré sans effort : Florian était clairement demandeur. Amour se branle en nous regardant. Anita tient toujours la position de Florian en se frottant le bassin sur sa tête. Je vais éclater. Ça y est. Mon sperme ressort de ces fesses masculines qui pourraient être féminines tant elles sont appétissantes et glabres.


Ça y est, tout a été essayé.


Non, Anita regarde Florian et lui dit :



Nous avons bien compris tous les trois : elle veut voir la bite de son homme dans le cul de son hôte pour résumer clairement la situation. Pourquoi pas ? Amour me saisit le membre encore vigoureux pendant que je me mets à quatre pattes. Florian semble hésiter. Anita le prend à son tour et le passe sur mon œillet. C’est bon de se faire tripoter le cul ! Amour le sent et remue vigoureusement sa main. Anita arrête ses mouvements et pose la bite de Florian sur son objectif. Je ne demande pas mieux et l’aide. Cette fois, je suis enculé et branlé en même temps. Un rêve ! J’éclate pendant que Florian continue. Anita commente avec Amour ! Moins de résistance que les jeunes, ces vieux. Amour va toucher les fesses de Florian qui éjacule dans mon fondement. Ça lui permet de prendre ma défense : oui, mais pas de beaucoup !


Il ne reste plus qu’à souffler et nous reconstituer. Une heure de pause piscine et Amour demande à Anita si elle est prête pour « le final ». Nous repartons tous les quatre pour la pièce qui nous aura beaucoup vus ; celle au grand lit. Heureusement que les filles ont profité des courses pour reconstituer la réserve de préservatifs !


Un carré se forme : Anita me prend en bouche, Florian prend Amour. Problème : comment ne pas être avec son conjoint pour fermer le carré ? Une seule solution nous vient : Florian vient vers moi et m’embouche pendant qu’Amour va vers Anita.


Je suce Anita qui suce Amour, qui suce Florian, qui me suce. Cette fois, c’est bien à quatre que nous faisons nos travaux pratiques ! La coordination n’est pas simple, mais avec de la bonne volonté – et de grosses envies – tout est possible.


Épuisés, nous nous endormons un peu, déjeunons et pleurons, ou presque.

Anita et Florian nous remercient mille fois, sans entendre que nous les remercions en même temps. Trois jours inimaginables !


Nous échangeons nos mails et nous quittons sur de grandes promesses de se revoir.

Ces promesses n’ont jamais été tenues : distance et peur d’abîmer des souvenirs précieux. Mais nous avons échangé des nouvelles longtemps. Anita et Florian sont mariés, ils ont deux enfants et profitent de ce qu’ils appellent nos leçons.




Mon rêve



À ce moment-là, Ja-Nique avait un mec un peu plus permanent que d’habitude, Bernard. Ils souhaitaient rencontrer notre complice Patrick. Nous allons donc dîner tous les cinq chez le Libanais près de chez elle. Aucune excentricité sexuelle ni vestimentaire dans le quartier ! Le repas se passe très bien. Tout le monde a sympathisé.


Le café se prendra chez Ja-Nique qui donne le ton avec sa directe franchise habituelle :



Et Amour alors ? C’est pas un mec, nous l’avions tous vérifié, et elle est là aussi, pour la même chose ! Elle ne compte pas ? Ne pinaillons pas et voyons plutôt si on peut piner.

Pardon pour ma digression facile. Donc en terminant sa phrase Ja-Nique enlève sa robe. Tiens, malgré la proximité entre le resto et sa maison, elle n’avait pas de culotte. Mais ça ne s’était pas vu ! Comme Bernard taquin lui répond :



Elle part à la cuisine en agitant ses fesses sous les yeux de Patrick qui ne les connaissait pas encore.

Petit café rapide pendant que Ja-Nique donne le ton enlevant son haut et en sortant le mandrin de Bernard. Elle, nous le cachant vite en l’engloutissant. Puisque tout le monde est prêt, les fesses-tivités commencent et une fois de plus Amour se laisse aller à son envie d’exhibition. La voilà nue à son tour. C’est beau deux femmes nues au milieu de trois hommes vêtus !


Ça ne dure pas et à partir de là j’ai un blanc dans mes souvenirs qui ne reprennent qu’avec la scène dont je rêvais depuis notre première sortie en club.


J’ai Ja-Nique à ma droite. Comme elle est gauchère, elle est habile avec sa main qui me serre fortement. Devant moi Amour, à quatre pattes, Patrick la prend en levrette et elle suce Bernard. Ses seins ballottent à chaque coup de queue. Elle est plus que belle, épanouie. Elle me jette un coup d’œil en biais et voit sans doute combien j’aime. Elle aussi m’aime et aime ce qu’elle fait, ce que nous faisons. Elle lâche la queue qu’elle tenait en bouche pour crier. Le train arrière se désolidarise, les deux queues sont dans les mains de leur légitime propriétaire et Amour est arrosée des deux côtés.

Elle se glisse vers moi, m’embrasse, et nous nous disons simultanément « Merci ! ».


Aucun autre souvenir de cette soirée, pourtant notre première à cinq. Celui-là a pris le dessus sur tout ! Cette scène était espérée, attendue. Elle se renouvellera, c’est sûr, nous avons trop aimé.

La quarantaine rugissante est passée, nous ne nous sommes évidemment pas arrêtés à ces faits d’armes. Je n’ai raconté, trop longuement, que les plus notables. Cela fait maintenant 40 ans que nous vivons ensemble et partageons tout, vraiment tout !


Si vous aimez vraiment votre conjoint, laissez-le jouir le plus souvent possible, avec vous, mais aussi avec le ou les partenaire(s) de son choix. Mon plus grand bonheur est de voir Amour donner libre cours à son tempérament. Mais le fait de savoir qu’une aventure sans moi l’a rendue heureuse me comble aussi de joie, même si nous savons tous les deux qu’ensemble c’est mieux !