n° 22347 | Fiche technique | 7691 caractères | 7691 1341 Temps de lecture estimé : 6 mn |
24/03/24 |
Résumé: Jeune couple qui apprend les joies et techniques de l’amour, un peu en avance sur leur temps. | ||||
Critères: fh jeunes fépilée attache init | ||||
Auteur : tatamarie Envoi mini-message |
Nous sommes très jeunes, à peine la vingtaine, sans expérience, nous apprenons ensemble, la vie en général, la vie en couple aussi depuis peu. Voici une de nos premières expérimentations, mais il y en a eu d’autres. J’ai compris plus tard que nous étions plutôt précurseurs, en ce début des années 70, dans le choix des positions, lieux, circonstances ou accessoires. Pour être honnête, c’est ma femme qui est à la source de toutes ces expériences, c’est généralement elle qui invente de nouvelles jouissances.
Un soir, je sens qu’elle est spécialement excitée, tout amoureuse et câline. C’est souvent elle qui prend des initiatives, moi je suis un peu plus réservé et introverti. Elle allait me faire une démonstration.
Elle commence par me déshabiller, c’est un jeu que nous pratiquons souvent, d’une manière très érotique. Cela s’accompagne de multiples papouilles, caresses…, balayage de mon bas-ventre avec ses cheveux qu’elle a assez longs. Finalement, je suis tout nu et je bande comme un âne, et elle est encore habillée.
Elle me repousse doucement sur le lit, et sort quelques foulards de sous un oreiller. Elle a préparé son coup. Elle m’attache délicatement les mains au haut du lit, je ne peux bouger que les jambes.
Elle commence alors un strip-tease, langoureux et follement érotique. Elle garde juste son slip, une petite culotte blanche très sage, qui couvre tout son bas ventre. Elle monte sur le lit, se frotte sur moi, s’agace les tétons sur ma peau, me balaye avec ses cheveux.
Elle s’agenouille sur ma poitrine, juste devant mon nez, je m’aperçois qu’elle a encore sa culotte. Elle commence à se caresser la poitrine d’une main, elle se tire un peu sur les tétons. L’autre main descend sur son ventre, tourne autour de sa culotte, introduit un doigt par le côté. Elle se caresse un peu, le doigt bouge de haut en bas et elle commence à respirer plus fort.
Puis elle se contorsionne pour enlever sa culotte. Elle s’est complètement rasé la chatte ! À genoux à vingt centimètres de mon nez, c’est profondément érotique, impudique, obscène, tout me vient à l’esprit. Je n’ai jamais vu cela (de toute façon, c’est ma première femme).
Elle tire sur le capuchon pour glisser un doigt sur son clitoris, écarte les grandes lèvres pour s’introduire deux doigts dans le vagin. Elle avance et recule, se masturbe devant mon nez, et je suis toujours encore attaché, c’est horrible.
Mais je ne suis pas au bout de mes surprises.
Derrière elle, je commence à me dresser de plus en plus, et mon gourdin se loge entre ses fesses. Elle se soulève, le prend en main et descend doucement dessus. Mais pas dans le vagin, dans son petit trou, elle est tellement mouillée que cela entre sans problème. C’est la première fois que nous passons par ce chemin. Comme elle est plus délurée que moi, je sais qu’elle a envie d’essayer, elle m’avait déjà demandé, mais je n’ai pas osé.
Elle monte et descend sur ma verge, tout en se caressant le clitoris, avec deux doigts dans le vagin. Chaque fois, elle s’enfonce un peu plus, jusqu’à être assise sur mon ventre. Notre excitation monte, et le niveau sonore aussi, nous jouissons intensément ensemble.
Elle consent enfin à me détacher et nous prenons une douche pour nous remettre de nos émotions et réparer les dégâts. Je ne vous raconterai pas nos savonnages sous la douche et la suite.
Ce soir fut la soirée des premières, je ne sais comment ces idées sont venues à ma femme, elle est très inventive.
Nous avions déjà évoqué la sodomie, aussi ce ne fut pas trop une surprise. Mais les poils rasés, c’est aguicheur, coquin, et surtout pas habituel à l’époque comme cela semble l’être aujourd’hui.
Mais surtout, j’avoue que de la voir masturber son sexe épilé, les doigts dans sa fente inondée, m’a donné un énorme plaisir cérébral : une preuve d’amour et de confiance, elle se donne du plaisir, mais c’est aussi un cadeau qu’elle me fait, je trouverai cela toujours très émouvant.
De plus, dans les premières fois, le fait d’être attaché est troublant et frustrant, mais j’ai aimé.
Mais je lui ai rendu la pareille peu de temps après. Elle était devant la bibliothèque quand je me suis approché d’elle avec un foulard, lui ai attrapé les poignets et lié les mains derrière le dos. Elle se retourne, toujours avec un sourire, mais beaucoup d’interrogations dans les yeux, que vais-je faire d’elle ainsi, debout ? Je la repousse un peu, pour qu’elle puisse appuyer ses fesses sur la bibliothèque.
Elle porte une robe légère et printanière, toute fleurie, qui va du cou presque jusqu’aux genoux. Elle est tellement belle ainsi. La robe ferme sur le devant, par une rangée de petits boutons, de la taille de boutons de chemise. Il y en a quinze ou vingt, je ne sais plus. Elle a bien compris que je vais la manger, mais ne sais pas comment, on voit qu’elle en frissonne d’avance, elle a un peu la chair de poule sur les bras.
J’attaque par le haut, mais uniquement avec les lèvres et les dents, les mains dans le dos. Avec les premiers boutons, j’en profite pour un baiser passionné, des grignotages d’oreille, des bisous dans le cou. C’est un peu laborieux au début, mais si on s’y prend délicatement avec les dents, on attrape le bord du tissu et en tirant et tournant doucement le bouton se dégage. Il faut un peu de patience, ça prend du temps.
J’arrive très vite au haut de ses seins, que je commence à couvrir de baisers. Je continue lentement, à l’embrasser et à lécher entre chaque bouton.
Arrivé à hauteur de son nombril, toujours avec les dents, j’écarte les pans de sa robe pour dégager un sein. Je le lèche mordille déguste, son mamelon est dur et dressé. Elle a la bouche entrouverte, la respiration sifflante, toute frustrée d’être impuissante et de subir mes outrages, comme moi j’avais souffert il y a quelques jours. Je n’aurai pas de pitié.
Je continue par le bas, toujours sans les mains, à hauteur des genoux, c’est un peu acrobatique. En remontant, je lui embrasse et mordille les cuisses, qu’elle a très sensibles. Elle essaie de pousser son bassin vers l’avant pour appuyer son pubis sur ma tête et essayer de se masturber sur mon crâne, mais je me recule et ne la laisse pas faire.
Il n’y a plus que quatre ou cinq boutons qui restent, entre le nombril et son entrejambe. Elle est au comble de l’excitation, haletante, suppliant « salaud, prends-moi, je veux ta queue dans mon con, encule-moi, mets des doigts dans mon con, toute la main, FAIS-MOI JOUIR », elle qui est toujours très réservée dans son langage, c’est la première fois qu’elle m’apostrophe ainsi.
Je crois que les deux derniers boutons ont peut-être un peu souffert, mais enfin la robe s’écarte, il ne lui reste que sa culotte, je l’enlève aussi avec les dents, elle est tellement trempée qu’on pourrait l’essorer.
Elle secoue ses épaules pour faire glisser sa robe sur ses mains toujours liées dans le dos. Nous nous faisons face, nus et tremblants, excités et terriblement amoureux.
Je m’avance pour la libérer, mais elle fait un pas en avant pour se ficher brutalement d’un grand coup ma queue horizontale dans son con. Elle pousse un grand cri pour son premier orgasme.
Elle m’a presque jeté à terre, et de nouveau s’empale sur ma verge. Elle se démène d’avant en arrière, frottant son clitoris sur mes poils. Je réussis à lui libérer les mains, elle m’agrippe pour s’enfoncer plus profondément sur moi, me griffe le thorax, me fait de violents suçons dans le cou.
Elle jouit trois ou quatre fois, puis s’écroule sur moi, épuisée, presque inconsciente, et me chuchote :
Bien entendu, nous avons quand même fait d’autres folies, et en plus, depuis ce jour, lorsqu’elle a ma queue dans son con ou son cul, elle parle et m’invective.