n° 22352 | Fiche technique | 10640 caractères | 10640 1887 Temps de lecture estimé : 8 mn |
25/03/24 |
Présentation: Bien que ma femme se dise réservée et pudique, elle prend parfois des initiatives et apprécie de faire l’amour hors de notre chambre : piscine, chambres d’hôtel, voiture… | ||||
Résumé: L’été est propice à des petits débordements. Récit d’une belle surprise, en extérieur. | ||||
Critères: fh jardin magasin noculotte lingerie chaussures caresses pénétratio | ||||
Auteur : Aramis2531 Envoi mini-message |
En ce beau jour de début d’été post-confinement, ma femme choisit de porter cette belle robe droite, dans les tons jaune-orange avec des petits papillons dessinés. J’aime quand elle la porte. Elle lui va bien au teint, elle est longue, lui laissant les chevilles visibles et surtout met en évidence ses épaules nues. Mais elle ne lui permet pas de porter de soutien-gorge : tant mieux ! Ses seins ronds et encore fermes sont tout à la fois libres et délicieusement comprimés dans cette robe bustier avec de fines bretelles.
Deux ans auparavant, elle s’était acheté un ensemble slip avec soutien-gorge « nude » ou couleur chair, à très fines résilles ! Ce sont vraiment des bouts de tissus qui ne cachent pas grand-chose et même qui donnent l’impression de ne rien porter tout en sculptant le corps ; ce sont des « pousses aux câlins coquins » et j’ai été agréablement surpris qu’elle se soit laissé si facilement convaincre de l’achat de cette parure très sexy qu’elle met très régulièrement dès que les beaux jours arrivent.
Ainsi donc, en ce jour ensoleillé, alors qu’elle avait passé sa robe jaune à motifs papillons, seins nus dessous, j’ai pensé qu’elle avait aussi enfilé la culotte nude à fines résilles qui ne cache rien, mais qui moule son postérieur de belle façon. Posé sur la commode, le slip avait disparu ce matin.
Je suis assez émoustillé de la savoir ainsi vêtue en ce jour de repos, je recherche son contact furtivement, je lui souris… je me sens un peu gamin. Nous mangeons sur la terrasse dehors, sous le soleil. Le bonheur.
En milieu d’après-midi, alors que j’attendais qu’elle me propose une séance de massage ou une baignade coquine, désormais libérée du fameux confinement, elle souhaite faire un achat de plantes pour notre jardin. C’est peut-être partie remise au retour. Je suis me sens confirmé dans son intention en la voyant chausser ses sandales noires à talons, plus hauts que celles qu’elle porte d’habitude pour faire les courses. Je suis assez troublé de sa belle initiative et un « je te plais comme ça ? », un peu provocateur, me rend le plus satisfait des hommes.
Nous sommes donc partis faire nos achats dans ce grand magasin de vente de fleurs et de plantes, de nouveau ouvert au public. Dans la voiture je m’imagine lui demander d’enlever sa culotte avant d’entrer dans le magasin, petit fantasme récurent confié lors de nos ébats. Mais je ne lui dis rien, je sais qu’elle n’est pas prête à concrétiser ce désir. Le fantasme doit perdurer.
Je suis heureux d’être avec la femme que j’aime depuis si longtemps. Le temps est passé si vite. Nos enfants, nos voyages, les beaux moments avec elle, les belles images d’elle dans nos moments intimes, notre complicité amoureuse, nos valeurs communes, nos engagements… imprègnent ma mémoire. Et durant ces deux mois d’isolement forcé, même si elle a continué à travailler en extérieur, mais avec une activité réduite, alors que j’étais en télétravail, après les trois premières semaines un peu angoissantes, nous avons fait l’amour plus souvent, comme beaucoup d’autres, je suppose. Davantage présents à la maison, nous sommes sur une séquence amoureuse dense.
Nous faisons nos achats, elle devant moi avec sa belle robe, cambrée sur ses talons, son dos nu, à choisir les plantes et fleurs, et moi poussant le chariot, en short, tee-shirt et tennis, le slip un peu tendu par ma bite semi-molle… Je la contemple : elle est élégante, elle respire la féminité.
Perdu dans mes songes, je ne refuse rien à ses choix : je suis dans mon bonheur d’être avec elle.
Je paye en caisse et je réalise que je vais devoir planter tout cela !
Je ne sais pas si je lui parais plus amoureux, ou plus attentionné que d’habitude, ou pour me remercier de l’avoir accompagnée faire l’achat de toutes ces plantes, et alors que nous nous installons dans la voiture, je la vois, avant de mettre la ceinture de sécurité, soulever ses fesses du fauteuil, relever le bas de sa robe longue, remonter ses mains au niveau de l’élastique de la culotte et la tirer vers le bas. Elle forme une petite boule de tissu enroulé autour de l’une de ses chevilles.
J’en reste sans voix… mais je suis content… d’avoir deviné le slip qu’elle portait ! Je n’ai pas eu le temps de voir son petit minou. Sa robe lui couvre les jambes ; il ne faut pas exagérer !
Elle me dit de démarrer et de rentrer à la maison, interrompant ma surprise, car je reste scotché par son geste qui ne lui ressemble pas : nous sommes sur un parking de magasin, fréquenté par des personnes que nous croisons souvent… et le masque n’y change rien ! Je conduis dans un état second, la bite un peu plus dure. Je n’ose pas poser ma main sur sa cuisse gauche. Je n’ose pas tourner la tête. Pour éviter de lui paraître idiot, je parle des nombreux trous dans la terre ou dans le potager que je vais devoir faire…
J’ai ma femme qui est maintenant complètement nue sous sa robe longue à motif papillons, à côté de moi. Et je lui parle des trous que je vais faire dans le jardin.
En milieu de parcours sur le retour, je pose enfin ma main droite, mais un chut et une petite tape me font comprendre que je dois me montrer patient ! Nous n’avons plus trente ans pour faire l’amour dans la voiture. Un certain souvenir remonte…
La maison est enfin en vue et je gare la voiture dans notre cour. Nous sortons du véhicule et j’ai envie de faire durer ce rare plaisir de la laisser nue sous sa robe… Le slip à fine résille, qu’elle a ramassé, est dans sa main et elle me le donne avec un sourire qui dit « tu vois, je l’ai fait cette fois ». Je le mets dans la poche de mon short, il me paraît humide. Je sors du coffre, les pots, les dépose, et elle se dirige vers l’entrée en désactivant l’alarme avec son téléphone, mais c’est moi qui ai les clés. Alors, au lieu d’ouvrir la porte, de pénétrer dans la maison, de monter rapidement dans notre chambre, je la prends par la taille et doucement nous faisons le tour de la maison par notre terrasse…
Je lui dis que je la trouve formidable, qu’elle m’a impressionné, qu’elle est désirable, magnifique, que je suis heureux d’être avec elle. Je suis excité, à l’étroit dans mon slip, ma main posée au bas de son dos, marchant à ses côtés sur notre terrasse. La savoir nue sous sa robe met en branle mon imaginaire coquin.
Elle m’a déjà donné du plaisir en étant coquine, sans culotte sous sa robe, pendant quelques minutes, dans la voiture puis maintenant en extérieur chez nous. Une belle initiative de sa part que je sollicite quelques fois, dans nos confidences, et qu’elle m’a offerte cet après-midi, mais elle reste avare en mots, à son habitude. Mais je suis indécis, je n’ai pas envie de faire une erreur qui casserait ce beau moment. Prolonger cet instant érotique en la laissant nue sous sa robe encore quelques minutes, pour me maintenir dans ce désir déjà jouissif ? Ou bien vite profiter de sa disponibilité que je pense déceler, maintenant ?
Car dans ma tête se mélangent tant de pensées ! Je ne lui dis pas que j’ai envie de lui remonter la robe pour la culbuter sur la table de la terrasse, après une bonne minette à genou, sous sa robe… je ne veux pas la brusquer ; nous sommes dehors, désormais sous notre terrasse couverte, cachés des regards involontaires par la végétation d’été ou par les claustras, mais pouvant entendre le passage des véhicules ou la voix des voisins dans leur jardin. C’est excitant. Comme lors de nos bains coquins, le soir… Tiens, en voilà une autre idée ; la véranda est ouverte et je pourrais la prendre par la main, la déshabiller et nous plonger dans le spa… mais il est trop tôt, le réchauffeur ne se met en route qu’en fin de journée. Ou bien alors l’entraîner dans notre piscine couverte, mais son accès est plus exposé à la vue et aucune serviette n’est à proximité pour s’envelopper après le bain forcément coquin et sans maillot…
Je la prends dans mes bras, la serre fort… et je l’embrasse doucement sur la bouche. Nos langues se trouvent, se mélangent, c’est un baiser qui amène au sexe. Je pose mes mains sur ses hanches puis sur son cul, je sens la fermeté de ses fesses et sa peau nue dessous le tissu… Je sais qu’elle est excitée quand elle m’embrasse ainsi. J’ai envie d’elle, mon sexe grossit contre son ventre : ce sera pour maintenant.
Notre baiser dure. Je malaxe ses fesses, elle est à une bonne hauteur avec ses hauts talons, j’ai envie de remonter sa robe pour les découvrir et les exposer à la chaleur du soleil, puis dévoiler son sexe que j’imagine déjà humide. Enlacée à moi, elle bouge, elle essaie de se déplacer. Peut-être préfère-t-elle rentrer maintenant que nous sommes bien chauffés ? Aller dans notre lit, ou sur le canapé du salon ? Non, c’est une autre envie qu’elle éprouve, aujourd’hui.
Elle se déplace encore, m’entraînant, car toujours collés l’un à l’autre par la bouche, pour s’approcher de la table de la terrasse. Elle défait ma braguette, me baisse le short puis le slip et je me retrouve le sexe dressé à l’air. Elle pose ses doigts sur mon gland et doit le juger assez dur. Elle tire une chaise et me demande de m’asseoir. Elle vient vers moi, relève sa robe, se tourne et me présente son cul. Elle cherche mon sexe avec sa main gauche, s’en saisit et le présente à l’entrée de son minou. Je rentre dans son abricot tout humide.
C’est divin.
Elle s’empale doucement sur mon sexe, sa robe relevée sur les hanches, ses seins nus sous la robe… dehors sur notre terrasse.
Je sens son sexe s’ouvrir et mon gland la pénétrer de plus en plus. Ses fesses, brusquement, touchent mes cuisses, je suis entièrement en elle. Je me contrôle pour ne pas éjaculer. Elle ne bouge plus, savourant ce moment. Je lui fais des bisous dans le dos. Je lui abaisse les bretelles pour libérer complètement ses seins. Je lui caresse le dessous de ses mamelons, puis les pétris plus fort, et viens pincer ses bouts qu’elle a très sensibles.
Elle est enfoncée sur mon sexe, je sens sa mouille sur les cuisses. Elle commence de petits va-et-vient, décollant ses fesses de mon bas-ventre et s’affaissant le plus profondément possible, ses mains posées sur mes cuisses, les tétons triturés, en poussant de petits gémissements.
Je suis cul nu sur la chaise, dehors, en train de faire l’amour à ma femme la poitrine à l’air, qui a enlevé dans la voiture sa culotte sous sa robe à motifs papillons et nous jouissons ensemble, retenant nos cris de plaisir, elle se mordant la main et moi plaquant ma bouche sur son épaule.
Depuis ce jour, que nous évoquons et qui déclenche une montée de désir, quand ma femme revêt cette robe, elle la relève, me montre sa culotte et me dit qu’elle compte bien la garder : la surprise ne se reproduira pas… en tout cas avec cette robe !