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Temps de lecture estimé : 50 mn
04/04/24
Présentation:  Une histoire gentillette de vacances.
Résumé:  Le camping de l’Alouette porte assez mal son nom, puisqu’il est essentiellement composé de bungalows et de petits chalets construits en dur, et rares sont les tentes et les caravanes.
Critères:  fh extracon vacances amour fmast caresses cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Le camping de l’Alouette

Une histoire gentillette de vacances. Bonne lecture :-)



Télescopage



Le camping de l’Alouette porte assez mal son nom, puisqu’il est essentiellement composé de bungalows et de petits chalets construits en dur, et rares sont les tentes et les caravanes. Sans parler du fait que la plupart des vacanciers n’y ont jamais vu une seule alouette dans les parages, sauf celle du logo de ce complexe. L’ensemble est agencé autour d’une petite agora en pavés autour de laquelle on trouve divers commerces ainsi que l’administration, juste à côté de deux grands bassins dotés de toboggans fort prisés des enfants et des moins petits.


C’est dans ce camping devenu assez haut de gamme que Nadine et Robert ont l’habitude de venir passer leurs vacances d’été, accompagnés par leurs deux enfants qui sont toujours en vadrouille avec leurs copains et copines.



Robert est fier de toutes ces marques d’admiration envers son beau chalet qu’il bichonne depuis bien des années, ayant carrément acheté le bien, il y a presque dix ans. Ce qui ne l’empêche pas de devoir payer pour la location du terrain et les charges.



En réalité, ces démonstrations sonores et enthousiastes s’adressent plutôt à sa pulpeuse femme qui bronze devant le chalet. Blondinette bien en forme et en formes, plus proche de la quarantaine que de la trentaine, vêtue d’un bikini fort réduit, Nadine Massureau, née Galet, reste une femme très appétissante, même si elle est doublement mère.


Mais il ne semble pas que son nigaud de mari s’en rende compte, malgré ses efforts (à elle) pour susciter sa convoitise (à lui). La preuve par A plus B arrive dans la bouche de Robert :



Presque désespérée, Nadine murmure :



En elle-même, Nadine hurle intérieurement :



Aveugle aux charmes évidents de sa pourtant sexy épouse, Robert continue ses louanges envers le chalet. Soudain, Nadine se lève :



Exaspérée, munie d’une serviette, Nadine se dirige à grands pas vers la piscine. Ruminant des pensées peu amènes, elle ne fait pas attention à l’homme en chemisette qui survient sur sa droite, et fatalement, c’est le télescopage des deux corps !



Déséquilibrée, elle manque de choir au sol. Ayant de bons réflexes, l’inconnu la rattrape in extremis, mais sa main s’est plaquée à moitié sur un sein. Gentleman, l’homme déplace aussitôt cette main, puis remet d’aplomb Nadine sur ses deux pieds.



Nadine dévisage celui qui vient de l’empêcher de faire une rude connaissance avec le sol :



Flattée, Nadine minaude un peu :



Elle s’étonne de cette réponse :



Serrant fortement sa serviette qu’elle n’a pas lâchée, Nadine soupire :



Puis elle se ravise :



L’homme la scrute de haut en bas, puis de bas en haut :



Se souvenant du temps jadis où elle était choyée et dorlotée, elle soupire :



Le voisin des voisins s’amuse :



Claude s’incline légèrement, ce qui lui permet d’avoir une meilleure vue sur et dans le décolleté :



S’étant redressé, Claude allait répondre quelque chose de spirituel (si possible). C’est alors qu’une idée saugrenue germe dans son cerveau fertile. Il est vrai que c’est un homme habitué à cogiter et à s’adapter, même si ses collègues ont souvent la manie de s’enfoncer dans une routine ronronnante sur plusieurs décennies.




Proposition pas indécente



Son idée bien en tête, Claude se penche à nouveau vers sa voisine :



Avec un grand sourire, le nouveau venu annonce sa solution :



Apprenant ce degré de relation, Nadine ouvre de grands yeux étonnés :



Assez surprise par la tournure des événements, Nadine le jauge de haut en bas :



Malgré elle, Nadine rougit un peu :



Nadine rougit un peu plus :



Puis, pivotant sur lui-même, il lui tend son bras :



Égayée, Nadine se met à glousser :



Après une très brève hésitation, elle pose sa main sur le bras offert :



Tout en cheminant lentement vers les bassins, Claude se penche sur le visage de sa voisine :



Se tortillant sur place, ravie d’avoir à son bras un homme qui s’occupe galamment d’elle, Nadine minaude sans complexe :



Claude sourit :



L’homme s’incline légèrement :



Toujours accrochée au bras de son galant improvisé, la jeune femme réplique :



Nadine tapote sur le bras de son nouveau chevalier servant :



Son voisin répond de façon détournée et ludique :



Nadine le gronde un peu :



Toute guillerette, Nadine entraîne joyeusement son partenaire vers les bassins :



Assez surpris par cette question qui semble hors propos, l’homme s’étonne :



Arrivé près des bassins, Claude ôte sa chemise. Le matant sans vergogne, Nadine s’exclame :



Légèrement aguichée, Nadine s’approche pour mieux regarder l’anatomie de son voisin. Puis sans complexe, elle tâte un biceps :



Prestement, la jeune femme recule d’un pas :



Égayée, Nadine se contente de sourire. Elle songe fugacement que ce ne serait pas un mal si son Robert entretenait lui aussi un peu son corps. Avec un certain étonnement, elle constate au passage qu’elle ne se sent pas offusquée que Claude puisse à son tour la tâter…




Jeux d’eau



Barbotant dans le plus grand bassin, Nadine est positivement ravie d’avoir trouvé un homme cultivé qui lui fait des compliments et qui s’exprime de façon galante et parfois surannée, avec parfois divers sous-entendus. De son côté, Claude s’amuse beaucoup dans son rôle de chevalier servant.



Ils changent de place, car un groupe d’enfants vient d’arriver, ceux-ci s’ébattent un peu trop juste à côté d’eux, les éclaboussant très souvent. Nadine et Clause se trouvent un endroit plus tranquille. La jeune femme s’arrime au rebord du bassin. Essayant de ne pas être trop ostensible, Claude admire les deux seins qui flottent et qui oscillent au gré de l’eau qui remue.



Sans lâcher du regard les deux flotteurs du désir, Claude fait la moue :



Regardant à présent le visage de son interlocutrice, Claude s’en amuse :



Désireuse de faire voir qu’elle ne se conforme pas au stéréotype de la blonde sans cerveau, Nadine fait voir qu’elle a conservé de bons souvenirs de ses études :



Claude ne répond pas, il s’éloigne un peu en nageant, puis revient vers Nadine, son visage exactement dans l’axe de la poitrine fort intéressante. Arrivé près de la jeune femme, il s’offre le luxe de la frôler par inadvertance. Nadine ne proteste pas. A-t-elle vraiment cru que c’était par accident ? Peu importe, Claude a confirmation que ses seins sont très doux.


Nadine relate pourquoi elle était assez furieuse quand ils se sont rencontrés. Après avoir entendu ces explications, Claude est très étonné :



Claude se penche sur sa voisine :



Assez flattée, Nadine met sa main devant sa bouche :



Nadine se met à sourire étrangement :



Ludique, Claude ne répond pas tout de suite :



Nadine compatit :



Claude se penche sur sa voisine :



Ils barbotent dans l’eau encore quelques minutes, puis Claude propose à Nadine d’aller boire un verre en sa compagnie. Celle-ci accepte avec joie.




Cocktail



Assise au bar, en train de déguster son cocktail, Nadine demande :



Ayant reposé son verre, Claude expose sa vision des choses :



Jouant avec la paille de son cocktail, Nadine s’étonne franchement :



Nadine ouvre de grands yeux ronds :



Elle préfère ne rien répondre, se focalisant sur le cocktail qu’elle est en train de boire. C’est Claude qui propose, une fois qu’elle a fini son verre :



Nadine hésite. Elle apprécie la compagnie d’un homme qui lui propose de mettre en place une expérience assez insolite. Oui, elle essaye de ranimer la flamme de son mari, mais elle n’avait pas du tout songé ce genre de proposition. D’ailleurs, elle pensait se débrouiller toute seule.


Tandis que la jeune femme continue à siroter son cocktail afin de masquer son trouble et de retarder sa prise de décision, Claude s’enhardit :



Nadine n’est pas très rassurée, mais elle accepte néanmoins que son nouveau chevalier servant fasse le chemin avec elle jusqu’au chalet. Robert est toujours dehors, en train de fignoler certains détails. Il ne montre aucun étonnement en voyant sa femme revenir accompagnée.


D’une voix pas très affirmée, Nadine explique :



Déstabilisée, Nadine pense très fort :



Affichant un large sourire, Claude tend la main :



Les deux hommes se serrent virilement la main. Claude lance d’un ton désinvolte :



Sans l’ombre d’une hésitation, se tournant vers sa femme, Robert répond :



Nadine ouvre des yeux ronds comme des soucoupes. Elle ne s’attendait pas à cette réponse. De son côté, Claude se frotte les mains. Tout ceci va dans le bon sens, du moins pour lui.




Apéritif



Comme Claude a eu la permission du mari, il vient souvent s’occuper de Nadine. Celle-ci est partagée entre deux attitudes : elle est désolée du manque flagrant de jalousie de la part de Robert, mais elle est très contente qu’un homme bien de sa personne la drague d’une façon un peu surannée.


Claude s’amuse souvent avec des doubles sens, mais sans dépasser une certaine limite. Nadine minaude souvent, n’étant pas dupe que son nouveau chevalier servant louche souvent sur ses appas. Un petit jeu un peu étrange se met en place doucement, sans que les règles n’aient été explicitement indiquées.


Ce midi, Nadine, Robert et Claude prennent ensemble l’apéritif devant le chalet du couple. Comme il faut trouver un autre sujet que le temps radieux qu’il fait actuellement, et aussi éviter des échappées politiques ou sportives, la jeune femme demande à son invité :



S’amusant avec les glaçons flottant dans son verre, Robert écoute, il n’intervient pas. Soucieuse d’en savoir plus, sa femme questionne :



Délaissant son verre, Robert intervient :



Aussitôt, Nadine se met à glousser. Robert est perplexe :



Sa femme répond à la place de Claude :



Visiblement, les deux hommes s’entendent bien. Nadine se demande comment réagirait son époux s’il savait que Claude a visiblement des vues sur elle, bien qu’il se comporte en tout bien et tout honneur. Du moins pour l’instant.


En tout cas, Robert ne voit aucun inconvénient à ce que Claude et Nadine se divertissent ensemble, allant à la plage, en ville et ailleurs. La jeune femme se demande si elle n’a pas été parachutée dans un univers parallèle comme on en décrit dans les romans de science-fiction ou les films. Peut-être que la chaleur et l’ambiance des vacances ramollissent le cerveau de son mari !




Plage à trois



Cette fois-ci, Nadine, Robert et Claude sont à la plage, le mari ayant daigné les accompagner. La jeune femme bénéficie d’un soleil pas trop ardent pour bronzer, puisque le ciel est légèrement nuageux. Bien entendu, Claude en profite pour la zieuter, mais pas trop ostensiblement, car le mari est présent. S’étant un peu éloignés, les deux hommes discutent tout en déambulant au hasard, la conversation devient lentement plus triviale. Robert ayant abordé un certain sujet, Claude y va de son petit cours, déformation professionnelle :



Claude tourne la tête vers la droite :



Robert est assez incrédule :



Claude se lance dans une explication :



Claude se lance dans une explication circonstanciée :



Le professeur annonce la triste vérité :



Robert a un petit geste de dédain :



Robert se sent un peu dépassé :



Claude se met à sourire :



Claude regarde fugacement Nadine actuellement allongée sur le ventre, exhibant un splendide popotin, une belle chaudasse qui s’ignore, songe-t-il. Depuis qu’ils discutent, les deux hommes ont tourné inconsciemment autour de Nadine. Cette constatation amuse le pseudo-amant. Néanmoins, il poursuit sur sa lancée :



Claude tend le bras vers Nadine qui est passée entretemps de la position pile à la position face.



Interloqué, Claude marque une petite pause, se disant en lui : mais quel con, ce type ! Puis, il décide de changer de style de jeu :



À moitié navré, Claude se répète en lui : mais quel con, ce type ! Il continue néanmoins sur sa lancée :



Le mari écarte les bras comme pour embrasser tout le rivage :



Claude cligne fugacement des yeux :



Robert ouvre de grands yeux stupéfaits :



Le mari de Nadine ricane :



Claude joue franc jeu :



Pour la première fois, Nadine se manifeste :



Elle s’assied sur sa serviette :



S’approchant d’elle, Claude propose galamment :



Avant que Nadine ne réponde, son mari s’étonne :



Nadine se met aussitôt à rougir. En revanche, Robert ne semble pas avoir compris l’allusion. Faisant la moue, il enchaîne :



Quelques secondes plus tard, Nadine et Claude ont de l’eau jusqu’au cou, s’étant accroupis dans la mer. La jeune femme dégaine en premier :



De l’eau toujours jusqu’au cou, Claude s’approche un peu d’elle :



Nadine se met à rire franchement :



Se relevant à moitié, d’un petit geste brusque, Nadine envoie un peu d’eau vers Claude :



Nadine houspille gentiment son vis-à-vis :



Claude commence à tourner autour de sa blonde voisine :



Il s’approche très près de Nadine :



Néanmoins, quelques instants plus tard, visiblement en confiance, Nadine est en train de flotter, allongée, bercée par quelques vagues, la main de Claude au niveau de ses reins. La jeune femme songe alors :



Puis elle ferme les yeux, un peu étonnée de se laisser aller ainsi avec un quasi-inconnu. Quelque temps après, elle notifie à son chevalier servant qu’elle aimerait changer de position :



Il capture sa taille à deux mains, et la maintient tandis que ses pieds touchent à nouveau le sol, ou plutôt le sable. Claude sourit :



Puis il dépose un furtif bisou sur les lèvres de la jeune femme. Celle-ci ne s’offusque pas, bien qu’elle rougisse un peu. Durant les minutes qui suivent, Claude semble avoir oublié le baiser qu’il a donné, il agit comme s’il ne s’était rien passé, ce qui arrange Nadine qui flotte un peu sur ce qu’elle doit penser de tout ça.


Sans doute une façon de jouer avec elle, pense-t-elle…




Le pari



Alors qu’il est en train de faire ses commissions dans le petit supermarché du camping, Claude tombe nez à nez avec l’époux aveugle (aux charmes) de Nadine, venu lui aussi remplir son panier. Dans le magasin, les deux hommes parlent d’un peu de tout, puis Robert demande :



Ajoutant un paquet de café dans son panier, Robert sourit :



Tout en examinant la composition d’une soupe en sachet, Claude répond sans détour :



Robert hausse les épaules :



Déformation professionnelle obligeant, Claude explique :



Intrigué, Claude tourne la tête pour découvrir une jeune femme en bikini, assez avantagée par Dame Nature. De plus, on ne peut pas dire qu’il y ait beaucoup de tissu pour l’habiller, c’est surtout de la ficelle. Il se dit qu’il aimerait bien voir ce que cette tenue donnerait sur Nadine.


Subjugué, hypnotisé, Robert n’arrive pas à détacher son regard de la jeune femme qui déambule à quelques mètres sans le voir. Sa mâchoire en tomberait presque au sol, comme le Loup de Tex Avery, ce qui amuse beaucoup Claude.



Robert reprend petit à petit ses esprits, puis il lâche :



Profitant d’une ouverture, très ludique à sa façon, Claude propose alors à Robert :



Claude sent que Robert est ferré au bout de sa ligne. Il y a moyen de faire avancer les choses, si possible dans le bon sens, c’est-à-dire le sien. Il annonce la couleur :



Goguenard, Robert croise les bras :



Robert s’inquiète un peu :



Le mari de Nadine s’étonne franchement :



Mains sur les hanches, Robert répond :



Le silence s’installe entre les deux hommes, puis Claude tend sa main vers Robert :



Claude pose sa main sur l’épaule de Robert :



Les deux hommes retournent vers le chalet où Nadine se trouve. C’est Claude qui lui explique avec des mots choisis la teneur du pari qu’ils viennent de faire. Assez éberluée par ce qu’elle vient d’entendre, la jeune femme s’exclame :



Robert intervient :



Amusé, Claude est songeur :



Le mari de Nadine s’esclaffe :



Claude affiche un petit sourire. Ce genre de réflexion va dans le bon sens pour lui. La preuve arrive aussitôt avec Nadine qui rétorque, un peu vexée :



Puis elle est intriguée par l’expression de satisfaction qu’affiche maintenant Claude. Elle réalise alors que celui-ci l’a entraînée là où il voulait, ce qui la fait frissonner. Mais en même temps, elle éprouve une sensation étrange dans son bas-ventre.




Non-stop



Ayant manœuvré comme il fallait, Claude a obtenu que Nadine soit encore plus souvent avec lui, sans devoir révéler pourquoi et où. Le lendemain matin du pari, alors qu’il vient chercher sa complice, il explique calmement à nouveau au mari qui veut en savoir plus :



Chemin faisant, Claude explique les grandes lignes de son idée à Nadine. Après avoir affiché une certaine surprise, celle-ci lâche :



Nadine fait remarquer :



La jeune femme tergiverse :



Devant l’expression contrite de Nadine, ayant rapidement évalué le pour et le contre, Claude concède rapidement :



Chacun part de son côté, se faisant un petit signe de la main.




Répétition



L’accord des organisateurs a été donné, Claude n’en doutait pas. Il a mis au point avec le fils des gérants du camping diverses modalités quant aux répétitions et pour la mise en scène finale lors de la fameuse soirée.


Nadine et Claude sont justement en train de répéter leur deuxième fois. Nadine vient de faire une rapide démonstration. Puis elle s’arrête, s’asseyant auprès de Claude, pour souffler un coup et boire dans sa petite bouteille. Ensuite, elle demande :



Claude répond flegmatiquement :



Claude plonge sa main dans le sac posé sur la table. Il en ressort une boîte ronde qui ressemble à un pot de peinture :



Pot en main, Claude désigne la poitrine de la jeune femme :



Claude peint le creux de la poitrine de Nadine, juste entre les deux monts. Il en profite pour remonter à droite et à gauche sur chaque sein. Puis il colle une sorte de petit bouchon sur le côté droit.



En attendant que ce soit totalement sec, il renforce la base du bouchon afin que celui-ci adhère au mieux sur l’épiderme de la jeune femme.



Nadine obéit, faisant osciller à tout va sa poitrine, un spectacle dont profite avec plaisir Claude. Malgré les déhanchements et autres balancements, le bouchon reste rivé. Claude dit alors :



Sans attendre la réponse de Nadine, il commence à retirer lentement le film plastique. Quelques secondes plus tard, celui-ci est décollé de la peau de la jeune femme. Claude demande :



Joignant le geste à la parole, Claude se penche sur la poitrine puis dépose un baiser appuyé entre les deux seins. Voyant que Nadine ne s’offusque pas, l’homme s’enhardit de plus en plus, déposant d’autres baisers de plus en plus fougueux et appuyés.


Entraînée dans un tourbillon, les yeux fermés, Nadine se laisse faire. Ça va faire trop longtemps qu’un homme ne l’a pas désirée de la sorte, elle pense qu’elle peut se laisser un peu aller, tout en évitant que ça ne dérape pas trop.


Or justement, il semble que le feu brûle beaucoup plus que prévu. Nadine proteste mollement :



Claude ne répond pas, il est trop occupé à embrasser chaque centimètre carré de la peau dénudée de Nadine, et à laisser courir ses mains partout sur ses courbes avenantes. De son côté, bien que sa bouche dise non, le reste de son corps si féminin se moule à celui de l’homme.


Devant cette ardeur, le haut du bikini ne résiste pas bien longtemps, révélant deux appétissants fruits que Claude s’empresse de dévorer comme il se doit. Nadine tombe littéralement en pâmoison sous cette incandescente attaque de sa blonde personne.



Sans bien comprendre ce qui lui arrive, Nadine se retrouve propulsée dans une petite loge chiche meublée d’un petit bureau, d’un siège à roulette, avec au mur un grand miroir entouré de lampes et sur le côté réside un canapé à trois places. Couchée sur le dos, Nadine subit un véritable assaut de baisers brûlants sur tout son corps à présent dénudé, sans oublier des mains avides qui désirent tout savoir d’elle.


Claude se focalise à présent sur le pubis de Nadine, ce qui la fait vibrer d’une façon accoutumée pour elle. Puis sans vergogne, sa langue s’introduit dans la fente déjà humide pour commencer un cunnilinctus de première catégorie. La jeune femme n’en revient pas que ça lui fasse tant d’effets ! Oui, d’habitude, c’est souvent bon, voire très bon, mais pas à ce point. Elle se dit que Claude est soit un bon amant, ou soit le type d’homme qui lui est complémentaire. Ou les deux à la fois.



La tête de Claude entre ses cuisses, Nadine se met à jouir comme une petite folle. Elle a la nette impression que sa chatte est devenue une source jaillissante, une cascade qui n’en finit pas de couler. Elle décolle vers d’autres cieux, si beaux, si bleus, si… tellement…



Elle flotte, comme éparpillée en mille gouttes d’eau en suspension qui capturent les rayons du soleil pour devenir un ciel rempli de plein d’arcs-en-ciel. Puis lentement, elle redescend vers le sol.


C’est alors qu’elle sent Claude s’introduire en elle, la prendre, la posséder, vautré sur son corps, sur ses seins qu’il écrase à présent. Elle se sent envahie, heureuse de le sentir en elle, d’être sienne. Leurs cris se mélangent, leurs corps ruissellent, leurs sueurs se fusionnent.


C’est sans remords qu’elle sent qu’il jaillit en elle, qu’il la remplit, tandis qu’ils décollent tous les deux, loin, très loin au-delà des nuages et des étoiles.


Par deux fois ensuite, ils retournent se perdre ensemble dans l’infini…


Les autres répétitions prévues pour la fameuse soirée sont des prétextes pour que les deux amants se fassent une joie de se découvrir encore plus intimement. Malgré un mari et deux enfants, Nadine n’éprouve aucun remords…


Pas même celui d’être à chaque fois envahie par le sperme de Claude, et de déborder ensuite.




La soirée du mercredi



Ce soir, il y a foule sur l’agora, face à la scène où déambulent ou se déhanchent diverses jeunes femmes, sous les acclamations joyeuses et souvent admiratives. Pas besoin d’applaudimètre, il suffit de mesurer le niveau sonore quand une jeune femme fait sa prestation devant une majorité de regards masculins.


Certaines d’entre elles ont soit le sens de l’humour ou soit une absence totale d’amour propre, ce qui faire rire l’assemblée massée au pied de la scène. L’ambiance reste bon enfant et festive.


Tandis que trois accessoiristes tendent soigneusement un grand drap blanc derrière lui, le jeune présentateur de la soirée, qui est au passage le fils des gérants, vient annoncer au public toujours massé sur l’agora la suite des festivités :



Robert se tourne vers Claude :



Une musique plutôt hindoue s’élève dans les airs, mais les personnes présentes ne chicanent pas sur ce point de détail, car apparaît en ombre chinoise une femme dansante qui a visiblement tout ce qu’il faut là où il faut, même si on ne distingue aucun détail précis. Après un bref instant de silence, le public se déchaîne, félicitant l’audace de la danseuse qui ne semble pas porter le moindre vêtement sur elle.


À la fois subjugué et un peu inquiet, Robert demande à son voisin :



Illico, Claude se penche à l’oreille de Robert :



Claude se redresse, continuant à contempler le spectacle qu’il connaît déjà, puisqu’il en est à l’origine. Mais il est flagrant que Nadine se lâche. Autour d’eux, des hommes de tous les âges sifflent d’admiration, lancent des encouragements plus ou moins lestes. Droit devant lui, Robert continue de regarder l’ombre chinoise qui se déhanche lascivement sur l’écran blanc. Quelques secondes plus tard, il murmure entre ses dents :



Amusé, Claude se penche sur Robert :



Robert ne dit rien, il est tout songeur. Le spectacle continue encore quelques instants, puis il s’achève sous les applaudissements et les vivats. La foule des spectateurs est déchaînée, et réclame des bis. Le présentateur a beaucoup de mal à faire revenir le calme.


Claude tape sur l’épaule de Robert qui n’en revient toujours pas :



Toujours songeur, Robert emboîte le pas à Claude.




Fin de séjour



Les jours suivants, Robert constate que sa femme a effectivement du succès auprès de la gent masculine, il y a même parfois divers attroupements devant le chalet. Il a bel et bien perdu son pari, c’est évident. Mais il n’arrive toujours pas à réaliser la nouvelle situation. Chronothérapeute dans l’âme, Robert se dit que tout reviendra à la normale quand les vacances seront finies et qu’ils seront loin d’ici. Et l’année prochaine, tout sera oublié quand ils seront de retour.


De son côté, Claude est à la fois satisfait et enquiquiné : sa maîtresse est devenue le point de mire du camping, ce qui ne facilite pas les tête-à-tête. Il se dit qu’il n’aurait peut-être pas dû se lancer dans ce pari. Oui, Nadine est enfin reconnue, mais maintenant, il y a de la concurrence et surtout des inopportuns !


Avec un certain étonnement amusé, Nadine constate qu’elle est devenue le centre de gravité des regards masculins, ce qui la flatte et l’embête en même temps. Le but était initialement de réveiller son mari et non tous les époux du camping ! De plus, Claude et elle ne peuvent plus bavarder comme avant. Bref, cette soirée fut finalement une fausse bonne idée !


Deux jours plus tard, assez excédé par cette nouvelle situation qu’il ne contrôle pas et qui ne l’avantage pas, Claude prend les choses en main, il a trop envie d’un tête-à-tête avec Nadine. De ce fait, il lui envoie un SMS assez anodin :



Comprenant le message sous-jacent, Nadine répond favorablement. Elle revêt une petite robe seyante sur son bikini, en espérant aller quand même sur la plage. Trois minutes plus tard, Claude se présente devant son chalet. Elle est tout heureuse de le voir, et lui aussi semble manifestement heureux de la voir. Mais sur le chemin qui mène à la petite agora du camping, divers hommes les accompagnent, bien décidés à contempler de plus près la fameuse attraction de mercredi.


Ces hommes les suivent même dans le petit magasin. Nadine est inquiète, mais Claude reste serein, discutant de tout et de rien. Soudain, il désigne une petite porte :



Claude ne répond pas à sa question, il regarde autour de lui : il n’y a plus personne. Alors il emmène de force la jeune femme dans la réserve, puis il pousse le verrou derrière lui. Assez bousculée, celle-ci s’exclame :



Claude ne répond pas, il embrasse fébrilement Nadine qui répond ardemment à son baiser. Quelques instants plus tard, leurs lèvres se dessoudent :



Claude se rue à nouveau sur Nadine, l’embrassant avec fièvre, sans attendre une seule seconde de plus. Pareillement au précédent baiser, Nadine répond avec ferveur à la passion de son nouvel admirateur. Elle proteste faiblement quand son amant essaye visiblement de la déshabiller :



À la fois inquiète et ravie, la jeune femme tremble un peu. Juste le temps pour Claude de la dévêtir complètement, puis d’embrasser voracement son cou, ses seins, ses seins et son pubis, ses mains fébriles caressant son corps nu offert à sa convoitise.


Sans trop de préliminaires, Claude pénètre fougueusement sa nouvelle maîtresse qui l’accepte bien volontiers en elle. Peu après, sous effet du manque, les deux amants jouissent furieusement en très peu de temps.


Nadine se repose de son envolée, mais son amant semble en vouloir beaucoup plus.



Toujours captive dans les puissants bras de Claude, Nadine se laisse câliner. Elle aime qu’on s’occupe d’elle ainsi, et elle a du temps à rattraper. Dommage que Robert ait oublié ses fondamentaux, malgré le fait qu’elle tente très souvent de rallumer la flamme, mais peut-être que le bois est devenu trop humide avec le temps qui passe.


Elle est tirée de ses cogitations par la voix de son amant :



Nadine marque une petite pause avant de répondre :



Bien qu’un peu émue, Nadine plaisante :



Son amant l’embrasse très possessivement. Elle se laisse aller à ce baiser très exigeant. Claude possède diverses facettes, certaines sont visiblement plus dominatrices. Elle est néanmoins assez troublée par ce que vient de lui avouer son amant de l’été. Sans doute a-t-il parlé sous le coup de l’émotion et du désir. Mais ça fait plaisir à entendre d’être désirée ainsi.


Quand leurs lèvres se séparent, Nadine constate une étrange lueur dans les yeux de Claude. Très vite, elle comprend pourquoi quand celui-ci annonce :



Quelques instants plus tard, Nadine se retrouve allongée sur le dos, ses jambes bien en l’air, tandis que Claude est en train de taquiner de la langue son petit trou interdit. C’est une pratique qui ne lui dit trop rien. D’ailleurs, Robert n’a jamais été trop fan. Mais Claude semble mettre du cœur à l’ouvrage, barbouillant de salive sa cuvette ourlée, et déjà, elle ressent en elle des choses étranges, des frissons interdits qu’elle ne déteste pas.



Obéissante, Nadine commence à s’activer autour de sa fente puis dedans. Durant ce temps, écartant les fesses, Claude dégage un petit trou pour mieux m’exposer à sa convoitise. Peu après, un gland bien ferme vient cogner à l’entrée qui s’évase un peu.



Enfoncé au tiers, Claude prend le relais, s’occupant maintenant du clitoris largement accessible dans son écrin de pétales de roses. Depuis le temps qu’il en rêvait, il est à présent dans la place, bien décidé à aller jusqu’au bout. Posséder ainsi la femme qu’on désire est un summum, pense-t-il, mais il convient d’y aller doucement dans un premier temps.


Ravie, Nadine murmure :



En écho, Claude lui répond :



Et il continue sa lente progression, alternant légers retraits et fortes avancées, sa main toujours en train de taquiner un bouton rose fort sensible. Le temps semble suspendu, les deux corps fusionnant doucement, mais fermement.



La verge est maintenant complètement enfoncée et compressée dans les sombres profondeurs intimes. Heureux d’être arrivé au but, Claude regarde droit dans les yeux son amante :



Claude sourit :



Puis il commence un lent mouvement de va-et-vient dans l’étroit conduit, tout en masturbant la fente offerte et dégoulinante. Sous cette double attaque, Nadine ferme les yeux, savourant le fait d’être presque doublement prise et offerte à un homme qui la désire.


Yeux clos, elle savoure l’étrange joie d’être sodomisée, de s’abandonner de la sorte, sans remords, sans crainte, naturellement. Le sexe, c’est aussi une question de bonhomme, songe-t-elle. C’est dingue, Claude pourrait presque me faire faire n’importe quoi !


C’est alors qu’elle jouit, toujours pistonnée par une verge qui la fourrage. Au-dessus d’elle, son amant se laisse aller. Avant de décoller complètement, elle se plaît à imaginer l’inondation dont son rectum est l’objet. Une déferlante toute blanche dans un endroit si sombre !


Un énorme feu d’artifice explose en elle. Incandescente, une puissante fusée perce le ciel…


Puis arrive le firmament, avec ses nuages et ses étoiles…


Un long voile blanc cotonneux et tiède, si apaisant…


Puis la vacuité…


Nihil…


Récupérant de cette forte démonstration de son amant qui est toujours rivé en elle, comme si elle le retenait, fesses bien serrées, Nadine le regarde à la fois tendrement et intriguée :



À cet aveu, l’homme se penche aussitôt sur sa voisine :



Chose que Claude se fait un plaisir de démontrer aussitôt avec ferveur, une fois de plus.

Non, deux fois de plus.




Toutes les choses ont une fin



Puis quelques jours plus tard, il a fallu que chacun rentre chez soi, les vacances étant terminées. Avec une sérénité de façade, Claude dit au revoir à Nadine et son époux. De son côté, la jeune femme fait plus ou moins bonne figure. Quant à Robert, il ne voit rien, et ce n’est pas plus mal.


Assez nostalgique, Nadine songe qu’elle aura au moins vécu un bel été, même si ce fut nettement trop court. Aurait-elle dû ne pas céder ? Non, elle ne regrette pas d’avoir été l’objet de la passion d’un homme qu’elle n’aurait pas détesté avoir comme époux, mais le destin en a décidé autrement.


Claude se demande de son côté s’il n’a pas commis une erreur en courtisant de trop près Nadine. Oui, il a pu l’avoir à lui, pour lui, ce qui fut extra, mais trop éphémère. Maintenant qu’il a pu goûter à la femme de Robert, il en redemande, et il est carrément en manque. Peut-être qu’il n’aurait pas dû franchir le Rubicon…


Quant à Robert, il se dit que ce fut des vacances fort reposantes, avec quand même une sacrée surprise lors de ce fameux mercredi soir. Claude avait un peu raison de dire que Nadine était l’un des plus beaux accessoires de décoration de son chalet. Vaut mieux faire envie que pitié, n’est-ce pas ?




Après les vacances



De retour au bureau, Nadine soupire abondamment : les vacances sont terminées, et son énorme flirt avec Claude aussi. Elle a demandé à son amant d’éviter de lui envoyer des messages compromettants, car, comme elle « oublie » souvent son téléphone un peu partout, n’importe qui serait tenté de lire ses SMS. Idem pour les mails, car tout le monde à la maison possède son mot de passe, et ça semblerait étrange qu’elle en change subitement. De plus, tête en l’air comme elle est, Nadine pourrait facilement laisser son ordinateur ouvert sur une messagerie doté d’un autre mail plus intime.


Et puis, ça aide à mieux tourner la page…


Néanmoins, malgré ces restrictions, Claude lui a déjà téléphoné deux fois au boulot. Il est resté très allusif, souvent dans le double sens, permettant ainsi à Nadine de dialoguer avec lui comme si de rien n’était, même s’il y avait du monde autour d’elle.


La jeune femme se pose franchement la question de s’offrir un smartphone privé, dont personne n’aurait le numéro, sauf Claude, bien sûr. Car leurs conversations, sa voix, sa façon d’être lui manquent. Mais hélas, la parenthèse enchantée des vacances est bel et bien refermée. D’ailleurs, est-ce une bonne idée que de tenter de maintenir le contact ?


Ça risque de lui faire plus de mal que de bien.


Elle regarde sa montre : dans un quart d’heure, on va lui présenter un nouveau conseiller historique parachuté par la haute direction du siège central. Étonnée par cette nouvelle quand elle l’avait apprise, elle avait demandé à son directeur de publication :



Elle regarde à nouveau sa montre. Soudain, la porte de son bureau s’ouvre, son directeur entre en compagnie d’un homme. Les deux personnes font face à Nadine restée assise de saisissement :



La jeune femme reste toujours figée sur place. De son côté, le nouvel arrivant fait visiblement semblant de ne pas la connaître :



Son amant lui serre longuement la main :



Nadine n’en revient toujours pas : son Claude est devant elle. Une fois le directeur de publication parti et la porte refermée, le nouveau venu se rue carrément sur la jeune femme pour la capturer fougueusement dans ses bras :



Intriguée et heureuse, Nadine dévisage l’homme qui la tient serrée contre lui :



Claude penche sa tête vers Nadine :



Pour toute réponse, Claude l’embrasse, elle répond impétueusement à son baiser. Quelques instants plus tard, quand leurs lèvres se séparent, le nouveau venu dit :



Frissonnant d’aise, Nadine proteste faussement :



Puis, il l’embrasse à nouveau ardemment. Nadine en fait de même, se collant sensuellement contre lui. Leur baiser dure longtemps.


Tandis qu’ils reprennent leur souffle, Claude murmure à l’oreille de Nadine :



Tendant à nouveau ses lèvres, Nadine se dit que sa vie va devenir nettement plus pimentée !