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n° 22365Fiche technique20529 caractères20529
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Temps de lecture estimé : 15 mn
05/04/24
Présentation:  Un texte écrit l’année passée, en me mettant encore dans sa tête, posé sur le lit un matin en partant travailler, quelques semaines après le séjour. Il peut encore y avoir du désir même après plusieurs décennies de vie commune.
Résumé:  Dans un hôtel de luxe où nous nous lâchons.
Critères:  fh couple piscine hotel douche fmast fsodo jouet
Auteur : Aramis2531            Envoi mini-message
Un court mais intense séjour alsacien.

Nous nous sommes offert un séjour d’une nuit dans un luxueux hôtel en Alsace offrant des services de massage, de spa et autres moyens de détente et relaxation…


Nous sommes toujours très motivés par les chambres d’hôtel ! Mais avec un tel cadre et une ambiance particulière, le site internet de l’établissement laissait présager que ce petit séjour serait un bon moment dans notre vie de couple : douche italienne, grand lit, un repas étoilé et surtout des services de soins et détente. Très disposée à profiter au maximum de ce petit séjour, j’avais réservé, sans en parler à mon mari, un supplément en réservant un créneau de l’espace bain privé.


Je suis partie amusée par la surprise que j’avais programmée. Connaissant mon coquin chéri, je savais que de son côté il essaierait aussi de profiter de ce court moment de détente à deux. Je n’ai pas été déçue, ce que nous avons vécu en ce lieu, fut parmi nos meilleures parties de sexe jusqu’alors.

Arrivés en milieu d’après-midi, après avoir perçu notre chambre au grand lit et la salle de bain spacieuse, conforme à nos espoirs, nous allons d’abord dans la piscine extérieure pour nous remettre du voyage, mais il fait un peu frais en extérieur et nous préférerons utiliser le sauna. Nous ne sommes pas seuls, mais nous apprécions ce moment de relaxation durant dix bonnes minutes. Nous décidons ensuite d’essayer le spa. Nous sommes surpris, il y a plusieurs bassins, dans la pièce. Entrant dans une vaste salle en maillots, les peignoirs aux bras, nous découvrons deux autres couples chacun dans un bassin… les remous empêchant de voir clairement les corps.


Mon homme et moi pénétrons dans le dernier bassin libre à quelques mètres des autres. Mon coquin de mari, après quelques minutes, commence à poser sa main contre ma cuisse : « Le lit XXL et la douche italienne me donnent des idées pour ce soir », me dit-il. Je lui souris en lui disant de rester sage, nous ne sommes pas seuls.


Quelques minutes plus tard, il me chuchote à l’oreille ce qu’il imagine que la femme d’un des couples doit faire sous l’eau. De profil, dans la bonne quarantaine tous les deux, nous ne voyons rien, mais on peut facilement deviner, à la position que le couple a prise de ce qui se passe sous l’eau. Pendant son récit où il me décrit une branlette qu’elle lui prodigue, il me caresse l’intérieur de la cuisse, frôle ma culotte de maillot, mais n’ose pas aller plus loin. Je suis un peu émoustillée, mais je me domine, posant simplement ma main sur la sienne pour lui signifier de ne pas aller plus loin. Se toucher en public n’est pas mon truc. Mon chéri devra attendre ce soir.


Quelques instants après, le couple quitte les lieux et c’est deux corps qui émergent de l’eau du spa et qui lentement se couvrent de leur peignoir. J’ai juste le temps d’apercevoir que le maillot de monsieur fait une bosse… Mon chéri me chuchote qu’ils vont certainement baiser avant d’arriver dans leur chambre, dans le couloir ou l’ascenseur… quel rêveur !


Après ce moment un peu déstabilisant pour moi, qui nous prouve que certains n’ont pas froid aux yeux, nous regagnons notre chambre. Mon homme est mi-excité, il m’embrasse, me serre contre lui… mais nous n’avons pas le temps pour batifoler, car nous avons réservé le repas assez tôt.

Je me fais belle, je mets un body donc sans culotte, des bas stay-up noirs fins. Une robe sexy noire arrivant juste au-dessus du genou et mes belles bottines noires à talons fins. Je vois bien au regard et au sourire qu’il pose sur moi qu’il apprécie mes efforts de séduction et d’audace, car la robe est plutôt courte. De son côté, il porte avec élégance son costume noir. Il a dû mettre son string, car cela fait partie de nos conventions : sans culotte pour moi, string pour lui.


Le repas de qualité est cependant en deçà de nos attentes, mais le cadre du restaurant est absolument splendide, chaque table est un peu isolée et le service de grande classe. Nous allons assez souvent au restaurant tous les deux, nous apprécions les plats bien cuisinés, l’imagination culinaire et la bonne chère !


Nous buvons un peu… Nous n’avons pas de voiture à prendre. Je lui apprends que le lendemain j’ai une réservation en matinée d’une heure quinze pour un instant privilégié, dans une salle équipée d’une salle de massage, et d’une piscine saturée d’eau salée. Flottaison assurée, sensations certainement particulières. Je suis sûr que mon mari va apprécier, lui qui aime nos jeux aquatiques. Le lieu est privé et en plus d’une heure, il peut s’en passer des choses…


Durant le repas, mon homme m’a un peu chauffée me rappelant mon absence de culotte, la présence de mes bas, le moment de voyeurisme involontaire du spa, et se réjouit de la réservation surprise du lendemain. Je regarde autour de moi, personne ne semble faire attention à nous et je constate vite que les couples, les femmes ayant fait des efforts de séduction vestimentaire évidents, sont en ce lieu de villégiature, pour les mêmes raisons que nous : passer du bon temps à deux. Des couples de tout âge.


C’est un peu pompette, mais encore assez lucide, que je regagne notre chambre, accrochée à son bras. Est-ce le vin excellent, le lieu, la séance du spa, le repas aux mets fins et bien préparés, la discussion que nous avons eue récemment où il m’a rappelé l’importance pour lui des préliminaires et de sentir mon désir pour pouvoir provoquer chez lui de belles érections, je décide de me lâcher un peu : je vais offrir un petit show à mon mari pour l’exciter et pour me donner un peu de plaisir également. Je savais qu’il emporterait comme à chaque déplacement, notre trousse de sex-toys. Je décide donc de prendre l’initiative, cet endroit m’émoustille.


À peine entré dans la chambre, il m’enlace, mais je lui demande de s’asseoir sur le fauteuil et de ne plus bouger. J’ai ôté ma robe lascivement en tortillant du cul face à lui, puis en me retournant, histoire de lui montrer que je vais innover un peu ce soir. Avec mon body et mes bas, toujours chaussée de mes bottines à talons, je lui demande où il a mis la pochette à sex-toys.


Très surpris, il me montre la poche supérieure de la valise. Je m’en saisis, et ouvre la fermeture éclair. Je découvre son choix : le coquin ! Je prends le godemichet rose, celui que nous avions acheté à Nice. Je me mets à plat dos sur le dessus-de-lit à fleurs, le postérieur tourné vers lui et je commence à jouer avec ce vibromasseur. Je le promène sur mon clito et ma fente, sans enlever mon body durant une minute. Puis je décide d’ouvrir les agrafes, et mon sexe mouillé lui apparaît. Mais ce soir, j’ose jouer à la coquine, des barrières sautent : quelques lectures chaudes me reviennent en tête. Je présente le sex-toy à l’entrée de mon sexe. Puis l’enfonce un peu progressivement. J’offre à mon mari le spectacle de ma chatte écartée par l’objet en plastique. Je saisis un autre sex-toy, j’avais laissé le « sac à jouets » ouvert sur le grand lit. Le petit gode fin, celui qu’il me réserve en menace pour me le fourrer dans le cul, pendant nos coïts, pour nous exciter et qu’il puisse jouir en pensant à moi en double pénétration. Eh bien, il va être servi mon coquin. Je me place sur le côté, le prends de l’autre main, pour le promener sur mon petit trou. Mais je ne veux pas me pénétrer le cul. Je frotte sa pointe fine le long de ma raie et entre mes fesses pendant que je poursuis un mouvement de va-et-vient dans la chatte avec l’autre jouet plus gros. Je mouille, je gémis, je m’offre complètement en spectacle à mon chéri, l’oubliant presque. Il est toujours assis dans ce fauteuil, il ne se masturbe pas, mais il a ouvert la braguette et se caresse la verge du bout des doigts, par-dessus le tissu de son slip tendu.

Je n’ai pas pu me retenir, je me suis fait jouir plus par l’imaginaire que par le plaisir des sex-toys. Mon homme reste sans voix, ne m’ayant jamais vu ainsi, exposer mon plaisir de cette façon, seule, sans ses mains, sans son sexe, sans sa bouche. Je vois alors qu’il se lève, baisse son pantalon, puis son string sur les chevilles et son sexe se dresse d’excitation, il n’a pas joui, ne s’est pas caressé vigoureusement comme je le voulais, sans le dire cependant. Alors, je m’approche du fauteuil et me mets à quatre pattes pour le sucer, pratique que je fais rarement. Je n’ai eu qu’à entrouvrir la bouche pour qu’il comprenne et me fourre sa large queue. Je le dévore, je lèche son gland et lui masse les couilles. Il me tient la tête.

Je sens son plaisir monter, il m’encourage. Mais j’ai gardé le petit gode dans la main. J’ai une envie que j’ai fantasmée quelques fois, quand lui me menaçait ! Toujours avec son sexe en bouche, je présente la pointe du gode à son petit trou. Un petit recul, il est surpris, mais ne se dérobe pas : je ne l’enfonce pas, la menace suffit aussi, et je perçois la montée de sève, mais je me retire et lui présente mes seins pour qu’il éjacule dessus.

Il pointe sa bite entre mes seins et jouit intensément.

Il me relève, m’embrasse tendrement.


Il me présente un mouchoir pour m’essuyer, mais nous sommes épuisés par l’ivresse du vin et du plaisir, nous nous laverons demain et nous nous endormons, à peine déshabillés, l’un contre l’autre…


C’est le réveil de son portable qui met fin à une bonne nuit réparatrice : nous souhaitons profiter du copieux petit déjeuner avant la séquence de bain flottant du matin qui devrait être le point d’orgue de notre séjour.


Ce matin, mon amour présente une belle érection de jeune homme : quel rêve coquin a-t-il fait ? Va-t-il me le raconter pour nous exciter, avant de me faire l’amour ? Non, il se lève et file direction la salle de bain. Va-t-il revenir ? Non ! Il reste dans la salle d’eau… Mon homme ne profite pas de ma quasi-disponibilité et de sa forme matinale. Ainsi, nous nous douchons l’un après l’autre, notre excitation redescend, implicitement nous gardons nos forces. Nous nous habillons légèrement et allons prendre notre petit déjeuner dans une salle spacieuse où déambulent plusieurs couples qui ont dû aussi faire quelques folies cette nuit.


À 10 h, nous avons la pièce de « flotarium » pour nous deux. On nous demande de venir en ce lieu en peignoir. Changement de style et je n’ai pas bien vu ce que mon coquin de mari a sorti de la trousse à jouets et qu’il a glissé furtivement dans la poche de son peignoir.


Nous avons 1 h 15, et la jeune employée nous propose avant une bougie à l’huile parfumée. Elle nous quitte avec un sourire complice… mon homme tire le verrou.

La salle est spacieuse, en lumière tamisée, avec une table de massage et au milieu de la pièce un grand lit, avec des serviettes propres. La piscine est illuminée, la décoration en mosaïques est somptueuse.


Nous quittons nos peignoirs et nos maillots. Nous sommes nus, tous les deux dans un lieu qui a vu beaucoup de couples passer un bon moment de détente ou de plaisir.

Je décide de commencer par le masser avec l’huile chaude. Avant de venir en ce lieu, je lui avais rasé le buste et les épaules, le pubis. Il se met sur le ventre nu et je commence le massage du dos, des jambes… et de ses fesses que j’adore. Je me sens d’humeur joyeuse, détendue, j’ai envie d’être audacieuse… Je poursuis mon massage, insistant sur ses deux globes, passant mes pouces dans sa raie…


Mais après quelques minutes seulement, alors que j’allais attaquer l’autre face et m’occuper de son sexe, il me demande de changer : il veut me masser, et dans son esprit c’est reprendre le contrôle. Il se lève, je vois son sexe bien bandé.

Il me demande de me mettre sur le dos d’abord et il commence par mes jambes, puis le ventre, il effleure mes seins sans insister. J’ai l’habitude de ses massages… je retrouve mon désir de ce matin.

Il me fait me retourner, me voici sur le ventre, mes seins écrasés. Il entreprend alors son protocole de massage, en commençant par les épaules, puis les jambes, puis le dos, le flanc, et enfin les fesses. Ses doigts se font insistants. Mais c’est sa voix qui m’excite le plus, car il me décrit ce que j’ai fait hier soir. Il commence par « Tu as été très coquine hier soir, avec ton cul nu sous ton body et ta robe avec tes bas » puis « Après tu as été vraiment salope quand tu t’es godée puis que tu m’as pompé ». Cela m’émoustille vraiment et mon sexe s’humidifie. Il devient plus intrusif quand il évoque son plaisir sur mes seins, en regrettant de ne pas avoir éjaculé dans ma bouche. Il commence à me doigter furtivement, et je me sens couler. Le coquin. Je vais à la rencontre de son doigt, ma chatte s’ouvre aussi.

J’essaie de m’emparer de son sexe, je l’effleure, je sens qu’il bande, mais il se dérobe ; il me dit qu’il a envie de moi, mais qu’il va me prendre dans la piscine. Je lui réponds qu’il peut faire ce qu’il veut. Il continue son massage très appuyé en me séparant les fesses, me dit des choses très crues. « Tu mérites… une récompense pour ton comportement de salope ».

Il me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il a pris la vaseline et il enfonce fermement son pouce dans mon cul. Je me laisse faire. Ma chatte coule, mon cul s’ouvre avec son pouce lubrifié qui me perfore. Avec son autre main, il continue son massage dans le bas du dos durant quelques minutes.

J’ondule mon bassin, je suis bien. Il me demande de me retenir, de garder mon plaisir.


Je ressens un vide quand il le sort. Puis il me prend la main, me lève de la table de massage, et nous nous dirigeons vers l’escalier de la piscine. J’aperçois sa queue bien dure, il a mis son anneau pénien qu’il devait avoir caché dans sa poche, avec le tube de vaseline. J’ai les seins qui sont durs et je suis excitée. L’eau nous rafraîchit à peine, le niveau est au buste. La flottaison est impressionnante, car l’eau est saturée et l’effet est particulier.

De légers remous agitent la surface. Nous sommes très proches l’un de l’autre, face à face, savourant cette expérience.

Il me retourne contre le bord, je pose mes mains sur la margelle, je sens son sexe raide comme ma raie. Il va faire ce que je crois ! Il positionne son gland contre ma corolle et me dit encore des mots très crus à l’oreille : « Tu la sens ma grosse bite » Cela m’excite de le sentir si viril. Il touche mes seins ; les bouts sont douloureux, mais il se retient de les pincer fort, car il sait que je craque souvent alors par ce traitement.


Alors que je m’attends à son assaut, il me retourne contre lui, me sert fort contre son torse, mes seins s’écrasent contre son buste, sa peau caresse mes pointes, ses mains sont sur mes fesses et il les écarte. Je sens sa queue qui se frotte contre mon clitoris et ma vulve. Elle cherche un chemin, mais je sais ce qu’il veut. Dans notre piscine, il m’a souvent dit qu’il me prendrait un jour de la façon qu’il envisage aujourd’hui et que nous allons réaliser ce jour !

« Tu as envie d’être une salope aujourd’hui ? »

Il s’excite tout seul… mais cela m’entraîne aussi.


Il me dit alors qu’il va m’enculer maintenant. Je ne réponds toujours pas, je l’embrasse à pleine bouche. Qui ne dit mot consent ! Il me soulève facilement, la flottaison donne des possibilités extraordinaires, supérieure à nos jeux aquatiques dans notre piscine. Mes jambes remontent haut serrées dans son dos, la position est très acrobatique, mais la poussée d’Archimède m’aide. Je suis accrochée à son cou, j’ai la chatte presque à hauteur de son nombril et je sens son gros gland viser mon cul. Il me pousse légèrement, et sa bite, qu’il a du bien lubrifier, arrive à me pénétrer de quelques centimètres. Je suis incroyablement détendue, je me sens m’ouvrir, dans une position qui me permet de lui donner ma bouche à dévorer.

Il s’enfonce doucement. Putain qu’il est large ! Ses mains sur mes hanches me poussent. Je m’enfonce, et il entre entièrement dans mon cul. Je sens son pubis contre mon minou. J’ai les jambes levées comme rarement, je m’accroche à son cou comme à une bouée de sauvetage, j’ai les seins qui sont tendus et douloureux. C’est lui qui me porte, mais il ne fatigue pas, l’eau compensant complètement mon poids. Je suis empalée sur sa bite. Il me tient les fesses et me demande de me toucher le clitoris, mais je ne peux pas me décrocher de son cou, j’ai peur de tomber et de basculer dans l’eau. Alors il continue à me dévorer la bouche, je me masturbe le cul en bougeant un peu sur sa bite, en me soulevant. Il me sodomise ou plutôt je me sodomise, il me dit qu’il va jouir dans mon cul. Que je suis une salope, une enculée, son enculée.

Je sens son foutre jaillir dans mon cul, et je crie aussi de plaisir : les mots, le lieu, la position… ont été plus puissants que de longs va-et-vient… Il me retient fort contre lui, s’enfonce dans l’eau pour avoir nos épaules recouvertes par l’eau chaude. Je suis vannée, sa bite reste encore dure, je reste empalée. J’ai l’impression que nous restons longtemps ainsi, sa bite dans mon cul que je sens se ramollir enfin et c’est la sonnerie d’un de nos téléphones qui nous fait réagir. Nous n’avons plus que quinze minutes dans ce lieu. Il se dégage de mon cul avec regret, me déclarant qu’il aurait voulu s’endormir ainsi.


Quelques brasses pour profiter encore de cette piscine, puis nous sortons ruisselants d’eau salée. Nous allons dans la vaste douche, on se savonne, se touche, son cockring toujours enlaçant ses bourses, il n’a pas encore entrepris de le retirer. Il me saisit par la taille et m’embrasse encore, me remercie pour le plaisir qu’il a pris. J’ai encore des frissons de désirs, je l’embrasse et il perçoit mon émoi et un désir renaissant. Il me retouche les fesses, me caresse les flancs, me retourne, plaque son buste contre mon dos et pose ses mains sur mes seins. Il sait que je vais repartir s’il les caresse.

Il rebande après avoir joui il y a moins d’une demi-heure, je sens sa bite re-durcir, et il me la représente encore sur mon anus. Je n’arrive pas à me refuser à lui. Aujourd’hui, je me sens vraiment salope.

Je n’ai pas peur et sans effort il s’enfonce encore. Mon cul est bien dilaté par la sodomie précédente, dans la piscine. Le salaud, il m’encule encore, son foutre lâché dans mon cul il y a quelques minutes est un bon lubrifiant. Ses propos, dits une autre fois en pleine excitation, que « la seconde fois est meilleure », me reviennent. Cela m’échauffe, je vais au-devant de ces coups de reins. Je suis complètement excitée. Je me sens en dehors de mon corps, j’en oublie le temps. Il commence à accélérer ses coups de boutoir en me prenant par les hanches Je plaque mes mains contre le mur de la douche face à moi pendant qu’il continue de me baiser fort.

Puis, il sort de mon cul et frotte vigoureusement sa queue sur mes fesses puis dans ma raie, sans jouir, les bourses sont vidées. Il me pince les seins et je crie mon plaisir pour la troisième fois en 24 h !

Je me retourne, je l’embrasse goulûment, je touche sa bite comme pour la féliciter et nous finissons très rapidement de nous doucher pour nous nettoyer.


Nous avons juste le temps d’enfiler nos peignoirs, que la jeune employée frappe à la porte.

Mon mari libère le verrou, elle entre et son regard me touche : elle sait que nous avons baisé, pas fait l’amour, oui baisé. Je me sens fière de moi, je ne baisse pas les yeux. Et oui, mademoiselle, on baise encore à nos âges.

Nous emportons le reste de la bougie parfumée.

Dans l’ascenseur, nous sommes silencieux, on se tient par la main, mais en sortant, il me glisse à l’oreille un « je t’aime et je te remercie pour ce moment inoubliable de plaisir et de complicité ».


Dans notre chambre, nous refaisons notre valise, car nous devons quitter la chambre dans l’heure qui suit.

Mais avant de rentrer, nous avons un rituel à respecter. Sur la route du retour, nous nous arrêtons dans une de ces belles petites villes alsaciennes, où je m’offre une belle paire de chaussures argentées à brides autour de la cheville, et un beau chemisier bleu clair en soie. Quand je porterai ces chaussures ou ce chemisier, nous l’associerons à ce moment.


On s’offre un petit restaurant, puis direction la maison.

Dans la voiture, passagère, se laissant conduire, nous ne parlons pas de ce que nous avons fait. J’ai du mal à exprimer cela à chaud, il le sait : nous l’évoquerons dans un moment d’excitation commun, en intimité, ou quand je choisirai de porter la paire de chaussures ou le chemisier acheté.


Je songe aussi que d’ici quelques jours, je découvrirai un long texte décrivant notre court, mais intense séjour dans cet hôtel 5 étoiles de cette belle région d’Alsace que nous aimons tant, texte qui ira rejoindre tous ceux que mon chéri m’a écrits depuis tant d’années et qui témoignent de la passion et l’amour que nous avons l’un pour l’autre.