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n° 22378Fiche technique14196 caractères14196
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Temps de lecture estimé : 10 mn
10/04/24
Résumé:  Une piscine municipale, un peu de voyeurisme et puis LA rencontre.
Critères:  fh inconnu grosseins piscine exhib caresses fellation cunnilingu hdanus exercice
Auteur : Bigdaddy  (Juste un écriteur de mots plus ou moins doux.)      Envoi mini-message
Barbara

Il est des lois qui sont implacables. Celle de la gravité, par exemple, en est une fameuse.

Mais ne négligeons pas celle du tissu de maillot de bain qui devient transparent une fois mouillé.

Je suis rarement du côté des flics, mais cette loi est ma préférée. Et quel bonheur que quelques demoiselles l’ignorent ou feignent de l’ignorer !


J’étais, ce jour-là, l’œil à l’affût, à moitié immergé, car accroupi dans l’eau tiède et sur-chlorée du petit bassin de la piscine municipale. Adossé au rebord, je scrutais les corps féminins, tous d’une grâce singulière, tous à demi nus, qui virevolteraient autour de moi. Dans l’eau comme à la surface. Tant de fesses comme de belles pommes dans lesquelles j’aurais aimé tant mordre. Tant de seins de toutes formes et toutes tailles, que l’on devinait plus ou moins bien et que j’aurais tant voulu caresser des mains comme de la langue.

J’étais là. Sur le chemin de toutes celles qui passeraient par là pour plonger, doucettement, par le faible dénivelé, vers les vagues du tourbillon où l’on s’amusait à affronter le courant.


Une demoiselle, peut-être de 18 ans à peine, sortait du pédiluve. Déjà humide de la douche obligatoire de pré-baignade, elle marchait comme on danse vers l’ondée municipale. Mais ce n’est pas cela qui me subjugua. Même si la blancheur de sa peau n’avait d’égal que celle de son maillot qui semblait si petit. Bien que de dos, elle fut encore sublime. Sa culotte recouvrait sa fesse droite tandis que la gauche exposait toute sa rondeur. Le voile de tissu censé la couvrir avait fui dans l’interstice menu qui fendait ces deux astres ronds et diaphanes (sans doute par manque de courage de n’être que pâle tissu face à tant de beauté). Non, ce n’était pas cela qui acheva de me renverser le cœur.

Lorsque la princesse, car tant de charme ne peut émaner que d’une royale personne, eut été tout entière, accroupie dans l’eau, pour s’acclimater à la température et en rejaillit tout de go, c’est là que les étoiles s’allumèrent dans mes yeux.


La loi avait fait son devoir. Voilà que le blanc de son maillot devenait translucide. La brune, car c’en était une, m’offrit alors le plus charmant des spectacles. Le rose de ses tétons apparaissait nettement. Comme deux boutons de rose au sommet de merveilleuses collines. J’en devinais presque le goût du tissu qui ne les couvraient plus vraiment tant l’envie de les croquer m’était grande. Et que dire de cette vision de rêve, ce morceau de roi de son anatomie ?! Ces deux lèvres rebondies, délicates, surmontées d’une touffe noire de poils pubiens, criaient toute sa féminité. Comme j’eusse aimé glisser ma langue dans cette fente soyeuse. Bénies soient ces minutes, si furtives, mais qui restèrent gravées dans ma mémoire…

Mais la belle ne tarda pas à rejoindre d’autres poissons, et s’effaça de mon horizon.


Après avoir retenu une érection, je décidais de cesser de jouer aux requins et de faire quelques vraies longueurs dans le vrai bassin.


L’eau y était plus froide. Ce qui aida grandement à réduire la taille de mon pénis un peu trop gonflé…

N’étant pas chaud pour l’hypothermie, je commençais à faire des longueurs.

Au bout de quelques allers-retours, et par bonheur, je réalisai qu’une donzelle, la vingtaine, en faisait autant dans la ligne d’eau voisine.

À force de regards échangés, un petit jeu tacite s’instaura entre nous. On faisait un peu la course. Au début, le jeu n’était pas franc. Je sentais bien qu’elle accélérait quand j’arrivais dans son sillage et même qu’elle semblait m’attendre quand elle arrivait au bord. Ce n’est qu’à force de regards plus appuyés que je compris qu’elle me défiait. Et quel plaisir de plonger dans ses yeux bleus ! Bien plus intense que le bleu de la piscine. Je n’aurais pas été contre me noyer dedans.


Son visage était doux. Ce n’était pas une beauté de cinéma, ni un mannequin de magazine, mais une fille ordinaire. Une beauté simple. Pas parfaite. D’ailleurs, on devinait aisément une chair un peu plus ample que les critères standards des médias et que certains imbéciles appliquent au pied de la lettre. Ces crétins l’auraient appelée vilaine. Mais la beauté féminine se cache dans les courbes. Et un peu plus de rondeurs, n’est-ce donc pas un peu plus de beauté ? Et ce visage délicat serti de ces deux billes bleues ne méritait absolument aucun mépris.


Bref, je la dévisageais de plus en plus. Le bonnet trop serré et un peu idiot qui ornait sa coiffe laissait échapper quelques mèches brunes. Sa bouche aux lèvres roses et pulpeuses m’inspirait l’envie d’y poser dessus la mienne pour une sorte de baiser.

En attendant, je m’essoufflais à la suivre.


N’étant pas de taille et jugeant que la déconvenue avait assez duré, je décidai d’abandonner la partie. Comme la miss ne causait guère, n’attendant rien d’elle, je décidai de retourner au premier bassin voir si d’autres transparences y faisaient surface.


Je retrouvais mes positons en reprenant le guet de la tendre chair.


Cette fois, rien de bandant. Non pas qu’il n’y avait pas matière à bander, mais la magie n’y était pas. J’observais quelques instants un type dont la taille de la bite était insolente. Le bougre le savait pour la mettre autant en évidence dans un moule burnes des plus serré. Je sais la douceur d’une queue. Il est même très agréable d’en tenir une sous ses doigts. La faire glisser dans sa main procure un vrai plaisir, mais la sienne ne m’inspirait que de la vantardise et donc du mépris.


Tout à coup, tournant la tête, voilà que je me figeai devant ce corps bien en chair, féminin, engoncé qu’il était dans son maillot une pièce gris. Deux gros seins aux tétons pointaient leur regard sur moi. Ils bougeaient à peine, coincés qu’ils étaient dans ce carcan imperméable.


Hypnotisé, je ne réalisais pas totalement la scène. Elle allait d’un pas rapide, trop rapide pour ma contemplation. D’ailleurs, l’ange faisait déjà son apparition dans l’eau, cachant avec pudeur ainsi son corps que je n’avais pas fini de voir. Mais quelle surprise de constater qu’elle venait de se poser à côté de moi ! Et quel ravissement que de voir qu’il s’agissait de ma compétitrice de nageuse !


De près, son bonnet était toujours aussi con et ses yeux toujours aussi fascinants. Elle me regardait vraiment. Et voilà même qu’elle osa faire raisonner à mon endroit sa voix suave. Elle me fit remarquer que l’eau était bien plus chaude ici. Ce à quoi je répondis, sans talent, qu’effectivement c’était très agréable. Au fur et à mesure de banalités échangées, je ne sus qui d’elle ou de moi avait bougé en premier. Mais voilà que nous étions bien plus proches à présent. J’avais l’honneur de sentir sa peau. Épaule contre épaule. Cuisse contre cuisse. C’est tout mon côté droit qui s’enflammait à son contact.


Ma main droite jusque-là posée au-dessus de mon genou, en fin de cuisse. Sur l’extérieur. Naturellement, venait caresser, même sans le vouloir, ce même coin de peau de sa jambe gauche. Quand j’en pris conscience, il me fut impossible de résister à l’envie d’explorer, tout entière, cette cuisse offerte. D’abord, le geste félin, j’exécutais d’imperceptibles massages circulaires comme une caresse déguisée. Au cas où la belle se serait offusquée de trop d’audace. J’aurais ainsi pu nier la chose. Mais je sentis bien vite que cela ne la dérangeait pas. Au contraire, son étreinte se fit plus douce encore. Si bien que j’osai remonter plus franchement jusque sur le haut de sa cuisse avec lenteur et légèreté, ce qui lui déclencha, je le sentis à sa chair de poule, un frisson.


Alors que le haut de nos corps faisait semblant d’être sage, anodin, le bas commençait à s’enflammer, à devenir canaille.

Il n’était pas simple de faire semblant de tenir une conversation futile alors que nos mains se faisaient plus intimes.

Par mimétisme, elle suivait sur ma jambe le même chemin de sa main que la mienne parcourait sur la sienne. Montant, montant toujours plus haut. Basculant, basculant toujours plus à l’intérieur de sa cuisse. Mon annulaire venait frôler sa vulve tandis que le sien venait frôler mes boules. Nous y étions. Nous franchissions tendrement la ligne rouge et je n’allais pas, cette fois, m’essouffler de sitôt.


Là, je bandais grave. Quelques « apnéistes » devaient se rincer l’œil. Les autres n’en savaient rien.

On nous tournait autour. Même des enfants se jetaient dans l’eau en nous éclaboussant, mais peu importe. Nous étions seuls à cet instant. Tous deux exploraient le sexe de l’autre à travers les maillots. Nous ne voulions attirer l’attention de personne et encore moins des maîtres-nageurs qui nous auraient virés à coup sûr. Le rouge aux joues, elle écartait ses cuisses pour me faciliter l’accès à sa chatte lisse que je découvris en m’immisçant sous son maillot pendant qu’elle faisait jaillir ma queue en dehors du mien et entre ces doigts.


Cette masturbation commune ne pouvait trop durer. J’aime à montrer ma queue même à des inconnu(e)s, mais l’endroit n’était pas approprié.

Quelques regards devaient rester innocents. Et d’autres, jaloux, auraient pu nous occire. Alors, elle me souffla à l’oreille de la rejoindre dans la cabine 16.


Elle lâcha ma queue, et sortit de l’eau en se hissant sur le bord. La vue de son cul ne m’incitait pas à débander. Je lui laissai un peu d’avance pour ne pas éveiller les soupçons des gardiens de l’eau. Puis, une fois qu’elle avait disparu dans les vestiaires, je sortis à mon tour en hâte, me précipitant sur ma serviette afin de m’en ceindre la taille et masquer mon érectile émotion.


Il me parut long, le chemin jusqu’à la cabine 16 ! J’avais même commencé à mollir à cause du froid qui caressait mon torse nu et des quelques vigiles en maillot de bain qui traînaient çà et là.


C’était une boîte jaune cette cabine. La dernière de sa rangée. La porte était close. Je toquai par politesse et celle-ci s’ouvrit. Une main me happa. La petite amazone m’attendait nue. Ces formes convexes me firent instantanément bander. Me débarrassant de ce maillot devenu trop serré, je me jetai sur la divine demoiselle, me pressant contre elle afin de sentir ses seins lourds s’écraser sur moi et ma queue dure sur son bas ventre.

Pleines de fougue, nos bouches se collèrent et nos langues s’entremêlèrent tandis que nos doigts cherchaient à tâtons des trésors de chair.


Sa poitrine superbe, douce et ferme, débordante de ma main, roulait sous mes doigts. Mon pouce tournait autour de ses tétons durcis et, les frôlant de temps en temps, provoquait chez ma partenaire un soupir à chaque fois.

Son souffle de plaisir envahit ma bouche lorsque je titillai son clitoris et enfonçai un doigt dans sa chatte chaude et très humide.


Elle me repoussa un instant. Non pas qu’elle se refusait, mais au contraire, pour mieux s’offrir. Elle se mit à genoux et glissa de sa langue tout le long de ma queue raide. Trois larges coups de langue, de la base du pénis jusqu’au-dessus du gland. Tournoyants. Humides. Elle finit par m’avaler. Je voyais avec extase ma bite s’enfoncer dans sa bouche. Aller et venir. Tandis que sa main droite tenait ma queue, sa gauche malaxait mes boules. La petite savait y faire en matière de pipe. Je fermais les yeux pour ne point trop en voir. Je ne voulais pas jouir trop vite. Bien que je rêvais à cet instant d’inonder sa bouche de mon sperme.

Puis elle se détacha de mon phallus pour remonter jusque sur la langue, en me léchant. Je pouvais goûter ma queue à sa salive.


Puis elle redescendit sur mes tétons. Les rôles s’inversaient. La voilà dominante. Elle me mordillait tendrement le sein gauche entre quelques tours de langue autour de mon aréole. Je frémissais. Sa main gauche caressait ma queue tandis que la droite s’en prenait à mes fesses. Puis, à mon tour, de reprendre le dessus. À mon tour de m’agenouiller. Elle : un pied sur le petit banc qui servait usuellement à se changer. Moi : ma langue dans sa fente tournoyait sur son clito, plongeait dans son vagin. Je buvais littéralement sa chaude mouille qu’elle m’envoyait par saccades. À chaque contraction de plaisir.


Puis haletante, elle me fit de nouveau changer les rôles. Cette fois, elle me suçait avec gourmandise tandis que d’un doigt elle me pénétrait l’anus.

Alors que je m’empalais sur son doigt tout en m’enfonçant dans sa gorge, je ne sus retenir un jet de sperme. Tout en tremblant, je tapissai sa bouche de ma semence laiteuse, épaisse et gluante.

Elle gémit en recevant le liquide, mais sans cesser de me pomper. Elle avala tout.


Ne voulant en rester là, bouillant d’excitation, je savais que je n’allais pas débander de sitôt. Je me dégageai de son étreinte joyeuse et l’incitai à se courber. Je passai derrière elle et plongeai mon sexe dans le sien.


Ma queue gorgée de sang remplissait sa chatte tellement mouillée qu’un bruit de succion se faisait entendre à chaque retour de coup de reins.

Je branlais son clito d’une main et son sein mou, lourd et doux de l’autre. Je voulais la voir plier de plaisir sous mes coups de bite. Elle gémissait, soupirait. Je haletais.


Plus rien n’existait que la volupté de son corps. J’aurais aimé rester des heures à la culbuter. À aspirer la douceur de toute sa chair. Palper toutes ces rondeurs. Mais je ne suis qu’un homme. Ma queue allait rendre les armes. Rendre les honneurs.


Comme si elle était connectée à moi, ma polissonne sentit l’explosion venir. Se désemboîtant de moi, en un éclair, elle me prit la queue en bouche, tout en plongeant son regard bleu innocent dans le mien. Mon sperme jaillit de nouveau. Comme pour la première fois. Chaud, dense et gluant. Immobile, toujours me fixant de ces billes bleues, elle avala chaque salve de sperme que j’éjaculai en quelques spasmes convulsifs de plaisir.


J’étais fait. Ma queue retombait molle entre ses dents. Elle sourit, se redressa, m’embrassa avec encore un peu de mon sperme sur la langue. Elle m’aura donc tout fait goûter de moi.

Je touchai une dernière fois sa chatte. Ses seins merveilleux. Puis on se rhabilla.

« Barbara » ! me souffla-t-elle en remettant son jean. Après avoir révélé à mon tour mon prénom, échangé un dernier baiser, je la laissai me fuir. Retournant à nos routines respectives.


Chaque fois que je passe devant la cabine numéro 16, je ne peux retenir un sentiment de regret mêlé à une pointe d’excitation. Je n’ai encore jamais revu Barbara…