n° 22398 | Fiche technique | 9947 caractères | 9947Temps de lecture estimé : 8 mn | 28/04/24 corrigé 30/04/24 |
Résumé: une soirée ennuyeuse en perspective, une visite et tout bascule. | ||||
Critères: fh couplus candaul hdanus confession | ||||
Auteur : theoreme Envoi mini-message |
Nous, c’est Marianne et Jacques. Annie et Marc, nos amis qui habitent à deux pas de chez nous. Des jeux à quatre, parfois à trois, nous avaient rapprochés davantage. Mais jamais à deux.
Je devais participer à une réunion assez loin, et tard le soir, une heure et demie de route pour rentrer à la maison. Quand j’arrive, Marianne est déjà couchée, et je remarque, sans aller plus loin, deux petites tasses à café sur la table du salon.
Je monte la rejoindre, mais la trouve déjà endormie. Du moins, je le crois. Je m’allonge à ses côtés, et m’endors immédiatement, fatigué de ce long trajet. En fait, elle faisait semblant de dormir, et espérait un câlin, mais je ne l’ai su que deux semaines après…
Un soir, alors que nous sommes gentiment allongés, au moment d’éteindre pour dormir, Marianne me dit :
Étonné, je lui demande :
Je presse mon sexe contre sa cuisse. Mon érection l’encourage.
J’avais appelé Annie et discuté un peu longuement avec elle, je me plaignais que ton association te prenait de plus en plus de temps, que les soirées seules me pesaient. La conversation a duré une demi-heure au moins, quand j’ai entendu une voiture arriver.
- — Je te laisse, dis-je à Annie, j’entends une voiture.
- — Eh bien, tu ne seras pas toute seule au moins, bonne soirée, alors ! me dit-elle, et je sens un sourire dans sa voix.
À peine raccroché, j’entends la porte qui s’ouvre. Un habitué, sûrement.
- — Marc ? J’étais justement au téléphone avec Annie.
- — Ah bon ? (le matou ne me dit pas qu’Annie lui a griffonné un mot « Marianne est seule toute la soirée et s’ennuie »)
C’est elle qui m’a révélé cela le lendemain : elle m’a appelée, et avec un grand sourire dans la voix, m’a demandé si j’avais passé une bonne soirée. En fait, Annie est très voyeuse dans nos jeux.
- — Viens, entre !
Petit bisou au coin des lèvres. C’est notre complicité.
- — Tu veux boire un verre ?
- — Oh, je ne faisais que passer, Annie est seule.
- — Dis-lui de venir !
Il l’appelle, me la passe. Elle m’explique que le lendemain elle doit se lever très tôt pour aller sur Lyon, et est déjà couchée. Dommage, j’aurais bien passé cette soirée seule avec eux deux, la dernière fois ça avait été assez sympa.
- — Elle est déjà couchée, va la rejoindre, lui dis-je !
- — Je peux rester un peu si tu veux.
- — Je veux bien, ça me fait plaisir de ne pas passer la soirée toute seule.
- — Jacques n’est pas là ? demande-t-il, feignant l’étonnement. Je venais lui rendre un outil.
Non, il a une réunion, son asso lui prend beaucoup de temps, je trouve, c’est ce que j’expliquais à Annie au téléphone quand tu es arrivé. Aussitôt, une lueur coquine s’allume dans ses yeux.
- — Elle ne m’en a rien dit, je ne savais pas que c’était à toi qu’elle téléphonait (il ment si gentiment). J’ai déposé l’outil dans le garage.
On s’installe au salon, on discute un peu de nos journées, je passe préparer à la cuisine un café et des biscuits, et j’apporte le tout au salon. Je m’assois en face de lui, sur le fauteuil. La discussion porte maintenant sur les films qu’on a appréciés récemment.
- — Veux-tu un autre café ?
- — Non merci, mais je vais me chercher un verre d’eau.
Il revient, pose son verre, passe derrière mon fauteuil et commence à masser mes épaules. Ça, j’adore, et ne tarde pas à le lui montrer.
- — Hummmm, c’est bon.
Je sais que ça peut aussi devenir plus chaud, mais ce ne serait pas pour me déplaire ce soir, même s’il est seul. D’habitude, nos jeux sont à trois ou à quatre. Mais là, ça ne pourra pas être le cas. Que faire ? Ce serait la première fois seule avec lui.
Il continue, masse un peu le cou, et descend vers les seins, passant sous mon T-shirt. Je sens mes tétons se dresser. Il m’embrasse, je lui rends son baiser. J’aime son baiser, je pense qu’il pourrait aller plus loin. Sa hanche se presse contre moi. Il bande, je crois bien. Je vérifie, en passant ma main sur la bosse de son jean. C’est bien ça, sa queue me donne vraiment envie tant il bande fort.
- — Regarde l’effet que tu me fais !
Il se dégrafe, et présente une belle queue bien raide. Je ne peux pas résister à l’envie de sucer un sexe dressé, il le sait et se propose à mes lèvres
- — Un petit bisou aussi pour elle, demande-t-il ?
Je ne me fais pas prier, et le bisou devient plus profond. Je le suce, et sens que je commence à avoir envie d’aller plus loin.
- — Veux-tu t’allonger pour que je te masse ?
- — Pas ici, si quelqu’un venait.
On monte alors dans la chambre, il se met à l’aise, enlevant jean et chemise, sa queue toujours dressée sous le boxer. J’ôte mon T-shirt, mon jean, mais je reste en slip. Je sens sa queue contre mes fesses au travers du tissu. Cette promesse me fait mouiller davantage et je m’allonge sur le ventre.
- — Masse-moi. Il y a de l’huile dans le tiroir de la table de chevet, j’aime bien.
Il sort le flacon et chauffe l’huile dans ses mains. Il a dû voir aussi le gel intime, que tu utilises pour que ta grosse queue me sodomise plus facilement.
Je me laisse aller, épaules, dos, reins, puis il passe aux pieds, mollets, cuisses, fesses. C’est divin. Chaque fois qu’il descend le long de mes reins, je me cambre de plaisir. Il a dû le remarquer, car il passe à la vitesse supérieure. Il masse l’intérieur des cuisses, ses mains se rejoignent très près de mon sexe, sans toutefois le toucher. Très pro, quoi !
Je sens une douce chaleur naître au creux de mon ventre. La remontée suivante, ses doigts écartent le tissu, effleurent mon sexe puis s’éloignent, reviennent et le pénètrent un peu. Je suis trempée, et il le sent bien.
- — Veux-tu te retourner maintenant ?
Je m’exécute, il masse ma poitrine, descend vers mon ventre, passe un peu sous le slip, je sens ses doigts sur mon clito, qu’il titille doucement. Je gémis un peu, il fait glisser mon slip, je l’aide en me soulevant. Au passage, je frôle sa queue puis la libère, pour la voir dans sa majesté. Elle me tente. Il ôte alors son boxer. Nous voici tous les deux en tenue pour un massage naturiste.
Il masse mon torse, prend mes seins, fait plaisir à mes tétons, passe sur le ventre, écarte un peu mes cuisses et en masse l’intérieur. Ses doigts pénètrent doucement en moi, puis sa langue les remplace. Que c’est doux ! Il prend une noisette du gel qu’il a remarqué dans le tiroir, et masse mon petit trou tout en suçant mon clito. Je sens l’orgasme qui monte, monte.
Je pousse de petits cris. Il continue jusqu’à ce que l’orgasme éclate, long, puissant.
- — Je jouis !
- — J’ai trop envie de te prendre, me dit-il.
- — Pas tout de suite, attends un peu.
Il me laisse récupérer et s’allonge tête-bêche à côté de moi. Sa queue à portée de bouche me tente et je la suce doucement, puis entreprends une fellation plus vigoureuse. Je le sens prêt à jouir, je veux lui rendre le plaisir qu’il m’a offert. Mes doigts appuient sur son anus, qui a dû se lubrifier. Je rentre un doigt puis deux, masse et caresse, il gicle dans ma gorge, je l’avale, j’aime ton sperme, le sien est différent, mais j’aime aussi…
Nous voilà tous les deux en récupération. J’ai eu alors envie que tu reviennes et nous surprennes, que tu me prennes sauvagement devant lui, mais il n’est que vingt et une heures et je sais que tu rentreras tard. Alors j’ai voulu te faire une surprise. J’avais aussi envie d’aller plus loin, de l’essayer seul à seule. Je lui ai demandé de me préparer pour que tu me sodomises en rentrant. Sa queue longue, mais fine, est faite à merveille pour cela. En levrette, je lui ai présenté mes fesses et aussitôt ça lui a redonné de la vigueur. Il a approché sa queue, l’a glissée dans ma chatte trempée, puis doucement l’a fait dériver vers mon petit trou, glissant dans ma raie, pressant gentiment son gland au passage, jusqu’à ce qu’il soit en moi. Quelques va-et-vient auraient suffi, mais il m’a donné envie de continuer, c’était trop bon !
- — Caresse-moi en même temps, je lui demande.
Il passe sa main en dessous et caresse mon clitoris.
- — Oui, c’est bon, oh, c’est bon, encule-moi à fond, prépare-moi bien pour Jacques !
Il s’active, je sens qu’il va jouir, mais je l’arrête.
- — Va te laver et reviens, je veux que tu finisses en moi, devant, je te veux partout ce soir.
Il ne se fait pas prier. Allongée sur le dos, je relève mes jambes, ma chatte est trempée, et il me pénètre d’un coup.
- — C’est trop bon, encore, vas-y à fond !
Mon orgasme monte, monte…
- — Je vais jouir, me dit-il, et il veut se retirer.
- — Non, reste, éjacule en moi, en moi, je veux que Jacques me trouve ainsi trempée.
Je le sens très loin en moi, très fort.
- — Oui, vas-y à fond, encore !
Il se crispe, je sens ses jets en moi et j’explose à mon tour.
J’avais l’idée de te recevoir bien lubrifiée, pour te faire une surprise en te disant « la place est chaude, j’ai eu de la visite ». Je ne me suis pas lavée, exprès.
Je t’ai entendu rentrer, j’ai fait semblant de dormir pour que tes doigts me découvrent ouverte et trempée, mais, fatigué par la route, tu t’es endormi de suite. Je t’avais pourtant, comme d’habitude, laissé un indice, en « oubliant » de ranger la table du salon, mais tu n’as pas fait le rapprochement.
Je présente alors ma queue à tes lèvres, et nous voilà en soixante-neuf. Tu me suces doucement, puis je te retourne pour te prendre, devant.
Ton récit t’a rendue trempée, je te pénètre facilement. Ma queue glisse vers ton anus, Aussitôt, tu relèves tes jambes bien hautes sur mes épaules pour mieux m’accueillir et guides ma queue, mon gland presse ton anus. Mais je suis trop gros et tu n’es pas assez préparée, tu me remets devant.