n° 22400 | Fiche technique | 27667 caractères | 27667 4831 Temps de lecture estimé : 20 mn |
28/04/24 |
Présentation: Ma nouvelle locataire me demande de lui rendre un service très inattendu qui va nous amener là où, même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais pu imaginer. | ||||
Résumé: Un homme célibataire, propriétaire. Une locataire charmante et sexy. Une mise en scène pour lui rendre service. | ||||
Critères: fh voisins grosseins fépilée campagne fête exhib noculotte fellation | ||||
Auteur : Mathieug99 Envoi mini-message |
Je me présente : je m’appelle Matthieu, quarante ans, cadre dans une grande entreprise. Physiquement, je suis plutôt classique, un mètre quatre-vingt-cinq, quatre-vingt-dix kg, une corpulence assez imposante sans être pour autant une personne que l’on pourrait qualifier de « musclée », J’ai les yeux gris/bleus et suis blond avec des cheveux pas trop courts, coiffés la plupart du temps en « bataille organisée ». J’ai un style vestimentaire plutôt classique, jean, le plus souvent bleu clair, et polo ou chemise avec une veste de costume et des baskets. J’ai fait le choix d’habiter dans une maison confortable dans un petit village à vingt-cinq km de mon travail. Célibataire, sans enfant et avec un revenu confortable, j’ai un niveau de vie plutôt agréable.
Il y a un an et demi environ, j’ai eu l’occasion d’acquérir une petite maison voisine de la mienne. Étant bricoleur j’ai, avec l’aide d’amis artisans, transformé cette petite maison en deux appartements simples et confortables que j’ai mis en location. L’appartement du rez-de-chaussée a vite trouvé preneur, un homme veuf, soixante-cinq ans avec des problèmes de santé, qui voulait vivre confortablement dans un petit appartement à la campagne. Très discret, le locataire idéal. Quant à l’appartement du haut, il est resté vacant pendant de nombreux mois, car jugé à la fois trop loin de la ville et des commodités et trop « calme ».
Après une période propice aux déplacements professionnels à l’étranger et aux semaines de cinquante heures de travail intense, je me retrouve en congés d’été chez moi pour un repos plus que nécessaire.
Dès le premier jour, je reçois un appel de Carine, l’agent immobilier en charge de mes appartements, me disant, avec une joie non dissimulée, qu’elle a enfin trouvé un locataire. Carine est une femme très charmante, entre trente-cinq et quarante ans, grande, avec des formes, surtout ses fesses, à faire rougir toute personne attirée par la gent féminine. Elle est faussement timide et toujours très souriante. J’avoue avec une légère honte avoir choisi son agence plus par attirance pour Carine que pour la qualité et le service proposé. Carine me fait parvenir le dossier du candidat pour l’appartement en me précisant que c’est un bon dossier. En le consultant, je me rends compte que le candidat est en fait une candidate, une femme de quarante-deux ans, célibataire, sans enfant, avec une bonne situation professionnelle. Secrétaire de direction dans une entreprise que je connais de nom.
À la lecture des pièces jointes, je ne vois aucune raison de refuser un tel dossier. Je réponds donc à Carine que c’est OK pour moi et je finis mon message par une petite touche d’humour :
… vous serez enfin débarrassé de moi.
Elle me répond, quelques minutes plus tard, que je suis loin d’être le client le plus désagréable, au contraire, et que Madame Sandrine Dubois souhaite faire une dernière visite et me rencontrer avant de signer le bail de location. Je lui réponds que je suis en congés et donc disponible quand elle le souhaite. Nous nous retrouvons donc le soir même à dix-huit heures trente devant la porte de l’appartement.
J’arrive, comme à mon habitude, avec cinq minutes d’avance. Par la fenêtre du palier de l’appartement donnant sur l’aire de stationnement, mon esprit divague et essaye d’imaginer le physique que Sandrine peut avoir. Je ne l’imagine ni trop grande, ni trop mince, avec de jolies formes, des fesses bien rebondies que je pourrai admirer quand je la croiserai dans la rue ou quand elle m’appellera le soir tard pour me demander de l’aide pour déboucher un évier… Stooop, si ça se trouve, elle va être à l’opposé de ce que j’apprécie chez une femme : grande, filiforme, sans aucun charme.
La vue de deux voitures se garant sur les deux places de stationnement disponibles au pied de l’immeuble me ramène rapidement à la réalité. C’est l’heure du verdict. La première à sortir de sa voiture est Carine. Toujours aussi belle. Je rêve ou elle a mis un mini short ? Il va falloir que je me concentre pour ne pas passer mon temps à regarder ses fesses, sinon je vais passer pour quoi ? Je suis conscient que je suis quelqu’un qui pourrait vite être qualifié de voyeur ou même d’obsédé, mais j’adore regarder, admirer les jolies femmes. Puis la porte de la seconde voiture s’ouvre, je plisse légèrement les yeux pour essayer de mieux la voir tout en me disant que je suis stupide, dans deux minutes elle sera juste en face de moi, mais je ne peux m’empêcher d’essayer de la détailler. Puis je vois passer une robe, que je devine n’étant pas trop longue, s’engouffrer par la porte de la maison. Je les entends alors rigoler dans l’escalier avant de les apercevoir en haut des dernières marches.
Mon regard se pose rapidement sur Carine, je lui fais un sourire et lui dis bonjour rapidement avant de me concentrer sur Sandrine. Je lui dis bonjour également et me présente tout aussi rapidement avant de la regarder de haut en bas aussi vite que possible pour ne pas paraître malpoli.
La première chose que je remarque chez elle – et je m’en excuse – est le volume que prend sa poitrine sous sa robe serrée, au léger décolleté. Je peux facilement deviner les contours de sa lingerie qui me semble vraiment bien remplie. Je pense avoir en face de moi un bonnet D, voire E. Je remonte rapidement mon regard sur son visage et suis sous le charme de son sourire, à la fois timide et chaleureux.
Elle est Brune, les cheveux mi-longs, les yeux noisette, le visage un peu rond. Des joues légèrement rosies par la situation. Un maquillage présent, mais qui se veut discret. Carine déverrouille et ouvre la porte de l’appartement et fait rentrer Sandrine la première. Puis, par galanterie, comme à mon habitude, je fais signe à Carine de rentrer. Mon regard se pose immédiatement sur ce mini short, qui est, à mon avis, presque trop court pour un rendez-vous professionnel. Mais quelles fesses ! Je pense sincèrement que sa cambrure n’est pas naturelle et qu’elle le fait exprès pour me provoquer. Mais je rêve sûrement en prenant mes désirs pour la réalité. Puis mon regard se pose sur Sandrine qui est cette fois de dos.
Je la regarde en la détaillant pendant que mesdames enchaînent les questions-réponses sur l’appartement, la situation géographique et les détails techniques. Je note sa taille, bien marquée, puis mon regard descend sur ses reins puis ses fesses. Son bassin est large et les fesses très rebondies. Je me demande si elle aussi ne se cambre pas également volontairement. La robe descend ensuite jusqu’à ces genoux. Je n’aurais donc pas le plaisir d’admirer ses cuisses aujourd’hui. J’essaye d’apercevoir la marque de la lingerie au travers de la robe quand une tape sur l’épaule me sort de mes pensées :
Je réponds, en reprenant mes esprits, que j’attendais d’avoir un locataire avant de faire les démarches pour l’installation, mais que je vais m’en occuper dès le soir si elle prend l’appartement. Carine attend quelques secondes avant de me répondre avec un petit sourire en coin. A-t-elle vu ce que je regardais ? La honnnnnte ! Je sens mes joues rougir.
La visite se termine ainsi et Sandrine signe le bail immédiatement et m’annonce vouloir emménager dans deux jours si je suis d’accord. Carine me regarde en me disant que cela ne devrait pas poser de problème et elle me fait un clin d’œil. Quel culot elle a, celle-là ! En remontant dans sa voiture, Sandrine soulève légèrement sa robe pour s’installer confortablement, me laissant voir un bref instant ses jolies cuisses que j’imagine tout de suite très douces. Nous en restons là et chacun retourne alors chez soi. Sandrine, pour finaliser ses cartons, Carine pour enregistrer le bail et faire les dernières démarches administratives et moi pour contacter un opérateur et demander l’installation de la fibre. Ce soir-là, dans mon lit, malgré le minishort de Carine, mes pensées sont toutes pour Sandrine et pour ses jolies formes. Et je m’endors paisiblement avec un seul regret, celui de ne pas savoir ce qu’elle portait sous sa robe.
Deux jours plus tard, comme convenu, un petit camion de déménagement arrive accompagné de pas moins de trois voitures. Ce sont sûrement les amis et la famille de Sandrine qui viennent l’aider à emménager. En deux heures, cela est déjà fini. Le camion s’en va et les voitures restent pour, je l’imagine, fêter cet emménagement. Je sors plusieurs fois pour essayer de l’apercevoir, mais je ne la vois pas. Après tout, je ne suis plus que le « proprio ». Il n’y aura maintenant plus beaucoup de raison pour qu’elle vienne me parler. J’aurais dû couper la vanne d’arrivée d’eau, cela m’aurait permis de l’apercevoir une nouvelle fois.
Mon téléphone sonne.
Service client SFR, je vous appelle concernant votre demande pour l’installation de la fibre…
La conversation dure cinq minutes et je prends rendez-vous pour le mois suivant. Je compose alors le numéro de Sandrine, mais avant de taper le dernier chiffre, je repose le téléphone. C’est l’occasion d’aller la voir.
Je reste derrière sa porte quelques minutes pour essayer d’entendre les teneurs des discussions, mais je n’entends rien d’intelligible. Je frappe. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre, c’est elle. Elle me regarde dans les yeux :
J’avale ma salive, me force de ne pas regarder plus bas et lui réponds que non. Je lui explique la raison de ma visite, elle me remercie chaleureusement et m’invite à entrer pour boire une coupe de champagne. Un peu mal à l’aise, je lui dis que je ne veux pas la déranger et qu’elle a mieux à faire avec sa famille et ses amis, mais elle me répond avec un peu de tristesse dans la voix que sa famille se déplace rarement pour elle, que ce sont quelques amis et quelques collègues.
Nous sommes en juin, il fait un petit peu chaud. Déménagement oblige, elle ne porte rien de très sexy. Simplement un top à bretelle et un short moulant assez long. Quelle poitrine ! Pas énorme ni vulgaire, mais volumineuse. Mon esprit essaye d’imaginer cette belle poitrine sous le même tee-shirt, mais sans aucun sous-vêtement… et le bas ? Cette fois, le short me laisse apercevoir les contours de ses sous-vêtements. Je vois clairement la forme d’un shorty-tanga. Mon préféré. Je trouve que cela fait ressortir ses belles fesses rebondies que j’adorerai toucher, caresser… Stop ! N’allons pas plus loin dans les pensées coquines, car je risquerai de le regretter. Mon jean est trop moulant. Cela risquerait de se voir rapidement.
Elle me tend un verre de champagne que je prends avec plaisir, puis elle me présente à ses amis. Nous discutons une bonne demi-heure puis je décide de m’en aller, car à l’origine je ne suis pas invité. En partant, elle me demande si je l’autorise à m’appeler en cas de besoin ou si je préfère qu’elle passe par l’agence. Je lui réponds avec un brin d’humour dans la voix que bien que Carine soit très agréable, je préfère qu’elle m’appelle directement. Elle rougit et me dit merci avant de me souhaiter une bonne soirée.
Les semaines suivantes sont ponctuées de messages, toujours à son initiative, pour avoir un peu d’aide. Cela va du montage d’un nouveau meuble au prêt d’outillage spécifique. Les échanges sont toujours brefs, limités au strict minimum, mais avec un enthousiasme de sa part décelable dans sa voix et son sourire. Je ne manque pas durant mes visites – aussi brèves soit elles – de la regarder et l’observer dans les moindres détails. Sa démarche, son attitude chaleureuse et sexy et toujours, des vêtements moulants mettant en avant ses formes plus qu’agréables à regarder.
Jusqu’au jour où elle me demande de passer la voir, car elle a un problème et que je pourrais peut-être l’aider à le résoudre. Mes pensées vont tout de suite vers un problème dans l’appartement. Pourvu que ce ne soit pas un dégât des eaux ou un autre problème grave. Puis, mon esprit divague légèrement et vient à penser que peut-être, elle a besoin de mon avis dans le choix de ses sous-vêtements et que je vais donc voir un joli défilé. Il ne faut pas rêver !
Je sonne à sa porte et elle m’invite à entrer. Elle n’est pas en sous-vêtement et il n’y a pas de grande flaque d’eau dans la cuisine. Me voilà partiellement rassuré. Mais que veut-elle ?
Je la regarde, droit dans les yeux, et elle commence.
Je reste sans voix pendant de longues secondes, puis je finis par lui dire :
Elle me regarde avec un large sourire et nous continuons la discussion en parlant des détails. Elle me dit que le mariage est sur deux jours, que nous serons logés dans une grande chambre sur les lieux du mariage, qu’elle est déjà réservée par la famille, qu’il faut être habillé, couleur lilas pour les femmes et en costume beige avec cravate pour les hommes. Je la rassure donc en lui disant que ce n’est pas un problème et que j’ai déjà cela dans ma penderie. Elle me propose un café et après nous être mis d’accord sur la date et l’heure du départ, je retourne chez moi.
Je suis très étonné par cette demande originale, mais cela va nous permettre de mieux faire connaissance et d’échanger dans un contexte différent de celui de locataire à propriétaire. Le soir même, je décide de faire le tour de ma penderie pour vérifier si le costume que je pensais porter était toujours à ma taille. Je ne l’ai pas mis depuis longtemps. Après l’avoir mis, pantalon beige, ceinture marron, chemise blanche et cravate noire, je me trouve plutôt séduisant. Il me va encore et je trouve qu’il met ma silhouette bien en valeur. Je décide de prendre la pose, devant le miroir, de prendre une photo et de l’envoyer à Sandrine. Quelques secondes plus tard, je reçois la réponse.
Parfait, encore merci, j’espère que je ne ferais pas trop tache à côté de toi, tu es très charmant ! Bonne soirée.
Je ne m’attendais pas à ce genre de réponse et j’espérais, secrètement, qu’elle me répondrait avec une photo de sa tenue, mais c’est raté, tant pis. Je la verrai le jour du mariage.
Le jour « J » arrive, je l’attends dans ma voiture devant chez elle. Une belle voiture coupée de marque allemande de couleur gris foncé. Nous avions convenu de ne pas porter les habits du mariage pour le trajet, car, bien qu’il soit court, nous ne souhaitions pas froisser nos habits. Elle arrive avec sa grande valise, habillée décontractée, mais avec goût, comme à son habitude. Une belle robe d’été fluide, qui arrive à mi-cuisse avec un joli décolleté, ni trop plongeant ni trop petit. J’adore. Après avoir mis sa valise à côté de la mienne, je lui ouvre la porte et elle rigole en me disant !
Après une heure de route, à la regarder en passant de ses cuisses à son décolleté sans tourner la tête au travers des lunettes de soleil, nous arrivons dans le domaine. Sobre, mais classe, avec un coin-nuit composé d’une dizaine de chambres réservées à la famille habitant à plus de cinquante km. Nous prenons possession de notre chambre, un grand lit et un canapé-lit nous attendent. Je sais donc que même si nous allons devoir partager la chambre, nous ne partagerons pas le même lit. Elle prend ses affaires et va se changer dans la salle de bain pendant que je fais de même dans la chambre.
Vingt minutes plus tard, elle sort de la salle de bain, habillée d’une très belle robe longue, fendue sur un côté assez haut sur la cuisse avec un très joli décolleté, plus profond que la petite robe d’été de tout à l’heure, les bras nus. Je la félicite pour le choix et elle tourne alors sur elle-même pour me montrer le dos. Dos nu, je comprends mieux alors pourquoi je n’apercevais pas les marques de son soutien-gorge sous cette robe moulante. Mais quelque chose me choque : sur ses fesses, toujours aussi belles et rebondies, la robe est si fine et tendue à cet endroit que l’on peut voir la marque de sa culotte, et cela, je trouve, gâche tout. Comment lui dire sans la vexer ?
Je lui réponds que oui et que si elle le veut, on peut aller en acheter vite fait d’un coup de voiture, mais il est trop tard, le temps de faire l’aller-retour on risquerait de manquer le début de la cérémonie. Je lui propose donc une solution :
Elle me regarde, bouche bée, mais comprend que c’est la seule solution. Sans dire un mot, elle retourne dans la salle de bain et en ressort deux minutes plus tard, les joues rosies, et tourne de nouveau sur elle-même.
Et on rigole. De mon côté, l’imaginant nue sous sa robe aussi fine ne manque pas de provoquer en moi une érection que je commence à avoir du mal à dissimuler, car autant mon physique est plutôt classique, autant de ce côté-là j’ai la chance d’être au-dessus de la moyenne, en largeur et en longueur. Elle jette un regard vers mon entrejambe et je rougis à mon tour. Elle me dit avec un petit sourire :
Chose que je fais avant de me diriger vers l’entrée de la chambre et d’ouvrir la porte.
Après la cérémonie civile et le vin d’honneur, après avoir échangé des formalités d’usage avec la famille, nous nous dirigeons vers la salle de repas qui sera également la salle de danse. Une très belle salle décorée avec goût.
Sandrine s’absente quelques instants et mon téléphone vibre. Elle vient de m’envoyer un message.
- — Matthieu, si cela ne te dérange pas, il faudrait que l’on se comporte comme un couple pour éviter d’éveiller les soupçons.
- — Je suis d’accord avec toi, mais jusqu’où puis je aller ?
Elle me répond :
Jusqu’où il faudra pour que nous soyons le plus crédible possible.
Mon cœur s’emballe et je la vois arriver vers moi. Elle s’avance, doucement, et pose un petit baiser sur ma bouche. Nous nous dirigeons ensuite vers les tables pour trouver notre place et nous passons à côté de ces fameuses cousines qui sont, je le pense, en train de parler de nous vu le silence engendré par notre présence. On leur tourne le dos, je décide alors de frapper en grand coup en posant ma main dans le dos de Sandrine puis en descendant doucement jusqu’à atteindre ses fesses. Après quelques secondes de caresses légères, je saisis une fesse plus fermement. Je sais que les cousines sont en train de nous regarder, car pendant que je profite de la situation et lui caresse les fesses, elles ne parlent plus. Le contact de ma main sur cette robe et sur ces fesses nues provoque en moi un inconfort au niveau de mon boxer. Avec mon autre main, je replace discrètement mes vêtements pour limiter cet inconfort et Sandrine me regarde faire et me sourit.
Nous passons à table. Nous sommes autour d’une table ronde dos au mur avec des amis de la mariée, plutôt sympa, et nous passons un agréable moment de discussion et d’échange. Après quelques verres de vin, je ne peux m’empêcher de regarder la cuisse dénudée de Sandrine à mes côtés, la fente de sa robe l’ayant presque libérée complètement. Je pose ma main dessus, elle ne bouge pas, se laisse faire. Après quelques secondes sans bouger, je caresse doucement sa cuisse, en partant du genou et en remontant à chaque fois un peu plus haut jusqu’à ce qu’un geste de sa part me fasse comprendre de ne pas aller plus loin. Mais ce geste n’arrive pas. Je continue doucement mes caresses pendant que nous discutons puis je remonte encore plus haut et passe mon petit doigt sous sa robe. Toujours rien : aucun geste de sa part. Je continue mon ascension et sens rapidement la chaleur du bout des doigts, je ne peux m’empêcher d’aller plus loin… elle bouge un peu pour mieux s’installer et écarte légèrement les cuisses. Je remonte alors ma main jusqu’à son sexe chaud et déjà humide. De mon index, je caresse doucement ses lèvres chaudes, je remonte doucement le long de sa fente jusqu’à son clito que je sens gonflé. Dès que mon doigt le touche, elle a un léger sursaut et elle écarte encore plus les jambes. Elle pose sa main sur ma cuisse et remonte également jusqu’à mon entrejambe, saisit mon sexe dur au travers de mes habits et le caresse doucement. Cela a pour effet de m’exciter encore plus et je commence à la pénétrer doucement, à la doigter. Elle est complètement trempée et commence à avoir le souffle rapide.
Après quelques secondes de ce traitement, je retire ma main et essaye de penser à autre chose avant que nos agissements ne se fassent remarquer. Après avoir repris nos esprits, je l’invite à danser. On se retrouve sur la piste, l’un en face de l’autre, je la regarde dans les yeux et pose mes mains sur ses hanches, elle se rapproche de moi, se colle à moi, et nous commençons à danser sur un slow très agréable. Je sens son corps chaud contre le mien, son corps ondule au rythme de la musique, mon excitation n’est pas retombée, loin de là, je bande maintenant outrageusement et le mouvement de son corps contre moi ne fait qu’accentuer mon excitation de seconde en seconde. Elle ne peut pas ne pas s’en rendre compte. Je plonge mon regard dans son décolleté et profite du spectacle en posant mes deux mains sur ces fesses bombées. Sentir son corps nu sous ce fin tissu est un supplice, je veux plus, j’ai envie de plus, je veux la voir nue, la caresser, embrasser chaque partie de son corps, la lécher puis la posséder, la pénétrer.
Je lui prends la main et l’amène en dehors de la piste de danse, elle se laisse faire, elle doit avoir compris ce que je veux. Nous sortons de la salle et nous dirigeons vers le bâtiment des chambres. Elle me retient et m’attire vers un petit bosquet à cinquante mètres de là en me faisant un clin d’œil. Je me laisse à mon tour conduire vers cette zone sombre sans aucun éclairage. Nous nous retrouvons au milieu de grands arbres. Elle me pousse doucement contre le plus gros et ouvre ma veste. Elle pose sa main sur mon sexe tendu à son maximum et le caresse doucement. Elle ouvre la boucle de ma ceinture, déboutonne mon pantalon et le fait tomber sur mes chevilles, puis reprend ses caresses par-dessus mon boxer gonflé. Elle glisse sa main à l’intérieur, de petit va-et-vient, mon souffle s’accélère, c’est tellement bon, je suis à sa merci. Elle descend mon boxer qui rejoint mon pantalon et prend mon sexe de ses deux petites mains et fait de petits va-et-vient, tout doucement, comme je les aime. Elle y dépose un baiser avant de le prendre en bouche. Mes jambes commencent à trembler tellement c’est bon. À cela se mêle la peur de se faire surprendre. Elle me suce doucement tout en me masturbant avec ses deux mains expertes. C’est tellement bon, elle accélère doucement, je comprends alors qu’elle veut aller jusqu’au bout, là, maintenant, sous ce grand chêne. Je me laisse faire, me laisse aller, et au bout de quelques minutes de ce traitement, je sens que je vais jouir. Elle me sent venir, sort mon sexe de sa bouche chaude et humide et continue les mouvements avec ses mains… je jouis. Mon sperme sort en saccade et finit sur le lit de feuille morte au sol. Elle me regarde et nous rigolons ensemble. Je remonte mon boxer, mon pantalon, et remets mes habits en ordre. En repartant, je lui mets une fessée, peut-être un peu trop forte… la claque résonne dans le bosquet. En arrivant à l’entrée de la salle, nous croisons le groupe de cousines qui nous regardent l’air étonné, Sandrine leur fait alors un clin d’œil malicieux.
La fin de soirée est plus calme, nous dansons en passant d’un slow langoureux à une musique des années quatre-vingt-dix. Vers cinq heures du matin, nous décidons, avec la majorité des invités, d’aller nous coucher. Dans l’escalier qui mène à notre chambre, Sandrine est devant moi, elle amplifie volontairement le mouvement de ses fesses de gauche à droite. Nous arrivons devant la chambre, elle met la clé dans la serrure, je me plaque contre elle et lui embrasse le cou, elle ouvre la porte, je la pousse sur le lit puis referme la porte derrière moi.
Elle s’allonge sur le dos, je me mets à genou devant le lit et lui embrasse les genoux, les cuisses. Je relève doucement sa robe et dévoile son sexe, complètement épilé, tellement beau, luisant d’excitation. J’écarte ses jambes doucement, embrasse l’intérieur de ses cuisses et remonte jusqu’à sa fente de plaisir. Je la lèche doucement de bas en haut, puis je suce lentement son clito. Je joue avec ma langue. Je l’entends gémir au rythme de sa respiration. J’ai envie de la faire jouir comme elle m’a fait jouir quelques heures plus tôt. Tout en continuant avec ma langue, je la pénètre avec un doigt, elle est trempée, elle coule littéralement. Je fais des va-et-vient de plus en plus rapides, puis je mets deux doigts… Au bout de quelques minutes, elle se cambre et jouit dans un long cri de plaisir. Je me relève la regarde, elle est belle, fatiguée, elle reprend son souffle, doucement, mais je n’ai pas fini. Je me déshabille complètement, mon sexe est dur et tendu. Je me penche au-dessus d’elle, fais descendre les bretelles de sa robe le long de ses épaules, libérant ses beaux gros seins. Je retire complètement sa robe. J’arrache ensuite l’un après l’autre les cache-tétons que je vois maintenant pointer de désir. J’écarte doucement ses cuisses, elle me regarde légèrement inquiète. Puis, je me place à l’entrée de sa chatte luisante d’excitation et je la pénètre de tout mon long, elle gémit longuement. Je commence les va-et-vient, à ce moment-là, il n’y a pas d’amour, mais uniquement de l’excitation animale.
Je commence alors à la pilonner, de plus en plus vite, de plus en plus fort, avec des allers-retours réguliers. Nos corps claquent l’un contre l’autre. Je la sens chaudement m’engloutir avec appétit. Je la baise encore plus fort, jusqu’à ce que je sente que je vais jouir. Je commence à gémir également, elle me regarde droit dans les yeux, et au moment où je souhaite me retirer, elle me saisit par les fesses pour me maintenir en elle. Je jouis en elle, au fond de sa chatte trempée. En gémissant. Cela lui provoque un orgasme et elle se contracte autour de ma bite gonflée. Je me retire ensuite doucement, m’allonge à ses côtés et m’endors jusqu’au petit matin.
À mon réveil, elle est déjà douchée, habillée, la valise faite. Je fais de même et nous prenons la route du retour sans assister au retour de noces et non sans faire une longue pause sur le bord de la route.