n° 22403 | Fiche technique | 6247 caractères | 6247 1086 Temps de lecture estimé : 5 mn |
29/04/24 |
Présentation: suite de la rencontre entre Karine et Lucas | ||||
Résumé: suite de la rencontre entre Karine et Lucas | ||||
Critères: fh fplusag fsodo -poésie | ||||
Auteur : hrolf Envoi mini-message |
Poésie |
«Je travaille ce soir, c’est dans plus de deux heures
J’ai largement le temps de bien te câliner,
Reposons-nous un peu que revienne vigueur
En attendant chérie viens vers moi t’allonger.»
Lucas disant ses mots, vite se déshabille
Et saute sur le lit en m’ouvrant grands les bras.
Aussitôt j’obéis, je quitte ma guenille,
Me love dans ses bras, frissonnante de joie.
La tête sur son sein, nos souffles accordés,
Ma main va caresser son ventre, tendrement.
Je suis bien contre lui, peau contre peau, soudés.
Que s’arrête le temps, que dure ce moment…
«Oh Karine chérie ce beau cul je le veux
À mon tour maintenant de te faire plaisir,
Je vais couvrir ton corps de baisers fougueux
Partout je vais lécher à t’entendre gémir»
Je m’écarte de lui, les jambes écartées,
Je l’invite à venir prendre sa polissonne.
«Oui Lucas, viens prend le, je l’ai tant désiré,
Suce-le, baise-le, mon cul je te le donne.»
Il me prend le pied droit et le porte à sa bouche
Ses lèvres le caressent et sa langue est douce
Qui nettoie goulûment les restes de la douche
À chacun des orteils, finissant par le pouce.
Puis même traitement sur le pied côté gauche.
Ensuite il suit ma jambe et rejoins mon pubis
J’écarte au maximum prête pour la débauche
Lui ouvrant ma vallée, offrant mon clitoris.
Pas besoin de prier il a vite compris
Mon désir de succion, mon besoin de léchouilles,
Il tète le bouton de ma rose fleurie,
Entre mes lèvres des doigts, il me fouille.
Les mains dans ses cheveux, je le colle à mon sexe
Ses doigts qui me branlent et sa bouche qui suce
Je sens monter en moi un immense vortex
Émue je savoure ce bon cunnilingus.
Le plaisir m’envahit, il monte comme fusée
Entière je décolle et jouis sans retenue.
Mon cupidon du jour boit comme un assoiffé
Mon nectar féminin dans un flot continu.
Les spasmes me secouent les deux jambes crispées
Je cambre le bassin je relève les fesses
J’ai la chatte explosée à sa bouche soudée
Savourant cet instant jusqu’à totale ivresse.
Puis petit à petit je redescends sur terre
Livrant à mon amant un soupir de bonheur
La pression relâchée, il me met en cuillère
Glissant jusqu’à ma raie de nouveau butineur.
Je devine son but, l’accepte volontiers
Alors de mes deux mains je m’écarte le cul
Pour lui faciliter de sa cible l’accès,
Le signifiant ainsi qu’il est le bienvenu.
Il me bouffe le cul, il embrasse mes fesses,
Sa bouche vers ma raie explore le chemin
Je gémis mon plaisir sous les douces caresses
Je me cambre, me tends, offre mon œillet brun.
Ses lèvres en calice autour de l’orifice
M’électrise les reins, papillons dans le ventre.
Son baiser perforant est un divin supplice
Quand sa langue vient enfin humidifier mon antre.
«Mmm bouffe moi le cul, régale toi salaud !
Ohhhh, comme j’aime ça… Vas-y, vas-y, Ohhh oui…»
Mes cris sans retenue emplissent le studio
Mon cerveau est anus, je veux être envahie.
Lucas s’écarte un peu, m’offrant une ouverture
Pour changer de côté que je saisie ravie,
Je me tourne je me cambre et je m’offre en pâture
À mon sauvage amant pour une sodomie.
Terminé les câlins, il va droit à la cible
Me transperce le fion, m’éclate les entrailles.
Je hurle mon bonheur mon plaisir indicible
Surpassant la douleur, je reçois la mitraille,
Agrippé à mes hanches il laboure ma grotte
À coups de reins puissants, m’éclate la rondelle.
Dans mon conduit, je sens sa grosse queue qui frotte
J’ai mal mais c’est si bon cette montée au ciel.
J’aime à être enculée, depuis toujours j’adore ;
L’anus et le cerveau ensemble connectés.
Souffrance et volupté irriguent tout le corps
La double sensation j’en n’ai jamais assez,
Être ainsi avilie, complètement livrée,
Donner à mon amant ou bien à mon amante
(Je ne suis pas sectaire), à ma porte l’accès
Pour qu’elle soit forcée, car toujours consentante ;
C’est un plaisir ainsi d’aller contre nature
De se faire remplir par un corps étranger.
En bref en résumé et sans littérature
Rien de meilleur pour moi qu’être sodomisée !
Soudain Lucas se fige et cesse de bouger
Reste agrippé à moi, enfoncé bien tendu
Il jouit à profusion et gémit satisfait
Son sperme se répand, il me remplit le cul.
Je tombe sur le lit les bras ouverts en croix
Le ventre soulagé, les jambes écartées.
Penché sur moi Lucas me murmure tout bas
«Oh Karine quel pied, putain tu as aimé ? »
«Mmm Lucas mon trésor, oui, oui, j’ai adoré.»
Lentement face à lui je me redresse un peu
Me blottie dans ses bras, Sur mes cuisses serrées
S’écoule son nectar de mon cul tout poisseux.
De ma chute de reins sa main va à mes fesses
Elle se fraie un chemin au creux de ma vallée
Découvre mon anus, lui prodigue caresses,
Enfonce un doigt puis deux dedans mon trou souillé.
Puis avec l’autre main il me branle la chatte
Me fouille le vagin, titille le bouton.
Je me cambre ravie sur ses doigts qui m’éclatent,
Nos bouches réunies nous nous embrassons.
Mon esprit libéré, à mon sexe dédié
Dans mon ventre le feu brûle joyeusement
Je monte vers le ciel, j’atteins alors l’acmé,
Et la petite mort toute entière me prend.
Et je jouis ainsi branlée par mon amant
Aucune retenue, j’inonde ses deux mains.
Lucas retire ses doigts, tout en me regardant
Me les donne à sucer avec un air coquin.
«Salope lèche moi chacun de mes doigts
Goûtes y mélangés, mon jus et puis le tien.»
J’obéis aussitôt, un à un les nettoie
Avec l’avidité d’une morte de faim…
Puis nous nous effondrons épuisés, mais comblés
Unis main dans la main, temps des deniers baisers.
S’envole la fusion des sexes défoncés
C’est le retour cruel à la réalité.
«Ma belle il se fait tard, on m’attend chez Henri
Je vais devoir partir rejoindre mon travail.
Mais toi si tu le veux tu peux rester ici
Mon studio est à toi, je te mets sur mon bail.
La douche vite fait et je vais te quitter
Je suis déjà pressé de revenir vers toi.»
«Mon trésor c’est gentil et je suis très flattée
Mais je vais m’en aller, je vais rentrer chez moi.
Mon mari impatient m’attend certainement
Il va me demander de tout lui raconter.
Je vais pour son plaisir lui dire en le branlant
Combien j’ai bien joui quand tu m’as enculée.
Et il va apprécier, j’en suis sûre et certaine,
C’est un cocu content, il aime partager.
Dans ma main le serrant il va juter sans gène
Me traitant de putain, me traitant de traînée.
En parlant de juter ma robe est souillée,
Pourrais-tu me prêter un sweat ou autre chose
Pour sortir au dehors, chez moi m’en retourner.
Je ne peux par les rues montrer mes fesses roses ! »