Chaque fois c’est la même chose. Quand on est séparé longtemps, ma libido monte en flèche. Le manque crée l’envie, comme on dit, je crois. En tout cas, ça fonctionne avec moi. Ça fait une semaine qu’elle est partie et son retour est pour demain. Moi, de mon côté, ça fait deux soirs que je galère à m’endormir. Pas facile de partir au pays des rêves avec des scénarios coquins dans la tête. Certains sont des fantasmes, d’autres des choses plus terre à terre. En tout cas, mon cerveau est en mode réalisateur de films pornos.

Donc je suis là, dans mon lit, en train d’imaginer des scènes hot avec elle. Je ne peux pas m’en empêcher. Je sens mon cœur qui bat plus vite et ma bite qui durcit dans mon caleçon. C’est agréable d’un côté mais frustrant de l’autre, surtout quand c’est impossible de se branler pour relâcher la pression. Je ne suis jamais trop à l’aise à l’idée de me toucher quand je ne suis pas chez moi. Je passe en effet le week-end chez mes grands-parents.

Pas le choix de faire avec les images qui s’enchaînent quand je ferme les yeux.

Je rentre dans notre appartement. Je sais qu’aujourd’hui elle est rentrée du travail avant moi. Quand je pousse la porte, je vois que les pièces sont plongées dans l’obscurité, à l’exception d’une douce lueur rougeâtre qui vient du salon. Je me débarrasse de mon sac et de mes chaussures, et, intrigué, je me dirige vers la lumière.

Je la découvre sur le canapé, assise, à me regarder avec ce regard appuyé et ce petit sourire que je lui connais bien. Elle est vêtue d’une petite jupe noire qui lui arrive à mi-cuisse et d’un débardeur qui laisse voir son ventre et qui moule ses seins. Elle porte également des escarpins à talons qui lui font des jambes immenses. Elle a légèrement bouclé ses cheveux et son maquillage met en valeur ses yeux et sa bouche. Dans cette lumière rougeâtre, elle est plus belle et attirante que jamais.

• — Surprise, elle dit.

Je m’approche vers elle en souriant. Elle se lève. Je l’attrape par la taille, l’attire contre moi. Elle sent bon. On s’embrasse langoureusement. Je sens sa langue contre la mienne. Je sens également ma bite qui gonfle instantanément dans mon pantalon. Je passe ma main sous sa jupe pour lui caresser les fesses, et je me rends compte avec surprise qu’il n’y a pas l’ombre d’une culotte là-dessous. Elle pouffe.

• — T’es une coquine, je lui glisse à l’oreille.
• — T’as pas idée, elle me répond, tout en faisant passer mon t-shirt par-dessus ma tête.

Ses doigts s’attaquent ensuite à mon pantalon, et je l’aide à l’enlever plus vite.

Elle s’agenouille sur le tapis, devant moi, et fait glisser mon boxer le long de mes cuisses, de mes mollets et de mes chevilles. Mon sexe enfin libéré se dresse en face d’elle. Elle sourit en le voyant aussi dur.

• — J’ai eu envie de te sucer toute la journée, murmure-t-elle.

Elle me caresse doucement les couilles avec sa main gauche. Je soupire. Tout en continuant ses caresses, elle referme sa main libre sur ma bite et amorce un lent mouvement de va-et-vient. Je gémis. Très vite, une goutte de liquide transparent vient perler au bout de mon sexe.

Soudain, sa langue vient se poser sur mon gland et y effectue des mouvements circulaires. Elle s’attarde sur le frein et le titille du bout de la langue. Ma respiration s’accélère. Encouragée par ma réaction, elle lèche avidement ma bite de bas en haut, en partant des couilles et en remontant tout au bout.

Elle lève ses yeux vers moi et prend enfin tout mon sexe en bouche. Je gémis.

• — Putain, tu suces trop bien, je souffle.

Pendant que ses lèvres coulissent de haut en bas, sa main caresse la zone juste derrière les couilles, au niveau du périnée. Elle sait que ça me rend dingue. La combinaison des deux peut me faire venir très rapidement et elle le sait. Elle aime m’emmener au bord de l’orgasme, puis arrêter, puis recommencer, puis arrêter… Ses talents de suceuse et la vision que j’ai d’elle me rendent fou. Imaginez un peu une fille magnifique en tenue sexy, à genoux devant vous en train de se régaler avec votre bite, ses yeux plongés dans les vôtres.

Je gémis de plus en plus fort. Je sais que ça l’excite. Je fais de gros effort pour ne pas exploser dans sa bouche. Je ne veux pas que ça se termine maintenant.

Je la fais se relever et l’embrasse à pleine bouche. J’enlève son débardeur, dévoilant ainsi sa poitrine ferme. Ma main droite vient se poser sur son sein gauche pour le caresser. En même temps, je me penche pour prendre son téton droit entre mes lèvres et commence à le sucer. Il est déjà dur. Je l’entends gémir.

Je la pousse doucement sur le canapé. Je l’embrasse sur les lèvres, dans le cou, sur les épaules. Je descends entre ses seins, et enfin sur son ventre. Je suis à genoux par terre, entre ses jambes écartées. Je soulève sa jupe. J’embrasse tendrement l’intérieur de ses cuisses. Du bout de la langue, je lèche la peau douce et me rapproche lentement de son sexe.

N’y tenant plus, je commence à la lécher doucement. Ma langue titille légèrement son clitoris. J’adore le goût de sa chatte. Elle soupire et gémit et ses doigts agrippent mes cheveux. Ça m’excite à mort. Entre mes jambes à moi, je sens ma bite sur le point d’exploser. Je joue avec la vitesse et la pression que j’exerce avec ma langue. Je veux la rendre dingue. À chaque fois qu’elle est sur le point de jouir, je m’arrête et attends quelques secondes. Puis ma langue retourne à l’attaque.

Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, j’introduis un doigt en elle. Elle est trempée. Pendant que je la lèche, mon doigt fait pression dans sa chatte. Je la sens qui presse son bassin contre mon visage. Elle gémit de plus en plus fort. Avec ma main libre, je lui pince un téton.

• — Stop ! halète-t-elle.

On se relève tous les deux. Elle se débarrasse de sa jupe.

• — Baise-moi maintenant, dit-elle en se dirigeant vers la table de la salle à manger.

Je comprends tout de suite ce qu’elle veut. Je la regarde s’allonger sur le dos sur le plateau en marbre, complètement nue à l’exception de ses chaussures.

Je me place debout entre ses jambes. Sa chatte est parfaitement à hauteur de ma bite. Elle empoigne alors mon sexe et l’introduit en elle. La sensation est parfaite. J’agrippe ses cuisses et commence à la baiser pendant qu’elle se caresse le clitoris. La vue est incroyable. La lumière rouge met en valeur son corps, son ventre plat, ses jambes, ses seins. Elle gémit de plus en plus, tout comme moi. Je sens que je ne vais pas durer longtemps.

• — Laisse-moi venir sur toi, je la supplie.
• — OK, mais je jouis d’abord.

J’enfonce ma bite bien profondément en elle pendant qu’elle se touche de plus en plus fort. Un cri s’échappe de ses lèvres, elle se cambre et je la sens qui se contracte autour de mon sexe.

• — À ton tour maintenant, me glisse-t-elle.

Je n’attends que ça. Après quelques nouveaux allers-retours dans sa chatte trempée, je me retire et me branle devant elle. Je jouis enfin. Mon sperme recouvre son ventre et quelques gouttes arrosent ses seins. Elle les ramasse avec son index et le porte ensuite à sa bouche pour le sucer.

• — Je t’avais dit que j’étais une coquine.