n° 22412 | Fiche technique | 14452 caractères | 14452 2471 Temps de lecture estimé : 10 mn |
07/05/24 |
Résumé: Stéphane pêchait tranquillement au bord de sa rivière habituelle lorsqu’il vit passer sur un matelas pneumatique une femme endormie, entièrement nue... | ||||
Critères: fh 2couples fplusag freresoeur grosseins groscul vacances bain campagne voir exhib nudisme entreseins fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Stéphane avait une passion : la pêche à la ligne. Il avait son coin dans cette rivière du sud de la France connue pour être bordée de campings sauvages fréquentés par des amoureux de la nature. En tant qu’autochtone, il méprisait un peu ces touristes un peu spéciaux qui avaient au moins le mérite de faire vivre le commerce local l’été dont celui de ses parents, une supérette. Lesquels se désespéraient de le voir encore étudiant à vingt-cinq ans. Pour l’heure, c’était surtout son flotteur qui le préoccupait. Est-ce que ça allait enfin finir par mordre ?
C’est alors qu’il découvrit sur la rivière un spectacle qui lui fit oublier son bouchon. À plat ventre sur un matelas pneumatique, une femme d’un certain âge, vu ses cheveux gris, se laissait dériver sur le courant, visiblement endormie. Et complètement à poil. Stéphane savait qu’en amont, un camp de naturistes non officiel était très fréquenté l’été. Cette femme endormie venait sans doute de là et s’était laissé surprendre en bronzant sur l’eau. Il fallait l’alerter avant qu’elle n’arrive plus loin sur la plage officielle où sa tenue d’Eve lui poserait de gros problèmes parmi les baigneurs en maillot.
La femme releva la tête et comprenant la situation, paniqua. Elle tomba de son matelas qui poursuivit sa course seul tandis qu’elle tentait de gagner la rive en barbotant. Stéphane lâcha sa canne à pêche et plongea en short pour récupérer le matelas, qu’il ramena sur la rive au moment où la femme sortait de l’eau, ruisselante et en pleine confusion.
Stéphane croyait avoir affaire à une de ces grands-mères post-soixante-huitardes qui peuplaient les lieux naturistes comme on le lui avait raconté. En fait, la dame en question était encore dans la quarantaine à vue de nez, ses cheveux ayant prématurément grisonné. Mais ce qui frappa Stéphane en la découvrant fut la plus belle paire de nichons qu’il ait vus depuis longtemps. Lourds mais comme en suspension avec de larges aréoles, bien bronzés, comme la croupe, charnue et fendue, cambrée. Le pubis fourni grisonnait aussi. La femme surprit son regard et ses grands yeux noirs révélèrent un début d’angoisse. Stéphane la rassura aussitôt en la couvrant de sa veste en treillis.
Et il aida la femme à marcher pieds nus jusqu’à sa voiture, où il la couvrit. Arrivée aux abords du camp, elle lui rendit sa veste et lui dit :
Et il la regarda s’éloigner en trottinant, sa belle croupe nue en mouvement et se dit que le monsieur qui devait l’accompagner ne devait pas s’embêter nonobstant ses cheveux prématurément gris.
*****
Le lendemain, il se trouvait à nouveau sur son coin de pêche lorsqu’il vit apparaître à nouveau le matelas pneumatique avec Caroline dessus, cette fois bien réveillée, et avançant avec ses mains. Elle se dirigea directement vers lui, évitant sa ligne, et monta vers le rivage. À la différence de la veille, elle était en maillot de bain. Mais quand il la vit, Stéphane se dit qu’elle paraissait encore plus nue que nue avec ce bikini réduit à sa plus simple expression. Le soutif contenait difficilement les deux obus qui menaçaient de jaillir à chaque pas, au point même que le haut d’une aréole apparut sur le sein gauche. Quant au « slip », il dévoilait le haut de la raie des fesses et quelques poils du pubis au ras de l’élastique, qu’elle crut bon de tirer vers le haut, comme si elle avait pris conscience de ce dévoilement. Mais sans grand succès. Stéphane se montrait à nouveau épaté par le contraste de cette chevelure poivre et sel nouée en catogan avec cette chair ferme et néanmoins abondante, comme si une part de ce corps avait avancé en âge juste à la chevelure.
Et de lui expliquer qu’elle s’ennuyait un peu au camp, où elle poursuivait son séjour en compagnie de sa sœur et son compagnon.
Assise à côté de lui, elle entama la conversation qui, d’abord banale, devient plus explicite. Elle était infirmière, séparée de son mari qui avait la charge de leurs deux enfants pendant deux semaines de vacances. Sa sœur et son ami lui avaient proposé ce séjour en vacances nature « et même très natures », précisa-t-elle, expliquant sa nudité de la veille. Elle l’interrogea sur sa vie, lui demanda s’il avait une « copine » et comme il répondait par la négative, elle s’en étonna :
Il apprécia, le lui dit, et elle lui sourit, bombant légèrement le torse au risque de faire péter les ficelles de son soutif. Elle les dénoua en se mettant à plat ventre pour dorer son dos sans marques, tout en continuant à discuter de tout et de rien.
Cette femme sensuelle commençait à lui mettre sérieusement le feu à l’entre-jambes, même s’il chassait plutôt les filles de son âge. Elle ne dissimula même pas ses seins quand elle se releva pour remettre son soutif, lui sourit à nouveau et s’excusa de l’avoir dérangé dans sa pêche avant de regagner son frêle esquif, cette fois à contre-courant. Et il la regarda partir en pagayant activement de ses mains, jambes écartées, croupe tendue. Il en eut la bouche sèche.
Reviendrait-elle ? Il se posa la question car elle ne lui avait donné aucun rendez-vous. Le hasard fit que le soir même, il la croisa à la fête du village, en compagnie de sa sœur et son compagnon. Surprise : celui-ci n’était pas plus vieux que lui et la sœur prénommée Véronique avait elle aussi les cheveux poivre et sel mais plus de fesses et moins de seins que Caroline. Les présentations furent faites et le trio l’invita à boire un verre en terrasse. Les deux sœurs portaient une robe ultra légère ne laissant aucun doute sur l’absence de soutien-gorge. Un bal en plein air était organisé à proximité de la terrasse. Stéphane invita Caroline à danser un slow et le contact de ses seins contre son torse déclencha une raideur dans son bas-ventre que la danseuse identifia illico :
Elle le tutoyait désormais. Il voulut s’écarter, mais elle le maintint à son contact. Heureusement, la lumière était faible, on ne verrait pas l’excroissance sur son jean. Mais quand elle lui tendit ses lèvres, il ne se déroba pas. Et quand il voulut la reconduire à la terrasse, elle répliqua :
L’invite était claire et nette, en femme d’expérience appelant un chat un chat. Ou plutôt une bite et une chatte comme il le découvrit plus tard. Il habitait à proximité et à peine furent-ils entrés dans son antre qu’elle se débarrassait de sa robe, de son mini slip et de ses sandales avant de s’allonger sur le lit, offerte.
Pendant leurs courts préliminaires, elle lui expliqua qu’elle en avait assez d’entendre sa sœur et le dénommé Joris forniquer dans la tente voisine et qu’elle avait vraiment très, très envie de lui. Si toutefois il n’était pas gêné par leur différence d’âge. Sa puissante érection parlait pour lui, elle en fut admirative et lui promit « qu’il pourrait lui faire tout ce qui lui passerait par la tête pourvu qu’il ne se dépêche pas ». Sous-entendu, garde ton sperme le plus longtemps possible. Sa langue agile tourna autour de son gland et il lui rendit la pareille en la suçant longuement, des seins à la chatte, ce qui la fit roucouler jusqu’au moment où elle lui dit :
Lorsqu’il se remémora plus tard l’épisode érotique avec Caroline, Stéphane en conclut qu’il avait eu une chance inouïe de pêcher ce jour-là. Cette femme d’expérience lui avait fait découvrir le vrai sexe, contrairement à ses relations féminines antérieures, qui prenaient sans rendre, où qui prenaient par obligation. Non seulement Caroline prenait mais elle rendait au centuple. En mouvement permanent, inventive, généreuse, volubile, voire très crue, elle vivait son rapport sexuel comme une fête de son corps. C’était la première fois que Stéphane rencontrait une femme sans le moindre tabou, ce qu’elle résuma dans le feu de l’action en lui disant :
C’est peu dire qu’ils avaient baisé cette nuit-là. Il l’avait tringlée à trois reprises après avoir pourtant éjaculé, mais elle jubilait quand il remettait le couvert en célébrant la vigueur de sa bite. Jamais il n’aurait imaginé qu’une femme puisse solliciter une sodomie comme elle l’avait fait en termes très crus. Et jouir de son cul. La fameuse cravate de notaire dont il avait entendu parler, elle en faisait son régal entre ses seins plantureux, mais surtout le sien à tel point que ce fut une des causes d’éjaculation.
Ils s’étaient quittés au petit matin, elle paradoxalement plus fraîche que lui. Et elle l’avait retrouvé dans son coin de pêche l’après-midi sur son matelas pneumatique et dans son mini bikini. Il leur servit de couche en retrait de la rivière pour de nouveaux ébats où ses cris d’extase firent envoler les oiseaux.
Bien entendu, il avait fini par oublier leur différence d’âge, ses cheveux poivre et sel, qu’elle aurait pu être « techniquement » sa mère si elle l’avait eu à vingt ans. Quand elle pilonnait ses reins de ses talons en gémissant « vas-y encore t’arrête pas », quand prise en levrette elle venait le chercher à grands coups de fesses, quand il pétrissait ses obus lorsqu’elle le chevauchait et qu’elle lui caressait les couilles en même temps, quand elle célébrait sa bite pendant qu’il l’enculait, comment aurait-il pu constater leur différence d’âge ? Caroline baisait et il la baisait, point final.
Elle l’invita à dîner à son camp avec sa sœur et son compagnon, si toutefois ça ne le gênait pas d’y être nu. N’ayant pas de problème avec son corps, il accepta. De voir évoluer Caroline et sa sœur à poil et sans la moindre gêne l’épata pendant quelques minutes. Il dut se concentrer pour ne pas bander, puis il s’habitua. Pendant le dîner assez frugal, Véronique le couvait d’un regard gourmand ce qui le gêna un peu. Mais Caroline ne semblait pas s’en formaliser. Plus tard au bord de l’eau sous la lueur de la lune où tous les quatre prenaient le frais, Joris lui dit à l’oreille :
À ce moment, Véronique se releva et mit les pieds dans l’eau avant de se glisser dans l’onde. La vision de sa croupe plantureuse déclencha dans la tête de Stéphane une envie de sodomie irrésistible. Elle ressortit de l’eau en ondulant, seins dressés, consciente de son attrait, et s’assit à côté de lui, tout humide. Elle posa la main sur son pénis et lui dit à l’oreille :
Il se retourna et vit que Caroline et Joris s’embrassaient goulûment en se caressant mutuellement le sexe.
Stéphane se laissa prendre par la main pour traverser le camp au milieu des tentes où les bruits de l’amour se faisaient entendre. Véronique gloussa :
Ils entrèrent sous l’une des deux « canadiennes » abritant les deux sœurs. Véronique la laissa ouverte « pour ne pas avoir trop chaud ». À l’évidence, qu’on puisse les visualiser en train de forniquer ne l’embarrassait pas. Drôle de camp, pensa Stéphane.
Mais il avait tellement envie d’enfiler cette mature si libérée, si juteuse, qu’il ne se préoccupa pas de montrer son cul en action. Elle lui imposa un 69 « pour faire connaissance » et il en profita pour lui doigter l’anus car il avait la ferme intention d’enculer cette croupe abondante. Si elle aimait autant ça que sa sœur, sa nuit serait belle.
Mais l’ouverture fut plus classique. Il la prit en missionnaire et elle manifesta la même ardeur volubile que Caroline. Et elle le somma tout autant de durer. La lune éclairait l’intérieur de la tente et c’était sans doute l’autre raison de l’ouverture. Elle voulait le voir en train de la baiser. Lorsqu’il la prit en levrette, ils entendirent des exclamations dans la tente contiguë. Caroline jouissait.
Il l’avait bien préparée et il entra facilement et voluptueusement dans cette raie bien ouverte. Aussitôt, le brame de Véronique répondit comme un écho à celui de sa sœur. Elles avaient curieusement la même voix dans le plaisir. Et c’était comme si elles se répondaient à travers les toiles. Ce fut même flagrant quand Caroline interrogea sa sœur :
Stéphane se prit à espérer qu’aucun voisin des tentes n’entende ce dialogue sulfureux. Mais cela n’entamait en rien son excitation. Véronique était une vraie et bonne baiseuse, comme sa sœur. Elle roulait des hanches pendant qu’il la sodomisait avec des jappements d’extase, puis elle vint sur lui, face à l’entrée de la tente, de sorte qu’il put visualiser son corps en mouvement, son rictus de plaisir puis sa belle croupe quand elle se retourna. C’est d’ailleurs cette vision qui le fit jouir car elle connaissait également l’orgasme. Ils se reposèrent un court instant puis elle le prit par la main et l’entraîna à la rivière pour un bain post-coïtal où ils furent rejoints par l’autre couple. Comme ils étaient assez bruyants, ils se firent engueuler par un voisin installé près de la rive. Pour Stéphane, il était temps de rentrer. Pas question de dormir sur place avec cette voleuse de santé…
Quelques jours passèrent et plus personne ne se présenta en matelas pneumatique devant sa canne à pêche. Il se décida à se rendre au camp, mais constata qu’à l’emplacement des deux tentes, un vide s’était créé. Les deux sœurs s’étaient envolées sans même lui dire au revoir. Un peu décevant même s’il ne se faisait pas d’illusion sur la solidité de leur relation. Mais il avait eu affaire à deux libertines soucieuses avant tout de leur plaisir, sans contrepartie. Il avait joué le jeu, il en avait profité, elles aussi, et voilà, c’était tout, fin de l’histoire.