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Temps de lecture estimé : 12 mn
18/05/24
Résumé:  Un homme se confie à sa belle-mère sur ses états d’âme…
Critères:  alliance
Auteur : Godor            Envoi mini-message
Une Belle-Mère particulièrement compréhensive…

Bonjour, je m’appelle Fabien, cinquante et un ans, bien sous tous rapports et j’aimerais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a quelques années…


J’ai rencontré ma femme à la fac, il y a maintenant plus de trente ans, c’est fou comme les années passent ! Notre rencontre, improbable à l’époque, a par la suite donné lieu à une union et à la naissance de deux enfants. Notre vie sexuelle a toujours été correcte, sans plus, normale quoi, on va dire, et puis au fil des années qui passent, de l’inexorable routine qui s’installe alliée à la fatigue du train-train quotidien, nos rapports se sont espacés de plus en plus avec le temps, me rendant insatisfait de ce côté-là, Madame n’étant finalement pas plus demandeuse que cela… Pour autant, l’option d’aller voir ailleurs, si facile avec les technologies d’aujourd’hui, ne m’emballait vraiment pas plus que ça, puisque j’éprouvais toujours beaucoup de sentiments pour ma chère et tendre.


Par ailleurs, j’ai toujours entretenu d’excellents rapports, en gendre idéal que j’étais, avec mes beaux-parents. Je m’entendais parfaitement bien avec mon beau-père, Jacques, et ne pouvais faire aucun reproche à ma belle-mère, Sylvette, toujours à l’écoute de sa fille et de ses petits-enfants.

Celle-ci, plutôt fine au début de notre relation avec ma femme, s’était quelque peu arrondie au fil des années, des rondeurs qui restaient toutefois parfaitement harmonieuses et qui petit à petit éveillèrent chez moi des envies inavouables la concernant.

Parlant généralement assez librement et ouvertement avec elle, et alors que je ne sais plus pour quelle raison nous nous sommes retrouvés seuls à discuter de ça, je me suis un jour littéralement confié à elle. Une longue discussion s’en est suivie. Elle m’écouta longuement, ne prenant parti ni pour moi, ni pour sa fille, elle essaya toutefois de relativiser, m’avouant à demi-mot que son mari, qui avait quasiment dix ans de plus qu’elle n’avait pas une « forme olympique » de façon régulière et que c’était même plutôt l’inverse, mais qu’elle en avait pris son parti et ne faisait quasiment plus la chose, mais elle l’aimait toujours énormément… Je compris alors que de ce côté-là, elle souffrait elle aussi et qu’elle s’était fait une raison à ce sujet. Je lui faisais comprendre que moi, malgré mes efforts pour vaincre la routine qui s’était installée au sein de notre couple, je n’en restais pas moins frustré et éprouvais pas mal de besoins en matière de sexe. Elle m’embrassa tendrement, telle une mère, sur la joue et la conversation en restait là.


Quelques semaines plus tard, nous nous retrouvions conviés à l’anniversaire d’une grand-tante qui souhaitait marquer le coup et invitait pour cette occasion une bonne partie de la famille.

C’était le tout début de l’été, et nous nous retrouvions donc tous ensemble, je n’avais pas vu mes beaux-parents depuis un petit moment, et je restais bouche bée lorsque je découvris belle-maman débarquer dans une nouvelle tenue qu’elle venait de s’acheter. Un petit gilet vert recouvrait une robe parfaitement estivale, rouge à fleurs, qui lui allait à ravir. Elle lui arrivait au-dessus du genou et épousait parfaitement ses formes mettant en valeur des rondeurs tout à fait voluptueuses pour lesquelles je devenais hypersensible…


Le dîner copieux et l’ambiance festive sont au rendez-vous. Une série de jeux laisse rapidement place à une piste de danse bien garnie. Les valses et autres tubes de rock s’enchaînent et arrive enfin la traditionnelle série de slows… J’invite forcément ma femme, en gentleman que je suis, nous dansons un slow puis deux, et alors que j’allais retourner m’asseoir à table, nous entendons tout à coup le DJ dire « et on change de cavalière !! » Ni une, ni deux, mon beau-père, qui était juste derrière nous à ce moment-là, prend naturellement sa fille dans les bras, et je me retrouve nez à nez avec belle-maman, que je vois avec le sourire aux lèvres. J’esquisse à mon tour un large sourire et lui tends les bras alors que la musique se remet en route…


Nos corps se rapprochent, mes mains viennent se poser autour de ses hanches sur le fin tissu de sa robe. J’apprécie cet instant, je ne sais pas pourquoi mais mon cœur se met à battre, le stress sûrement… Sylvette n’étant pas très grande et un peu rondelette, son ventre vient se poser sur mon bas-ventre, cette sensation me fait quasiment immédiatement réagir, d’autant que je me remets à penser à la petite conversation intime que nous avions eue ensemble il y a quelques semaines ou mois… Je me mets à balbutier que sa robe lui va à ravir dans un langage que je ne maîtrise plus trop, mais elle a dû comprendre car je la sens flattée, et elle me glisse à l’oreille :



Je lui répondis qu’elle semblait en effet faite pour elle et qu’elle lui allait à ravir…


L’idée qu’elle sente ma virilité à travers le tissu, à défaut de la sentir en elle, m’excite au plus haut point, mes mains sur ses hanches me laissent à penser qu’elle porte une fine culotte sous sa robe, mon sexe se raidit désormais totalement, je sens que mon érection est à son apogée, comprimé sur le ventre de belle-maman qui ne bronche pas…


La danse se termine avec un « Et on embrasse sa cavalière ! », nos corps se séparent, à regret en ce qui me concerne (j’aurais bien continué à lui « faire l’amour » ainsi…), je l’embrasse discrètement dans le cou, sous l’oreille, je la vois me sourire et lancer un petit regard discret en direction de mon bas-ventre, heureusement que nous sommes dans la pénombre, je ne suis plus trop présentable dans cet état… Je regagne maintenant ma place pour de bon, Sylvette, que je ne quitte pas du regard en fait de même, me lançant un dernier regard furtif.


Quelques semaines plus tard, voici enfin les grandes vacances qui pointent le bout de leur nez. Nous avions prévu d’envoyer les enfants en colonie, réticents les premières années, ils y partaient désormais avec grand plaisir, et il faut avouer que cela nous faisait, à nous parents, le plus grand bien de se déconnecter totalement du monde du travail. N’ayant pas vu mes beaux-parents depuis la fameuse soirée festive, nous décidons, ma femme et moi non seulement de leur rendre visite, mais aussi d’aller y passer le week-end.


Nous déposons donc les enfants, les confiant à leurs moniteurs, puis prenons la route pour nous diriger chez Sylvette et Jacques, ravis de nous accueillir l’espace d’un week-end. Malheureusement, à peine arrivés, ma femme, infirmière, reçoit un coup de fil de sa responsable. Embarrassée, je comprenais qu’elle lui expliquait qu’une de ses collègues avait un empêchement de dernière minute et qu’il lui manquait du personnel… Ma femme, ne sachant refuser, accepte de remplacer sa collègue au pied levé et me dit que cela ne changeait en rien notre programme du week-end, et qu’elle sera rentrée le lendemain, sa garde se terminant à midi.


Nous dînons tout de même tous les quatre puis ma femme reprend la route pour une nuit de travail. Nous nous retrouvons mes beaux-parents et moi à discuter de la pluie et du beau temps devant la télévision. J’apprends que mon beau-père a une sortie cyclo de prévue le lendemain matin, et que vu le nombre de kilomètres qui étaient au programme il partirait assez tôt. Je n’étais vraiment pas fan de vélo et leur dit en rigolant que pour mon premier jour de vacances, c’était une grasse matinée qui se profilait en ce qui me concerne.


Mon beau-père, qui n’est pas du soir, et qui doit en plus se lever tôt le lendemain ne tarde pas à nous quitter pour rejoindre les bras de Morphée comme il dit souvent. La maison des beaux-parents étant mal sonorisée et les portes restant habituellement ouvertes, nous l’entendons rapidement ronfler. Je reste donc seul avec Sylvette, devant une émission assez banale et peu intéressante. Après un long silence, elle me demande si ça va bien entre sa fille et moi, comme pour prendre des nouvelles suite à la longue conversation que nous avions eue il y a quelques mois maintenant. Je lui dis que je m’entendais toujours super bien avec elle, qu’il n’y avait aucun souci de ce côté-là, mais que sexuellement, à mon grand regret, c’était de plus en plus souvent le calme plat alors que mes besoins ne diminuaient pas, bien au contraire… Je lui avouais qu’il n’était pas forcément facile d’en parler pour moi, que j’en souffrais en silence et lui demandais de garder ces confidences pour elle. Elle m’assura qu’elle n’en parlerait à personne et qu’elle appréciait beaucoup que je me confie ainsi à elle. L’heure commençait à être avancée et nous prenons ainsi congé l’un de l’autre pour aller nous coucher.


Je mets un peu de temps à m’endormir, repensant à la nouvelle conversation que nous venons d’avoir avec Sylvette, je repense aussi à ce fameux moment, cette danse, la robe qu’elle avait ce soir-là, mes mains sur le tissu, ses courbes voluptueuses et mon sexe indécemment gonflé plaqué sur son ventre…


Le lendemain matin, j’entends mon beau-père partir tôt comme convenu et me rendors assez rapidement… Un peu plus tard, vers neuf heures, j’entends à nouveau le parquet qui grince, Sylvette qui se lève, je m’attends à entendre les marches de l’escalier mais j’entends un petit toc-toc discret à la porte. Sylvette me chuchote :



Je lui fais signe que non, que de toute façon je ne dormais plus… Elle entrouvre alors la porte et vient délicatement me déposer quelque chose sur le lit en me disant :



Je distingue un petit sachet dans la pénombre, je n’en crois pas mes yeux, je crois deviner un préservatif…


Je comprends immédiatement, mon visage s’illumine, je ne peux m’empêcher d’afficher un large sourire, mon érection mi-molle du matin reprend, malgré moi, vigueur comme jamais, je m’empare du précieux sésame et bondis du lit simplement vêtu de mon t-shirt de nuit, pour me diriger vers sa chambre, la porte est entrouverte, je la pousse lentement, la pièce est dans la pénombre, elle s’est recouchée, m’invite à venir m’allonger auprès d’elle, je fais le tour du lit et me glisse à la place de… Jacques ! J’avoue que la situation est pour le moins cocasse et excitante…



Je lui réponds :



N’en pouvant plus, je ne me fais pas prier pour descendre légèrement le drap, mes yeux se sont un peu habitués à l’obscurité, et moi qui ai horreur du latex habituellement, je peux vous dire que je ne mets pas long à enfiler et dérouler le morceau de latex jusqu’à la base. Sylvette, qui m’observe, écarquille les yeux en me voyant un peu galérer pour enfiler cette maudite protection, il faut dire que mon sexe me faisait mal tellement mon érection était forte…



Je lui réponds que j’ai souvent repensé à ce moment que j’ai beaucoup aimé, elle m’avoue qu’elle aussi.



Je la rassurai immédiatement d’un signe de la tête.


Je retire mon t-shirt puis me rapproche d’elle, dans ma précipitation je n’avais pas fait attention, elle est déjà nue. Je viens me coller lentement à elle, sa peau est douce, elle sent bon… Je lui embrasse l’épaule, le cou… Je sens son souffle s’accélérer, elle ferme les yeux et je la sens lâcher prise petit à petit, enfin… lâcher prise pas vraiment, puisque je sens sa main s’emparer délicatement de mon sexe emmailloté, sa bouche s’entrouvre comme si elle appréciait cette vigueur, ce désir que j’éprouve pour elle. Elle me chuchote :



Ma bouche se rapproche de la sienne, puis mes lèvres se posent sur ses lèvres, ma langue ne peut s’empêcher de quitter sa cachette pour aller à la rencontre de la sienne, nos salives se mélangent, je sens sa main accélérer petit à petit les mouvements sur mon sexe gonflé de désir emprisonné sous le plastique tendu à l’extrême…

Ma main s’aventure sur ses courbes généreuses, quel plaisir, je la sens frémir par moments puis ma bouche descend à la rencontre de cette poitrine généreuse, que j’ai si souvent regardée discrètement.

Je fais durer le plaisir en faisant le tour du mamelon avec ma bouche, puis je viens titiller un téton qui me semble énorme, majestueux et fièrement dressé. Je le prends délicatement en bouche, ma langue tourne autour, elle visite chaque petit recoin, je sens les stries d’excitation sur ses larges auréoles… Son corps frémit.



Je ne sais pas qui des deux est en train de tomber le plus fou, j’attrape l’autre sein, il n’y a pas de raison, il ne faudrait pas qu’il soit jaloux… Je me régale, sa poitrine est si grosse que je peux même rapprocher, coller les deux tétons l’un à l’autre pour mieux les dévorer ensemble. Je ressens alors une décharge électrique de sa part, elle se tortille à nouveau… Ma main descend sur son flanc, sa hanche, son superbe fessier pour aller fouiller discrètement son intimité et pour m’enquérir de son degré d’excitation, je ressens une petite touffe de poil qui semble parfaitement entretenue, mon doigt flirte avec sa fente, descend un peu plus et… Mon Dieu… à mon tour de ressentir une décharge électrique… Je découvre Belle-Maman sous un nouveau jour, les va-et-vient de sa main sur mon chibre s’accélèrent et deviennent plus insistants, plus vigoureux…



Je sens que c’est le moment, je prends appui sur mes bras, je bascule lentement sur elle et viens me positionner entre ses jambes qu’elle écarte un peu plus. Mon sexe me fait mal tellement il est tendu comme jamais, elle s’en empare tendrement, pour venir me guider, je cambre un peu les reins pour avancer mon bassin vers le sien, je la sens frotter mon gland sur son sillon maculé de mouille comme pour mieux l’imbiber et faciliter la pénétration.



Nous nous regardons dans les yeux, j’avance encore un peu plus mon bassin, je sens désormais mon gland pénétrer son sexe, ses mains viennent se positionner sur mes hanches, elle ferme les yeux, se mord les lèvres, j’ondule lentement, très, très lentement du bassin en insérant un peu plus mon sexe à chaque fois, mon sexe rentre très facilement tellement Sylvette lubrifie naturellement…

Je la pénètre un peu plus à chaque aller-retour, quelques millimètres à chaque fois, afin qu’elle me sente, qu’elle me déguste encore mieux… Je prends un malin plaisir, c’est elle qui devient insistante avec ses mains sur mes hanches comme si elle me suppliait d’accélérer la cadence…



C’était le feu vert, j’accentue la cadence, mes mouvements de bassin s’accélèrent un peu plus à chaque fois, mon sexe rentre maintenant entièrement dans le sien, ils s’emboîtent parfaitement, je sens sa petite touffe sur mon pubis mais aussi de la mouille jusque sur mon bas-ventre tellement celle-ci est abondante, c’est terriblement excitant, je suis en train de faire l’amour à Belle-Maman façon papa sur maman, en missionnaire… Le lit commence lui aussi à suivre la cadence, avec de petits craquements, un lit à l’ancienne, en merisier sans doute avec un sommier à ressorts. Les gémissements de Sylvette font rapidement place à de petits cris de satisfaction, des gémissements qu’elle semble essayer de retenir. Je n’ai qu’une envie : qu’elle se lâche complètement ! Pour ce faire, j’intensifie encore un peu plus mes va-et-vient en y mettant un peu plus de puissance à chaque fois, je la sens véritablement apprécier mes coups de boutoir, le lit craque un peu plus fort à chaque fois et vient claquer de temps en temps au mur, pour autant je reste sur la retenue, je n’ai pas envie de venir tout de suite, j’ai trop envie de faire durer le plaisir, de la faire jouir comme elle le mérite…


Je lui chuchote à l’oreille que c’est vraiment très bon, l’embrasse à nouveau à pleine bouche, mes mains viennent empoigner ses grosses fesses, ce qui me permet d’aller encore un peu plus en elle à chaque fois, je continue à la limer ainsi durant plusieurs minutes, elle commence à être de plus en plus bruyante, signe d’un plaisir grandissant, quand tout à coup je sens que son corps tout entier commence à trembler, elle se met à gémir fortement, je ne peux plus baisser le rythme, au contraire j’accélère au risque de ne plus pouvoir me retenir, je la baise littéralement, ses râles de jouissance deviennent des cris qu’elle ne retient plus, je sens son orgasme monter intensément, mon bas-ventre claque sur le sien, j’ai l’impression que mon gland vient buter au fond de son vagin tellement l’étreinte est puissante, mon sexe se contracte, mon dieu je sens de longs jets de sperme remplir le petit réservoir de ce satané préservatif. Notre jouissance est indescriptible d’intensité. Je reste quelques secondes inerte, toujours bien calé entre ses cuisses, nous sommes tous les deux épuisés, épuisés mais satisfaits !


Elle m’avoue ensuite qu’il y avait bien longtemps qu’on ne lui avait donné autant de plaisir, je lui réponds que c’était tout aussi intense pour moi et que j’avais particulièrement apprécié cette première séance…