n° 22429 | Fiche technique | 11545 caractères | 11545 2026 Temps de lecture estimé : 9 mn |
20/05/24 |
Résumé: Romain et Élise ont décidé de faire un enfant. Mais ils ont voulu faire de cette procréation un moment rare et enregistré. Élise raconte. | ||||
Critères: fh couple grossexe groscul amour voir miroir noculotte vidéox fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo coprolalie partouze confession | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Je m’appelle Elise, j’ai trente-cinq ans, je suis directrice d’un établissement dont je tairai le nom pour ne pas lui faire du tort et à moi en même temps. Je suis divorcée d’un premier mariage contracté trop jeune, à vingt ans, heureusement sans enfant, du fait de mes longues études. Mais je suis désormais en couple avec Romain, un cadre sup comme moi, de mon âge, et maintenant que nous sommes installés, nous avons décidé de faire un enfant. C’est le sujet de ce récit.
J’en ai d’abord parlé à ma vieille copine Audrey, mariée et mère de famille. Je l’ai connue pendant nos études communes. J’étais déjà en rupture de couple et elle célibataire. Je dois vous avouer que pendant cette période, on a fait les quatre cents coups ensemble. Elle, c’est une grande brune filiforme et moi, un petit format d’un mètre soixante, châtain clair, yeux émeraude, assez forte du bas et assez mince du haut, autant dire que je souffrais un peu de la comparaison à côté du corps de mannequin de ma copine. Je profitais de son attractivité auprès des mâles pour assouvir mes pulsions sexuelles, importantes à l’époque après l’échec de mon couple, étant entendu qu’Audrey dans nos chasses acceptait de baiser que si j’étais baisée aussi. On accumulait les trios, les quatuors et parfois même, j’ose le dire, les partouzes, dans nos soirées étudiantes et même plus tard une fois stagiaires. On baisait à tire-larigot, souvent dans le même plumard, si bien qu’on n’avait plus rien à se cacher elle et moi.
C’est précisément lors d’un de ces stages qui devaient me conduire à mon premier poste que j’ai rencontré Romain. J’avais une plus grande expérience sexuelle que lui et c’est moi qui l’ai mis dans mon lit. Ce n’était à l’origine qu’une histoire de cul supplémentaire dans ma vie agitée. Il bandait dur et longtemps, je l’ai plié à mes fantaisies érotiques, mais quelque chose est passé entre nous qui dépassait les joies du plumard. Dans le même temps, Audrey connaissait Kléber qui la faisait également jouir, comme je pus le constater au cours d’un séjour de vacances à quatre où nous baisions en stéréo dans deux chambres séparées. Un an plus tard, nous convolions en justes noces chacune de notre côté, à deux semaines d’intervalle. Nous nous « rangions des voitures » pour emprunter la voie balisée de la conjugalité. À la différence près qu’elle devint doublement parturiente et moi, pas en raison d’une promotion spectaculaire qui me vissa au boulot. Romain l’accepta.
Mais le temps est passé et j’ai jugé qu’à trente-cinq ans, il était temps d’être mère et mon mari en a convenu aussi. Mais nous ne voulions pas d’une conception basique. J’avais bien décoincé Romain depuis notre rencontre et si nous faisions l’amour, nous baisions aussi. J’entends par là des scénarios anti-conventionnels qui nous conduisirent par exemple un soir dans un sauna libertin en compagnie d’Audrey et son conjoint. À dire vrai, pour elle et moi, ce n’était pas exactement une première, mais en individuel, pas en couple. De voir leurs femmes se faire baiser par des inconnus mit Romain et Kléber dans un état érotique dont nous avons bien profité l’une et l’autre pendant plusieurs semaines. Mais ce ne fut qu’un épisode parmi d’autres moins transgressifs, notre souci étant cependant de ne pas devenir de « vieux couples ».
J’en viens donc à cette conception. J’ai attendu la période la plus propice du point de vue hormonal et le jour J, et même les précédents, Romain s’est gavé d’huîtres et de fruits de mer, de Maca et de spiruline, de manière à conjuguer la vigueur de l’érection à l’abondance de testostérone. Nous n’avons pas forniqué pendant quinze jours, ce qui fut assez dur, mais il fallait absolument que Romain produise une quantité de sperme pour mettre toutes les chances de notre côté. Il a acheté une GoPro, car le but était de filmer nos ébats pour rendre la conception de cet enfant historique et mémorisée. Je précise en outre que notre chambre comporte plusieurs miroirs, notamment un au plafond, subtilité provenant de ma vie partouzarde découverte (et appréciée) chez un couple mûr particulièrement vicieux. Romain devait de surcroît s’armer de son téléphone portable branché en vidéo pour compléter le plan fixe de la GoPro sur pied.
Il fallait d’abord bien se préparer. Nous nous sommes mis nus sur notre canapé devant une vidéo porno où un couple lambda, de notre âge, se faisait filmer en pleine action après conversation avec le vidéaste. C’était histoire d’étudier leur comportement devant l’objectif, les angles de pénétration, l’expression des visages, etc. Romain bandait comme un cerf et moi, je dégoulinais déjà. Je lui ai taillé une petite pipe pendant qu’il matait le couple et on a décidé qu’il était temps d’aller au lit.
Il m’a fait alors son baratin habituel, celui qui me met en transe. Il m’a dit en me voyant à plat ventre sur le lit que j’avais un cul de rêve (la sodomie fait partie de nos us et coutumes, mais ce n’était pas le jour…), que j’étais un coup en or, qu’il allait me défoncer, etc., et il a mis la GoPro en route. On a commencé par un 69, moi dessus pour qu’il me regarde en action via le miroir du plafond et je sentais palpiter sa queue dans ma bouche. Si Romain a une qualité au pieu, c’est qu’il sait se retenir pour attendre mon plaisir. Je ne craignais donc pas qu’il me gicle au visage, ce qui aurait annulé toute l’opération. Néanmoins, il était temps de passer au concret, car je bouillais littéralement, surtout depuis que j’avais vu le couple de la vidéo copuler sur la table de leur cuisine et la grosse queue du mec coulisser dans l’antre de la nana plongée dans l’orgasme.
Alors, je me suis mise sur le dos et j’ai dit :
Je dois d’abord cependant préciser que l’idée de cette conception scénarisée émane d’Audrey. Elle et Kléber avaient décidé de concevoir leur premier enfant dans un lieu spécial. Ce fut dans une hutte perchée sur un arbre avec cependant le confort minimal. Il paraît que c’est à la mode. Ce qui s’appelle s’envoyer en l’air. Nous étions plus classiques avec le lit conjugal, même cerné de miroirs pour voir bite et cul en action reproductrice.
On a réussi à prendre notre temps pour ne pas faire ça comme des lapins, d’abord classiquement, en missionnaire. Tout en me ramonant, il tenait son Samsung en fixant mon visage et la jonction de nos sexes, pour faire réaliste. Je regardais son cul s’agiter dans le miroir du haut, encadré de mes petits pieds, ce qui me mettait au comble de l’excitation. Dès que Romain était au bord de l’éjaculation, il se retirait en se comprimant la queue. Nos bouches prenaient le relais. Par la langue et par le verbe. Il me léchait de A à Z en passant par Q et je faisais de même. On se parlait cru. Je voulais qu’il explose dans ma chatte en me faisant jouir et je savais qu’il adorait m’entendre parler de sa bite. Je voyais son gland de plus en plus violacé tant il était gonflé du désir de me pénétrer. Je lui dis que j’avais une envie folle de me faire enculer, que mon petit trou réclamait, mais que c’était hors de question. Qu’il y aurait droit plus tard, quand il m’aurait bien remplie de son jus. Et tout ça, je vous le rappelle, était enregistré sur la GoPro.
Enfin, il craqua. Il me pénétra à nouveau, cette fois en levrette. On se regardait baiser via le miroir du mur et il me suffisait de tourner un peu la tête pour voir, via un autre miroir, sa queue entrer et sortir avec la régularité d’un métronome. Toujours bien raide, toujours bien grosse. J’ai alors poussé une longue plainte qui traduisait le plaisir inouï que je prenais à cette copulation scénarisée et vidéastée. Je n’ai jamais été discrète au plumard. Je me souviens qu’avec Audrey, elle aussi très verbeuse dans l’extase, on se faisait engueuler par les voisins lors de nos ébats à quatre dans sa piaule. Chez moi, on ne risquait rien, je pouvais me libérer totalement, gueuler, dire n’importe quoi, sous l’effet de cette bite qui comblait mon appétit sexuel.
Vous allez dire « quelle salope, cette Élise » ! Je suis pourtant, par bien des côtés, une femme ordinaire. Je fais bien, je pense, mon boulot de directrice. J’ai de bons rapports avec mes subordonnés et avec les clients. Mes tenues vestimentaires ne sont pas provocantes, je porte souvent des robes longues pour masquer mes grosses cuisses et mon gros cul qu’un pantalon soulignerait de trop près. Et pourtant, au pieu ou même ailleurs, je suis un volcan en éruption, une vraie chienne, comme si la bite révélait ma nature bestiale. J’aime le sexe, j’aime baiser, je préfère le mot « cochonne » à « salope » et je rends heureux mon homme au lit. N’est-ce pas le principal ?
Je le sentais de plus en plus pointu. Il n’allait plus tarder à gicler. Alors, je me suis remise sur le dos. Je voulais le regarder dans les yeux lorsqu’il allait m’ensemencer. J’ai mis mes talons sur ses épaules pour qu’il aille bien profond et je l’ai bombardé de propos salaces en remuant le plus possible mon cul dans cette position. Il a poussé un râle et j’ai senti mon con envahi d’une masse liquide. Son sperme. Mon futur enfant. J’ai verrouillé aussitôt ses reins de mes jambes pour qu’il se répande au maximum et on est resté plusieurs minutes dans cette position, lui en train de dégonfler, moi en train de me concentrer sur mon antre intime comme si ça devait faciliter les choses. J’ai ensuite fait les pieds au mur pour que tout s’écoule bien à l’intérieur de ma matrice. Et pour une fois, je ne me suis pas précipitée aux toilettes. J’ai fait confiance à la nature.
On s’est assoupis, mais en me réveillant, je me suis aperçue que j’avais encore envie. L’excitation extrême, ça ne disparaît pas comme ça. J’ai regardé la queue de Romain, bien flapie. Je l’ai branlottée, sucée, et je lui ai sorti la formule magique, celle qui fonctionne à tous les coups pour le faire bander :
Sa queue a pris aussitôt une position verticale. Il recharge vite, mon homme ! Il faut dire que mon cul l’a toujours inspiré. Je le trouve trop bombé, trop charnu, trop large, et c’est pourquoi je m’efforce de l’effacer dans mes tenues diverses. Sauf, je l’avoue, quand je rencontre un de mes supérieurs qui se débrouille toujours pour être derrière moi quand je marche. Ce jour-là, quand je sais que je vais le rencontrer, je porte une robe moulante, sans slip. Et à voir sa tête, je comprends que ça lui fait un sacré effet, qui se ressent dans mes notes ultérieures. Quand je raconte ça à Romain, ça le rend fou. Il me culbute en me troussant et en me déculottant avant de m’enculer en me disant « tiens, prends ça, ton patron ne l’aura pas ». Je ne vais pas jouer les chochottes. J’aime ça. Je fais partir d’une espèce féminine rare, paraît-il, qui jouit du cul.
Et donc, dans cette phase post-conception, Romain m’a enculée, la queue encore trempée de mon jus et je me suis laissée aller à ma jouissance anale. On n’avait pas arrêté la GoPro et tout a été enregistré.
Six mois plus tard
Je me relis non sans plaisir, car notre plan a marché à merveille… Je suis enceinte de six mois et quand on regarde de temps à autre cette fameuse vidéo, ça nous rappelle un très bon moment. Je crois quand même qu’on ne la montrera pas à notre fille, car c’est une fille, mon bébé. Mais les dernières lignes sur ma sodomie post-insémination m’inspirent encore aujourd’hui. Rien de tel que cette introduction fessière quand on est handicapée par son gros ventre. C’est un conseil que je donne aux femmes enceintes qui me lisent. Mais j’imagine qu’elles ne m’ont pas attendue…