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n° 22434Fiche technique22743 caractères22743
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Temps de lecture estimé : 17 mn
23/05/24
Résumé:  Léa, jeune transsexuelle, découvre les plaisirs du sexe lors d’un baby-sitting.
Critères:  hplusag jeunes fépilée douche trans fellation fsodo -initiatiq -transsex
Auteur : Cherryprevious  (Je m’essaye à l’écriture en toute humilité)      Envoi mini-message
Ma première fois

Je m’appelle Léa, j’ai dix-neuf ans et je suis transsexuelle. Je n’aime pas trop ce terme, car je me suis toujours considérée comme une fille. Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours considéré que je faisais partie des filles et cela a été très dur d’être « côté garçon » jusqu’au collège.


Heureusement, j’ai pu changer de prénom et assumer pleinement quand je suis entrée au lycée. Mes parents ont été très ouverts et j’ai la chance d’avoir un groupe d’amis qui ne m’a pas du tout jugé, voyant bien que je m’épanouissais enfin.


Les hormones que je prends depuis deux ans et ma silhouette très fine font que les nouvelles personnes que je rencontre ne se doutent pas que j’ai encore une partie de mon corps qui est garçon. Je suis une jolie brune – ce n’est pas moi qui le dis ! – avec les cheveux au carré, des yeux marron et un visage que certains qualifient « d’ange ». Je suis très fine avec des petites fesses rebondies que j’entretiens en faisant du sport et un beau ventre plat. Les hormones font pousser mes petits seins, que j’aimerais bien avoir un petit peu plus gros, mais je ne souhaite pas faire de chirurgie. J’ai donc des petits seins qui poussent un peu en poire avec des mamelons bien ronds et des tétons extrêmement sensibles. Je choisis mes soutien-gorge un peu rembourrés pour éviter de voir mes tétons pointer dès qu’il fait froid ou qu’il y a un coup de vent. Et enfin, j’ai pour le moment toujours mon sexe de garçon… Étrangement, j’en suis assez fière et même si je suis une fille, j’adore mon sexe. Il est complètement épilé et très doux. Par contre, il est assez grand par rapport à ma taille, une belle tige très dure et très droite qu’il est parfois compliqué de cacher.


Cette histoire m’est arrivée il y a quelques semaines et j’y pense encore très souvent. Une de mes amies avait besoin de se faire remplacer en urgence pour un baby-sitting et m’a demandé si j’étais disponible. Je n’avais rien de prévu ce soir-là, mais je n’avais aucune expérience avec les enfants. Elle m’a rassurée sur le fait que le bébé était très gentil et que cela consistait globalement à regarder des séries pendant que le bébé dormait, le temps que son papa rentre. Le papa est divorcé.


Je prends donc contact avec le papa et me rends à vingt heures dans leur maison, à vélo. C’était le mois de juin, il faisait beau et chaud. Étant plutôt timide et pas encore tout à fait à l’aise avec mon corps, je portais un jeans et un tee-shirt noir qui ne révélaient pas trop mes formes. Je m’étais quand même maquillée discrètement.


La porte s’ouvre et je reste un peu figée sur le moment. L’homme qui m’ouvre doit avoir trente-cinq ans, une barbe de quelques jours bien taillée et de magnifiques yeux bleus. Je ne sais pas trop à quoi je m’attendais, mais probablement pas à ça. Il a un tee-shirt blanc qui met en valeur son corps et qui lui serre les bras. Il est musclé, mais pas trop, je suis littéralement sous le charme… Sandrine aurait pu me prévenir, j’aurais eu l’air moins idiote en marmonnant :



Mathieu me fait un rapide tour de la maison, qui est décorée avec goût. C’est une maison ancienne et on s’y sent tout de suite bien en y entrant. Les moulures, le parquet et les cheminées apportent un cachet indéniable.



Une fois parti, je me fais un sandwich et je regarde un film. Je suis un peu curieuse et du coup j’en profite pour faire lentement le tour de la maison. Je ressens une pointe d’excitation devant la porte de la chambre parentale… J’hésite à entrer. J’ai une érection qui démarre et mon sexe commence à être bien comprimé dans ma culotte et mon jeans. C’est plus fort que moi, j’entre. Tout est bien rangé. J’ouvre les placards, je sais que je ne devrais pas, mais mon cerveau ne contrôle plus grand-chose. Je ne sais pas ce que je cherche, mais je suis de plus en plus excitée, mon sexe est maintenant dur comme du bois et remonte au-dessus de mon jeans. J’ai envie de me masturber là, tout de suite, dans sa chambre… Je tombe sur ses boxers et je ne peux m’empêcher de les prendre et de les toucher. J’ai envie de les enfiler, mais je n’ose pas… Je continue de fouiller et j’ouvre le tiroir de la table de chevet. Un livre, des mouchoirs, et, mon cœur se met à battre, des préservatifs et du lubrifiant… Rien d’anormal pour un homme célibataire, mais je commence à avoir des images plein la tête et j’ai vraiment trop envie de me masturber…


Je m’allonge sur le lit doucement, il sent bon. Je commence à déboutonner mon jean et je le baisse au niveau des genoux. Mon sexe imberbe sort de ma petite culotte noire en dentelle. Il tire sur l’élastique et cette vision m’excite encore plus. Je suis sur le lit d’un inconnu, moitié nue… Je n’ai jamais fait une chose pareille… Je remonte mon tee-shirt, passe une main sous mon soutien-gorge et commence à me caresser les tétons. Le bout de mon sexe est déjà humide, je n’ai jamais connu une excitation pareille, je sais que je vais jouir immédiatement. J’essaie de me retenir un peu, mais j’en ai trop envie, je prends mon sexe dans ma main droite et commence à faire des mouvements lents de haut en bas. Je bouge le bassin et j’imagine que Mathieu entre dans la pièce à ce moment-là, qu’il me regarde et qu’il sort son sexe, qu’il se rapproche de moi et qu’il me met son sexe en bouche pendant qu’il retire ma main pour me masturber en même temps… Il est si gros dans ma bouche, je le sens jouir, j’ai son sperme dans la bouche, c’est chaud, c’est bon… Je jouis, je jouis. Ma jouissance est d’une force incroyable, j’éjacule comme jamais auparavant… Des longs jets de sperme sur mon ventre, sur mon tee-shirt… Je suis vidée et un peu perdue… J’ai l’impression de me réveiller d’un rêve.


Et merde, j’ai du sperme partout… Je m’essuie rapidement avec les mouchoirs, je fais du mieux que je peux avec mon tee-shirt, et heureusement, rien sur les draps… Quelle idée de conne ! Je m’en veux de m’être laissée embarquer par mes pulsions… Je me rhabille, refais le lit et retourne dans le salon.


Mathieu rentre vers minuit, me demande si tout s’est bien passé, j’ai du mal à ne pas rougir. Cet homme me fait un effet de dingue. Je ne sais pas si c’est ma petite expérience de tout à l’heure, mais j’ai envie de me jeter sur lui et qu’il s’occupe de moi toute la nuit. Rien de tout ça, il me remet l’argent qu’il me doit et m’accompagne jusqu’à la porte :



Deux semaines plus tard, message de Mathieu qui m’indique que Sandrine n’est pas disponible et qu’il aurait besoin de quelqu’un pour garder son petit l’après-midi. Je saute sur l’occasion, cela fait deux semaines que je me masturbe en pensant à lui et que j’ai des fantasmes plein la tête. Rien que de voir son nom sur mon téléphone, j’ai le cœur qui bat à dix milles et le ventre noué. Un mélange d’excitation et de peur me prend quand je lui réponds que je suis disponible. J’ai de nouveau une érection de dingue…


J’hésite pendant des heures sur la manière de m’habiller : comme d’habitude pour ne pas faire louche ? Sexy pour qu’il me remarque ? Après avoir essayé toute ma garde-robe, mon cerveau prend une décision que je n’aurais jamais imaginée : habille-toi pour le rendre dingue. Je me maquille pour faire ressortir mes yeux, je passe un rouge à lèvres rose très discret, je mets mon collier noir ras du cou que je n’ai jamais osé mettre, mais qui rend les garçons fous (du moins d’après les magazines féminins…). Je mets cette fois un tee-shirt blanc un tout petit peu transparent qui permet d’imaginer la forme de mes petits seins. Je ne mets pas de soutien-gorge et on peut deviner mes tétons suivant les mouvements que je fais. Je mets mon plus beau tanga noir en dentelle, il est un peu transparent et je vois mon sexe blanc et lisse au travers, je suis déjà excitée. Je mets un short pas trop serré par-dessus et me voilà en route.


Avec tout ça, je suis en retard et je commence à paniquer. Je roule vite et j’arrive essoufflée dans le jardin, je galère avec mon vélo et je me prends les pieds dans une ronce, voilà que je me griffe la cuisse. Après avoir fantasmé de ce moment pendant deux semaines, voilà que je fais n’importe quoi. Mathieu m’ouvre.



On se dirige vers la cuisine quand il remarque la griffure sur ma cuisse qui commence à saigner légèrement.



Me voilà donc à le suivre dans la salle de bain où je m’assois sur le bord de la baignoire, les cuisses écartées. Je me rends compte tout à coup que mon cœur recommence à battre la chamade… Ce niveau d’intimité, avec mon tee-shirt sans soutien-gorge, mon mini short et les cuisses écartées me font monter l’excitation d’un coup. J’essaye de penser à autre chose, car je sens mon sexe grossir sans pouvoir le contrôler et cela risque de se voir compte tenu de ma position…



Je ne sais pas pourquoi j’ai répondu ça, c’est complètement faux et en temps normal je n’aurais certainement pas laissé un inconnu me toucher la cuisse dans sa salle de bain. Mais mon cerveau est déconnecté et j’ai l’impression d’être dans un monde parallèle où seul mon désir compte…



C’est peut-être le ton sur lequel j’ai dit cette dernière phrase, ma posture assez suggestive ou nos regards qui se croisent plusieurs secondes, mais je sens un feu à l’intérieur de moi et je vois à son regard et son visage qu’il a ressenti la même chose. On ne dit plus rien, j’ai le souffle coupé, j’ose à peine respirer. Il continue d’appliquer le coton doucement sur ma cuisse, beaucoup plus doucement que tout à l’heure. Son geste ressemble plus à une caresse, maintenant. Est-ce que je me fais des films ? J’écarte un peu plus les cuisses et je n’arrive plus à contenir mon érection. Une boule se forme dans mon short et il est maintenant impossible de ne pas la voir. Mon Dieu, que va-t-il penser quand il va voir que je ne suis pas complètement une fille ? Je vois son regard qui se pose furtivement sur mon entrejambe, il ne dit rien. Il a compris. Il va me demander de partir, c’est sûr…



Je sens toute l’hésitation dans son regard. Maintenant, je sais qu’il a envie de moi. Mais il se dit que la différence d’âge et le fait que je sois la baby-sitter n’est probablement pas une bonne idée. Il faut que je le rassure… J’ai tellement envie de lui maintenant que je ne veux pas qu’on s’arrête là… Je prends mon courage à deux mains.



À ce moment-là, je lui prends la main et je la lui fais remonter sur mon sexe en le regardant droit dans les yeux. J’ai envie de m’offrir tout entière à lui, je veux qu’il me fasse découvrir le sexe et je sens qu’il saura y faire.



Je sens alors sa main qui agrippe mon sexe au travers de mon short. Oh que c’est bon ! J’ai une vague d’excitation qui me fige. Il le voit et desserre un peu sa main. Il me regarde avec des yeux de désir, enfin je sens que je l’excite et qu’il a envie de moi. Je le regarde en me mordant la langue. Il me parcourt comme s’il me regardait pour la première fois. Il regarde ma bouche qui est maintenant ouverte et qui respire fort, mon collier ras du coup, mes seins qui pointent contre mon tee-shirt. Je me penche en arrière, on voit la forme de mes seins contre le tee-shirt, il passe une main dessous et m’attrape un sein, il paraît si petit dans sa main.



Je sens qu’il prend les choses en main et c’est tout ce que j’attendais. J’ai envie d’être à lui, je me sens tout à coup très salope, j’ai envie d’être son objet de plaisir, de le rendre fou de moi… Toujours assise sur le bord de la baignoire, je retire mon tee-shirt, mes seins pointent comme jamais, je les trouve beaux. Je retire mon short, mais je garde mon tanga, j’ai envie de le faire attendre.



Il se rapproche de moi, me passe la main derrière le cou et m’embrasse. Je fonds, il me rend dingue. Il embrasse tellement bien, ni trop fort, ni trop doux. Un baiser passionné, de plus en plus intense. Nos souffles sont mêlés. Il descend ses mains dans mon dos, sur mes hanches, il caresse mes seins, ça me donne des frissons. Je lui attrape l’entrejambe et je sens une énorme bosse dans son jeans. Il est aussi dur que moi. C’en est trop pour lui, il m’attrape par en dessous des fesses et me porte jusqu’à son lit dans la pièce d’à côté. Il m’y dépose et je suis allongée en tanga noir, le sexe qui dépasse et qui perle déjà, prête pour lui.


Il me tire par les cuisses et me rapproche du bord du lit. Il m’embrasse les cuisses et remonte doucement vers ma culotte… Je suis déjà proche de la jouissance… Il commence à me donner de petits coups de langue au travers de la dentelle… Je sens sa langue sur mes boules et je ne tiens déjà plus…



Il m’attrape les couilles avec sa main et baisse un peu ma culotte pour commencer à lécher doucement le haut de mon sexe. Sa langue est chaude, c’est délicieux. Puis je sens mon gland qui devient chaud et mouillé… Il m’a pris en bouche… Là, je ne vais vraiment pas tenir… Je lui écarte le visage et j’éjacule par grosses giclées sur mon ventre… J’ai l’impression que cela dure des minutes entières, que mon corps relâche des années de plaisirs solitaires… Que c’est bon ! J’ai les jambes qui tremblent.


Il me faut quelques minutes pour reprendre mon souffle et je vois Mathieu qui me nettoie doucement avec un mouchoir.



Il m’emmène vers la douche, je suis en petite culotte et lui encore tout habillé. Il me prend par la main et je le suis. Il fait couler l’eau dans la douche à l’italienne à côté de la baignoire. Il s’agenouille et fait doucement glisser ma culotte par terre. Je suis nue devant lui, si petite et fragile, si offerte devant cet homme que je n’aurais jamais imaginé en rêve.



L’eau chaude coule sur mes cheveux, mon visage, mon cou et tout mon corps. Cela me fait un bien fou. Je suis sur un nuage et je me sens belle. Je vois le regard de Mathieu sur mon corps, et je comprends bien qu’il a envie de moi. Le pauvre est resté sur sa faim. Je prends du gel douche et je commence à me savonner en le regardant droit dans les yeux. Maintenant, c’est à moi de lui faire plaisir, je veux lui rendre ce qu’il m’a offert. Au centuple. Je veux le faire jouir comme il m’a fait jouir. Je veux perdre ma virginité avec lui, je veux le sentir en moi.



Il se déshabille et je vois enfin son sexe. Il n’est pas encore en totale érection, mais je vois déjà qu’il est épais et lourd. Il est rasé de près et cela fait encore ressortir son diamètre qui me paraît spécialement gros.

Il se met sous la douche avec moi, je lui attrape la queue et je l’embrasse. Puis je le regarde droit dans les yeux avec un regard qui l’implore :



Je me mets à genou, et toujours en le regardant dans les yeux, je sors doucement ma langue. Il est maintenant dur comme du bois et sa bite me paraît énorme dans ma petite main. Je la lèche tout doucement de bas en haut en lui demandant s’il aime ça. Rien qu’à son regard, je vois qu’il prend un plaisir fou. Je lui lèche doucement les couilles, puis je les prends entièrement dans la bouche pendant que je le masturbe tout doucement. Je remonte vers son gland, il est beau, il est énorme, il a envie de me baiser la bouche. Alors j’ouvre la bouche, et je le laisse rentrer doucement en me regardant dans les yeux et en me disant que je suis sa petite salope maintenant. Je suis aux anges. Je le rends dingue et ça m’excite.


Il doit comprendre que je suis offerte et que je n’attends qu’une chose, qui me prenne comme la petite chienne que je suis à ce moment-là. J’ai le gland mouillé, déjà excitée comme une salope. Il me relève, me met face contre le mur, je miaule de plaisir. Je le supplie :



Mon cul est dilaté de l’excitation et de la douche… Il prend du gel douche et me le colle sur mon petit trou. Il joue avec de l’extérieur, je crois mourir de plaisir. Il sait y faire. Il glisse un doigt puis très vite un deuxième et déjà je me sens remplie, il les rentre bien profondément en me demandant si j’aime ça. Je lui crie de continuer. Alors il glisse un troisième doigt doucement, ça fait un peu mal, mais un mal qui fait du bien. Il prend son temps et commence à jouer avec ma prostate, je dois me contenir pour ne pas jouir une nouvelle fois.



Et là, je sens qu’il retire doucement ses doigts… Ça fait bizarre, je me sens vide… Je l’entends enfiler un préservatif et très vite je sens son gland qui rentre doucement dans mon entrée déjà bien préparée. Puis il rentre doucement sa queue, et là je comprends ce que cela fait de se faire sodomiser… Ça fait quand même plus mal que les doigts, avec sa queue énorme. Il y va doucement et me demande de souffler. Je ne veux pas m’arrêter, mais je respire fort et je prends mon temps. Mon petit cul vierge n’est pas prêt pour cette bite. Mais je lui demande de continuer. Il s’enfonce, doucement, rajoute un peu de gel. Et je commence à le sentir glisser plus facilement. Il s’arrête quand il est tout au fond de moi et je ne suis pas loin de m’évanouir. La douleur et le plaisir se mélangent.



Il commence alors à faire des allers-retours dans mon cul. D’abord doucement, puis il accélère le rythme. Maintenant, c’est moi qui bouge les reins et les fesses pour bien le sentir. Il a ses mains sur mes seins, puis autour de mon cou, puis il descend sur mes hanches. Il m’accroche les hanches et commence à me mettre des gros coups de queue. Je le sens qui défonce ce qu’il reste de ma virginité, et j’adore ça. Chaque coup de bite est un pas vers une nouvelle vie, une vie de femme qui va rendre dingues les hommes. C’est lui qui me baise, mais c’est moi qui prends le plus de plaisir. Je lui crie de me baiser plus fort, que mon cul est à lui et qu’il ne demande qu’à être bien rempli de son foutre. Je suis cambrée, totalement offerte, mon corps de jeune salope à sa disposition. Quand il me dit au creux de l’oreille qu’il va jouir, je lui dis que moi aussi, il attrape ma queue et je jouis dans sa main. Je lui dis que sa petite princesse a mérité sa récompense, ça le fait craquer. Je sens son sexe tout au fond de moi, et des spasmes partout dans mon corps. Enfin, il me remplit de bonheur. Je suis pleine de lui, il se colle à moi en me disant que je suis magnifique.


Je lui serais toujours reconnaissante de cette initiation. Il ne m’a plus appelée et je pense que c’est mieux comme ça… C’était une relation trop compliquée, mais il m’a ouvert la voie vers une sexualité que je n’assumais pas. Je repense très souvent à ces moments de sexe et de bonheur intenses. La nostalgie d’une première fois…