n° 22448 | Fiche technique | 20039 caractères | 20039 3513 Temps de lecture estimé : 15 mn |
05/06/24 |
Résumé: Un après-midi de canicule, un bus bondé, une proximité avec un inconnu qui me trouble… | ||||
Critères: fh inconnu bus fsoumise hdomine fellation pénétratio champagne -totalsexe | ||||
Auteur : AdamAdamAdam Envoi mini-message |
Il est des choses horribles que l’on finit par trouver normales et à intégrer dans notre quotidien. L’heure debout dans un bus bondé pour rentrer le soir en fait partie.
Par chance, aujourd’hui, il y a peu de gens sous l’abribus. Il faut dire qu’avec la chaleur caniculaire et les vacances de ce mois d’août, Paris se vide.
Le voilà qui arrive et chose extrêmement rare il est quasiment vide… J’arrive même à trouver une double assise vide, mon livre, mes AirPods, la définition du bonheur après une journée à suinter…
Je me laisse aller à mes rêveries en ignorant les regards plus qu’indiscrets de certains passagers… Dès qu’on sort une robe un peu décolletée, on attire tous les affamés de la capitale… Par chance, il semblerait que la chaleur les ait rendus fainéants.
Je suis à moitié somnolente, lorsque je sens une présence à mes côtés. D’abord remontée, j’étais à deux doigts de lui dire d’aller s’asseoir sur un des nombreux autres sièges inoccupés, mais un coup d’œil rapide de l’habitacle m’indique qu’il s’est bien rempli en quelques arrêts…
Je regarde ma montre : encore 52 minutes de trajet. Je soupire et prends mon mal en patience.
Ça a commencé discrètement, c’était presque imperceptible… D’ailleurs je ne l’aurais sûrement pas senti si je n’avais pas les jambes dénudées, mais je sens sa cuisse m’imposer une infime pression sur la mienne…
Quel manque de tact ! Une marque de virilité dont il ne doit même pas se rendre compte. Je le détaille, discrètement, je ne vois que peu de choses de lui d’où je suis : mâchoire carrée, regard dissimulé derrière des lunettes noires, une stature imposante devant avoisiner le mètre quatre-vingt-dix… Il a l’air serein, et imperturbable.
Mais au fur et à mesure des stations, la pression sur ma cuisse s’accentue… il prend ses aises, ce goujat…
Comprimée, j’ai chaud, le trajet est encore long… À chaque soubresaut du bus, sa cuisse frotte carrément la mienne… Il ne peut pas ne pas s’en rendre compte, c’est impossible !
En pleine hésitation entre me laisser aller à ce contact forcé et lui signaler qu’il me gênait, je le vois d’un coup sec, plonger sa main vers sa poche pour y chercher quelque chose…
En effleurant, avec une précision qui ne pouvait pas être innocente, la peau de ma cuisse, jusqu’à remonter légèrement de quelques centimètres le tissu de ma robe…
Je suis tétanisée, électrisée par l’audace de cet inconnu, mais aussi parcourue d’une chaleur émanant de ma poitrine jusqu’au bas ventre, émue par la douceur de sa peau.
Je déglutis avec peine. Ma gorge est sèche, mon entrejambe humide.
Ma respiration s’accélère, sans que je puisse la contrôler et je n’arrive plus à savoir si la moiteur entre mes cuisses tenait de la chaleur extrême, ou de ce contact forcé.
Instinctivement, mon corps en redemande, et mes cuisses s’entrouvrent d’un millimètre. Signal sans équivoque pour lui ; ma cuisse touche maintenant le bout de son doigt, qui oscille de manière presque imperceptible, mais suffisamment pour que ce contact me provoque la chair de poule. Il le fait forcément exprès… Et j’apprécie…
Je reprends soudain mes esprits et me demande ce qui m’arrive, à me tordre sur mon siège de bus, la main d’un inconnu frôlant ma cuisse, que j’écarte de plus en plus… Mon visage cramoisi contraste avec le sien, toujours aussi serein… Mais un coup d’œil vers son entrejambe suffit à me prouver le contraire. Son pantalon beige est déformé par une bosse qui tend le tissu sur l’ensemble de sa cuisse…
Nouvelle décharge d’adrénaline, nouveau flot qui inonde mon string… putain mais pourquoi j’ai mis un string. Il doit bien faire 18 ou 20 cm alors qu’il est comprimé dans ce pantalon trop serré… ou alors je rêve… je ne sais plus… j’ai des images en tête, envie de me remplir avec mais je dois me contrôler…
Il saisit ma main… La sienne est chaude, gigantesque. J’ai le souffle coupé. Je n’ose plus le regarder. Je fixe le fauteuil devant moi…
Très lentement, il guide mes doigts vers sa poche… Sa cuisse… Sa bosse… Je sens l’extrémité de ce qui doit être son gland sous ma paume de main. Je crois même le sentir vibrer à mon contact. Mes ongles se serrent instinctivement, je me mords les lèvres. Pour la première fois, il montre un signe de faiblesse : il se racle la gorge et se penche en arrière… D’un geste rapide, il ramène sa veste sur ses jambes, ainsi plus personne ne peut voir le manège de mes doigts qui se promènent sur son entrejambe…
J’en profite pour remonter une main tremblante vers le chemin que dessine sa queue gonflée sur son pantalon… Je sens mes tétons se dresser à travers ma robe et son regard plonger sans vergogne dans mon décolleté. Ça me plaît, je veux qu’il en voie plus… De ma main libre, je tire sur l’échancrure de ma robe… La moiteur de l’habitacle devient insupportable… Des gouttes de sueur perlent et finissent leur course langoureuse entre mes seins tendus d’excitation. Je tire sur le tissu jusqu’à faire émerger l’auréole de mes seins… Je rêve qu’il me les bouffe, qu’il crache dessus, qu’il les gifle…
Je prends conscience de la situation et d’un geste brusque retire ma main de sa cuisse.
« Allez, reprends-toi… tu es en train de branler un inconnu à travers son pantalon dans un bus bondé ! » J’observe autour de moi, j’ai le feu aux joues… personne ne nous calcule, tout le monde a les yeux rivés sur son portable… je fais mine de regarder ma montre, mais il faut bien m’y reprendre à trois fois pour me rendre compte qu’il me reste encore 25 minutes de trajet… je dois me maîtriser si je ne veux pas détremper mon siège…
Deux longues minutes… rien ne se passe… toujours ce frottement sur ma cuisse mais rien d’autre… il a toujours son énorme main posée sur son genou… à quelques centimètres de son gland qui ne semble pas vouloir dégonfler… Sans le vouloir, je fixe sa queue… tout me paraît démesuré chez lui… je l’imagine me perforer… et chaque vibration du bus remonte le long de mon sexe comme un sex-toy géant…
Je n’y tiens plus, je dois oser. Dans un geste d’une infinie lenteur, je déplace ma main, millimètre par millimètre, jusqu’à la sienne… Nos doigts se raccrochent. Je sens sa phalange caresser la mienne… je jette un coup d’œil aux alentours, et je dirige sa main vers mes cuisses grandes ouvertes…
Ses doigts sont agiles… Son index et son majeur se déplacent autour des coutures de mon string sans jamais y rentrer. Son pouce, avec une grande précision, localise le capuchon de mon clitoris qu’il se met à presser lentement à travers le tissu… j’étouffe un cri… heureusement couvert par le vacarme du bus… ma main s’agrippe à son bras… je le presse d’y aller plus fort, plus loin…
Au contact de ses doigts sur mes cuisses je comprends que je suis trempée, bien plus qu’au niveau de mon string ; mon excitation coule jusqu’à inonder mon cul… J’ondule du bassin… je veux qu’il me pénètre, lui, par tous ses instruments dans tous mes orifices… je commence à haleter, le feu de la jouissance se pointe, j’ai envie de crier, de libérer ce plaisir qui irradie maintenant dans mon sexe, mon bas-ventre, mes seins…
C’est à ce moment, au bord de l’extase, qu’il choisit de s’arrêter… Le salaud ! Il me laisse du mauvais côté de la rive…
Lentement, il rapproche ses doigts, que je devine luisants de mouille, vers sa bouche et les lèche délicatement. Puis sans prévenir, brusquement, avec la même main, il vient saisir mon cou fermement.
Panique ! Il veut m’étrangler ! Je me laisse forcer à détourner le visage, rapidement il rapproche sa bouche de mon oreille et me murmure d’une voix rauque :
Panique… il a relâché mon cou… j’ai encore la tension de sa poigne qui a dû marquer ma peau c’est sur ! Est-ce que quelqu’un nous a vus ? Personne ne semble me regarder, à part quelques zieutages involontaires qui ne doivent pas comprendre mon regard paniqué. Je détaille le plan des stations, on est encore loin de chez moi mais je vois l’arrêt de bus au loin. Tout va trop vite dans ma tête, je me tétanise… Il se lève, il est immense, je l’avais sous-estimé, il doit même se courber debout pour ne pas toucher le plafond du bus. Il bande ! Il bande comme un porc en toute tranquillité dans le bus et personne ne le calcule ! Mais moi je sais ! Je ne regarde que son sexe qui déforme monstrueusement son pantalon.
Le bus s’arrête, il descend sans un regard, imperturbable, comme s’il était sûr de lui, de la suite, de la victoire.
Je fige, je ne peux m’empêcher de l’observer au ralenti descendre de ce bus, le cœur battant à mille à l’heure, incapable du moindre mouvement…
Le bip et les portes du bus qui se ferment me réveillent en sursaut de ma contemplation. Je crie au conducteur :
Tous les regards se tournent vers moi, ils doivent me prendre pour une folle, je suis rouge pivoine, je bouscule tout le monde et me rue dehors incapable de savoir si ce que je fais est réel, si ça a un sens.
« Tu es folle, Audrey ! », me dis-je.
Je le vois au loin, marchant nonchalamment, je le suis. La chaleur est étouffante dehors. Je suis moite de sueur et d’excitation.
Il marche sans se retourner, durant cinq minutes qui me paraissent durer des lustres, avant de s’arrêter devant une façade d’immeuble, de composer un code et de rentrer sans même attendre.
Je cours avant que la porte ne se referme définitivement :
Mes mots sont sortis de ma gorge d’une voix paniquée, et je réalise que c’est la première fois que je lui parle.
Il coince son pied dans l’embrasure de la porte pour la retenir et se dirige vers l’ascenseur.
Nous patientons. En silence… L’attente est interminable… Je suis à deux doigts de m’évanouir. Mon cœur bat la chamade jusque dans mon cou qui me brûle encore. Il doit remarquer les palpitations, c’est sûr. Je n’ose pas bouger devant tant de prestance, sa carrure me fait trembler… Les portes de l’ascenseur me sauvent de cet instant…
Il me fait face, presse le bouton du 13e étage. Je n’ose pas le regarder, je fixe mes pieds.
Sa voix très claire contraste avec le râlement du bus. Il prononce ça sans agressivité, mais avec un tel aplomb… Je ne réalise pas tout de suite ce qu’il me demande, ma raison est comme pétrifiée. Ses yeux rivés sur moi, je n’ai plus le choix… Les mains tremblantes, je glisse mes doigts le long de mes hanches pour remonter ma robe et attraper l’élastique de mon string, qui s’entortille au fur et à mesure de la descente, sous l’effet de la moiteur de ma sueur mélangée à ma mouille… Le bruit sourd du tissu humecté de mon désir est assourdi par l’ascenseur indiquant notre arrivée au treizième étage.
Il laisse mon string noir blanchi de mouille choir par terre… sans daigner le ramasser. À ce moment précis, tout en avançant, j’ai compris que ce morceau de tissu représentait ma dignité que j’abandonnais volontairement sur le palier de son appartement.
Lorsque la porte d’entrée s’ouvre, l’ambiance tamisée et lourde me surprend. Des stores vénitiens empêchent la clarté d’inonder l’immense penthouse. Une odeur très légère de cigarette consumée se mêle à des senteurs de cuir et de vanille, sans doute des bougies… Au fur et à mesure que mes yeux s’adaptent à l’obscurité, je découvre un intérieur impeccable. Rien ne traîne, les matériaux sont choisis avec soin, le mobilier est très moderne, la décoration sobre. En avançant dans le couloir, je m’arrête devant une série de tableaux de femmes en noir et blanc, toutes nues et dans des positions lascives, dans le style d’Helmut Newton… L’idée qu’il s’agisse des portraits de ses ex me fascine autant qu’elle me terrifie ; et si j’étais tombée sur un sadique, un fou dans un délire à la Barbe Bleue ? Serais-je la prochaine à être épinglée sur son mur ?
C’est à ce moment qu’il choisit pour apparaître derrière moi, un verre ambré à la main.
Ça sent le whisky tourbé, de grande qualité. Est-ce qu’il a mis quelque chose dedans ? Est-ce qu’il veut abuser de moi ?
Comme s’il avait deviné mes pensées…
En regardant mes jambes tremblantes, je me dis que c’était finalement assez facile de cerner mon état. Quitte à plonger dans le risque absolu, autant y aller à fond… Je vide le verre en quatre gorgées qui me brûlent la trachée et irradient ma poitrine d’une chaleur apaisante… L’alcool me grise et me désinhibe, je le défie du regard pour la première fois et lui intime, d’une voix ferme :
Il se dirige vers le bar de sa cuisine et me ressert un autre verre que j’ai décidé de boire tout aussi vite en le fixant droit dans les yeux… Ce dernier verre déverrouille le contrôle de moi-même, mais c’est pour l’instant ma seule possibilité de maîtriser cette situation…
Je hoche la tête mais au moment de verser le liquide dans le verre je l’arrête tout net :
Je me rapproche de lui, je m’agenouille… et lui murmure tout en ouvrant la bouche et en tirant la langue :
Il fait couler du whisky sur mon visage, ma bouche, mes cheveux, ça se déverse le long de mon cou, tachant toute ma robe… Je tente de ne rien gaspiller… sentant l’ivresse me brûler les joues, je presse entre pouce et index les boutons de son pantalon que j’arrache à la hâte… Je n’avais plus soif que de lui, j’étais fiévreuse de sa queue… Assoiffée de tout ce qui pourrait en sortir.
Agenouillée dans ma flaque de whisky, je suis forcée de prendre un temps pour l’admirer… gonflée et libérée de toute contrainte, sa queue est énorme… Vu d’en bas j’ai l’impression de faire face à un géant, je lui saisis les cuisses que je sens musclées, avant d’entamer une longue remontée de son sexe avec le plat de ma langue… Je lape son gland disproportionné, j’essaye d’en faire le tour… ses couilles pendent lourdement, je les caresse d’une main en les griffant légèrement… je le sens se tendre…
Sa queue gigantesque me fascine, le trouble de l’alcool, la chaleur de cette journée, je rentre en transe… un flash de la situation me revient ; je suis en train de lécher le gland d’un inconnu rencontré une heure avant, le visage trempé d’alcool… C’est la première fois que je suis aussi salope de ma vie et j’en mouille à l’extrême…
Je tente de le prendre en bouche en étirant au maximum ma mâchoire, son gland me remplit la gorge, il faut que je le suce, je veux sa queue loin en moi… j’attrape ses fesses à pleine main pour le presser plus au fond de ma bouche… sa longue queue manque de m’étouffer… il gémit et se baisse pour m’attraper par la mâchoire… je le défie du regard en le branlant la bouche ouverte…
Il crache sur moi… ça coule le long de ma lèvre puis sa salive chaude rentre dans ma bouche… nouveau coup d’électricité dans le bas-ventre je sens ma cyprine inonder mon sexe et se répandre sur mes cuisses…
J’ai chaud, j’ai la tête qui tourne, je sens l’alcool monter très fortement j’ai envie de sexe animal, qu’il m’ouvre avec sa queue, je malaxe ses fesses, elles sont fermes et musclées.
Je ne veux plus me contrôler.
Brusquement, je lui retourne les jambes et plonge ma tête… Ma langue fouille sans savoir où aller, et j’écarte à pleine main ses fesses que j’adore déjà…
Je lape son cul comme une chienne, en y rentrant ma langue que je durcis… Tandis que j’attrape d’une main sa queue que je sens dure comme du bois… Son anus est la plus douce des friandises et il gémit pour la première fois à mesure que ma langue le pénètre…
Je ne contrôle plus rien, « reprends-toi, reprends-toi… », la chaleur m’enivre, ou peut être est-ce l’alcool… je sens des gouttes de sueur couler le long de mon décolleté… j’ai envie, envie comme je n’ai rarement eu envie de ma vie…
Sa voix grave résonne dans la pièce, presque comme une sentence. Je suis sa détenue, il est mon geôlier.
Je m’exécute… Me retourne à genoux face au mur anthracite, dans la pénombre. Il baisse les stores… L’obscurité se répand dans toute la pièce en même temps que mon excitation entre mes cuisses…
Sa voix n’a aucune douceur, elle m’électrise. Je deviens petite fille forcée d’obéir devant son maître d’école. Je n’ai plus de prise sur rien…
Je remonte l’ourlet de ma robe pour le replier sur le bas de mon dos. Mon cul rond et tendu lui est offert… Je me cambre au maximum, je suis comme une chienne offerte, la fente luisante de mouille, je n’attends que lui….
J’entends ses pas se diriger vers la porte de la cuisine… Il m’intime de ne pas bouger et quitte la pièce.
Quelle torture… ! Pourquoi me faire ça ? Pourquoi ne pas simplement me baiser ? J’ai envie, alors qu’attend-il ? Je bouillonne, j’ai le souffle court…
Combien de temps suis-je restée en génuflexion, le sexe offert dans cette pièce, couchée sur le sol ? Un quart d’heure ? Une demi-heure ? J’ai perdu la notion du temps…
À un moment suspendu, j’ai senti un frôlement sur mes cuisses… comme une plume ou des doigts d’une infinie douceur… puis, une poignée de secondes plus tard, un souffle chaud dans mon cou… puis une main qui caresse mon dos… un crachat sur mes fesses, sa salive qui coule sur mon anus… un temps infini se passe avant que je sente une langue laper la fente de mon sexe… il m’arrache un cri… je rêve qu’il me touche depuis des heures…
Il s’applique à récupérer du bout de la langue toutes les gouttes de mouille qui perlent à la surface de mon sexe… je l’abreuve en continu… ma chatte mouille à chaque fois que le plat de sa langue s’enfonce entre mes lèvres… je gémis de plaisir. Je suis, sans mauvais jeu de mots, à deux doigts d’atteindre un orgasme cataclysmique quand il ajoute son index dans le jeu pour venir faire vibrer mon clitoris… je fais basculer mes hanches, prête à jouir… Et c’est à cet instant qu’il se retire pour tout arrêter.
Il ne bouge pas.
Mon bassin ondule, je cherche quelque chose sur quoi m’empaler, mais je ne trouve qu’un vide, rempli de frustration. Puis, un contact… chaud, rugueux mais tendre… Il a posé son gland gonflé à l’entrée de mon sexe… je le sens pulser contre mes lèvres… Ma cyprine l’humidifie déjà, nous liant d’un fin filet de mouille. Il m’arrache un gémissement de plaisir. Je suis haletante, complètement animale.
Je n’en peux plus, je veux me reculer d’un coup sec, mais il me maintient fermement les hanches d’une main et s’amuse à glisser la longueur de sa queue à l’extérieur de mon sexe jusqu’à mon clitoris… Chaque mouvement me provoque des décharges de plaisir et des flots de mouille… Qu’il me prenne, je n’en peux plus !
Puis, sans prévenir, après tant d’attente, il décide enfin d’enfoncer son gland entre mes lèvres qui ne réclamaient que ça !
La pénétration est plus brutale que je ne l’aurais cru… Malgré mon état de lubrification extrême, son gland volumineux écarte avec une infinie lenteur mes parois… m’arrachant des cris de plaisir et de délivrance… En un seul coup, il s’enfonce jusqu’aux couilles, et j’ai l’impression de n’avoir jamais été aussi remplie… j’ai le souffle coupé…
Il s’immobilise quelques secondes au fond de moi, dans mes entrailles. Je peux sentir la peau chaude de sa queue pulser au fond de moi… C’est divinement bon, je me mords les lèvres pour ne pas hurler… S’il décide de se renfoncer en moi un deuxième coup, je vais jouir comme jamais, à même le sol, en le suppliant de ne jamais arrêter de me défoncer… et il le sait. Il sait qu’il me contrôle de la manière la plus forte qu’il soit à ce moment… il sait que je suis à sa merci, telle une chienne fidèle, prête à tout pour avoir sa jouissance.
Avec la même lenteur extrême qu’il a mise pour s’enfoncer en moi, il se retire. Son gland accroche un peu le bord de mes lèvres en s’en allant, et ce dernier contact délivre un flot de mouille sur ma vulve gonflée de désir. J’attends qu’il revienne en moi, le corps tendu et offert à l’extrême.
Il se redresse et j’entends encore cette phrase faire frémir mon être entier :