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n° 22450Fiche technique7217 caractères7217
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Temps de lecture estimé : 6 mn
05/06/24
Résumé:  Par pulsion, je m’offre à des inconnus et le raconte à mon mari, jaloux.
Critères:  fh ff cocus candaul humilié(e) exhib
Auteur : JustineS            Envoi mini-message
Ma vie de chienne (désirs cachés)

La voiture de l’homme disparaît dans la nuit, me laissant seule avec mes pensées tumultueuses et une envie insatiable de plus. Le parking sombre devient mon terrain de jeu. Une autre voiture s’approche lentement. Je décide de rester, de tester mes limites.


La portière s’ouvre et une femme en sort. Elle est grande, avec des cheveux noirs et des yeux perçants. Elle s’approche de moi sans hésitation.



Je hoche la tête, incapable de parler. Elle sourit et m’entraîne vers sa voiture. À l’intérieur, il y a un homme, assis à l’arrière, son pantalon déjà déboutonné. La femme me pousse doucement sur la banquette arrière.



Je m’agenouille devant l’homme, sentant son sexe dur et palpitant sous mes doigts. Je prends son gland dans ma bouche, suçant doucement avant de prendre toute sa longueur. Il grogne de plaisir, ses mains se crispant sur mes cheveux. La femme m’observe, un sourire satisfait sur les lèvres. Elle me guide, ses mains douces sur ma nuque, me forçant à accélérer le rythme. L’homme jouit avec un râle, son sperme coulant dans ma gorge. Je l’avale avidement, chaque goutte.


La femme me tire alors en arrière, me poussant sur le siège. Elle écarte mes jambes, révélant mon sexe trempé. Sans un mot, elle commence à me lécher, ses lèvres et sa langue expertes trouvant chaque point sensible. Je gémis, mes hanches se soulevant pour rencontrer sa bouche. Ses doigts glissent en moi, ajoutant une autre couche de plaisir.



Elle intensifie ses mouvements, m’amenant à l’orgasme avec une rapidité et une intensité déconcertantes. Je crie, mes mains agrippant les sièges en cuir, mon corps secoué de spasmes. Elle se redresse, ses lèvres brillantes de mes fluides.



Je hoche la tête, incapable de formuler une réponse. Elle me traîne hors de la voiture, me poussant contre le capot chaud. Ses doigts habiles trouvent mon sexe une fois de plus, me caressant jusqu’à ce que je sois à nouveau sur le point de jouir. Elle appelle alors un autre homme, qui attendait patiemment à l’ombre.



L’homme s’avance, son sexe dur et prêt. Il me pénètre violemment, ses coups profonds et rapides. Je gémis de plaisir et de douleur, sentant chaque mouvement en moi. La femme me regarde, ses yeux brûlant de désir.



Je jouis à nouveau, mon corps se cambrant contre celui de l’homme. Il continue à me prendre, son rythme ne faiblissant pas. Finalement, il jouit en moi, son sperme se mélangeant à mes propres fluides.


Essoufflée et tremblante, je me laisse glisser sur le capot, mes jambes ne me soutenant plus. La femme se penche sur moi, déposant un baiser doux sur mes lèvres.



Je souris, épuisée mais satisfaite. Pour l’instant, c’est tout ce dont j’ai besoin.


En rentrant à l’hôtel, je me sens étrangement calme. La nuit a été intense, mais je sais que ce n’est que le début. Mon corps est encore en feu, chaque nerf vibrant de l’excitation récente. En entrant dans ma chambre, je m’effondre sur le lit, laissant le sommeil me prendre.


Le lendemain matin, je suis réveillée par la vibration de mon téléphone. Un message de Maxime.



Je soupire, sachant qu’il est encore saoul. Je décide de ne pas répondre. Au lieu de cela, je prends une douche chaude, laissant l’eau laver les souvenirs de la nuit précédente.


Je quitte l’hôtel, déterminée à explorer davantage mes désirs. En conduisant, je repense à la femme de la nuit dernière. Je veux la revoir, sentir ses lèvres sur les miennes, ses doigts en moi.


Je retourne sur le même parking. La nuit est encore jeune et les possibilités infinies. Une nouvelle aventure m’attend, et je suis prête à plonger tête la première dans l’inconnu, à embrasser mes désirs les plus sombres.


Cette nuit-là, je laisse libre cours à mes envies, explorant les limites de mon plaisir et de ma douleur, découvrant des aspects de moi-même que je n’avais jamais osé imaginer. Chaque rencontre, chaque touche, chaque mot murmuré dans l’obscurité me pousse plus loin dans mon exploration de la luxure et du vice.


En revenant à la maison, je trouve Maxime assis sur le canapé, une bouteille de whisky à moitié vide à ses côtés. Ses yeux rouges me fixent avec une intensité que je n’avais jamais vue auparavant.



Je m’assois en face de lui, sentant mon corps frémir à l’idée de lui raconter ma nuit.



Son regard se durcit.



Je prends une profonde inspiration, sachant que je dois être honnête.



Il se lève brusquement, renversant la bouteille. Le liquide ambré se répand sur le sol, mais il n’y prête pas attention.



Je secoue la tête.



Il me fixe un long moment, puis un sourire étrange se forme sur ses lèvres.



Avant que je ne puisse réagir, il m’attrape par les cheveux et me traîne vers la chambre. Ses gestes sont brusques, mais je sens une excitation monter en moi. Il me jette sur le lit, déchirant mes vêtements avec une ferveur presque animale.



Il me pénètre violemment, ses mouvements rapides et brutaux. Je crie de douleur et de plaisir, mes ongles s’enfonçant dans le drap. Chaque coup est un mélange de colère et de désir, et je sens mon corps réagir avec une intensité que je n’avais jamais connue.



Je jouis alors, mon corps se cambrant sous le sien. Il continue de me prendre, son rythme ne faiblissant pas, et je sens une deuxième vague de plaisir monter en moi. Je crie son nom, le suppliant de continuer, de ne jamais s’arrêter.


Finalement, il jouit en moi, son corps se tendant avant de se relâcher. Il reste un moment au-dessus de moi, respirant lourdement, puis se retire et s’effondre à côté de moi.


Nous restons silencieux un moment, nos corps épuisés mais satisfaits. Je me tourne vers lui, posant ma main sur sa poitrine.



Il soupire, fermant les yeux.



Je hoche la tête, sachant qu’il a raison.



Nous nous endormons alors, nos corps enchevêtrés, prêts à affronter ensemble les défis à venir.