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Temps de lecture estimé : 8 mn
06/06/24
Résumé:  J’ai commis l’irréparable avec l’ex-petit ami de ma fille.
Critères:  fh fplusag parking boitenuit fellation confession
Auteur : CATDU13      Envoi mini-message
L'ex-petit ami de ma fille

Ça s’est passé l’hiver dernier, un moment d’égarement puis tout a basculé. Je me prénomme Claire, je vis dans le sud de la France, je viens d’avoir 42 ans, je travaille bénévolement deux jours par semaine au sein d’une association qui accompagne les jeunes étudiants dans leur recherche de logement. Mon mari, chef d’entreprise, est très souvent amené à voyager aux quatre coins du monde et il est vrai que nos ébats amoureux n’ont plus la même périodicité ni la même intensité qu’à nos 20 ans. Est-ce pour cette raison que j’ai commis l’irréparable avec Jalil, l’ex-petit ami de ma fille que je n’avais pas revu depuis deux ans ?


C’était un jeudi soir lors d’une soirée d’anniversaire d’une amie, elle avait organisé une soirée entre filles dans un endroit branché du centre-ville et ce soir-là Jalil était présent avec deux copains à lui, je fus surprise et très contente de le revoir, nous avons échangé quelques banalités et chacun rejoignit ses amis de son côté ; la soirée battait son plein, et contrairement à mes habitudes, ce soir-là je bus plus de champagne que de raison, et c’est un peu étourdie que je me laissais entraîner sur la piste de danse quand je vis Jalil qui s’approchait de moi pour me prendre par les mains et me faire danser, ensuite il m’invita à boire une coupe à sa table, et vers minuit, les filles prirent la décision de rentrer car pour certaines, une journée de travail les attendait le lendemain ; je les accompagnais vers la sortie et j’en profitais pour fumer une cigarette, Il faisait froid dehors quand Jalil sortit aussi pour fumer ; n’ayant pas pris le soin de se vêtir, il me proposa de l’accompagner à sa voiture ; sans trop réfléchir, je l’accompagnai et il m’invita à monter pour terminer ma cigarette, une discussion banale commençait et après quelques minutes, je compris vite que je ne le laissais pas indifférent quand il commença à me complimenter ; je souriais timidement à ces paroles mais quand sa main se posa délicatement sur ma cuisse, une forme de stress et de gêne fit que je lui demandai de stopper son geste ; pour seule réponse il me regarda sourire aux lèvres et je lui redemandai gentiment de bien vouloir stopper ce petit jeu mais un drôle de sentiment m’embrouilla l’esprit.


J’étais à la fois très gênée et angoissée par cette situation et ma respiration s’accélérerait en même temps que mes battements de cœur ; il posa ensuite sa main sur ma joue toujours en me fixant du regard, puis sûr de lui, d’une voix envoûtante, il me signifia qu’il me désirait depuis le premier jour ou il m’a vu ; décontenancée par ce que je venais d’entendre, j’avais la tête qui tournait et je ne savais plus quoi dire ni quoi faire ; paradoxalement je me sentais émoustillée par ces propos, je bredouillais des mots inintelligibles et profitant certainement de mon trouble, ses lèvres s’approchèrent des miennes ; instinctivement je tournais la tête refusant ses avances ; quand ses doigts descendaient délicatement sur mon cou, ma tête bascula vers l’arrière et un drôle de sentiment de chaleur envahissait mon ventre ; il réussissait à affoler tous mes sens de femme quand ses lèvres se posèrent dans mon cou ; il avait trouvé une des parties sensibles de mon corps ; mes soupirs devinrent plus forts le quémandant de cesser, je sentais ma volonté vaciller quand il me serra dans ses bras avec force et cette étreinte me fit perdre toute contenance, mon corps s’abandonnait et je perdis tout contrôle quand nos lèvres se joignirent, j’avais fini par craquer et nos langues se nouèrent frénétiquement ;


Pourquoi j’ai craqué ? Sûrement par le fait d’être désirée par ce jeune loup et peut-être aussi à cause des effets désinhibiteurs de l’excès de champagne. Mais dans quel état je devais être pour m’offrir si facilement à un jeune homme qui pourrait être mon fils, je ne me reconnaissais plus quand ma main venait fébrilement se perdre sur son entrejambe ; dans cet instant de folie, mes doigts le caressaient nerveusement ; Je l’entends encore me dire :



J’étais dans un état second me laissant faire comme une jeune pucelle, puis rapidement je compris que nous n’allions pas nous contenter de nous embrasser quand j’ai senti une énorme bosse dans son pantalon ; des pensées inavouables me traversaient l’esprit quand il me dit qu’il aimait les femmes qui prenaient des initiatives, pendant quelques secondes ce fut le chaos complet, je ne me souvenais pas avoir connu une telle intensité d’excitation, cela semblait complètement irréel.


Maladroitement, il se mit à dégrafer son pantalon puis exhiba fièrement son sexe et mes doigts s’aventuraient fébrilement à la recherche de son objet de désir ; nos langues ne cessaient de tournoyer intensément, je tenais une barre d’acier brûlante entre les doigts ; je ne pouvais pas résister à ce contact charnel et d’une main tremblante je commençais un lent coulissement hésitant sur ce pieu frémissant qui me paraissait d’une taille démesurée. Je montais et descendais lentement le tenant fermement quand il quitta mes lèvres pour me dire au creux de l’oreille :



Jamais personne ne m’avait parlé de cette manière, tout se bousculait dans mon cerveau, ces paroles troublantes firent que l’excitation l’emporta sur la raison et Il n’a pas eu vraiment à préciser ce qu’il attendait de moi.


Sans hésitation, je me suis penchée pour poser mes lèvres sur son sexe, ouvrant timidement la bouche, n’écoutant que mon désir, je fis coulisser lentement son membre viril entre mes lèvres qui se fraya délicatement un chemin dans ma bouche ; il abaissa complètement son pantalon jusqu’aux chevilles en me disant :



Je me sentais à sa merci et je ne contrôlais plus rien, moi qui n’étais pas forcément une adepte de la fellation, j’avais cette envie quasi insolente de me délecter avec ce qui s’offrait à moi ; son sexe était d’une taille impressionnante et je faisais de mon mieux pour l’accueillir ressentant ses frémissements et son intense chaleur ; il avait pris possession de ma bouche ; ma langue tournoyait activement autour de ce gland gorgé de désir et ses râles de gémissements décuplaient mon ardeur ; ses mains me caressaient les cheveux et j’avais comme un besoin de me sentir soumise ; je n’avais jamais été dans cet état, avide d’un plaisir que je prenais et que je donnais, je ressentais toute son excitation quand son bassin bougeait au rythme des mouvements de ma langue et de ma bouche ; laissant de côté toute pudeur, je le dévorais sans retenue de manière impudique ; il me complimentait sur la femme que j’étais et sur la volupté de ma bouche, ses mots un peu crus décuplaient mon excitation…



Totalement sous l’emprise de mon jeune amant, je me délectais, jouant avec la langue sur cette énorme colonne de chair qui envahissait tout l’espace de ma bouche. Des bruits de succion résonnaient dans l’habitacle, ma bouche s’activait au rythme de son bassin qui ondulait, ma main s’était emparée de ses testicules, plus rien n’avait d’importance pour moi, je me sentais comme malmenée avec un sentiment de puissance de sa part et ses mots m’enivraient plus que de raison. Ses mains posées sur ma tête, il tentait de s’enfoncer plus profondément encore et je réalisais presque une gorge profonde dont je ne me serais jamais sentie capable auparavant…



Ses paroles me transcendaient ; son bassin s’activait par des mouvements courts de haut en bas et je tentais de stopper toute sa puissance pour reprendre ma respiration.



J’étais prête à aller au bout de ce moment unique et quand je le sentis raidir de tout son corps, je fus envahie en quelques secondes par un sentiment de panique, mon amant était prêt à jouir, me disant que j’allais réaliser un de ses plus beaux fantasmes et que moi aussi j’allais adorer ce moment, la tension était à son comble, jamais un homme n’avait joui dans ma bouche même pas mon mari. Ce mélange de perversité et de bestialité semblait avoir éveillé des choses cachées en moi que jamais je n’avais jamais envisagées auparavant ; prise dans un tourbillon de folie, ma bouche ne quittait plus ce phallus qui me baisait la bouche et j’étais dans un état d’excitation impossible à retranscrire ici. Quand j’ai senti qu’il était au bord de l’explosion, ma respiration s’est bloquée quand un premier jet puissant de nectar visqueux inonda totalement la bouche, le temps semblait s’arrêter, j’acceptais mon sort et me laissait aller au plaisir lubrique de cette nouvelle expérience. Il gémissait fougueusement en prononçant des grossièretés tout en vantant mes mérites :



Il continuait à grogner de manière insolente, je le gardais bien en bouche pour continuer mes va-et-vient afin de prolonger sa jouissance et profiter de ces dernières secondes de plaisir.



Un bref instant j’eus la sensation que je venais aussi d’assouvir un fantasme inavouable et ma bouche ne semblait pas vouloir lâcher son sexe quand toute sa semence coulait sur mon menton…


Mais comment ai-je pu en arriver là, moi la femme prude et bien éduquée, je venais de basculer dans un monde parallèle, j’étais arrivée au bout de mes forces, ma main tenait toujours cet objet de plaisir qui gardait toute sa virilité, il ne semblait pas épuisé par la fellation que je venais de lui faire, je ressentais comme un grand vide en moi partagée entre une forme de honte et de culpabilité d’avoir éprouvé un tel plaisir, mes doigts caressaient toujours ce phallus impressionnant qui se dressait sous mes yeux, je ne pouvais plus m’en détacher du regard prenant conscience de sa belle taille et de ce que je venais vivre, je restais silencieuse, lui me félicita sur ma prestation tout en me caressant les cheveux et me demandant si j’avais pris autant de plaisir que lui, je ne répondis pas, encore engourdie par ce que je venais de vivre ; reprenant mes esprits je me dis que j’étais complément folle par ce que je venais de faire et même temps je n’aurais jamais pensé vivre une telle expérience et ressentir de telles sensations.


Puis il me releva la tête et je vis un énorme sourire sur son visage, comme un sourire triomphant, je pris conscience réellement de ce qui s’était passé et j’eus une pensée pour mon mari avec un sentiment de culpabilité, quand sa main se posa sous mon menton, il me dévisagea avec un large sourire pour me dire…



Je ne répondis pas et il relança cette phrase une deuxième fois, attendant une réponse de ma part, et je dus m’incliner en répondant :



Et le fait d’avouer fit tomber le peu de lucidité qu’il me restait, puis il ajouta :