n° 22456 | Fiche technique | 11521 caractères | 11521 2037 Temps de lecture estimé : 9 mn |
07/06/24 |
Résumé: Ma gentille voisine me remonte le moral après une séparation difficile. | ||||
Critères: fh enceinte fellation cunnilingu fsodo québec | ||||
Auteur : honey_lover Envoi mini-message |
C’était une période difficile que j’étais en train de traverser. Ma femme venait de me quitter pour un homme que je pensais être le meilleur ami de notre couple.
Je me retrouvais dans une maison bien trop grande pour y vivre seul, et surtout avec bien trop de souvenirs de notre vie de couple.
Travaillant à domicile, je ne sortais pratiquement plus du tout, me faisant même livrer ce dont j’avais besoin au quotidien.
Juste avant le départ de ma femme, nous avions sympathisé avec nos voisins, Justine et Paul, des Canadiens fraîchement débarqués dans la région. Lui bossait comme commercial itinérant. À ce titre, il sillonnait la France toute la semaine pour ne revenir chez lui que le vendredi soir, quand ce n’était pas le samedi matin. Justine, infirmière de son état, avait décidé de bosser à mi-temps, depuis qu’elle se savait en voie de famille.
J’adorais leur accent bien spécial des gens du Québec.
Un jour donc, j’entends frapper à ma porte. C’est elle qui vient prendre de mes nouvelles, s’inquiétant de ne plus me voir sortir de chez moi. Elle me trouve avec une barbe de plusieurs jours, et pour seul vêtement une sortie de bain, bref, le portrait parfait du mec se laissant complètement aller, en train de déprimer à fond les ballons.
D’emblée, elle me secoue en me disant qu’elle comprenait que je puisse être déçu, ne pas avoir le moral, etc., mais que je ne devais pas me laisser aller pour autant, et encore moins me laisser sombrer.
Puis elle rajoute que je filais tout droit vers une grosse dépression, le genre dont on ne relève pas facilement aussi, il fallait que je me reprenne, et qu’elle allait m’aider.
Je me rends compte qu’elle a malheureusement raison aussi, lorsqu’elle m’ordonne presque de commencer par me lever afin d’aller prendre une bonne douche et me raser, je lui obéis sans discuter.
Quand je sors de ma salle de bain, elle est là dans le salon, à m’attendre. Elle est contente et me le fait savoir en me faisant un gros kiss bien appuyé sur une joue.
Ensuite, on discute un peu de ce que je ressentais, de ce que j’aimerais faire. Elle se rend bien compte que je n’ai pas le moral aussi elle s’approche de moi, puis me prends dans ses bras en me disant que son mari n’étant pas là de la semaine, elle viendrait me tenir compagnie et faire un peu de ménage, car c’est vrai que c’est carrément le foutoir dans toute la maison.
C’est ainsi que le lendemain puis le surlendemain et le jour d’après, elle est là, fidèle à sa parole. Je me dis alors que rien que pour ça, je me devais de faire un effort. C’est vrai que je me sens un peu mieux tandis que je la regarde s’affairer aux tâches ménagères à ma place.
Ce faisant, je me rends seulement compte que malgré son gros ventre, elle est vraiment canon, ma petite voisine. Quand elle se penche pour ramasser des trucs ou nettoyer les bibelots par-ci par-là, je me surprends à mater ses cuisses bien fermes ou ses magnifiques seins de future maman, se balançant dans son décolleté.
Forcément, elle finit par se rendre compte de mes regards indiscrets mais ne semble pas m’en tenir rigueur.
Deux bonnes semaines se passent ainsi. Je me sens de mieux en mieux. Ma ravissante et gentille voisine, y étant pour beaucoup, me laissant me régaler de ses trésors sans en avoir l’air. C’est clair que ça l’amuse de tous ces regards indiscrets que je lui lance.
Un matin, alors qu’elle est en train de nettoyer des meubles bas, penchée en avant, sentant mon regard sur sa croupe, elle tire sur sa robe, dévoilant ses fesses avant de me dire…
Gêné d’être pris la main dans le sac comme on dit, je me confonds en excuses, n’osant pas lui avouer qu’effectivement, la voir comme çà, avait quelque peu réveillé ma libido.
Je finis par lui avouer dans mes petits souliers qu’effectivement, si elle n’avait pas été la femme de Paulo, j’aurais sans doute tenté ma chance, surtout depuis toutes ces semaines d’abstinence forcée.
À ces mots, elle se débarrasse de sa culotte, puis tout en s’appuyant sur la table basse du salon en me présentant son magnifique postérieur, me murmure.
Mon cœur s’emballe. J’y crois pas. Et pourtant, le spectacle de cette femme prête à se laisser saillir se passe de commentaires.
En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire je me retrouve à poils derrière elle, la bite dressée contre mon ventre.
Bien sûr, je lui obéis, faisant glisser mes mains, mes doigts sur son dos, ses hanches, ses fesses puis son abricot. Un de mes doigts s’attaque à son clitoris tandis qu’un autre trouve l’entrée de sa vulve.
Ma bouche, ma langue, mes lèvres entrent en action, explorant le moindre cm² de son intimité, encouragé par ses gémissements de plus en plus appuyés. Je sens son corps se tendre de plus en plus. Tout à coup, c’est la délivrance. Elle pousse un long gémissement rauque tandis que ses cuisses, ses fesses sont secouées de spasmes incontrôlés.
Je me redresse alors, après l’avoir bien ajusté, je l’embroche doucement en la saisissant fermement aux hanches.
Elle m’excite comme un fou à me parler comme ça. Je la besogne tout en douceur, savourant ses chairs offertes.
Elle m’encourage avec des mots de plus en plus crus. J’adore.
Je lui réponds comme je peux, beaucoup trop secoué par les sensations qui me submergent. Elle me dit que je peux y aller plus fort, que ça ne risquait rien. Je lui obéis, commençant à lui décocher des coups de reins de plus en plus puissants.
La fin approche. Je la préviens de ma jouissance imminente. Elle m’encourage à me laisser aller. Ma tête explose, mon corps m’échappe, mon sperme gicle, je jouis.
Ma jouissance déclenche aussitôt celle de Justine.
Peu à peu le calme revient. Justine se retourne, un grand sourire aux lèvres.
C’est le moment de discuter un peu. Justine m’avoue qu’ils sont un couple bien soudé, n’ayant pas pour habitude de se cacher quoi que ce soit. Puis voyant que ce qu’elle m’a dit, n’est pas vraiment de nature à me rassurer, elle rajoute qu’en fait ça faisait un moment qu’ils ne voyaient jamais personne, en particulier des femmes, venir chez moi. Ils en ont déduit que comme tout homme normal, ça devait commencer à me peser. Et lorsqu’elle s’est rendu compte que je lui matais souvent le cul, elle a avoué à son homme qu’en fait, cette situation l’excitait beaucoup et qu’étant toute seule du dimanche soir au vendredi, ce n’était pas fait pour la calmer en attendant qu’il soit là, pour s’occuper de sa petite chatte. Bref, elle aussi, plutôt portée sur la chose, se sentait frustrée.
Paulo a vite compris que je plaisais bien à sa femme, très compréhensif, il lui a alors suggéré de devenir ma sex-friend, une pratique paraît-il assez répandu au Québec.
Au début, elle n’était pas sûre de vouloir le faire, ayant quelques scrupules vis-à-vis de son homme, et puis elle a appris à mieux me connaître, et elle a accepté de transformer notre amitié en une relation y incluant du sexe.
Le lendemain lorsqu’elle arrive, je lui ai préparé un savoureux petit déjeuner, un café bien fort comme elle aime, des œufs sur le plat au bacon et des pancakes avec son traditionnel sirop d’érable estampillé de son pays le Canada.
Je la sens vraiment touchée de cette attention. Elle se colle à moi en déposant un bon gros kiss sur les deux joues puis on s’attable, face à face.
Elle m’avoue avoir appelé son mari au téléphone pour lui raconter ce qui s’était passé entre nous. Inquiet malgré ce qu’elle m’avait dit la veille, je lui demande ce qu’il en était. Elle me répond qu’il lui avait demandé de tout lui raconter en détail et qu’il s’était masturbé jusqu’à l’éjaculation en écoutant le récit de notre partie de jambes en l’air. Elle ajoute qu’avant de raccrocher, il lui avait dit être heureux pour nous et pour elle en particulier, car il se doutait, la connaissait bien, que la situation devenait de plus en plus dure à gérer, rajoutant de bien profiter de ma queue, et de bien me faire profiter, de sa chatte.
Après ça, inutile de vous dire que je lui ai sauté dessus pour la faire basculer les quatre fers en l’air, après lui avoir presque arraché sa culotte, je lui ai dévoré la moule jusqu’à la faire hurler de jouissance.
Ensuite, après les câlins suivants (souvent un orgasme), elle a voulu goûter à ma queue, m’offrant sa première fellation, refusant d’arrêter avant que je ne lui expédie tout mon sperme au fond de la gorge. Elle était ravie de goûter à un autre sperme que celui de son mari.
Contrairement à mes piètres performances habituelles au lit, elle a vite réussi à me faire rebander afin que je puisse la prendre comme elle en mourrait d’envie, mais qu’elle refusait à son mari, de peur qu’il ne la respecte plus après l’avoir sodomisée.
Vous l’avez compris. Elle désirait m’offrir sa petite porte. Elle avait tout prévu afin d’éviter les petits désagréments toujours possibles en passant par cette autre porte dérobée, allant même jusqu’à lubrifier son anus de vaseline. C’est comme çà, qu’elle m’a offert son cul mais avec des mots obscènes comme à son habitude pendant l’amour.
Après un début prudent, tout en douceur, elle m’a demandé de lui défoncer la rondelle, de bien la préparer afin que son mari puisse en bénéficier lui aussi plus tard, quand il faudra éviter d’y aller trop fort en passant par sa chatte.
J’ai adoré la baiser, la faire jouir jusqu’à atteindre des limites insoupçonnées dans ses capacités à avoir orgasme sur orgasme presque jusqu’à la syncope. J’ai usé et abusé de son anus, le laissant souvent béant de longues secondes avec mon sperme en train de s’en écouler. Cette période a été bénie des dieux.
La première fois que Paulo est rentré, après qu’on soit devenu des sex-friends, ils m’ont invité pour une présentation officielle du sex-friend de Justine, laquelle m’a avoué que leurs amis proches savaient tous qu’elle avait un sex-friend durant la semaine et que le week-end, elle redevenait l’épouse modèle de ce cher Paulo.
Très vite, il m’a demandé si je voulais bien accepter de faire l’amour avec Justine devant lui. Comment refuser de lui accorder ce plaisir ? J’ai accepté. Justine était déchaînée. J’ai eu droit à la TOTALE. Fellation, missionnaire, levrette, et pour finir, sodomie.
J’étais lessivé, mais Justine n’était pas en meilleur état.
On a continué notre amitié particulière jusqu’au dernier jour de leur retour au Québec. On était tous les quatre en larmes au moment de se quitter, Paulo, Justine, leur fille Marion et moi.