n° 22457 | Fiche technique | 20414 caractères | 20414 3464 Temps de lecture estimé : 14 mn |
07/06/24 |
Résumé: Quand une après-midi en guinguette chamboule tout. | ||||
Critères: fh fhh hbi boitenuit amour intermast fellation double fsodo hsodo yeuxbandés | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
Collection : TRIO |
Ce n’est pas une série. Tous les textes sont indépendants et peuvent-être lus dans n’importe quel ordre. Par contre, ils traitent tous de trio à un moment ou un autre.
Andréa est toute folle de retrouver sa cousine Amélie en ce beau jour de printemps. Les deux filles ne se voient pas assez souvent. Elles s’adorent et ont beaucoup de points communs, mais la vie, le travail et tout et tout, font qu’elles ne prennent pas assez de temps pour profiter.
Elles sont nées avec quelques mois de différences, il y a vingt-cinq ans Elles sont célibataires et sans enfants. Amélie n’a jamais voulu s’engager. Andréa pensait avoir trouvé le grand amour à vingt ans. Son compagnon en a bien profité avant de prendre la poudre d’escampette trois ans après avoir entendu parler de mariage et d’enfants. Depuis deux ans, suite à cette désillusion, elle n’arrive plus à faire confiance.
Amélie est esthéticienne, quand elle parle de faire « l’entretien » d’Andréa, elle parle surtout d’épilation, de massages et de soins. Les deux jeunes filles, malgré leur âge, adorent danser mais pas les trucs modernes, non ! la valse, le tango, le rock… C’est leur grand-mère, professeur de danse en son temps qui les a converties très tôt.
Les deux filles s’installent dans le salon où tout a été préparé par Amélie, table, draps, serviettes et produits. Pendant que la professionnelle entretient sa cousine, elle lui raconte ses trois dernières rencontres.
Les filles ont l’habitude de ne pas tout déballer sur les réseaux dits « sociaux » ou lors de leurs contacts téléphoniques pour avoir le maximum de choses à se raconter quand elles se voient.
C’est maintenant Andréa qui raconte ses aventures horizontales pendant qu’elle subit l’horrible torture des bandes de cire. Une fois toute rafraîchie, les deux filles déjeunent rapidement, des pâtes avec une sauce à base de tomates. Ensuite, petite sieste et elles se préparent pour leur escapade.
Autant Amélie est grande et mince aux cheveux longs et clairs, autant la cousine est petite, trapue aux cheveux très courts plutôt bruns. La première a un style très féminin alors que la deuxième est plutôt « garçonne ». L’une enfilera une petite robe fleurie avec un petit gilet au cas où, pendant que l’autre portera un jeans plutôt moulant, mettant en valeur ses formes et pour le haut, ce sera un débardeur qui fait aussi office de soutien-gorge, avec une chemisette. Toutes les deux seront sages en ce qui concerne leurs petites culottes.
oooOOOooo
Andréa est agréablement surprise en arrivant sur place, effectivement les lieux sont magnifiques, la musique est sympa, mais surtout elle peut constater qu’il y a bien une grande hétérogénéité dans les participants, bien plus que ce qu’elle a l’habitude de voir.
Elles ont tout juste le temps de trouver une table libre, de tremper leurs lèvres dans un verre de rosé et de croquer dans une crêpe que déjà elles ont des propositions pour se trémousser. Les morceaux de musique se succèdent, les cavaliers aussi. Durant plus de deux heures, elles ont à peine le temps de s’hydrater. Une petite pose de l’orchestre leur permettra enfin de se retrouver à leur table.
Les filles continuent de disserter sur leurs partenaires puis la musique reprend et les invitations aussi. Une heure plus tard, Amélie informe sa cousine qu’elle se sauve avec son partenaire. Andréa se retrouve seule à sa table, la guinguette se vidant progressivement avec l’arrivée de la nuit. Elle allait commander un taxi, quand ces deux partenaires préférés de l’après-midi se présentent devant elle tout sourire. Le plus grand lui demande :
Au moins, les choses sont dites et sans tarder.
C’est maintenant Paulo − qui semble plus discret − qui prend la parole.
Andréa est surprise et a bien du mal à cacher son étonnement, les garçons comprennent tout de suite.
La jeune femme en reste sans voix. Elle ne sait que penser, elle ne comprend pas tout ce qui se passe. Finalement, elle articule difficilement.
Au moins, avec eux, les choses sont claires, enfin, plus ou moins. Alors qu’elle aurait dû être outrée, elle se sent plutôt flattée. Alors sans savoir vraiment pourquoi, il ne faudra que quelques secondes de réflexion à la jeune fille pour se décider et leur donner son accord.
Quelques minutes plus tard, les derniers danseurs peuvent voir sortir une petite jeune femme tout sourire au bras de deux hommes très fiers, bien plus grands qu’elle.
« Je suis folle, je suis folle, mais j’ai envie de voir ce qui va se passer »
Andréa informe les garçons, qu’elle veut avertir sa cousine de son départ avec eux et qu’elle veut lui envoyer des photos au cas où ! Bien que surpris, les hommes comprennent la méfiance et ils se plient gentiment à cette exigence. Une photo des gars, de la voiture et un petit message avec l’adresse après, ils peuvent enfin prendre la route.
Le chemin est court, juste assez pour qu’Andréa découvre un peu ses nouveaux amis. Ils ont tous les deux presque trente ans, sont mariés depuis trois ans, se connaissent depuis presque dix ans, en fac, puis en école d’ingénieur pour être aujourd’hui informaticiens. Ils ont monté une petite entreprise spécialisée dans la création et l’animation de sites de vente pour les particuliers et les commerçants. Après des débuts moyens, aujourd’hui ils débordent de travail.
Curieuse, la jeune femme se renseigne sur leurs rencontres féminines. C’est Paulo qui va lui expliquer très simplement.
Il a tout juste terminé sa phrase que la voiture ralentit, un portail s’ouvre pour la laisser rentrer. En sortant, Andréa découvre un bâtiment industriel entièrement rénové.
Paulo l’invite à rentrer pendant que Pierre range la voiture dans le garage. Quand le chauffeur les rejoint, elle est installée confortablement au milieu d’un grand canapé en cuir, pieds nus puisque c’est la règle dans ce logement. Elle n’a gardé que son débardeur, il fait bon. Il regarde son compagnon, puis la jeune femme et finit par rompre le silence.
« Mais tu es folle ma fille, pourquoi prendre autant de risques ? Tu comptes faire quoi ? Tu vas te les prendre tous les deux peut-être ? L’un après l’autre, les deux ensemble ? ».
En quelques secondes, des milliers de questions se bousculent dans sa tête, la sécurité, l’envie, l’hygiène, la folie, la folie…
Et puis, tout bascule dans son esprit, elle vient de perdre toute raison. Malgré toutes ses réticences, Andréa ne peut se résoudre à partir, elle veut tenter l’expérience, elle les veut tous les deux, ensemble.
Elle leur tend les bras.
Elle ferme les yeux et profite des premiers bisous tendres, des premières caresses chastes. Après les joues, les lèvres descendent dans le cou, puis les épaules, les bras, le haut de la poitrine… Le tissu ne permet pas plus.
La frustration est trop forte, elle se lève brutalement, enlève son débardeur et se rassoit les mains derrière la tête. Elle s’offre.
Ses dessous de bras sont couverts à leur tour de bisous, pendant que ses seins sont empoignés tendrement. Les bouches reprennent un chemin descendant sur les seins. Andréa retrouve quelques secondes ses esprits pour se rendre compte que ses tétons sont embouchés simultanément et agréablement torturés par deux langues vicieuses. Elle sent des caresses à l’intérieur de ses cuisses largement ouvertes qui remontent vers son entrejambe.
Une fois de plus, c’est la frustration qui l’emporte « Qu’est-ce que j’avais besoin de mettre ce pantalon aujourd’hui, ha ! si j’avais été en jupe ! »
Elle repousse les hommes, se lève et retire son jeans. Elle hésite à faire suivre sa culotte mais se ravise, il faut bien les mettre à contribution ces gars-là. Reprenant sa place, elle passe ses bras autour des têtes masculines et les invite à reprendre leurs travaux buccaux sur sa poitrine. Les mains qui se baladent maintenant sur la peau de ses cuisses se font de plus en plus précises. Pour mieux écarter les cuisses, elle fait passer ses jambes sur celles des hommes. Passant chacun d’un côté de la culotte, les doigts des hommes s’attaquent à ses trésors intimes.
Andréa n’en revient pas, elle vit un moment qu’elle n’avait jamais fantasmé. Elle se retrouve avec les tétons gobés simultanément et son sexe envahi de deux doigts appartenant à deux hommes. Elle explose quand deux pouces s’attaquent à son clitoris.
Les hommes arrêtent leurs assauts et la câlinent, la laissant reprendre ses esprits tout doucement. Ils ont pris un peu de recul pour l’admirer tout en caressant l’intérieur de ses cuisses, son ventre puis les seins.
Et puis tout s’enchaîne. Elle récupère ses vêtements et elle réclame une douche. Une fois séchée, ses sens ne sont pas calmés, elle n’hésite que deux secondes pour sortir les rejoindre uniquement entourée dans une grande serviette de bain.
Elle les retrouve dans la cuisine. Ils ont tout débarrassé et l’attendent avec un verre d’eau à la main. À la voir ainsi si peu couverte, ils comprennent que la soirée n’est pas terminée.
Elle se plante devant eux.
Ils lui prennent chacun une main et l’entraînent. Entrant dans la première chambre, Paulo explique que c’est la sienne et qu’il va prendre une douche dans son espace privé. Pierre continue la visite par sa chambre à lui. Elle aussi est équipée de son propre coin d’eau. Rapidement Paulo les rejoint encore dégoulinant avec juste une serviette autour du ventre.
Andréa apprécie ce qu’elle voit, mais tente de ne rien laisser paraître. Le deuxième garçon profite de sa douche pendant que le couple visite la troisième chambre.
Cette remarque a l’avantage de les faire rire, détendant ainsi l’atmosphère. Mais pas pour longtemps, car l’absent fait son entrée.
Andréa se décide après un moment de flottement. Sa serviette se retrouve au sol et elle invite du regard les deux garçons à en faire autant. D’une main ferme sur leur poitrine, elle les pousse vers le lit sur lequel ils n’ont pas d’autre choix que de s’allonger. Elle les oblige à se serrer l’un à l’autre, monte sur leurs jambes collées en écartant les autres vers l’extérieur et empoigne leurs sexes déjà bien gonflés.
Ce contact a pour effet d’accélérer l’arrivée du sang dans les organes.
Elle les branle lentement, puis accélère, ralentit… Elle se rend compte que sa main droite est plus efficace que l’autre, alors elle relâche un peu la pression pour que les deux garçons soient au même niveau d’excitation. À un moment, l’un deux tente de caresser la branleuse. Il se fait immédiatement réprimander et reçoit l’injonction de mettre ses mains au-dessus de sa tête et de ne plus bouger.
De longues minutes plus tard, le premier rend les armes et propulse un jet qui atterrit sur le buste du deuxième. Surprise, Andréa s’amuse avec les autres giclées à arroser celui qui lui résiste encore. Bien entendu, recevoir la semence de son mari aura pour effet de le faire éjaculer à son tour et bien entendu les jets sont propulsés sur l’autre buste.
Le moment d’extase et de contemplation passé, la jeune femme s’allonge sur les hommes, son visage au niveau des leurs. Elle aimerait un baiser, mais elle ne veut pas choisir, alors elle fait tourner leurs têtes vers la sienne, les trois paires de lèvres se rejoignent et les langues se mélangent.
Une douche s’impose, puis un petit en-cas. Puis avec un naturel déconcertant, elle leur annonce :
Tous les trois se regardent durant de longues secondes. Une fois de plus c’est Paulo qui trouve la bonne formule.
Encore une fois, la jeune femme ne mettra que quelques secondes de réflexion pour se décider. Elle laisse tomber une nouvelle fois sa serviette et ferme les yeux.
Le bandeau en place, elle est conduite dans la chambre, déposée tendrement sur le lit, caressée, embrassée, couverte de bisous plus ou moins humides.
Quelle sensation de se faire lécher pendant qu’une autre bouche s’occupe de sa poitrine ! Quatre mains qui voyagent partout. La jouissance est déjà intense avant toute pénétration, alors quand enfin un sexe la pénètre, elle bascule dans un monde inconnu. Durant les rares moments de conscience, elle tentera bien de participer, mais ils ne l’ont jamais laissé faire.
Après de longues minutes, après des milliers de baisers, des kilomètres de caresses et des centaines d’aller-retour dans son sexe, elle doit déposer les armes et leur demander d’arrêter.
Elle enlève son bandeau après de longues minutes d’extase. Elle les regarde, ils sont beaux comme tout mais semble ne pas avoir joui durant la bataille. Elle embouche le premier en branlant l’autre et change régulièrement jusqu’à obtenir sa récompense qu’elle étale sur leurs corps tour à tour.
Après une nouvelle douche, elle s’endort rapidement au centre du lit avec ses deux amants de part et d’autre. Quand elle fait surface, le lit est vide. Après une escale obligatoire, elle les rejoint dans la cuisine où ils sont affairés à papoter.
C’est étrange comme les choses se passent le plus simplement du monde, comme si la situation était on ne peut plus « normale ».
Elle se précipite pour appeler sa cousine afin de la rassurer. Elles prennent rendez-vous pour manger ensemble ce midi et surtout tout se raconter. Les garçons sont tristes d’apprendre qu’elle va partir, mais en même temps ils sont ravis d’avoir encore plus de deux heures à profiter d’elle.
À peine la dernière tasse arrivée dans le lave-vaisselle que l’un des deux met la jeune fille totalement nue. L’autre profite du spectacle en se déshabillant.
Pendant que l’un l’embrasse, l’autre la caresse, puis échange, quand un s’attaque à sa poitrine l’autre lui dévore le sexe. Elle sera, embrassée, caressée, léchée durant de très longues minutes. Puis, elle chevauchera l’un avant l’autre et ensuite elle sera chevauchée par l’un, puis par l’autre. Elle passera du plan de cuisine à la table basse du salon pour finir sur le canapé qui sera mis à contribution pour une levrette par l’un et par l’autre ensuite. Et une fois de plus, elle va les faire jouir à tour de rôle.
Andréa doit quitter ses compagnons, mais elle reviendra dès le vendredi suivant, puis la semaine d’après et enfin, après quelques mois, elle ne repartira plus.
Les trois sont d’accord pour reconnaître qu’ils sont surpris de la simplicité du fonctionnement de leur petite famille., les solutions sont toujours trouvées facilement.
Étonnamment, il faudra attendre six mois pour qu’un soir, naturellement, elle ait voulu prendre un de ses hommes en bouche pendant que l’autre la baisait.
Une fois, alors qu’elle était allongée sur son côté, un homme derrière elle la baisant admirablement. Ils ont vu arriver le troisième comparse qui s’est blotti à son tour dans le dos du premier et l’a sodomisé tendrement. C’était la première fois qu’ils pratiquaient un acte sexuel entre eux en sa présence.
Ce moment lui a donné l’envie de leur offrir ses fesses. Elle n’avait jamais été tentée par cette pratique, mais avec eux, spécialistes de la chose, elle a voulu essayer et a beaucoup apprécié.
Comme d’habitude, ils ont sorti le masque et elle ne saura jamais qui lui a pris sa virginité anale. Mais le plaisir a été tel, que cette pratique a ouvert énormément de nouvelles combinaisons. Les garçons ne se cachent plus pour s’aimer et elle adore les voir.
Deux ans après leur mise en ménage, elle est ravie de leur annoncer qu’ils vont être « Papa ».
L’avenir leur appartient.