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n° 22470Fiche technique22774 caractères22774
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12/06/24
Résumé:  Elles s’appellent toutes les deux Julie, sont cousines mais très différentes. La libertine va entraîner la sportive vers une révolution de sa sexualité.
Critères:  fh 2couples cousins collègues grossexe grosseins lunettes vacances sport voir fellation cunnilingu préservati pénétratio humour
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message
De la raquette à la braguette

Elles ont beau être cousines, se connaître depuis leur enfance, se fréquenter régulièrement, être toutes les deux célibataires et porter le même prénom, Julie la brune et Julie la châtain clair se ressemblent peu. Appelons-les Julie 1 pour la brune et Julie 2 pour sa cousine. Julie 1 approche de la quarantaine, elle travaille comme consultante en environnement dans une grande administration, arbore un visage rond, toujours souriant, et des formes pleines qu’elle met savamment en valeur. Le sexe est sa grande affaire car elle considère qu’il faut jouir de la vie sous toutes ses formes et ne compte plus ses amants. Le mariage lui répugne car elle tient par-dessus tout à sa liberté.


Julie 2 a 34 ans. Elle est pharmacienne salariée dans une officine, porte des lunettes sur son visage fin, rassemble son ample chevelure dans des chignons compliqués, dissimule son corps gracile derrière sa blouse au travail et à la ville ne se sépare que rarement de son jean, ses baskets et son pull ou son tee-shirt. Elle a toujours fait passer son travail avant sa vie privée, ce qui lui a valu plusieurs échecs dans sa vie sentimentale et s’est résignée au célibat. Au contraire de sa cousine, elle fait peu l’amour, son dernier coït remontant à un an avec un préparateur stagiaire qui l’a fait jouir avant de partir sous d’autres cieux, ce qui l’a à la fois rassurée sur sa capacité à l’orgasme et déçue une fois de plus par son caractère éphémère. Pour compenser sa vie sexuelle en berne, elle pratique le tennis avec ardeur et passion, ce qui en fait une très bonne joueuse. Elle alterne avec de longues séances de nage à la piscine municipale.


Elle se confie souvent à sa cousine dont elle admire l’esprit libre, bien que dans l’incapacité de l’imiter en raison de divers blocages. Dans leurs conversations, Julie 1 essaie justement de la débloquer en lui faisant admettre les joies du sexe pour le sexe, ce que Julie 2, au caractère plus romantique, a du mal à admettre.



C’est le genre de discours que Julie 2 a du mal à admettre. Le mot « baiser » ne fait pas partie de son vocabulaire, sauf s’il est synonyme de bise. Pour autant, elle commence à se poser des questions. Elle voit autour d’elle, à la pharmacie, des collègues femmes de son âge plus libérées qu’elle, mariées ou non. Quand elle entend la préparatrice Fanny dire un lundi matin à l’autre préparatrice Mathilde « je suis en pleine forme, on a bien baisé ce week-end », que l’autre lui répond « moi aussi » avec un sourire gourmand, alors qu’elle, Julie 2 s’est contentée de jouer au tennis et d’aller au cinéma, elle se sent quand même un peu gourde. Et frustrée. Son sexe soudain lui fait mal, comme si le remède était une visite approfondie.


C’est à ce stade que Julie 1 lui annonce, un dimanche de début d’été, qu’elle vient de gagner un concours dont le prix est un séjour d’une semaine pour deux personnes dans un club de vacances bien connu sur la côte méditerranéenne.



Julie a effectivement beaucoup de jours de congé à rattraper. Pour une fois, elle pourrait s’abstraire de son travail qui occupe tant ses préoccupations. Son patron saute sur l’occasion car il s’inquiète parfois de son côté « workaholic ». Julie 2 accepte donc l’invitation de sa cousine, qui lui dit :



Julie 2 est accompagnée parfois à la piscine par sa cousine où son deux pièces trop petit lui a valu des contacts mâles dont elle a su profiter ensuite. Va donc pour un bikini. Mais quand elle l’a montré à Julie 1, celle-ci lui a dit :



Vexée, elle s’exécute néanmoins et quand ensuite chez elle, elle se regarde dans la glace avec son bikini, elle se demande si elle porte vraiment un maillot vu qu’il ne cache vraiment que le strict essentiel.

*******

Quelques jours plus tard, les deux cousines font leur entrée dans la case qui leur est dévolue avec ses deux lits plutôt sommaires. Il fait déjà chaud et elles revêtent d’emblée leur maillot de bain pour tester la piscine du club. Leur arrivée suscite un certain émoi parmi l’élément mâle du club. Elles sont aussitôt assaillies par quelques dragueurs de tous âges venus manifestement chercher une bonne fortune agrémentant leur séjour. Julie 1 joue le jeu alors que Julie 2 marque une certaine réserve. Elles n’ont aucun mal à trouver une table où deux places leur sont réservées par ces hommes en compétition pour les sauter. Mais Julie 1, avec une certaine perversité, les tient à distance, se réservant de choisir le moment venu. La journée suivante se passe en activités sportives. Julie 1 a choisi la voile et le tir à l’arc qu’elle alterne avec des séances de bronzage intégral dans un enclos fermé réservé à cet effet, sans avoir réussi à convaincre Julie 2 de l’accompagner. Celle-ci se cherche un partenaire pour jouer au tennis. La vigueur de son coup droit décourage certains joueurs et c’est finalement le GO chargé d’animer ce sport qui se révèle le plus à même de multiplier les échanges avec elle.


C’est un brun athlétique d’à peu près son âge qui lui rappelle Djokovic pour le physique et qui se prénomme Boris. Il y a longtemps qu’elle n’a pas eu un partenaire aussi plaisant et pendant les deux journées qui suivent, ils vont multiplier les matches, au point même de provoquer l’intérêt d’autres joueurs devenus spectateurs.

Pendant ce temps, Julie 1 tire des bords sur un dériveur, s’amuse à devenir archer, joue les allumeuses au bar, continue à se bronzer le cul et entraîne Julie 2 le soir au night-club dans une tenue (short et boléro) qui attire les mâles comme les guêpes avec la confiture. Crevée par ses matches, Julie 2 se couche plus tôt et l’entend à peine quand elle rentre à la case au cœur de la nuit. Elle se lève beaucoup plus tard que sa cousine, qui se doute que sa nuit a été agitée mais ne cherche pas à en savoir plus.

Toutefois, après un déjeuner buffet où la brune a manifesté une connivence évidente avec un gaillard aux bras tatoués, celle-ci vient dire à l’oreille de sa cousine :



Julie 2 est aussitôt renvoyée à son statut de fille froide et asexuée, ce qui l’agace. D’autant qu’elle commence à en pincer pour Djokovic. Celui-ci l’a compris et commence à la fréquenter en dehors des courts. Lorsqu’elle délaisse sa tenue de joueuse pour revêtir son maillot de bain qui ne dissimule que les aréoles de ses seins menus et à peine le pubis et la raie de ses fesses musclées, il a du mal à dissimuler sa bandaison.

Les événements vont se précipiter un soir, après le traditionnel spectacle en plein air. Julie 2 a perdu de vue sa cousine. Elle la suppose déjà au night-club où elle n’envisage pas d’aller, d’autant que Djokovic-Boris la conduit au bar pour poursuivre son travail de séduction. Elle hésite encore entre le désir et la résistance, mais elle accepte qu’il l’accompagne jusqu’à la case où elle entend se coucher pour dormir.


Arrivé devant celle-ci, le GO prend l’affaire en main. Il l’enlace et lui roule une pelle. Julie 2 fait mine de lutter mais fond à vue d’œil et l’autre l’entraîne à l’intérieur où, surprise, la lumière est allumée. Le spectacle qui s’offre alors à eux a de quoi les stupéfier. À quatre pattes sur l’un des deux lits jumeaux, Julie 1 se fait prendre en levrette par l’homme tatoué. Ses coups de boutoir font balancer les gros nichons de la brune entre ses bras. Ses gémissements sont aussitôt interrompus par l’arrivée des deux fans de tennis.



Julie 2 est trop estomaquée pour répondre mais Djokovic-Boris saisit l’opportunité. Il pousse sa partenaire de tennis vers l’autre lit et continue à l’embrasser en la pelotant, bien qu’elle se raidisse, mais de moins en moins. Ce mâle puissant et viril qui se trouve sur elle réveille d’un coup ses hormones femelles, d’autant que sur le lit voisin, l’autre couple ne s’est en rien interrompu. La brune chevauche son mâle avec allégresse, ce qui lui permet en même temps d’observer et de commenter l’évolution des choses du côté de sa cousine.



Djokovic-Boris ne ressent plus guère de résistance. Quand il déboutonne le bermuda de Julie 2, celle-ci décolle les fesses pour l’aider et le bermuda vole en même temps que le slip. La bouche du GO se colle aussitôt à la vulve trempée de sa partenaire de court, qui renonce alors à toute opposition. Elle croise le regard de sa cousine qui poursuit sa chevauchée, la langue entre les lèvres, et y lit la lueur du plaisir. Abondamment léchée, Julie 2 gémit en maintenant la tête du GO, lui signifiant ainsi toute son adhésion. Elle est la première surprise par l’orgasme qui la fouette et la fait se tordre sur le lit jumeau. Elle a besoin maintenant d’être pénétrée, d’être nue, et se débarrasse elle-même de son débardeur et de son soutif. C’est alors que Julie 1 se détache du tatoué et lui dit :



Elle fouille dans son sac et en sort un préservatif qu’elle tend au tennisman, trop heureux de cette initiative à laquelle il n’avait pas pensé. Puis Julie 1 se recouche et, allongée, accueille à nouveau son mâle qui la besogne, bras tendus. Djokovic-Boris fait exactement de même avec sa gracile partenaire de court, qui l’encercle de ses jambes et de ses bras. La pénétration est massive car le GO est fortement membré. Jamais Julie 2 n’a ressenti un tel envahissement dans sa mince vie sexuelle. Elle pousse un cri rauque de ventre, qui répond aux couinements de sa cousine, très agitée sur le lit voisin qui grince sous les effets du coït. Le tennisman aurait pu freiner ses va-et-vient vu le corps gracile de sa partenaire écartelée. Mais stimulé par les ébats mitoyens, il assène de virulents coups de bite qui déclenche dans le corps de Julie 2 une sensation inouïe, inédite, qu’elle traduit in petto ainsi : « je suis en train de baiser ».


Alors, désireuse de montrer à sa cousine qu’elle n’est pas la fille coincée qu’elle imagine, elle pose ses pieds sur l’étroit matelas et, ruant dans les brancards, se met à riposter de son petit cul aux roulements de celui musclé de son partenaire, comme s’il était face à elle de l’autre côté du filet. D’où un coït ardent, passionné, mouvementé, qui ravit le GO, heureux de constater qu’il n’est pas tombé sur une planche à pain.

Les positions se multiplient sur les deux lits et lors d’une de celles-ci, les deux cousines se retrouvent face à face à quelques centimètres de visage, leurs deux mâles fichés en elles, agitant l’une et l’autre leurs hanches en s’exclamant et se postillonnant à la face.



Surexcités par cet échange très cru, les deux hommes giclent presque simultanément dans leur capote, frustrant leurs deux partenaires qui auraient bien continué encore un peu à se faire fouiller.



Julie 2 reste coite. Se faire traiter de salope, c’était quand même un peu fort de café pour une pharmacienne diplômée mais après tout, cette partie de jambes en l’air à quatre, qui plus est avec sa cousine, ne lui serait jamais venue à l’esprit avant de fréquenter ce club. Et au fond, elle avait adoré ça.

*****

C’est tellement vrai qu’il se passe dans sa tête quelque chose comme une brisure, un déverrouillage et même une libération, qui court jusqu’à son bas-ventre. Elle a baisé et ne pense plus qu’à baiser. La joueuse de tennis devient joueuse de pénis et la braguette remplace la raquette. La case se substitue au court et Djokovic-Boris doit s’employer pour satisfaire l’appétit insatiable de la fille à lunettes. Le soir, la case des deux cousines devient un vrai lupanar et c’est au tour du cul bronzé de Julie 1 de rouler sur la grosse bite du tennisman pendant que sur le lit voisin, Julie 2 se fait plier en deux par le tatoué. Totalement décoincée, celle-ci accepte désormais de bronzer nue avec sa cousine dans l’enclos réservé, ce qui lui vaut des coups de soleil sur ses petites fesses vierges d’UV. À court de capotes, elle est même obligée de se rendre chez un confrère pharmacien de la ville voisine pour se réapprovisionner. À la fin du séjour, elle n’a pas amélioré son revers et son coup droit mais sa vie sexuelle a fait un pas de géant. Elle s’est même fait sodomiser par le tatoué et, ô surprise, a découvert l’orgasme anal. Osera-t-elle le raconter à ses collègues en rentrant ?

*******

Quelques jours plus tard, Julie 2 fait son retour à la pharmacie. Ses collègues admirent sa bonne mine, ses jambes bronzées découvertes par une jupe mini, vraiment mini, ce qui est leur premier étonnement et le second ce corsage très déboutonné révélant la naissance des seins également bronzés. Elle ne les avait pas habitués à mettre ainsi son corps en scène, même s’il disparaît vite derrière la blouse réglementaire. Fine mouche, Fanny lui glisse à l’oreille :



Julie 2 répond par un gloussement qui vaut réponse. Fanny insiste :



Fanny ne tient pas sa langue et informe Mathilde, l’autre préparatrice, laquelle transmet à Blandine, la patronne, belle quadra aux tendances libertines.


Julie 2 se fait souvent baratiner, pour ne pas dire draguer, par certains clients attirés par son joli minois à lunettes. Jusqu’à présent, elle a répondu par un sourire indulgent sans donner suite, contrairement à Fanny et Mathilde qui, bien que mariées, ont parfois répondu à une invitation à déjeuner « entre midi et deux » suivie de galipettes dans un hôtel proche de l’officine, partant du principe « qu’il ne faut pas laisser passer les bonnes occasions de plaisir tant qu’on est baisables ». Julie 2 s’était offusquée de ces adultères dont les coupables n’omettaient aucun détail à ses chastes oreilles, le calibre du monsieur et son endurance faisant partie du récit.


Mais ses vacances ont modifié son état d’esprit. Sans parler de l’influence de sa sulfureuse cousine qui l’a incitée, à leur retour, à continuer sur sa lancée. Or, un homme n’a cessé de la relancer. Ce n’est pas un client mais un commercial d’un laboratoire venant régulièrement tenter de placer ses produits auprès de Blandine. Il a la quarantaine sportive, des yeux noirs, un sourire coquin et il plaît aux dames. En particulier à sa patronne, qui s’isole dans son bureau avec lui quand il lui rend visite. Fanny et Mathilde ont collé leurs oreilles à la porte et ont rapporté à Julie 2 des bruits caractéristiques d’un couple en train de baiser.


Julie 2 se dit que si cet homme, prénommé Fabrice, lui fait encore du gringue, elle ferait bien cocue sa patronne qui s’obstine à ne pas l’augmenter malgré son ancienneté. D’autant que l’envie de baiser ne l’a pas quittée depuis son retour de vacances. Réitérant son invitation à déjeuner lors d’une de ses visites, Fabrice est surpris de la réponse positive de Julie 2. Il ne l’a jamais trouvé aussi ravissante, avec ce bronzage qui met sa jolie peau en valeur. Mais est-ce qu’elle couche, là est la question. Mieux vaut avancer à pas prudents.

******

Le commercial est épaté par l’appétit de la pharmacienne devant sa pizza, qu’elle dévore en le regardant d’un œil gourmand et en l’écoutant parler des difficultés de son métier. « Si elle baise comme elle mange, ça promet », se dit-il en parlant boutique. Il n’est donc qu’à moitié étonné quand, à l’issue du bref repas coïncidant avec la pause déjeuner, elle lui dit en toute simplicité :



Julie 2 a retenu une leçon de sa cousine : « les mecs, il faut les prendre par les couilles pour ne pas se laisser dominer ». En général, le commercial doit vaincre les résistances (ou pseudo-résistances) avant de sauter ses conquêtes. Cette fille à lunettes le prend complètement à contre-pied. Il suit sa mini-jupe et ses jambes bronzées dans l’escalier menant à son appartement au premier étage.



Le dragueur est surpris. Il ne la voyait pas comme ça, la petite pharmacienne. On ne connaît jamais assez les femmes.

Devant ses atermoiements, elle ne fait ni une ni deux : elle lui prend le visage dans ses deux mains et lui roule une pelle, son bassin collé au sien.



Assise sur son lit, elle tire sur sa braguette et en sort son pénis en demi-érection.



Durant sa semaine de vacances érotiques, Julie 2 a profité de l’expérience de sa cousine, experte en fellation. Pendant leurs parties carrées, elle a appris à se servir de sa langue, de ses lèvres et même de ses dents, et s’est révélée tellement douée que Djokovic-Boris a tout lâché dans sa bouche, provoquant chez la récipiendaire une forte quinte de toux qui a fait rire les trois autres protagonistes. Les virevoltes de sa langue autour du gland du commercial font vite comprendre à celui-ci qu’il a affaire à une pipeuse d’exception et il doit se contrôler pour ne pas gicler à son tour dans cette bouche gourmande. Le sentant de plus en plus pointu, Julie 2 s’interrompt car elle ne veut pas réduire son rendez-vous galant à une pipe réussie.

En un tournemain, la mini-jupe, le string assorti, le chemisier et le soutif voltigent sur le plancher et le commercial découvre sur le lit le corps intégralement bronzé de la pharmacienne, qui a juste conservé ses lunettes.



Dûment équipé de latex et nu par ailleurs, le commercial s’avance la bite en avant, impatient d’honorer ce petit corps si ferme, si bien proportionné, si cuivré, lui pas plus désireux de retarder l’échéance. Dès qu’il est introduit, il se sent encerclé, talonné, griffé, empaumé et le lit heureusement solide est le lieu d’un accouplement passionné, mouvementé qui aurait été bref si les deux protagonistes n’avaient pas eu la connivence de l’interrompre pour modifier leurs positions. Raide et durable, le commercial assaisonne la jeune pharmacienne de ses coups de bite, suscitant chez celle-ci des commentaires aussi laudateurs que crus. Totalement libérée depuis son « stage », Julie 2 ne fait pas l’amour avec cette relation conjoncturelle. Elle baise comme elle a baisé avec le tennisman et la tatouée, régalant son partenaire par son jeu de jambes, ses coups de reins, l’action de sa langue (depuis combien de temps une femme ne lui a-t-elle pas léché le trou du cul comme cette poupée ?) et ses exaltations pour sa bite qu’elle câline amoureusement entre deux postures, comme la source de son plaisir.


De voir ce petit corps bronzé danser sur sa queue en se caressant les seins met le commercial dans un état d’exaltation rare. Entièrement dévouée à son coït, Julie 2 a ôté ses lunettes et dénoué son chignon comme pour profiter davantage du membre viril qui comble sa féminité en ébullition. Elle veut rattraper le temps perdu par ses échecs amoureux. Son corps était en berne et son réveil est brutal. Il épouse la bite, il s’en gave comme un famélique retrouvant la nourriture et un flot d’hormones femelles fait clapoter les deux sexes joints. Le commercial met un point d’honneur à atteindre l’orgasme de Julie 2 pour gicler en même temps. Il survient quand elle se pose à genoux sur le fauteuil de sa chambre, s’offrant à une pénétration rectiligne et intensive par-derrière. Son dos se couvre de chair de poule, elle crie un sonore « ouiiii » et il la couvre comme un chien sa chienne pour se répandre dans sa capote. Il l’aurait bien sodomisée dans cette position suggestive mais l’orgasme n’attend pas.

******

Quand elle retourne à la pharmacie, ses collègues et sa patronne sont déjà derrière le comptoir devant les clients. La croupe frétillante et l’œil vif de Julie 2 ne passent pas inaperçus. Une fois revêtue de sa blouse, elle redevient professionnelle mais Mathilde profite d’un intermède pour lui glisser à l’oreille :



Évidemment, personne n’est dupe dans la pharmacie, à commencer par Blandine, la patronne, qui regarde Julie 2 d’un œil noir. C’est le début d’une disgrâce qui va compliquer la vie de la seule pharmacienne diplômée de l’officine en dehors de la propriétaire. D’autant que l’amant de celle-ci devient moins empressé. Il baise désormais Julie 2 après son boulot et couche avec elle au lieu d’aller à l’hôtel. La sanction tombe quelque temps plus tard. Une ordonnance mal identifiée par Julie 2 lui vaut une sanction disciplinaire et un licenciement pour faute grave, totalement disproportionné. Mais Julie 2 ne reste pas longtemps au chômage. Le commercial a plaidé sa cause auprès de son laboratoire, qui cherche justement un(e) pharmacien(e) pour valider ses produits. Il obtient gain de cause, ce qui contraint Julie 2 à déménager mais gagne en retour une vie de couple plus stable, tout en étant animée par une vie sexuelle intense. Et voilà pourquoi ce séjour estival dans un club réputé comme un baisodrome a fini par déboucher sur un mariage très conventionnel. Il paraît que c’est fréquent.