n° 22472 | Fiche technique | 30181 caractères | 30181 5344 Temps de lecture estimé : 22 mn |
12/06/24 |
Résumé: Un homme provoque une jeune femme lors d’un diner. | ||||
Critères: fbi cadeau fête caresses init | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
Collection : TRIO |
Ce n’est pas une série. Tous les textes sont indépendants et peuvent-être lus dans n’importe quel ordre. Par contre, ils traitent tous de trio à un moment ou un autre.
« Mais qu’est-ce qu’elle m’énerve celle-là. Mais faites-la taire par pitié ».
Antoine n’en peut plus, cela fait deux heures que ce repas entre amis à commencer et déjà, il n’a qu’une envie c’est de verser la carafe d’eau sur la tête de cette gonzesse pour lui clouer son clapet.
Il a été invité par sa meilleure amie et son conjoint pour l’anniversaire de celui-ci et comme c’est un indécrottable célibataire de quarante ans, on lui trouve toujours une jeune femme pour équilibrer le plan de table.
Il n’est ni grand, ni petit, ni gros, ni maigre, ni blond, ni brun. Technicien dans l’industrie, il gagne correctement sa vie et comme il ne fait pas de folie et n’a pas de goût de luxe, il s’est payé un chouette duplex en banlieue de Nantes. Enfin pour être précis, pour l’instant le logement appartient plus à la banque qu’à lui, mais tous les mois, l’équilibre change légèrement.
Cette fois-ci, ils ont fait fort ses amis en lui dégotant une véritable bourgeoise comme on en voit rarement. Elle a un sacré charme, c’est indéniable, elle est même sexy dans sa belle robe de soirée, mais depuis l’apéro elle parle toujours et sait tout sur tout. Dommage, car sans cela, elle serait baisable à souhait, pense-t-il. Elle est plus petite que lui, avec de belles formes mais sans trop. Des cheveux courts qui lui donnent un air garçonne.
« Et nananie et nananère, et moi ceci, et puis moi cela et puis j’ai ceci et moi je suis allé là. »
Elle a tout vu et tout fait, celle-là, pour autant, elle n’a pas trente ans. Qu’est-ce qu’il faut faire pour qu’elle laisse un peu de place aux autres ? Antoine bout dans son for intérieur quand elle finit par se tourner vers lui et lui demande :
L’homme hésite, mais excédé il ne peut contenir sa réponse sachant qu’elle est la seule à pouvoir l’entendre.
Il est convaincu de lui avoir cloué le bec. Mais il craint quand même que la jeune femme crie au scandale. Effectivement, elle a du mal à se contrôler, elle sert les dents et les poings, mais elle ne veut pas lui faire le plaisir de craquer. Donc après avoir bu une gorgée d’eau, elle réplique.
Ha bien, Antoine est surpris par l’arrogance de cette fille, mais enfin, il a réussi à la faire taire. À charge, maintenant pour lui, de garder la main et de s’amuser.
Amélie est fière de sa réponse, elle vient de le coincer à son propre jeu. Même si elle est vexée d’être considérée comme une bourge. Mais elle veut le pousser dans ses derniers retranchements, alors elle insiste.
Antoine se lève et sort prendre l’air pour retrouver ses esprits. « Je me suis bien fait avoir sur ce coup-là, maintenant je passe pour un gros con lourdaud et misogyne, ce que je ne suis pas du tout ».
Il a la surprise de voir Amélie le rejoindre.
Ils n’arrivent pas à contenir leur fou rire qui permet à la tension entre eux de se relâcher. Après avoir retrouvé leurs esprits, ils retournent à table et discutent afin de mieux se connaître et de repartir sur de meilleures bases. La soirée finalement devient beaucoup plus agréable. Minuit passé, une partie des convives prennent congé, Antoine en profite pour tenter de se sauver, mais Amélie ne l’entend pas ainsi, elle le rattrape et demande son dû.
Elle ne lui laisse pas le temps de répondre, pose ses lèvres sur les siennes et glisse doucement sa langue dans sa bouche. Il abdique et ils partent à pied main dans la main. Pendant le trajet, Antoine prépare mentalement leur arrivée dans son antre. Heureusement qu’il déteste le désordre et que son intérieur est toujours impeccable. Arrivé devant sa porte, il ouvre et la laisse passer. Il l’aide à retirer son manteau et l’invite à se déchausser. Fermement, il la conduit dans son salon devant le canapé. D’elle-même, elle prend la position décrite tout à l’heure, les genoux bien écartés en plus.
Il soulève le bas de sa robe, mais elle ne tient pas sur ses reins, alors il la lui enlève. Elle se retrouve en culotte et en bas autofixant, tout soutien-gorge étant une hérésie avec une telle robe.
Se positionnant derrière elle, il la caresse puis pose ses lèvres dans son cou, les mains passent devant et la bouche descend le long de la colonne vertébrale. Plus il descend, plus elle se cambre. Plus il caresse ses seins, plus elle gémit.
Il finit à genoux, descendant la lingerie haut de gamme.
Elle l’aide de son mieux, puis reprend rapidement sa position. Il plonge entre les fesses en direction de son sexe qu’il lèche goulûment. Elle jouit rapidement. Il profite qu’elle récupère pour s’équiper d’un préservatif et se positionne sur les lèvres de son sexe.
Il plonge en elle profondément, elle est trempée, même inondée. Elle gémit, il pistonne lentement, puis de plus en plus vite, elle l’accompagne avec des sons divers et variés, jusqu’à jouir violemment. La tension était trop forte, ainsi que l’envie. Une fois sa jouissance passée, Antoine reprend ses va-et-vient. Il arrive à se contenir jusqu’à une deuxième explosion de la jeune femme. Elle en tremble, elle est en sueur, elle a du mal à respirer. Il profite pour sortir de la douce caverne et la caresse très affectueusement. L’envie lui prend de se positionner entre ses fesses, puis le gland sur son anus. Les fluides de la femme permettent une lubrification de la zone. Bien en place, il attend. Elle lui fait comprendre en venant vers lui qu’elle est prête.
Il pénètre, lentement, se bloque dès les premières contractions des fesses, attend le relâchement et reprend sa progression. Il arrive rapidement au fond. Il se couche sur elle pour atteindre son clitoris du bout des doigts, la caresse en même temps qu’il la pilonne. Cette fois-ci, il craquera avant elle.
Ils se retrouvent sous la douche, se lavant mutuellement. Ils se sèchent et il sort le premier en enfilant son peignoir. Elle le rejoint totalement nue dans le coin cuisine.
Antoine a été surpris par sa demande et il a répondu instinctivement. Il était persuadé qu’elle repartirait tout de suite.
Après un verre d’eau, un petit fruit, ils se retrouvent sous la fine couette. Rapidement, ils s’endorment.
Le lendemain matin, il se lève le premier, la nature lui imposant une escale technique. En repassant près du lit, il l’admire. Elle est sur le dos, une jambe pliée, la couette ne couvrant plus qu’une jambe.
« Mince, cette fille est vraiment très belle, je ne sais pas où cette histoire va nous conduire, mais j’ai bien l’intention d’en profiter encore. »
C’est avec l’image de ces fesses attirantes qu’il rejoint la cuisine. Il est assis sur un haut tabouret à finir son déjeuner quand elle arrive toujours nue. Faisant le tour du plan de travail, elle se colle dans son dos, pose sa tête sur son épaule, l’entoure de ses bras et lui lance un « salut mec ». Quand il tourne la tête, elle l’embrasse.
« tient, elle s’est lavée les dents » Pense-t-il, « c’est vrai que je lui ai donné une brosse hier soir après la douche. »
Elle glisse une main dans le peignoir sur sa poitrine et l’autre directement sur son sexe qui réagit au quart de tour. Rapidement, l’organe est en pleine forme, sans lâcher sa prise, elle fait tourner le tabouret, ouvre le peignoir et lui grimpe dessus pour s’embrocher directement. Elle s’accroche à son cou et agrippe le tabouret avec ses jambes, puis commence une grande chevauchée. Il l’aide en posant ses mains sous ses fesses. Elle jouira rapidement, puis elle s’arrête.
Et la cavalcade reprend de plus belle jusqu’à ce qu’elle jouisse une nouvelle fois. Une fois la vague de plaisir passée, elle descend, l’empoigne et le branle en le fixant dans les yeux fermement. Il ne tient pas longtemps et gicle de longs jets qui retombent sur le bras et la main de la branleuse et sur les jambes du branlé.
Elle attrape l’essuie-tout sur le plan de travail pour nettoyer les dégâts. Elle insiste bien plus que nécessaire avec un sourire complice. Finalement, elle s’installe en face de lui pour prendre son petit déjeuner, elle est affamée. Comme elle est nue, elle le taquine pour qu’il en fasse autant, il se plie de bon cœur à sa demande. Il lui sert du café, elle lui attrape le sexe. Il se dégage et revient avec deux tartines grillées, rebelote, et ainsi de suite durant tout le repas. Une fois la cuisine débarrassée, ils foncent sous la douche, se lavent mutuellement, mais restent sages. C’est au moment de l’habillage qu’un problème se pose, elle n’a pas de change.
Une fois de plus, elle le surprend avec sa demande. Il n’avait pas envisagé de passer le week-end avec elle, ni avec personne d’autre, d’ailleurs. Étonnant comment elle pouvait l’énerver au début et comment il a envie de rester avec elle maintenant !
Elle enfile ses vêtements d’hier sans remettre de sous-vêtement. Il profitera d’un arrêt à un feu pour glisser une main baladeuse entre ses cuisses qu’elle lui a largement ouvertes. Tout se déroule comme prévu, et ils reviennent chez Antoine sur le coup de midi. Elle le regarde évoluer dans sa cuisine leur préparant un petit repas sympa de riz avec du poisson et une petite sauce dont il a le secret. Un fruit clôturera le repas. Pour éviter la déconvenue d’hier, il ne lui propose pas d’alcool et elle n’en demande pas.
Maniaque, il nettoie tout avant de passer à autre chose. Ils décident qu’une ballade leur ferait le plus grand bien. Ils filent jusqu’au parc main dans la main. La conversation est très agréable, ils s’expriment chacun leur tour et s’écoutent respectueusement. Mais, il sent que quelque chose cloche, elle semble un peu triste par rapport à ce matin, il lui en fait la remarque.
Elle se retourne pour contrôler que personne ne peut les voir et elle plonge carrément sa main dans le short du monsieur à la rencontre de son organe qu’elle empoigne fermement. Une fois la surprise passée, à son tour, il passe une main sous la fine robe qu’elle a mise en se changeant chez elle. Il est surpris d’entrer en contact directement avec ses jolies douces fesses que rien ne couvre. Il s’amuse quelques secondes sur ses rondeurs et finit par lui titiller la vallée entre ses tendres monts. Entendant du bruit, ils se séparent et reprennent leur balade autour du petit étang tout sourire. Une fois au bout du parc, à l’extrémité de l’étang, elle l’entraîne vers un petit kiosque pour un tendre câlin et beaucoup de baisers. Elle jouira une nouvelle fois sous ses doigts cette fois-ci.
Son visage est radieux, la bonne humeur est de retour, la vie est belle. La soirée sera très tendre au début et très sexe ensuite. C’est elle qui a pris les choses en main en lui grimpant dessus sur le canapé. Au petit matin, il la prendra dans la fameuse position des petites cuillères avant la douche qui verra revenir la tendresse. Il la raccompagne chez elle dans l’après-midi après un dernier énorme soixante-neuf qu’elle clôture en avalant ses dernières gouttes. Ils se donnent rendez-vous pour le vendredi suivant, cette fois-ci, c’est elle qui va le recevoir, lui promettant une énorme surprise.
La semaine passe rapidement, il lui passe un coup de fil le mardi et elle le jeudi midi, mais ils restent très sages. Le vendredi arrive vite et c’est les mains bien chargées, fleurs, champagne et chocolats, qu’il sonne à l’interphone. Elle commande la gâche et il arrive derrière la porte de son appartement qui s’ouvre toute seule avant qu’il ne frappe. Il rentre et la trouve entièrement nue une nouvelle fois, à genoux sur son divan dans la fameuse position, offerte comme il y a une semaine. Il pose ce qui l’encombre et se jette sur elle. Il l’embrasse, la caresse, la lèche. Elle gémit, crie et jouit. Au moment de la pénétrer, il marque un temps d’arrêt, en attendant son accord. Elle recule pour s’empaler sur le dard en pleine érection. Elle jouit une nouvelle fois et c’est elle qui présente maintenant le gland sur sa rondelle. La pénétration fut une nouvelle fois très douce, lente et progressive, mais une fois empalée, il la besogne jusqu’à éjaculation. La douche s’impose de nouveau et la tendresse est de retour.
La soirée se déroule très bien. Ils sont heureux ensemble et les baisers, caresses et autres taquineries sont nombreux. La dernière séance avant de s’endormir est dantesque. Elle est complètement libérée et ne se refuse rien. Lui, il profite de la situation pour se gaver de cette femme. Même s’ils ne se l’avouent pas, il y a plus que du simple sexe entre eux.
Au petit matin, elle se réveille seule dans le lit. Pendant quelques secondes elle panique, de peur qu’il soit parti ou pire, mais non, elle l’entend dans la cuisine et semble bien être seul. Après quelques ablutions, elle le rejoint, l’embrasse tendrement. Elle déjeune rapidement et semble regarder l’heure très souvent. Il lui fait la remarque mais elle ne répond pas. Elle l’entraîne dans la chambre, le couche nu sur le dos et elle vient sur lui dos contre son torse. Elle lui attrape les mains et se caresse avec la poitrine, le ventre et le sexe. La réaction est rapide, elle sent une tige dure et ferme entre ses fesses. Elle se contorsionne un peu afin d’attraper l’appendice et l’introduire dans son sexe. Elle se rallonge, tourne ses lèvres vers lui, l’embrasse, gémit, soupire et jouit sous ses petits aller-retour et ses caresses. Sans le faire sortir d’elle, entre deux gémissements, elle lui dit tout en continuant de remuer du bassin sur le pieu :
L’homme se bloque.
Oui, comme ça, encore, pince mes tétons, mais pas trop fort, oui, ha, je jouis.
Il la laisse reprendre son souffle avant de continuer ses manœuvres et elle reprend son discours.
Hey, n’arrête pas, je suis en train de repartir. D’ailleurs, elle est là, elle nous regarde depuis un bon moment déjà.
Non, ne bouge pas, continue s’il te plaît, c’est trop bon. Je peux lui dire de venir si tu es d’accord.
Antoine ne sait plus quoi penser, cette Amélie est pleine de surprise. Il n’a pas le temps d’aller plus loin dans ses pensées qu’elle lui réclame une nouvelle fois de continuer son œuvre. Et elle lui redemande s’il veut qu’elle vienne.
Une magnifique Asiatique sort de l’ombre et rejoint le couple dans la chambre. Amélie tend une main vers elle, tout en encourageant le mâle à continuer le traitement.
Nöh s’assoie à côté des deux corps emboîtés et embrasse sa femme, les mains de l’homme sont renvoyées sur les hanches d’Amélie et sont remplacées par celle de la nouvelle venue. Elle caresse, embrasse suce les tétons, les seins, le ventre.
La femme s’exécute. Nöh fait tout pour ne pas toucher le sexe de l’homme se concentrant sur le clitoris et Amélie jouit violemment. Elle attrape la tête de sa lécheuse et l’oblige à descendre sur ses lèvres au contact du sexe qui la pénètre. Pour la première fois, Nöh touche le sexe d’un homme. Elle n’a jamais été attirée par les hommes, alors pourquoi aujourd’hui elle n’en sait rien, mais bizarrement, la situation ne la rebute pas, au contraire. Alors elle lèche, cherchant à donner du plaisir sans se poser trop de questions. Amélie jouit comme jamais, c’est une explosion dans son corps. L’orgasme est si puissant qu’elle est obligée d’arrêter la femme tellement cela en devient douloureux. Trop, c’est trop.
Antoine est obligé de sortir de peur de se répandre en elle. Mais il ne se libère pas. Une fois, le calme revenu dans ses entrailles, Amélie se redresse et enlace sa femme, l’embrasse, la caresse et la déshabille.
Un peu maladroitement, des bonjours sont échangés, timides et gênés. Mais Amélie veut pousser sa femme plus loin.
Elle invite sa femme entre les cuisses de l’homme.
Elle incite Nöh à prendre le sexe semi-gonflé dans sa main et à le branler doucement. Antoine est en train de vivre un moment qu’il n’aurait jamais pu imaginer. Deux femmes pour lui seul, une qui vient de jouir sous ses assauts et une autre qui tente de lui redonner de la vigueur. D’ailleurs, le résultat est plus que probant.
La jeune asiatique suit les conseils de sa femme et vient se présenter au sexe. C’est Amélie qui dirige le gland pour qu’elle puisse s’empaler sur le sexe bien dur en prenant appui sur la poitrine de l’homme.
Amélie ne reste pas inactive, elle se positionne à genoux derrière sa femme et la caresse, l’embrasse, devant et derrière. À sa grande surprise, Nöh sent son plaisir monter. Elle gémit, accélère la cadence. Amélie lui tire les tétons, puis d’une main s’attaque à son clitoris. La jouissance est violente. Elle s’écroule sur le torse d’Antoine. Il lui faudra beaucoup de temps pour retrouver sa respiration. Sous les tendres caresses de ses deux comparses. Une fois le calme revenu, elle se redresse, se lève, se tourne, s’allonge de dos sur l’homme et se pénètre à nouveau sur l’engin encore bien dur. Elle invite Amélie à venir la lécher pour vivre la même chose qu’elle il y a quelques minutes. Cette fois-ci, son orgasme est moins violent, mais tout aussi bon.
Amélie sort le sexe d’Antoine de sa caverne et l’embouche rapidement afin de le vider. Le sperme dans sa bouche, elle remonte embrasser sa femme et partager la liqueur de l’homme. Ils se retrouvent tous sous la douche, puis devant un bon repas. Nöh raconte son voyage dans sa famille au Vietnam et montre les quelques présents qu’elle a rapporté. Dans le lot, il y a une magnifique robe en soie à dominante rouge. Amélie ne résiste pas, elle enfile le cadeau. Cette robe lui va à ravir, elle souligne ses formes et surtout met en valeur ses fesses. L’après-midi passe vite, les filles sont rayonnantes. Antoine se sent un peu de trop, mais n’ose rien dire. Il profite d’un moment d’inattention des filles pour rejoindre la cuisine et préparer un bon repas pour ce soir. Il opte pour des petites choses à grignoter plutôt qu’un grand repas. Il en est à la fin de ses préparatifs quand Amélie vient le chercher. Elles veulent lui faire un cadeau. Elle le guide dans la chambre où Nöh se trouve déjà totalement nue sur le lit. Amélie installe l’homme dans un fauteuil.
Elle rejoint sa femme sur le lit et elles lui offrent un magnifique spectacle lesbien. Elles agissent avec une grande complicité, se connaissant parfaitement. Il a droit au grand jeu, tout y passe, même certains godes et vibromasseurs sont mis à contribution. Elles finissent au bout de plus d’une heure, totalement épuisées et toute en sueur. Après avoir retrouvé un peu de calme, elles se lèvent et se positionnent une de chaque côté du fauteuil. Antoine les enlace et les caresse tendrement.
À tour de rôle les femmes l’embrassent.
Pendant que les filles filent sous la douche, Antoine termine ses préparatifs et tout ce petit monde se retrouve dans le salon. Les filles ayant enfilé chacune un body très sexy et juste un petit voilage transparent sur leurs épaules.
Antoine ouvre le champagne et sert les filles qui trinquent bruyamment entre elles puis avec lui. Il se sent un peu à l’étroit dans son short et les yeux féminins ne peuvent pas rater la bosse qui déforme le textile. Cela les amuse un bon moment, mais par pitié, elles finissent par le mettre à poil. Afin de continuer son service, elle l’invite à mettre un tablier autour de sa taille pour éviter d’abîmer le matériel et préserver un minimum d’hygiène.
Pour limiter le risque de voir déraper Amélie, il en reste là avec l’alcool. À la fin du repas, les filles mettent de la musique et se trémoussent pendant que lui débarrasse et, fidèle à ses principes, nettoie et range tout dans la cuisine. Quand il les rejoint, elles sont enlacées tendrement tournant sur une petite musique douce. Ne voulant pas briser leur intimité, il s’installe dans le grand canapé, juste au milieu. Quand le morceau est terminé, elles le rejoignent et commencent à le caresser sur tout le corps pour le remercier de les avoir chouchoutées ce soir. Nöh, manquant d’expériences, suit les gestes de sa compagne. Tout ce beau monde finit au lit, l’homme a reçu l’injonction de ne pas bouger, coucher en plein milieu les mains derrière la tête. Elles le massent, le caressent, le couvrent de baisers, de léchouilles. Il a droit à une magnifique fellation à deux bouches et quatre mains. Le sentant au bord de l’explosion, Amélie invite Nöh à faire comme elle. Avec leurs bouches, elle forme un étui autour du gland et elles montent et descendent de façon synchronisée. Il craque et lâche quelques longs jets qui retombent sur les joues des suceuses. Un nouveau passage par la salle de bain s’impose, mais ils restent très sages et se couchent, Nöh au milieu.
Au réveil, Antoine est de son côté alors que les filles sont tendrement enlacées. Il décide de les laisser et file se rafraîchir puis faire le café. Pendant qu’il coule, il descend acheter du pain et de la viennoiserie. Il ne peut s’empêcher de revoir les images d’hier et se demande comment vont évoluer les choses. Il décide d’allonger son petit tour. Ce n’est que finalement presque une heure plus tard qu’il rentre. Il a bien fait, les filles sont encore au lit, mais bien réveillées à entendre les gémissements qui lui arrivent de la chambre. Il a le temps de finir de manger et de boire son café quand elles débarquent, toutes guillerettes. Elles l’entourent et couvrent son visage de baisers baveux en rigolant comme deux gamines.
À peine leur repas terminé, elles ne lui laissent pas le temps de débarrasser qu’elle le déshabille, l’entraîne sur le tapis du salon. L’une s’empale pendant que l’autre se fait lécher. Puis elles inversent les rôles. Après plusieurs jouissances, elles changent. Nöh se retrouve assise sur le canapé, Amélie face à elle à genoux et elle invite Antoine à la prendre par-derrière. Pendant qu’il la besogne, elle se fait caresser par Nöh. Celle-ci va jusqu’à introduire deux doigts de chaque côté de son sexe dans le conduit d’Amélie. Après une nouvelle jouissance, elles échangent et la bataille reprend. Les positions se sont succédé pendant plus d’une heure avant qu’Antoine commence à montrer des signes de faiblesse. Alors elles le vident en le branlant avec chacune une main.
Les filles partent se rafraîchir et s’habiller, elles ont envie de prendre l’air. Elles seront très longues avant de le rejoindre. Durant la ballade, Amélie lui explique qu’elles viennent d’avoir une longue conversation dans la salle de bain et qu’elles souhaitent être très claires avec lui.
La discussion durera longtemps, les filles refusent de suivre un calendrier, elles expliquent simplement que parfois, il verra l’une ou l’autre seule et que parfois ce sera les deux en même temps. Antoine s’engage à être à leur disposition exclusive durant un mois et ensuite on fera un point.
Le repas du dimanche sera pris en ville dans une petite brasserie, puis retour à l’appartement des filles pour un long moment de tendresse avant qu’Antoine ne prenne congé.
Nöh le contacte le mardi soir, elle lui demande si elle peut passer le voir mercredi en fin de journée. Ils passeront la nuit ensemble. Le week-end suivant, pas de nouvelle des filles, mais Amélie le rejoint le lundi soir pour la nuit. La fois suivante ce sera à trois pour tout le week-end et ainsi de suite, les séances s’organisent en fonction des envies et des disponibilités des uns et des autres.
Personne ne sait comment va tourner leur histoire… Tout est possible.