Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22474Fiche technique8252 caractères8252
1331
Temps de lecture estimé : 6 mn
13/06/24
Résumé:  Justine et Nicolas se découvrent sur REVEBBE, et échangent des fantasmes explicites par mail. La tension monte, Justine rêve d’une rencontre réelle. Leurs désirs brûlants restent confinés au monde virtuel, nourissant leur passion.
Critères:  fh hplusag jeunes sales hdomine humilié(e) ffontaine hdanus
Auteur : JustineS            Envoi mini-message
Avant la rencontre

Tout a commencé sur REVEBBE, un site d’histoires érotiques où j’avais trouvé un exutoire à mes fantasmes. Au milieu de récits divers, un auteur en particulier m’avait captivée. Nicolas écrivait des histoires d’une intensité troublante, éveillant en moi des désirs profonds.


Un soir, j’ai eu l’audace de publier une histoire inspirée de nos échanges. C’était une confession déguisée, un message codé adressé à lui seul. J’y avais glissé des détails que seul lui, pourrait reconnaître : des phrases précises, des situations qu’il avait décrites. J’espérais qu’il se reconnaîtrait dans mes mots.


Le lendemain, mon cœur s’emballa en voyant un message de lui dans ma boîte de réception. Son message était bref et direct :



Ses mots résonnaient en moi avec une intensité inattendue. Nicolas avait compris. Il avait saisi l’essence de mon message caché. Mais je ne savais pas si c’était positif ou négatif.


Nous poursuivions nos échanges de mails quotidiens. Au début, ses messages étaient timides, empreints d’un érotisme subtil, une danse délicate autour de nos désirs mutuels. Chaque mot était soigneusement choisi, chaque phrase une exploration prudente de nos fantasmes. Mais à mesure que je le provoquais, ses messages devinrent plus directs, provocateurs et explicites. Cette progression me fascinait et m’excitait, car elle révélait une part de lui que je mourais d’envie de découvrir.


Nous nous dévoilions l’un à l’autre à travers des mots, des paragraphes entiers de désirs inavoués. Les barrières de la timidité s’effondraient, remplacées par une franchise brûlante et passionnée. Chaque message de Nicolas devenait plus intense, plus dominant, exigeant de moi une transparence totale de mes désirs les plus profonds.


Je lui répondis sans hésitation, laissant tomber toutes mes barrières. Nos conversations devenaient de plus en plus audacieuses. Je décrivais comment mes doigts glissaient le long de ma fente, caressant mon clitoris gonflé, puis pénétrant profondément à l’intérieur de moi. J’expliquais chaque détail, chaque sensation, comment la chaleur montait en moi, comment mon corps répondait à chaque pensée de lui.


Le retour à ma vie quotidienne après ces échanges était souvent difficile. La réalité semblait terne et dénuée de cette passion intense que nos messages nourrissaient. Chaque matin, je me réveillais avec l’espoir de trouver un nouveau mail de Nicolas, une nouvelle fenêtre ouverte sur ce monde de désirs partagés. Parfois, je me surprenais à rêver de notre première rencontre en personne, comment nos regards se croiseraient, comment nos mots se transformeraient en gestes.


Nos échanges restaient purement virtuels. Chaque mail était une aventure en soi, une exploration de nos désirs sans promesse de lendemain. Pourtant, au fond de moi, une partie espérait plus. J’étais obsédée par lui, et chaque jour mon désir de lui appartenir grandissait.


Nicolas devint de plus en plus directif dans ses messages.



Je m’exécutais avec ferveur, décrivant comment mes doigts glissaient le long de ma fente, caressant mon clitoris gonflé, puis pénétrant profondément à l’intérieur de moi.



Ses réponses étaient calculées, maintenant une tension érotique qui m’obsédait.



Chaque description devenait plus explicite, chaque confession plus audacieuse. Je voulais le pousser à bout, le faire succomber à ses désirs pour moi. Mais malgré la distance qu’il maintenait, chaque message de Nicolas était un rappel constant de cette tension érotique entre nous, un mélange exquis de plaisir et de souffrance.


Un jour, j’eus l’audace de franchir une nouvelle limite. Je pris une photo de moi, allongée sur mon lit, les jambes écartées, offrant ma chatte béante et trempée à son regard.



Sa réponse fut rapide et impérieuse.



Je lui envoyais des photos, des vidéos, des descriptions détaillées de mes fantasmes les plus inavoués. Mon désir de lui plaire, de le provoquer, grandissait chaque jour. Je voulais qu’il sache à quel point j’étais prête à m’abandonner à lui, à devenir sa chose.


Je devins de plus en plus animale dans mes messages, m’offrant sans conditions.



Un jour, dans un de mes messages, j’ai décidé de lui décrire comment je voyais notre première rencontre. J’avais réfléchi à chaque détail, chaque moment, et je voulais qu’il partage cette vision avec moi.



Nous nous retrouverions dans un endroit isolé, loin des regards curieux. Sans un mot, sans une salutation, je m’agenouillerais devant toi, en signe de soumission et d’offrande. Ma seule pensée serait de te satisfaire, de te montrer à quel point je suis prête à m’abandonner à toi.


Je sortirais ton sexe, prenant soin de le humer, de sentir cette odeur de mâle qui m’excite tant. Lentement, je l’embrasserais, jusqu’à tes couilles, les sentant contre mes lèvres. Je décalotterais ton sexe, savourant chaque effluve, puis je le prendrais en bouche, m’appliquant à te donner le plus de plaisir possible.


Je ne m’arrêterais pas, stimulant tes couilles avec mes mains, titillant ton anus du bout des doigts, mes gestes synchronisés pour te faire atteindre des sommets de plaisir. Les seuls mots que je prononcerais seraient :



Quand tu jouirais, je ferais en sorte d’avaler chaque goutte, savourant ton goût, ta virilité. Ensuite, je t’embrasserais sur la bouche, te faisant goûter à ton propre plaisir, avant de me retirer, silencieuse. Je laisserais derrière moi ma culotte trempée, imbibée de mon odeur, un souvenir de cette rencontre brûlante.


Je lui envoyai ce message, mon cœur battant à tout rompre, espérant que cette vision de notre rencontre attiserait encore plus ses désirs.


Nous naviguions dans un labyrinthe de désirs, cherchant une réalité plus tangible. Chaque mot échangé, chaque fantasme partagé était une brique dans l’édifice de notre passion. Nos désirs, aussi brûlants soient-ils, demeuraient confinés à ce monde virtuel, créant une tension entre l’attente et la satisfaction.


Mais cette tension était aussi notre force, chaque échange un rappel de cette passion brûlante. Le jeu de séduction, de provocation et de soumission ne cessait de s’intensifier, créant une dynamique où l’attente devenait presque aussi jouissive que l’acte lui-même. Nous étions pris dans ce tourbillon de désir, où chaque message, chaque confession, chaque photo envoyée devenait une pierre angulaire de notre univers secret.


Je voulais aller plus loin, explorer chaque recoin de ce désir animal qui me consumait. Je lui décrivais avec une précision croissante mes explorations nocturnes, comment je me touchais en pensant à lui, mes doigts devenant les siens, mes mouvements guidés par les fantasmes qu’il avait nourris en moi.



Chaque mot que je lui envoyais était un appel à cette union virtuelle, un pont entre nos désirs qui ne cessaient de croître.