n° 22487 | Fiche technique | 21032 caractères | 21032Temps de lecture estimé : 14 mn | 20/06/24 |
Résumé: Pensant préserver son couple, Nicolas accepte de passer une semaine avec la maîtresse de sa femme, naviguant à vue dans des situations qui défient toutes ses attentes. | ||||
Critères: fh fbi extracon gros(ses) groscul lunettes amour humilié(e) jalousie caresses fgode fdanus fsodo hdanus hgode jouet | ||||
Auteur : Rainbow37 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Le Jouet Chapitre 05 / 06 | Épisode suivant |
Résumé des épisodes précédents :
Nicolas a surpris sa femme au lit avec sa collègue Patricia. Pour préserver son couple, il a accepté de passer une semaine de vacances avec Patricia en se faisant passer pour son petit ami. Il découvre l’exploration mutuelle du plaisir anal, mais Nicolas a été dépassé par le jeu au point d’avoir une relation avec Patricia.
La chambre baigne dans une atmosphère de tendresse et de proximité alors qu’avec Patricia nous nous réveillons enlacés. Nous échangeons des regards complices, témoignant de la connexion profonde qui nous unit après les épreuves de la nuit. Les choses ont bien changé en peu de temps. Après un moment de quiétude, nous décidons d’aller ensemble à la douche, une décision qui témoigne de notre nouvelle proximité, après tout ce qu’on a vécu ensemble pendant cette semaine.
De retour dans la chambre, Patricia se pose lourdement sur le lit alors je fouille pour la énième fois dans sa valise. Elle m’observe avec amusement alors que je ressors le plug en métal.
Patricia sourit tendrement, acceptant ma décision avec une affection indulgente.
Je m’exécute, me préparant mentalement à l’épreuve qui m’attend. Patricia prend le lubrifiant et commence à préparer le jouet, ses gestes empreints de douceur et d’attention. Puis elle me lubrifie soigneusement, prenant son temps pour me préparer et me détendre. Moi je concentre sur ma respiration, laissant mon corps se relaxer sous ses caresses expertes. Finalement, elle introduit délicatement un doigt en moi, vérifiant ma préparation avec précaution.
Je ressens une légère tension mêlée à de l’excitation, mais je me laisse guider par les gestes rassurants de Patricia. Elle ajoute un deuxième doigt, bougeant avec une lenteur calculée pour permettre à mon corps de s’ajuster. Je me sens envahi par un mélange de sensations, mais je reste concentré sur le moment, confiant en la douceur de Patricia. Enfin, le moment tant redouté arrive, celui que vous attendiez peut-être depuis si longtemps.
Patricia insère le jouet avec précaution, guidant doucement son chemin. Je ferme les yeux, me concentrant sur les sensations qui traversent mon corps. Au début, c’est inconfortable, presque douloureux, mais une douleur qui fait quand même du bien. Je serre les dents, me forçant à rester calme alors que mon corps s’ajuste à cette sensation étrange de plénitude. Patricia ne se presse pas, elle continue à avancer doucement, écoutant les signaux de mon corps, m’aidant à me relaxer, à accepter l’intrusion. Mon fondement l’accepte peu à peu, et je sens une chaleur agréable se diffuser en moi. Le plaisir commence à émerger, subtilement d’abord, puis de plus en plus intense, se diffusant en moi.
Et puis, soudain, quelque chose change. Mon corps se détend, mes muscles se relâchent, et le plug glisse en moi avec une facilité surprenante. Une onde de plaisir se propage à travers mon être, une sensation intense qui me submerge complètement. Je gémis involontairement, surpris par la puissance de la sensation, mes jambes et mes bras ne peuvent plus me porter et je me laisse tomber sur le lit. Patricia me soutient, m’encourageant à embrasser le plaisir qui coule à travers moi.
Et alors, dans un moment d’extase pure, je me rends compte que je suis capable de supporter l’épreuve, non pas comme un fardeau, mais comme une expérience profondément érotique et gratifiante. La douceur des caresses de Patricia sur mon dos semble être amplifiée par l’expérience que je traverse.
Patricia éclate de rire, secouée par les spasmes de son propre amusement.
Pour la dignité, vous vous doutez que c’est mort. Pour la grâce, encore moins, mes mouvements hésitants trahissent la nouvelle présence en moi. Je titube légèrement en direction de mes vêtements, sous le regard amusé de Patricia qui me suit des yeux, un sourire malicieux aux lèvres. Je décide de me poser sur le bord du lit pour mettre mes chaussettes, mais à peine assis, une décharge électrique traverse tout mon corps, me forçant à me relever aussitôt avec un gémissement surpris. Patricia éclate de rire, sa main portée à sa bouche pour tenter de contenir son amusement.
Je m’habille donc debout, péniblement, chaque mouvement me rappelant la présence du plug. Une fois prêt, je descends les escaliers en grimaçant, chaque pas est une épreuve, bien que les sensations s’atténuent progressivement. En bas, la mère de Patricia remarque immédiatement ma démarche étrange.
J’ai peur qu’elle comprenne qu’il y a une chose anormale, je commence à stresser sérieusement. Heureusement, le père de Patricia intervient.
Patricia se met derrière moi et m’enlace, ses bras entourant ma taille.
Elle presse alors son corps contre mes fesses, faisant bouger le plug et m’envoyant une nouvelle onde de plaisir à travers tout mon être. Je laisse échapper un très léger gémissement que seule Patricia perçoit, et je peux vous dire que ça l’amuse la garce.
Vous vous doutez bien que Patricia ne manque pas de me suivre, un sourire espiègle sur les lèvres. Dans le jardin, elle ne cesse de me taquiner, ses attentions délibérément dirigées sur mon postérieur pour me faire réagir. Chaque geste, chaque contact, m’envoie de nouvelles vagues de sensations à travers le corps, me laissant à la fois gêné et exalté. Après un moment, Patricia regarde sa montre et me sourit.
Nous remontons à l’étage et je vais vous passer les détails, mais Patricia s’occupe de retirer délicatement le plug. La sensation est étrange, un mélange de soulagement et de manque. Mon corps s’était presque habitué à cette présence, et maintenant, je me sens curieusement vide.
Et en effet, après quelques minutes, je me sens de nouveau moi-même avec une légère douleur acceptable. Je me redresse légèrement, défiant Patricia du regard avec un sourire victorieux.
Elle soupire légèrement, son expression se faisant plus sérieuse.
Patricia réfléchit un instant avant de répondre.
Nous restons un moment en silence, profitant de la complicité qui s’est développée entre nous. La journée peut alors reprendre son cours normal à coups de visites de connaissances ou de préparatifs pour notre retour du lendemain.
La chambre est plongée dans une douce pénombre alors que nous sommes déjà allongés dans le lit pour notre dernière nuit ensemble, chacun absorbé par son portable. Le silence est confortable, ponctué seulement par les tapotements des écrans tactiles. J’hésite un moment, mon regard se tournant furtivement vers Patricia avant de finalement briser le silence.
Patricia sourit légèrement, visiblement plus à l’aise que moi avec ma question.
Je la regarde, essayant de ne pas paraître trop choqué, puis je souris, trouvant une pointe d’humour dans la situation.
Je lève les yeux de mon écran et souris, posant mon téléphone de côté.
Vous pensez bien que ce n’est pas une question et que je ne me fais pas prier pour aller chercher le jouet dans sa valise. Patricia se met à quatre pattes sur le lit, m’offrant son corps avec une confiance totale, puis elle jette un regard par-dessus son épaule.
Je m’approche, prenant le temps de la préparer comme elle m’a appris à le faire, ajoutant cette fois des caresses et des baisers sur ses fesses. Mes mains glissent doucement sur les courbes de Patricia, mes lèvres effleurent sa peau douce, et elle soupire d’aise.
Encouragé par ses mots, je lui insère délicatement l’extrémité la plus fine de la tige, mais je suis effaré de voir la tige s’enfoncer sans rencontrer la moindre résistance, comme un coup d’épée dans l’eau. Est-ce l’expérience qui lui a donné une parfaite maîtrise de ses sphincters ou une excitation particulièrement forte ? En tout cas, je suis bluffé. Patricia se retourne légèrement, ses yeux brillants de désir.
J’obtempère, retournant la tige pour insérer avec précaution l’extrémité la plus large. J’observe attentivement les réactions de Patricia, contrôlant la progression en fonction de l’intensité de ses gémissements. Puis je commence les va-et-vient, avec l’impression d’aller un peu plus au fond à chaque poussée, tout en caressant son gros bouton avec délicatesse. Patricia souffle, râle, les choses sérieuses ont commencé. Aux premières loges du spectacle de son cul tendu, je bande comme jamais et soudain je lui retire le jouet…
Patricia obéit, se repositionnant comme je le demande sans émettre la moindre objection, alors je pose mes mains sur ses fesses, les écartant délicatement, et je frémis en voyant son petit trou s’offrir à moi. Soudain, la respiration de Patricia s’emballe, elle tourne légèrement la tête et me lance un regard médusé.
Patricia se fige un instant, comme pour fixer ses idées. Puis sans un mot elle colle son front contre le lit, se cambrant encore un peu plus, et elle s’empare de ses propres fesses avec les mains, les écartant un peu plus, comme une invitation explicite qui fait monter mon excitation d’un cran.
Je jubile intérieurement, elle a fait de moi un beau cocu, je vais faire d’elle une belle enculée. Mais n’y voyez pas une vengeance sourde et préparée, car ce n’est que l’aboutissement imprévu, mais finalement si logique d’une semaine d’un grand n’importe quoi initié par Patricia elle-même en venant ici avec ses petits jouets secrets.
Alors je pose mon sexe contre son sillon culier, et je fais quelques va-et-vient comme pour l’aviser de l’inévitable engrenage auquel elle s’est résignée. Et enfin, je positionne mon gland contre sa rondelle, prenant un moment pour sentir la tension et la chaleur de son corps. Avec une grande inspiration, je commence alors à pousser lentement. Il y a d’abord une légère résistance, mon bout devient pâle et se déforme, puis Patricia m’accepte enfin en gémissant et j’entre en elle.
La sensation semble intense pour Patricia, elle gémit, supplie, râle, ses muscles se tendant et se relâchant au fur et à mesure que j’avance, pousse encore, lentement, mais sûrement. Nos respirations s’accélèrent à mesure que je m’enfonce plus profondément jusqu’à être complètement en elle. Nous restons ainsi un moment, savourant cette connexion intime.
Je commence à bouger les hanches avec une lenteur calculée, puis augmentant progressivement le rythme, mes mouvements deviennent plus amples et réguliers. Patricia soupire de plus en plus fort alors que montent les bruits de chairs qui se télescopent, elle soutient ma cadence et s’accroche aux draps, merde je sens que je vais bientôt craquer. Les gémissements de Patricia se transforment en un long cri de plaisir étouffé par le matelas, ses muscles se tendent et m’enserrent encore plus fortement. Je ne peux plus me retenir, je hurle mon plaisir et j’éjacule profondément en elle, mon corps secoué de spasmes de plaisir.
Épuisé, vidé et en sueur, je m’écroule sur Patricia, nos corps collés l’un à l’autre. Nos respirations se calment et se coordonnent, je la trouve étrangement calme et belle, j’ai envie de l’embrasser… Bon sang, Patricia, tu m’as transformé en quelques jours. Et… Et puis plus rien… Je tombe de sommeil.
Je suis réveillé par une délicieuse odeur de café qui me fait penser à ma Karinette. Puis je me sens bizarre, je suis tout poisseux, et d’un coup je me rappelle d’un coup les événements de la nuit précédente. Ce n’est pas vrai, j’ai vraiment merdé cette fois, les petits jeux passent encore, mais hier soir on a vraiment pris notre pied comme un couple illégitime. Je me lève lentement, essayant de ne pas réveiller Patricia, et me dirige vers la douche.
Sous l’eau chaude, je me pose des questions sur mes sentiments pour Patricia. Comment en sommes-nous arrivés là ? À quel moment ai-je vraiment commencé à tromper ma femme ? Je revois mentalement les moments partagés avec Patricia, cherchant à comprendre les étapes de cette évolution. Ce n’était qu’un jeu innocent au début et… Vous l’avez vu venir, mais vous n’avez rien dit, j’aurais mieux fait de ne jamais vous en parler.
De retour dans la chambre, je croise le regard de Patricia, son visage trahissant une mixture de confusion et de culpabilité au goût bien amer. Elle semble être dans le même état de sidération que moi, mais notre connexion de la veille semble s’être évaporée, remplacée par une incompréhension silencieuse. Nous n’échangeons pas le moindre mot, et Patricia passe à son tour sous la douche tandis que je me rhabille lentement.
Nous descendons ensemble jusqu’à la cuisine, où les parents de Patricia sont déjà installés avec café. L’atmosphère est également différente, un malaise palpable flottant dans l’air. Patricia, sentant cette tension, brise le silence.
Le père de Patricia ajoute avec un sourire en coin :
Il reçoit immédiatement un regard réprobateur de sa femme.
Tout cela ajoute à mon malaise, j’ai fauté et en plus je n’ai pas été très discret. Après ce petit déjeuner silencieux, nous rassemblons nos affaires en silence avant de dire au revoir aux parents de Patricia. J’aurais aimé plus d’entrain à la mesure de leur gentillesse, mais nous ne traînons pas pour prendre la voiture et rentrer.
Sur le trajet, le silence entre nous devient presque insupportable, l’atmosphère lourde de non-dits. Finalement, Patricia brise le silence.
Patricia semble soulagée par ma réponse, alors je ne rajoute rien, préférant ne pas compliquer davantage la situation.
Je hoche la tête, acceptant cette logique, et un silence pesant s’installe à nouveau entre nous. Patricia monte le son de la radio, une chanson qu’elle aime bien commençant tout juste, mais cette fois je n’ai pas envie de chanter, je reste concentré sur la route, absorbé par mes pensées et anticipant ce moment où je vais retrouver ma Karinette.