n° 22495 | Fiche technique | 8682 caractères | 8682 1477 Temps de lecture estimé : 6 mn |
24/06/24 |
Résumé: Une visite chez la doctoresse qui dérape... | ||||
Critères: hbi médical hsoumis fdomine exhib hdanus init | ||||
Auteur : Alpin en string Envoi mini-message |
Il devait aller voir le médecin pour une lésion à la jambe qui ne guérissait pas. Comme d’habitude, le rendez-vous proposé était lointain mais sa femme n’avait pas encore annulé un rendez-vous dont elle n’avait finalement plus besoin. Heureux hasard. Il prendrait donc sa place dans la salle d’attente mais il n’avait pas jugé bon de prévenir le secrétariat médical de ce changement d’affectation.
Contrairement à beaucoup de personnes, il aimait bien se rendre chez son médecin ou plus exactement sa médecin étant donné qu’il était soigné par une doctoresse. Non pas qu’il aimait être malade mais, depuis le temps qu’elle était son médecin traitant, ils avaient appris à se connaître, s’entendaient bien et n’hésitaient pas à dialoguer de tout et de rien.
L’attente ne fut pas très longue en ce début de matinée de printemps et elle vint vite le chercher. Elle avait coiffé ses cheveux poivre et sel d’une queue de cheval, portait un chemisier ample et léger qui masquait ses formes voluptueuses. Il remarqua qu’il était légèrement transparent à contre-jour ce qui le fit sourire.
Quand elle l’a vu, elle a été surprise et, avec de l’humour, a dit : « Bonjour madame » !
Il y est allé au culot :
Mais une fois dans son cabinet, elle ajouta :
Ils continuèrent la conversation en passant à autre chose. Elle semblait fatiguée et quelque peu découragée. Elle lui expliqua qu’elle était encore bien sous pression et qu’elle devrait lever le pied pour préserver sa santé… Difficile dilemme.
Afin de commencer l’examen de routine, elle lui demanda d’ôter ses chaussures et de monter sur la balance.
Il faut dire qu’il était plutôt longiligne, fin sans pour autant être maigre, un peu musclé grâce aux exercices qu’il faisait et à ses nombreuses sorties en montagne. Mais il devait faire attention à ne pas avoir une masse trop basse, ce qui, dans son cas, pourrait être un signe de problème de santé.
Sans attendre la réponse de la doctoresse, il enleva son polo et son pantalon puis se remit sur la balance juste en slip et chaussette.
La doctoresse ne fit aucun commentaire, elle était en train de le détailler de la tête au pied. Il sentit son regard sur lui et se retourna. Voyant qu’il la dévisageait, interrogateur, elle se sentit obligée de se justifier.
Elle rigola…
Il feignit d’être outré.
Elle était en train de rigoler quand il la regarda droit dans les yeux et lui répondit « Chiche ! » avant d’enlever son slip et de se pavaner à poil dans tout le cabinet.
Elle commença à rédiger son compte-rendu en souriant, non sans jeter de temps en temps un coup d’œil à son patient. Ce dernier s’amusait à jouer à fond son rôle, surveillant la doctoresse pour prendre une pose mi-comique, mi-érotique dès qu’elle regardait dans sa direction.
Elle releva la tête et le vit qui mouillait effectivement, une ligne humide bavait de son gland jusqu’à sa cuisse.
Elle le regardait faire tout en lisant distraitement son dossier médical quand elle y vit qu’elle lui avait effectué un toucher rectal il y a quelques mois. Son œil se mit à pétiller tandis qu’une idée germait dans son esprit. Elle hésita cependant, se disant que non, décidément elle ne pouvait pas aller jusque-là. Elle le regarda, méditative. Il enroulait le filet de mouille sur son doigt qu’il s’apprêtait à lécher. L’image était comique et rompit ses dernières réticences. Elle se leva et enfila une paire de gants d’auscultations.
Son ton devenu plus autoritaire ne laissait pas de place au moindre rechignement et il s’exécuta docilement, surpris par ce brusque changement d’humeur, pensant que l’examen allait commencer. Elle s’assit sur le tabouret à roulette et se mit entre ses cuisses. Elle saisit la bite mi-molle qui pendait et commença doucement à la branler. Lui, surpris par ce changement de programme, n’osait plus rien dire et se laissait faire, tout juste laissant échapper un gémissement de contentement. Sa queue ne tarda pas à grossir dans la main de la doctoresse et le gland à se recouvrir de mousse de mouille.
Elle trempa son index ganté sur cette mouille, s’amusa à frotter ainsi le gland, ce qui fit gémir davantage son patient réduit désormais au statut de jouet. Elle enroula une grosse coulée autour de son doigt avant de le glisser sous ses bourses, entre ses fesses. Elle lui frotta doucement l’anus, lui massant l’anneau par des mouvements circulaires. Puis tout doucement, elle se fit plus pressante sur son trou. Son doigt trempé de sa mouille ne tarda pas s’y glisser, une phalange, puis deux et enfin le doigt entier.
En même temps, elle ne cessait de le branler doucement. Il était tellement excité que sa queue coulait désormais de mouille. Elle en profitait pour lubrifier régulièrement son doigt qui s’enfonçait désormais facilement dans son anus avant de le fouiller sans ménagement.
Elle récupéra également de la mouille sur son majeur, joignit les deux doigts et essaya de les glisser ensemble dans le trou frémissant. Il n’y eut pas grande résistance et ses deux doigts firent doucement de longs allers et retours dans son cul offert.
Lui n’osait plus rien dire, plus rien faire qui ne pourrait rompre cet instant incroyable. Il avait voulu jouer au coquin. Il se retrouvait dans la position du jouet, totalement offert à la doctoresse. Il devait s’avouer qu’il adorait cette situation. Jamais il n’avait mouillé autant et il gémissait doucement.
Elle jeta un coup d’œil rapide à la pendule et fut surprise tout autant que déçue que le temps soit passé aussi vite.
Fin de la séance.
Elle se retira et essuya ses doigts et la raie avec un papier essuie-tout, mais elle décida de laisser sa queue ainsi baveuse, ultime preuve de sa trop courte domination. Elle retira ses gants et revint s’asseoir à son bureau tandis qu’il se relevait, un peu chancelant.
Elle lui tendit le terminal de paiement et il présenta sa carte bleue qu’il avait récupérée dans son portefeuille, toujours nu.
Alors qu’il se rhabillait, elle ajouta :
En le saluant, elle rajouta :
Tandis qu’il repartait le gland encore humide, elle retourna à la salle d’attente chercher le patient suivant. Elle était désormais d’humeur joyeuse.