Ce n’est pas une série. Tous les textes sont indépendants et peuvent être lus dans n’importe quel ordre. Par contre, ils traitent tous de trio à un moment ou un autre.

• — Monica !
• — …
• — Monica !
• — …
• — Nikka
• — Heu oui, Andréa !!! C’est pas possible, qu’est-ce que tu fais là ?

Monica et Andréa sont deux très bonnes copines et elles ont même été un peu plus que ça, il y a une quinzaine d’années. Copines au lycée, elles avaient décidé de partager un petit appartement étudiant pour limiter les frais et se soutenir. Comme au lycée elles étaient très sérieuses et ont eu leurs bacs avec mentions, leurs parents leur ont fait confiance. À cette époque, elles étaient de bonnes copines sans plus.

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Quand Andréa est devenue une femme, elle a fait tourner beaucoup de têtes. Plutôt grande, fine et sportive, cheveux mi-longs, elle avait des formes là où il faut. À seize ans, elle a rencontré son premier amour, qui a eu l’honneur de la déflorer.

Plus vieux de deux ans, il était en terminale bac professionnel, alors qu’elle était en seconde. Après son bac, il a trouvé du boulot dans une entreprise locale. Ils ne se voyaient plus que les week-ends.

Quand André est parti pour poursuivre ses études, leur amour a continué mais ils ne pouvaient plus se voir aussi souvent, Andréa ne pouvait pas rentrer toutes les semaines. Elle avait parfois des cours le samedi matin.

Quand Marc a eu son permis de conduire et une voiture, c’est lui qui venait la rejoindre dans son petit appartement. Par contre, une semaine sur deux, car il travaille en équipe, et quand il est d’après-midi, il termine à dix-neuf heures pour reprendre le lundi à cinq heures, avec la route, ce n’est pas raisonnable. Par contre, la semaine suivante, il peut arriver le vendredi dans l’après-midi pour ne repartir que le lundi matin.

Ce week-end-là, Monica se faisait alors la plus discrète possible, soit en rentrant chez ses parents, soit en se trouvant un plan cul, mais le plus souvent en restant dans sa chambre ou en allant faire un tour.

Monica est plus petite mais tout aussi agréable à regarder. Elle doit par contre se battre pour ne pas prendre de poids au moindre écart. Heureusement, elle adore le sport, très pratique pour éliminer les superflus. Elle n’a jamais rencontré le grand amour, de toute façon, elle ne voulait pas s’engager, ses études étant sa priorité. Sa plastique et sa bonne humeur lui permettaient de faire facilement des rencontres. Malgré tout, elle n’avait jamais vraiment connu d’orgasme et même de jouissance, tout au plus elle prenait du plaisir.

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Leur cohabitation fonctionnait bien. Elles arrivaient à bien s’organiser, pour les courses, la nourriture, le ménage et surtout le travail scolaire. Les premières partielles ont été validées facilement.

Pour fêter ça, un samedi où Marc ne pouvait pas venir, elles ont accepté l’invitation d’un groupe de copains à une dégustation de whisky. Les filles, peu habituées à boire de l’alcool, et encore moins de l’alcool fort, ont été très prudentes, surtout au début, mais l’alcool aidant, Monica a dépassé ses limites, jusqu’à une fameuse bouteille de Nikka. La seule gorgée qu’elle a bue a eu raison de sa santé, d’où son surnom par la suite. Elle s’est retrouvée ivre à ne plus tenir debout. Cinq minutes après, elle était dans les toilettes à vomir tout ce qu’elle avait dans le ventre.

Les filles ont réussi à rentrer, mais l’état de Monica ne lui permettait toujours pas de s’occuper seule d’elle. Andréa a déshabillé sa copine, l’a passée sous la douche et l’a posée dans son lit une fois bien essuyée. Quand elle a voulu partir, Monica l’a suppliée de rester avec elle, son lit tournait, elle avait mal au crâne, au ventre, enfin partout quoi. Surtout, elle avait peur de mourir.

Après sa douche, elle a retrouvé sa copine sur le lit, celle-ci en panique s’est jetée dans ses bras.

Andréa, qui dort toujours avec une petite nuisette plutôt sexy, s’est retrouvée avec le corps nu de sa copine contre elle, elle s’est surprise de ressentir un profond trouble. Monica a eu un endormissement difficile, mais elle a fini par tomber.

Andréa a été la première à se réveiller, elle a été attirée par la nudité de sa voisine de lit dans une position aguichante. Celle-ci lui tournait le dos, la jambe côté matelas, tendue, l’autre pliée dévoilant ses secrets, la couette étant tellement descendue, que les fesses de la jeune femme prenaient la lumière. Il faut dire qu’avec le chauffage collectif, il ne faisait pas froid. Andréa de plus en plus troublée par la vue que lui offrait sa copine a été très tentée, elle a subitement eu envie de la caresser. Elle a bien tenté de résister, mais finalement, elle a craqué et a commencé à passer doucement sa main sur la hanche jusqu’à la cuisse plusieurs fois. De peur de la réveiller, elle a mis fin à ses caresses, quand :

• — Continue !
• — Hein, quoi ?
• — Continue s’il te plaît.

La surprise passée, Andréa a repris ses caresses, en remontant un peu plus sur le dos, l’épaule disponible et même la tête. Quelques minutes plus tard, Monica a attrapé la main et l’a posée sur un de ses seins, obligeant sa copine à se coller à elle. Puis la main a été guidée sur le ventre, le pubis, et finalement elle a atterri sur le sexe. Monica s’est caressée avec la main de sa copine jusqu’à jouir comme jamais. Dès qu’elle a repris ses esprits, elle s’est retournée et a embrassé sa partenaire tout en la caressant. Bien que surprise, Andréa s’est laissé faire quelques minutes puis s’est mise à participer. La nuisette devenue gênante a sauté et Monica a commencé une lente descente de sa bouche sur le cou, puis les seins, le ventre. Elle s’est allongée entre les cuisses grandes ouvertes de sa copine et a commencé à la lécher. Sous les premiers coups de langue, Andréa a remonté son bassin pour faciliter l’accès à son sexe. Elle s’est sentie partir vers des sommets inconnus. Elle a joui comme jamais elle n’avait joui. Cela a été tellement fort, qu’elle a été obligée de bloquer sa copine avec ses cuisses. Après un bon moment pour retrouver ses esprits, elle a sauté à son tour sur sa copine, pour lui offrir le même traitement. C’est au tour de Monica de jouir violemment et bruyamment.

• — Eh bien, ma Monica, ça va mieux ce matin ?
• — Oui ma puce, tu m’as été d’un grand secours.
• — Tu te rends compte de ce que l’on vient de faire ?
• — Non, pas vraiment, tes caresses m’ont plu et m’ont donné envie de plus, c’est pas plus compliqué que cela.
• — C’est une première pour toi aussi ?
• — Oui ! Tu as aimé aussi ?
• — Oui, beaucoup, par contre, je me rends compte que je viens de tromper Marc.

Sa culpabilité ne l’a pas empêché de prendre sa douche avec sa maîtresse et de reprendre des jeux saphiques tout le week-end. Le week-end suivant, toujours pas de Marc, sa voiture étant en panne, alors les deux filles ont peu quitté le lit. Cela a duré plusieurs temps, la semaine, les filles s’amusaient entre-elles et le week-end, Andréa retrouvait son mec quand Monica parfois s’en trouvait un. Mais Andréa se sentait de plus en plus mal de tromper son Marc avec Monica. Elle a décidé un beau jour de tout lui dire et pour cela elle a échafaudé un plan qui théoriquement devait tenir la route. Monica n’était pas du tout aussi certaine qu’elle de la réussite de ce plan qu’elle trouvait plutôt foireux. « Mais bon, elle connaît mieux son mec que moi », finit-elle par se dire.

Alors quand Marc est arrivé un vendredi en fin d’après-midi, les deux filles étaient présentes dans de belles tenues sexy. Elles avaient prévu d’offrir un joli spectacle au jeune homme. Après les bonjours d’usage, Andréa a demandé à son mec de s’asseoir dans un fauteuil. Quand il fut en place, elle s’est approchée de Monica et l’a embrassée sur la bouche. Un long baiser bien baveux.

• — Tu peux m’expliquer ce que vous faites ? a crié le jeune homme.
• — Comme tu le vois, on va t’offrir ce que beaucoup d’hommes fantasment. Nous allons faire l’amour devant toi, Monica et moi.
• — Mais, ça va pas non, espèce de…

Marc n’a pas fini sa phrase, il s’est levé et est parti immédiatement en claquant la porte. Andréa a été abattue, elle était persuadée que tous les hommes sur terre étaient attirés par ce genre de démonstration. Visiblement, elle a fait une erreur. Malgré toutes ses tentatives, Andréa n’a jamais réussi à recoller les morceaux avec Marc. Heureusement que Monica était là pour soutenir sa copine. En quelques semaines, elle avait remonté la pente et avait bien repris le cours de ses études et de sa vie. Elles ont continué de s’aimer durant trois ans, tout en faisant parfois des écarts avec des mecs chacune de leur côté. C’est le Master qui les a séparées. Bien entendu, elles ont continué de se contacter, mais de moins en moins au fil des années. Quand Monica est entrée sur le marché du travail, elle avait trouvé un travail qui lui demandait d’être très prudente avec tout ce qui est réseau social. Alors elles avaient fini par se perdre totalement de vue depuis quelques années.

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Cette rencontre complètement imprévue permet aux filles de se retrouver.

• — Désolée Monica, je suis très pressée. Donne-moi ton numéro, je t’appelle dès ce soir.

Le soir même, elles passent des heures au téléphone à tout se raconter ou presque.

Andréa lui explique qu’elle est mariée depuis dix ans et qu'elle file le parfait amour avec un beau mec à l’esprit très ouvert, sans pour autant rentrer trop dans les détails. « Tu jugeras sur place », lui a-t-elle lancé pour clore ce sujet. Aujourd’hui, elle travaille comme consultante pour les entreprises qui souhaitent ouvrir leur marché à l’exportation. Elle a créé sa propre structure depuis cinq ans (juste avant la COVID, bon plan), qui depuis marche très bien. Elle a trois collaborateurs, tous sous le statut d’indépendant. Pas d’enfants, non, trop compliqué avec leurs boulots et leur vie un peu décousue. Ils ont une belle maison, un beau jardin avec piscine, spa, cours de tennis.

De son côté, Monica a beaucoup moins de choses à avouer, tout simplement parce qu’elle vit seule et qu’elle a un métier qui lui demande beaucoup de discrétions.

Elle a beaucoup travaillé à l’étranger, elle a fait de belles rencontres aussi bien hommes que femmes, mais n’a jamais voulu s’engager sachant qu’elle bougerait forcément pour le travail. Cela fait maintenant cinq mois qu’elle est de retour en France au siège de sa société. Elle assure maintenant le suivi des formations et leurs contenus. Comme elle va rester maintenant sur ce site au moins quelques années, elle a investi dans un bel appartement en ville avec vu sur le grand parc.

Mais surtout, elles ont pris rendez-vous pour le vendredi soir suivant. Andréa viendra chez Monica, son mari étant en déplacement à l’étranger.

• — Et bien ma cocotte, on ne se refuse rien ! Ton appartement est magnifique, bien grand et tout confort.
• — De ce que tu m’as dit, ta maison ne semble pas non plus ressembler à celle des trois petits cochons !

Elles éclatent de rire en se faisant une grande accolade en guise de bonjour, puis des bises tout de suite très proches des bouches. Comme Monica est naturellement plus petite que sa copine et quand plus elle est pieds nus, elle lui rend presque une demi-tête, elle a les yeux dans son décolleté. Elle ne peut retenir un frisson qui lui traverse la colonne vertébrale. Andréa s’en rend compte, attrape le menton de sa copine pour lui lever le visage et l’embrasse profondément comme avant. Moins de quinze minutes plus tard, elles sont toutes les deux nues sur le canapé à tenter de se remettre d’un violent orgasme partagé lors d’un soixante-neuf de folie.

• — Et ton mari ? finit par demander Monica
• — Ho, tout a bien changé depuis tout ce temps, je me suis trouvé un homme bien différent de Marc. Pour faire simple, disons qu’il a l’esprit beaucoup plus libre. Il sait très bien que je suis là et il sait tout de notre aventure passée.
• — Et il n’a pas peur qu’on recommence ?
• — Je suis certaine qu’au fond de lui, il le souhaite.
• — Mais, il n’a pas peur de te perdre.
• — Aucun risque, je suis folle amoureuse de lui et il le sait. Seule la mort peut nous séparer.
• — Donc, il ne va rien dire pour nous deux ?
• — Je te dis que non et je vais même te faire une proposition.
• — …
• — Tu te souviens du plan qu’on avait prévu pour Marc et que cet abruti n’a pas été capable d’apprécier à sa juste valeur ?
• — Oui.
• — Eh bien, on va le faire pour Patrice et je peux te jurer que lui, il va apprécier et profiter. Enfin si tu en as envie et que tu es d’accord bien entendu.
• — Heu, je ne sais pas, faut voir.

Andréa explique qu’avec son mari, alternativement l’un des deux doit prévoir une surprise pour l’autre. Tout est permis dans leurs limites. Donc elle détaille à son interlocutrice ce qu’elle envisage de faire avec elle pour surprendre son mari.

• — Et tu l’as déjà fait devant lui ?
• — Alors, pas comme cela, mais comment dire, je… Tu ne me juges pas, s’il te plaît ?
• — Mais non, voyons.
• — Eh bien, il nous est arrivé quelques fois de faire de l’échangisme. On rencontre un couple et on échange nos partenaires tout en restant tous dans la même pièce. C’est un peu flippant au départ, mais personnellement j’y trouve beaucoup de plaisirs. J’aime le voir me regarder jouir, comme j’aime le voir donner du plaisir à une autre. J’aime le voir jouir d’une autre. Ce n’est pas une compétition, c’est tout naturel pour nous. Mais je te rassure, ce n’est pas tout le temps.
• — Et avec une autre femme.
• — Juste quelques caresses ou quelques baisers mais rien de plus.

Les jeunes femmes discuteront longuement de toutes leurs pratiques en prenant un petit repas. Bien fatiguées, elles filent sous la douche puis sous la couette pour un nouvel échange de bons principes. Elles s’endormiront profondément.

C’est un phénomène bien naturel qui tire Monica de son sommeil. En revenant vers le lit après ses ablutions matinales. Elle ne peut s’empêcher d’admirer la plastique de sa compagne de nuit. Elle est sur le dos, les bras en l’air ou presque, les seins provocants. Elle tire sur la couette pour découvrir le reste du corps. Andréa a une jambe presque droite et l’autre pliée sur le côté, son sexe est tout aussi attirant que le reste. D’ailleurs, elle ne résiste pas et monte entre les jambes de l’endormie pour atteindre son objectif qu’elle s’empresse d’embrasser, de lécher et de sucer. Bien entendu, sa partenaire réagit et vient poser une main sur sa tête pour la guider amoureusement. Elle craquera rapidement quand son clitoris est attaqué sauvagement. Une fois remise de ses émotions, elle fera jouir à son tour sa complice.

Elles passeront les deux jours suivants à réviser l’ensemble de leurs techniques sur les relations lesbiennes mais aussi à préparer la surprise pour Patrice.

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Ce samedi soir, Patrice rentre à l’heure convenue avec sa femme d’un après-midi de footing au bois. Il avait comme consignes de ne pas forcer pour être en forme, ne surtout pas trop manger et pas une goutte d’alcool. Ce n’est pas un problème, il boit très peu d’alcool. Dès son arrivée, il fonce sous la douche, se sèche et rentre dans la chambre. Andréa l’attend assise sur le lit. Elle se lève l’embrasse, profite de sa nudité pour lui taquiner les testicules. Fidèle à lui-même, il réagit rapidement. Une fois l’érection à son apogée, il tente d’enlacer sa femme, mais elle se dérobe. Elle le fait s’asseoir dans leur fauteuil favori, les fesses au bord de l’assise, les mains dirigées vers le haut sur les accoudoirs et elle l’attache avec des bandes Velcro aux poignets. L’homme se laisse faire puisqu’il s’agit de « sa » soirée surprise. Il n’a aucune idée de ce qui va se passer, mais il sait qu’il va passer du bon temps, il a toute confiance en sa femme.

• — À partir de maintenant, tu ne parleras que si je te l’autorise, si tu n’obéis pas à cette consigne, j’arrête tout sans autre préavis.

Patrice a toujours trouvé sa femme belle, mais ce soir en plus de sa plastique, il la trouve encore plus rayonnante, son visage, ses yeux, son expression, le ton de sa voix, tout l’embellit. La petite robe blanche boutonnée sur le devant, courte et bras nu accentue encore plus l’admiration qu’il a pour elle. Elle l’embrasse à pleine bouche et lui glisse à l’oreille « profite bien, mon amour » avant de sortir de la chambre.

Il commence à paniquer, quand il entend la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer quelques secondes plus tard. Il gamberge, elle n’est quand même pas partie. Il est vite rassuré, encore que, quand il l’entend parler avec une autre femme. Elle rentre dans la chambre finalement dix minutes plus tard, suivie de son invitée. Patrice est tourmenté, se retrouver nu et attaché devant une inconnue sans y être mentalement préparé n’est pas dans ses habitudes. Mais re voir leurs sourires, il arrive à se détendre.

• — Mon amour, je te présente Monica, amicalement appelée Nikka suite à une drôle d’aventure. Tu te souviens, je t’en ai parlé à plusieurs reprises, nous étions colocataires durant nos études et même un peu plus. Monica, je te présente mon chéri, Patrice.
• — Bonjour, Patrice, ravie de faire ta connaissance.

L’homme ne répond que d’un signe de tête pour respecter ses directives. Monica ne s’en offusque pas, elle était prévenue.

• — Mon chéri, elle et moi, nous étions perdues de vue depuis des années et le hasard nous a permis de nous retrouver. Personnellement, je pense que c’est un signe du destin. Mon chéri, Monica est « ta » surprise. Plus jeune, nous avions prévu un spectacle pour un crétin qui n’a pas été capable d’apprécier, nous allons donc le jouer pour toi ce soir car je sais que toi, tu vas apprécier. Alors, regarde et profite en silence. Tu ne feras que ce que l’on veut jusqu’à nouvel ordre.

Elle se dirige vers son amie. Patrice remarque qu’elle porte exactement la même tenue, certainement pas une coïncidence. Andréa se positionne derrière son amie et la pousse juste devant le fauteuil à moins d’un mètre de l’homme au sexe déjà bien développé.

• — Alors ma douce, il te plaît mon homme, tu as vu, il bande rien qu’à imaginer ce que l’on pourrait lui faire. À moins qu’il bande pour ta beauté. Elle te plaît sa bite ?
• — Elle semble appétissante déjà comme cela, mais je pense qu’elle n’est pas à son apogée. En tout cas, tu as bien de la chance d’avoir ce beau jouet à ta disposition.
• — Ho ! ce soir, elle est à notre disposition si tu le désires. Moi, c’est certain que je vais en profiter, mais si tu en veux, je suis prête à te le partager.
• — On verra, on verra. Mais je reconnais qu’elle est très tentante.

Durant toute la conversation, Andréa est restée derrière sa partenaire lui caressant les hanches. Maintenant, elle se colle littéralement à elle et remonte ses mains sur ses seins qu’elle caresse avec énormément de tendresse. Monica ne peut contenir ses premiers gémissements, ne quittant pas des yeux le sexe devant elle. La situation l’a énormément excitée et ses tétons sont gorgés de sang, les rendant encore plus sensibles. Puis, une des mains caressantes commence à enlever les boutons un par un lentement. Chaque parcelle de peau libérée est immédiatement caressée. Il faudra de très longues minutes sensuelles pour que le torse soit mis à nu, la robe finit par être totalement ouverte. Monica est nue en dessous. Elle écarte les jambes quand une main vient se poser sur son pubis. Les seins sont toujours sollicités, maintenant le sexe est visité par des doigts qui étalent ses fluides sur toute la zone en particulier sur le clitoris. Elle ne tient plus et jouit en poussant un grand râle.

Andréa ne la lâche pas pour autant, elle l’oblige à se retourner exposant ses fesses au voyeur et l’embrasse à pleine bouche avant de reprendre la parole.

• — Alors, toujours partante ?
• — Oui, plus que jamais, tu m’as mise dans un tel état d’excitation qu’il me la faut maintenant.
• — Laisse-toi faire alors.

Elle invite son mari à se vautrer sur le dossier du fauteuil, les fesses au maximum au bord, elle fait reculer sa copine pour l’asseoir sur l’homme guidant elle-même le sexe au bon endroit. Une fois bien empalée, Monica est allongée sur le torse de Patrice qui commence à lui mettre des coups de bassin tant bien que mal. Andréa libère les mains de son mari et les pose sur les seins de son amie, ensuite elle se met à genoux entre les cuisses du couple et commence à lécher, tantôt sa copine, tantôt son mari. Monica pose ses mains sur la tête entre ses cuisses et la guide à sa convenance. Elle tente de résister au mieux, mais elle finit par craquer, jouissant violemment sous trop de sollicitations. Patrice s’arrête pour la laisser reprendre ses esprits, Monica en profite pour le rattacher toujours paumes en haut.

Quand Monica retrouve ses esprits, les rôles sont inversés. Monica réalise la même scène sur sa copine. La séquence déshabillage, la séquence des caresses pour la mener à une première jouissance, la mise en place sur le sexe raide, les mains libérées déposées sur la poitrine et surtout la longue séquence de léchage, jusqu’à la jouissance des deux protagonistes cette fois-ci, Patrice n’ayant plus réussit à se contenir. Monica profite de l’abandon de l’homme pour le rattacher dans sa position initiale.

Les deux filles vont prendre une douche, puis Andréa invite Monica à nettoyer Patrice avec un gant de toilette et une petite bassine pendant qu’elle part chercher un plateau-repas.

Monica insiste plus que raison dans sa tâche, amusée par la vigueur qui commence déjà à revenir dans la hampe. Les filles mangent de bon cœur et donnent la béquée au prisonnier. L’ambiance est excellente sauf pour Patrice qui commence à avoir des contractions. Il demande une pause, le temps de se soulager et de faire des étirements. Bon prince, les filles acceptent mais il devra avoir un gage en revenant, puisqu’il a pris la parole sans y avoir été autorisé.

Quand il revient, les filles sont allongées sur le dos de chaque côté du lit. Andréa le fait mettre à genoux entre-elles et exige un massage, mais attention, interdiction de toucher au moindre téton et aux lèvres de leurs sexes. L’homme s’exécute de bonne grâce. Il aura même droit aux félicitations des filles qui ont largement apprécié le traitement à tel point qu’elles sentent leur excitation remontée en flèche. Après avoir remis l’homme dans sa positon de soumission, elles reprennent un jeu de langues et de mains entre-elles. À la fin d’une très longue séance, Andréa propose à sa compagne de venir poser son sexe sur une des mains attachées pendant qu’elle s’offre l’autre. Elles se branleront sur les doigts tout en titillant de leurs genoux les parties génitales de monsieur. Elles arriveront à jouir toutes les deux avec quelques secondes de décalage.

• — Monica, j’ai perdu, tu as tenu plus longtemps que moi, je te laisse le privilège de commencer.

Suivant le scénario qu’elles avaient prévu, Monica se met à genoux entre les cuisses de Patrice, le prend en main, le branle avant de le sucer. Pendant ce temps, Andréa caresse le couple à tour de rôle, allant même jusqu’à embrasser profondément son mari. Puis elle demande la place pour terminer le travail.

C’est comme cela que la soirée se termine, Patrice est libéré et participe au nettoyage et au rangement, Andréa ne supportant pas le bazar. Puis viennent le moment de la douche et du coucher, tous les trios dans le même lit, l’homme au centre. Andréa s’installe d’un côté, la tête posée sur les pectoraux, puis elle crochète la cuisse avec sa jambe et commence à laisser traîner sa main sur le corps de son mari en invitant son amie à en faire autant de l’autre côté.

Il sera bien temps demain d’imaginer la suite.

Fin