n° 22508 | Fiche technique | 3354 caractères | 3354 560 Temps de lecture estimé : 3 mn |
03/07/24 |
Présentation: soirée baise Lucas, Gabriel et Karine | ||||
Résumé: soirée baise Lucas, Gabriel et Karine | ||||
Critères: fhh fsodo hsodo uro -poésie | ||||
Auteur : hrolf Envoi mini-message |
Poésie |
Mon dieu comme c’est beau deux hommes qui s’embrassent,
S’enlacent peau à peau, se caressent les reins.
Je les regarde émue devant autant de grâce,
Entre les fesses un doigt, dans la chatte une main.
Je connais leurs plaisirs, je sais tous leurs désirs,
À sucer, à lécher, à s’offrir en entier,
À espérer l’instant où l’autre va jouir,
Le recevoir enfin et se laisser aller.
Et je suis excitée par le furieux spectacle
De mes amants s’aimant, Lucas et Gabriel,
L’un dans l’autre allant comblant le réceptacle
Ouvert à ses assauts, joute homosexuelle
Qui de gémissements, grognements et soupirs
Prends de l’intensité vers la petite mort.
Jouissances partagées, besoins à assouvir
Par cette sodomie, acmé du corps à corps.
En osmose avec eux, sur mes doigts la cyprine
Confirme mon élan, mon plaisir empathique.
Tous les trois effondrés dessus le lit en ruines
Reposons allongés. Souriants, extatiques.
Féline entre mes mecs je me frotte à eux
Espérant les dresser pour un nouvel orgasme,
N’étant pas assouvie, avec le ventre en feu,
Voulant être baisée et ressentir les spasmes
La jouissance ultime au fond de mes entrailles ;
Connaître le bonheur une nouvelle fois
De toutes les étoiles que mes deux samouraïs
De leurs sabres ardents vont allumer en moi.
Les mains en glissando jusqu’aux virilités
Je branle doucement la chair tant appréciée,
Sur les deux glands poisseux mes pouces égarés
Chatouillent le méat pour bien les exciter.
Soudain n’y tenant plus c’est Lucas qui me tourne,
Me met sur les genoux et vers l’avant me penche.
À genoux lui aussi dans mon dos me contourne
Et me plante son pieu, agrippé à mes hanches.
Il fourre mon vagin de son terrible engin,
Avec sauvagerie s’enfile jusqu’ aux couilles.
En furieux va-et-vient me casse le bassin,
Son piston ravageur lubrifié par ma mouille.
Gabriel quant à lui vient derrière Lucas,
Caresse ses cheveux et se colle à ses reins.
Mon baiseur se fige alors, reste planté en moi.
Gabriel excité nous rejoint dans le train
Commence à l’enculer, va de plus en plus vite,
Secouant mon amant qui me tient embrochée.
Dans mon corps je ressens chacun des coups de bite
Me défoncer aussi. Bienheureux ricochets.
Tous trois nous gémissons, ahanons, soupirons
Sur le lit secoué de nos respirations
Nos sexes imbriqués vibrent à l’unisson,
Espèrent l’explosion l’ultime inondation.
Je jouis… Je jouis longtemps, j’ai le cœur qui éclate
Le cerveau déconnecté, je suis au paradis
Mon être résumé au feu dedans ma chatte
Je me laisse tomber dans les draps, assouvie.
Lucas et Gabriel viennent à mes côtés
Et se branlent tendus au-dessus de ma bouche
Que j’ouvre bien en grand, je veux tout avaler.
Je ne me retiens pas et je souille la couche,
Quand gicle leur purée, qu’ils me couvrent de foutre
Je lâche ma vessie dans un beau jet doré.
Dès qu’ils sont moins bandés, je saisi les deux poutres
Les lèche tour à tour les priant de pisser.
Mes deux hommes ravis m’arrosent volontiers
Dans ma gorge remplie et sur mon corps souillé
L’urine à profusion finie de me combler.
Je pleure de bonheur d’être ainsi rassasiée…
Je me suis assoupie après tant de jouissance
Lorsque j’ouvre les yeux je me sens apaisée,
Mes amants sont partis, je sens une présence
Mon mari, Eric, est là, qui se branle à côté.
Il me sourit heureux, se penche à mon oreille
«A priori ma chérie tu as bien profité
Tant mieux j’en suis ravi. Repose-toi, je veille…»
Il ne m’en faut pas plus, je m’en vais chez Morphée…