n° 22510 | Fiche technique | 26922 caractères | 26922 4515 Temps de lecture estimé : 19 mn |
03/07/24 |
Résumé: De l’amitié entre un couple et d’un voisin va naître la nécessité pour la préserver de faire entrer le voisin dans l’intimité de ce couple. | ||||
Critères: fhh extracon voisins lingerie | ||||
Auteur : stropimux Envoi mini-message |
Elle s’appelait Camille. Il s’appelait Basile. Je venais d’emménager à côté de leur domicile.
Camille avait quarante-trois ans. Son profil ? Assez grande, mince, mais non point maigrichonne, de petits seins en poire, des cheveux mi-longs souvent noués en queue de cheval, de grands yeux ronds sur un visage ovale, habillée souvent en robe relativement courte laissant voir de longues jambes musclées.
Basile alignait le même âge et la même taille, mais en beaucoup plus costaud. Il travaillait comme paysagiste dans une entreprise qu’il venait de créer. Il travaillait beaucoup, mais ne semblait pas ramener beaucoup d’argent à la maison, probablement à cause d’un problème d’organisation.
Camille travaillait également beaucoup. À la maison où elle s’occupait du jardin, du ménage, à diverses tâches manuelles telles que la peinture, car le couple venait d’acheter cette maison à rénover. Elle travaillait également à l’extérieur comme aide à domicile auprès de personnes âgées.
Nous avons fait connaissance lors d’un apéritif dînatoire auquel je les avais invités pour faire connaissance et me présenter.
J’avais cinquante-trois ans et venais de prendre une préretraite pour fuir cette vie très mouvementée que je menais à la capitale. Un gros héritage inattendu me le permettait. Je me retrouvais donc dans ce petit village d’Aveyron que j’avais découvert lors de mes vacances annuelles.
Il fallut un certain temps pour arriver à les décontracter car je semblais les intimider. Il est vrai que j’avais exercé un métier de gestionnaire d’établissement public et que ma présentation, mon style, ma façon de parler, la décoration de ma maison, pouvaient laisser supposer que je faisais partie d’un certain milieu. En apparence seulement, car d’origine et d’éducation ouvrière, je n’avais pas oublié les valeurs de mon milieu d’origine.
L’alcool aidant, les conversations s’animèrent, libérant de grands éclats de rire.
Camille paraissait une femme simple, enjouée, dynamique et terriblement sensuelle. Ceci de façon naturelle.
Nous étions en été. Ils étaient assis côte à côte sur le divan alors que j’occupais le fauteuil d’en face. Elle portait une robe légère rouge à petits pois blancs, un décolleté rond généreux laissant entrevoir, lorsqu’elle se penchait pour picorer quelques amuse-gueules, le croisement de deux petits bonnets de soie blanche emprisonnant sans un pli des seins fermes et frémissants. Vue très éphémère, mais combien génératrice d’émotion !
Basile parla beaucoup de son entreprise, de son démarrage difficile et surtout de ses difficultés administratives qui le perturbaient. Camille s’amusait à le chambrer, se gaussant un peu de sa timidité envers ses interlocuteurs, de sa résignation devant certains comportements, mais semblait très amoureuse de son grand nounours, lui caressant de temps à autre la main ou lui glissant un bisou furtif sur la joue.
Je lui proposais de l’aider un peu s’il le souhaitait car mon précédent métier me le permettait. En échange, pour ne pas le rabaisser, je lui laissais entendre que l’entretien de ma pelouse m’ennuyait énormément.
La semaine suivante, Basile vint la tondre et avant de partir, alors que nous prenions une boisson rafraîchissante, il me demanda comment il fallait remplir sa feuille d’impôt. Je lui proposais de venir dès qu’il pourrait se libérer au moins deux heures.
Il le put dans la semaine, un samedi après-midi.
Il m’amena, accompagné de sa douce épouse, dans la pièce qui lui servait de bureau. Je fus très étonné du fouillis qui y régnait ! des dossiers éparpillés, du courrier empilé pêle-mêle.
La comptabilité se rédigeait à sa plus simple expression : Recettes Dépenses.
J’éclatais de rire ! et ne put que lui dire :
et Basile passa une bonne partie de l’après-midi à me détailler ses factures, ses prêts en cours, ses paiements, etc.
Je lui expliquais que s’il me faisait confiance, j’acceptais de mettre sa comptabilité en ordre afin qu’il puisse passer la main à Camille qui était plus à même de prendre la suite et ainsi le libérer pour qu’il puisse suivre ses chantiers plus régulièrement et surtout postuler à des appels d’offres publiques, faire connaître son entreprise.
Je sentais qu’il fallait le coacher car il avait de très grandes qualités professionnelles mais ignorait tout de la gestion !
Ceci allait prendre du temps, mais du temps, j’en disposais à outrance maintenant et il ne me déplaisait pas de côtoyer ce couple si attachant et gai !
Au cours des jours suivants, j’amenais le matériel qu’il me restait de mon activité professionnelle, me mis à ranger chaque chose à sa place, à implanter un logiciel de gestion et de comptabilité simple.
Camille m’amenait le café, nous parlions de choses et d’autres avec beaucoup de plaisir. Cela se voyait à l’éclat de son regard. Nous abordions beaucoup de sujets, notamment ceux qui n’intéressaient absolument pas son mari et qu’elle aurait aimé aborder : la politique, la famille, le droit…
Il m’arrivait également d’être invité à rester manger le midi à la bonne franquette avec Camille ou avec les deux le soir car Basile rentrait tard.
C’était, outre le plaisir qu’ils se donnaient de me recevoir, une façon pour eux de ne pas se sentir assistés. Ceci portait un nom : « L’échange » !
Et cela me convenait très bien car outre l’entretien du jardin, je n’aimais guère également faire la cuisine.
Plus les jours passaient, plus je m’intégrais. J’avais maintenant la clef de la maison et le soir il ne me déplaisait pas de regarder la télévision en leur compagnie. Il nous arrivait également d’organiser nos week-ends ensemble ou de plonger dans la piscine.
Je m’attelais enfin dans les semaines suivantes à réorganiser le job de Basile dans le suivi des factures et à l’orienter vers les contrats d’entretien régulier de copropriétés.
Les rentrées d’argent se faisaient donc plus régulièrement et surtout d’une façon plus conséquente ! Certains prêts pouvaient même être remboursés avant terme !
Camille appréciait beaucoup de ralentir son travail à l’extérieur. Parfois, j’accompagnais Basile dans ses chantiers. Nous nous entendions parfaitement.
Une réelle complicité nous réunissait et aussi une réelle tendresse quoique, vivant un célibat forcé après un divorce récent, ma tendresse envers Camille avait du mal à se contenir dans son cadre !
Les bonjours et les bonsoirs s’accompagnaient d’un dépôt de baiser délicat et lent sur la joue de l’autre et laissaient après leur dépôt un parfum d’insatisfaction !
Je ne manquais pas de la complimenter sur ses tenues : ce qui la touchait beaucoup d’autant plus qu’à l’entendre, son mari n’en faisait jamais de cas !
Un beau matin de printemps, traversant le jardin j’aperçus, pendant sur le fil à linge, un soutien-gorge fuchsia se prélassant au soleil. Je ne sais ce qui me prit en cueillant deux petites marguerites voisines et en les glissant dans chaque bonnet.
Le soir, le fil à linge était vide de toute présence et à l’apéritif offert, je vis Camille venir apporter les toasts avec une robe d’été dont le décolleté découvrait une bretelle de ce soutien-gorge fuchsia et, coincée entre une bretelle et l’omoplate, la petite marguerite…… J’ai cru déceler chez Camille un sourire complice contenu.
Peu de temps après, alors que nous regardions à la télévision un défilé de mode, j’en suis venu à dévoiler, au cours de la conversation, mes goûts vestimentaires féminins.
Je lui avouais que chez une femme, j’appréciais beaucoup les sous-vêtements, que j’avais horreur des soutifs rembourrés, que j’aimais les sous-vêtements doux au toucher et que je n’appréciais absolument pas les strings !
Je lui spécifiais même que je trouvais les fessiers des femmes très beaux, qu’il m’était très agréable de les admirer chez les grands peintres flamands et que je les préférais valorisés par une bonne vieille culotte de grand-mère que prisonniers d’une ficelle de rosbif !
Elle rit de bon cœur tout en se déclarant en accord avec moi.
Le vendredi suivant, pendaient à la corde à linge deux ensembles magnifiques en soie, l’un jaune, l’autre turquoise assortis chacun de leur culotte enveloppante.
Le dimanche, le couple m’invita à un repas familial en l’honneur de leurs quinze ans de mariage.
Camille était habillée tout de noir avec un chemisier de grande classe. Comme à mon habitude, j’occupais le fauteuil en face du divan, donc en face de Camille.
Les apéros se succédaient gentiment, apportant à chaque participant une gaieté et un allant plus élevé que d’habitude et libérant un peu les inhibitions de chacun et notamment de la mienne…
Je la félicitais pour sa tenue très classe et ne put me retenir en lui demandant :
Le repas se déroula normalement et avec beaucoup d’entrain. Après le dessert, les hommes se mirent à commencer une partie de Belote et les femmes à papoter.
Camille se trouvait à la cuisine en train de faire la vaisselle. Alors que je prenais un torchon pour essuyer les assiettes, elle me demanda :
Je me mis derrière elle et alors qu’elle avait les mains dans l’eau, avec les miennes amenées au-devant, me mis à écarter son chemisier pour apercevoir et admirer dans leur écrin de dentelle ces deux volumes qui me faisaient tant vibrer !
Tout à ma tâche, je perçus une déglutition puis un silence que je ressentais approbateur.
Je glissais donc un petit baiser dans son cou tout en lui susurrant :
Et je me mis à soulever délicatement et lentement, des deux mains, sa robe jusqu’à la taille…
Surgit à ma vue son petit cul adorable tout en beauté dans sa parure de soie turquoise, séducteur et probablement excité… Ses mains se tenaient immobiles dans l’eau.
Le silence était doux.
Ou Camille était saisie par la stupeur ou par le plaisir…
Elle entrouvrit sa bouche tout en me jetant un regard interrogateur. Elle était en droit de formuler un reproche : ses lèvres s’apprêtaient certainement à l’émettre, mais de ses entrailles montait probablement une émotion de remerciement car ce qui surgit à leur commissure fut un imperceptible frémissement qui telle une vague, finit par s’épanouir en un sourire merveilleux.
J’entendis une personne se rapprocher, je n’eus que le temps de lui dire :
Le restant de la journée, Camille m’évita, mais ne semblait pas fâchée.
Je me suis demandé si je n’avais pas été trop loin…
Le jeudi suivant était férié. Il faisait beau, même très chaud. Je fus invité à la piscine.
Camille arborait un deux-pièces bleu qui lui allait très bien et qui moulait à la perfection sa poitrine.
Basile nous servit un punch que nous dégustions dans l’eau et qui avait, d’après moi, de l’effet sur la dame alors que la dame avait un sacré effet sur moi, un effet heureusement caché sous l’eau.
Basile, suite à un appel téléphonique inopiné, nous prévint qu’il se trouvait dans l’obligation de s’absenter une petite heure pour aller chercher son frère à la gare.
Je m’adressais à Camille et avec humour lui dis :
En riant haut et fort, elle me répliqua :
Je lui pris la main et la fit tâter l’excroissance de mon slip !
Et je lui repris la main pour la glisser dans mon slip !
Et je posais alors ma main sur son entrejambe… pour m’apercevoir que sa vulve fleurissait…
Elle fermait les yeux. Je pris mon sexe pour le frotter sur son slip de bain…
Nous nous frottions en silence au bruit du clapotis de l’eau et du vent dans les arbres, jusqu’à ce que je pris l’initiative d’écarter le liseré de sa petite culotte…
La pointe de mon sexe allait et venait entre ses lèvres accueillantes sans y pénétrer vraiment.
Elle se mit alors à avoir un de ces orgasmes !
Les jours suivants, Camille me fuyait.
Il me fallait la rencontrer, lui expliquer et surtout sauver cette complicité qui nous réunissait.
Je lui envoyais un message pour la presser de venir rapidement.
Et en la rencontrant, je lui expliquais que ce qui s’était passé n’était qu’un moment particulier et amical très fort qui ne mettait absolument pas en cause notre amitié et son amour de son mari, qu’il ne fallait peut-être pas réitérer la chose bien que j’avais fortement apprécié ce moment d’intimité.
Je lui dis qu’il fallait prendre cela comme un moment de plaisir au même titre qu’un bon film ou qu’un bon plat.
En Afrique, dans le Sahel, on appelle cela « Jouer ».
Camille était une fille très saine et simple. Le fil à linge resta désert…
Ma proximité avec le couple faisait que j’avais souvent sous le nez, notamment le matin, la promenade de Camille en vêtements légers qui laissaient voir ou percevoir les petits seins tressautant sous une lingerie fine ou absente.
Mon célibat commençait à me peser. J’avais soif de câlins, de compagnie, d’échange, d’une femme belle, sensuelle, intelligente. Je me mis donc en quête de cette personne sur des sites de rencontres.
J’en trouvais bien sûr assez rapidement et lorsque je les invitais dans ma demeure, je m’arrangeais pour que Camille et Basile puissent donner leur avis.
Je commençais à m’étonner que, bien que ces personnes soient en rapport avec mon profil, Camille au contraire de Basile trouvait toujours à redire et à faire, à chaque fois, des remarques désagréables sur celles-ci. Je m’interrogeais.
Serait-elle jalouse ?
Alors qu’enfin, j’allais choisir de me lancer dans une relation avec Françoise, une très belle cinquantenaire, aux formes agréables, à la tête bien faite et dotée d’un humour décapant, Camille devint soudain très triste et explosa en sanglots !
Pour ces besoins qui te tenaillent, on pourrait peut-être trouver une solution…
Je sus par la suite que Camille s’était longtemps entretenue avec Basile.
Elle lui expliqua qu’il ne devait pas se réjouir que j’ai trouvé chaussure à mon pied avec cette personne qui les éloignerait certainement d’eux, que depuis mon arrivée, la vie devenait plus facile que les revenus financiers s’étaient drôlement améliorés, qu’il était beaucoup moins stressé au travail, qu’elle peinait moins durement à l’extérieur, qu’ils avaient découvert des régions nouvelles qu’ils n’auraient jamais pensé visiter, que la vie était plus belle, qu’il n’y avait une réelle amitié entre les trois et que tout cela allait disparaître sauf si…
Les yeux de Basile devinrent hagards ! Il n’avait jamais pensé à ça !
Le trente et un décembre arrivait à grands pas. Camille alla dans la semaine chez le coiffeur et en sortit avec une nouvelle coupe, plus courte, style Charleston. Ravissante ! Comme convenu, je m’occupais de la boisson que je prévoyais très diverse et fournie avec bien sûr du champagne !
Je me présentais le trente et un vers huit heures, endimanché avec une tenue sport et chic qui plut beaucoup à Camille qui, elle, arborait une tenue en soie adaptée à sa coiffure qui lui donnait beaucoup de sensualité et de grâce.
Basile n’était pas en reste et s’était lui aussi mis sur son trente-et-un.
Camille avait décoré la maison avec beaucoup de goût et mis en musique de fond des airs divers et langoureux.
L’apéro fut versé. Les discussions commencèrent à aller bon train. Les rires fusaient. Tous les trois, nous étions heureux. Vraiment.
Camille se servit un second apéro sur le champ et cul sec pour, dit-elle, tuer le microbe ! Et dans les minutes suivantes, se plaignit d’un coup de chaud tout en déboutonnant trois boutons de sa robe pour s’aérer… Elle alla chercher le second plateau de toasts qu’elle présenta d’abord à Basile figé soudainement pour la raison que je découvris immédiatement après, lorsque Camille se présenta devant moi : son décolleté laissait entrevoir sa poitrine magnifique gainée de dentelle que ses tétons tentaient de percer… Gloups ! Gloups ! Cette vision de rêve ne dura qu’un court instant, mais me donna à mon tour un sacré coup de chaud !
Les apéritifs se succédaient avant de laisser place à de très bons vins que j’avais choisis pour accompagner foie gras, huîtres, saumon, pizzas que Camille avait préparés.
Basile, de sa voix grave, accompagnait la musique de fond. Camille se leva pour l’inviter à un slow, un slow très lent et très sensuel car elle se collait à lui tout en tout l’embrassant passionnément et en lui caressant la braguette.
Basile n’était pas de reste et lui roulait un patin d’enfer !
Le slow fit place à un autre. Camille susurra quelque chose à l’oreille de Basile qui se détacha tout en prenant la main de Camille pour l’amener devant moi en disant :
Basile prit place sur le canapé après avoir descendu l’intensité de la lumière d’ambiance. La danse commença.
D’office, Camille me serra dans mes bras en caressant ma nuque et en laissant ses lèvres vagabonder le long de mon cou. Je sentis sa main se glisser sous ma chemise, ses seins s’écraser sur mon corps et son ventre se frotter sur mon appendice. Elle releva la tête et s’exclama bien fort à l’adresse de Basile :
Et sa langue qui avait repris le chemin de mon cou remonta un peu plus haut pour s’arrêter à la commissure de mes lèvres et pour y faire des allers-retours lancinants avant d’y faire entrer sa langue pour un ballet majestueux tout en agrippant mon sexe au travers de mon pantalon et en le serrant.
La danse finie, elle rejoignit Basile pour l’embrasser très affectueusement et lui susurrer :
Puis elle se blottit dans ses bras sans arrêter de le caresser tendrement.
La soirée avançait dans la bonne humeur, et pourquoi ne pas le dire : le bonheur. Se dégageait de notre réunion à trois une harmonie élaborée de nos différences et complémentarités.
L’alcool commençait à faire son effet. Camille coincée entre nous deux sur le divan semblait benaise. Elle nous enlaça chacun d’un bras tout en ramenant nos têtes contre elles :
Puis-je te poser une question franche Ludo ?
Et Ludo se mit à déboutonner le quatrième bouton de sa robe, puis le cinquième et enfin le dernier.
Camille fermait les yeux tout en enserrant la main des deux hommes. Basile écarta les deux pans du chemisier pour laisser apparaître ces deux petits globes si beaux…
Je glissais ma main droite sur le genou de Camille, saisis le bord de la jupe très délicatement et le relevais très lentement laissant mon index frôler l’intérieur de sa cuisse provoquant ainsi un frisson sur cette peau si douce qui se mit à exprimer son émotion et son plaisir en arborant cette chair de poule si évocatrice.
J’apercevais enfin cette petite culotte turquoise comme le haut en dentelle, moulant son intimité qui me semblait, vu son humidité, très accueillante.
Camille était alors en train d’embrasser goulûment son mari tout en ayant glissé sa main dans son pantalon et écarté ses cuisses s’offrant ainsi à son invité.
Je pris plaisir à laisser vagabonder mes mains et à caresser son sexe au travers de cette dentelle si agréable au toucher.
Camille s’acharnait maintenant sur la bouche de Basile et alors que je déposais un baiser sur son intimité cachée, elle descendit rapidement sa main pour écarter le liseré de sa culotte et m’offrir ce sexe affamé.
Je pris mon temps pour le découvrir, l’appréhender, l’apprivoiser, le conquérir.
Tout cela avec beaucoup de délicatesse, de temps, alternant doigtés timides et caresses buccales éphémères.
Camille ronronnait tout en branlant délicatement le sexe de Basile qu’elle avait extirpé de son logement.
Mes approches devinrent plus précises, moins timorées. Mes lèvres aspiraient tout en le titillant de la langue ce clito surgi plein de désir, mon doigté se fit plus profond et plus rapide : ce qui déclencha un orgasme fulgurant de Camille qui après s’être remise de ses émotions grimpa sur les genoux de Basile pour s’empaler sur son sexe dur.
C’était à moi maintenant de profiter de ses baisers fous tout en caressant cette poitrine maintenant dénudée.
J’entendis Basile crier sa délivrance et m’interpeller :