n° 22513 | Fiche technique | 26881 caractères | 26881 4647 Temps de lecture estimé : 19 mn |
04/07/24 |
Présentation: Cette histoire plutôt soft mélange deux éléments distincts : une anecdote réelle et un interlocuteur étranger existant. | ||||
Résumé: Gauvain, c’est moi. Est-ce un bien de porter un prénom rare, surtout celui d’un chevalier légendaire connu comme étant un parangon de vertu ? | ||||
Critères: fh cadeau exhib fellation cunnilingu visiteur | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Cette histoire plutôt soft mélange deux éléments distincts : une anecdote réelle et un interlocuteur étranger existant. J’emploie ici le « vous » comme traduction du « you ». Une fois de plus, ne pas confondre narrateur et auteur. Bonne lecture : )
Gauvain, c’est moi. Est-ce un bien de porter un prénom rare, surtout celui d’un chevalier légendaire connu comme étant un parangon de vertu ? Pas vraiment, mais peu de personnes connaissent vraiment ce personnage de la légende du roi Arthur, et c’est tant mieux pour moi, car je suis loin d’être un saint.
Grâce à la bougeotte de mes parents et leur manie de changer facilement de pays, j’ai le grand plaisir de « causationner » plusieurs langues, ce qui m’a permis de décrocher un emploi très bien rémunéré, sachant que je suis le seul de l’entreprise à savoir dialoguer avec tous ces fichus clients internationaux qui ne savent pas parler normalement et correctement le français bien de chez nous (dixit mon cher directeur qui a pourtant fait une Grande École, enfin, ce qu’il dit).
De ce fait, je gagne plein de sous (que malheureusement l’État me ponctionne allégrement), mais comme je ne suis pas très dépensier, mon bas de laine se remplit et mes investissements augmentent. Posséder une voiture à Paris et alentour est de la folie, et quand je suis ailleurs, je me fais véhiculer ou j’utilise des moyens de transport à deux roues, allant de la trottinette au scooter électrique. Je vis une vie saine (quoique, vivre en région parisienne n’est pas ce qu’on a fait de plus sain, mais j’ai aussi un petit quelque chose dans le Sud où je vais très souvent, merci le télétravail).
Ah oui, je disais que je menais une vie saine, tout en me faisant divers petits plaisirs. Ma seule drogue dure (mis à part ma femme) réside dans les noix de cajou ! Je ne sais pas résister… Mettez-moi un gros bol bien rempli sous le nez, tournez le dos quelques secondes, et hop magie : plus rien !
Grâce à Internet, malgré les décalages horaires, j’ai pu me faire des tas de connaissances à travers le monde, dont certaines viennent parfois me faire un petit coucou, aidé par le fait que je possède un grand appartement à Paris intra-muros (avec vue sur une certaine tour en métal) et une maison typique juste à côté de Saint-Tropez (un héritage).
En contrepartie, je me déplace en terre étrangère à moindres frais, surtout que mon épouse travaille pour Air France. Eh oui, belle et pratique !
Je sais, je suis un horrible nanti, larbin du capitalisme, mais je m’en fous royalement : les chiens aboient mais la caravane passe. Ajoutons que, dans quelque temps, j’aurais suffisamment de sous de côté pour m’offrir le luxe d’une retraite très anticipée à faire saliver tous les conducteurs de TGV.
Vous ai-je assez écœuré ?
Parce que ce n’est pas fini, puisque je vais à présent vous entretenir de ma délicieuse chérie à moi que j’ai personnellement.
Comme déjà dit, la dulcinée de mon cœur travaille chez Air France. Son travail fut d’être hôtesse de l’air durant quelques années, avant d’avoir les pieds sur terre dans un poste à responsabilité(s) au sol. Mais parfois, elle s’offre le luxe de rempiler dans le ciel.
Bref, elle s’envoie en l’air de temps à autre…
Le plus amusant est qu’elle s’appelle Natacha, comme l’héroïne de BD de François Walthéry. Elle lui ressemble, c’est un fait avéré et indiscutable, sauf un gros point de détail : elle est rousse, pas blonde. Sinon, les mêmes gambettes interminables, la même poitrine arrogante, les mêmes grands yeux de biche, les mêmes lèvres pulpeuses et la même coiffure, version « feu d’automne » et j’en passe…
Je sais, vous me détestez encore plus, surtout les hommes.
J’ai eu la chance de la rencontrer par hasard dans un aéroport. Je sais : concernant une hôtesse de l’air, ce n’est pas très original comme lieu de rencontre. Ce qui l’est un peu plus, c’est que ce fut en Nouvelle-Zélande, c’est-à-dire de l’autre côté de la planète et dans l’autre hémisphère. Imaginez la probabilité…
Pour info, ce fut dans ce pays que fut tournée la fameuse trilogie du Seigneur des Anneaux.
Quand deux Français (très loin de la Mère Patrie) se rencontrent à l’autre bout du monde, qu’est-ce qu’ils se racontent ? Des histoires de français et même un peu plus.
Nous avons beaucoup discuté, puis nous avons passé le reste du séjour à deux, j’avais réussi à retarder un peu mon billet de retour. Natacha ressortait de diverses histoires compliquées, moi aussi. Elle ne voulait pas trop se casser la tête avec un homme, moi aussi avec une femme. Elle en avait marre des jaloux, des suspicieux, des égoïstes, des matamores et j’en passe. Alors cédant à une impulsion subite, je lui ai proposé un pacte basé sur des services réciproques sans engagement, en toute liberté.
En entendant ma proposition, elle a été un peu surprise, elle m’a regardé d’un air étrange, elle est restée silencieuse un bon moment, puis après une longue réflexion, elle m’a dit oui, demandant de faire un essai à ses conditions.
Cinq ans plus tard, nous sommes devenus un couple officiel devant la Loi.
Entretemps elle a bien vécu sa vie, et moi la mienne. Mais souvent, nous étions ensemble, au début pour un jour, une nuit, un week-end, quelques jours, etc. Et puis un beau matin, nous ne nous sommes plus quittés. Ça s’est fait naturellement.
Sans toutefois renoncer à certains extra…
C’est par le biais d’Internet que j’ai connu John Sandrew, un bourlingueur des sept mers, basé en Cornouaille quand il met pied à terre. Un autre type de voyageur que Natacha : elle dans les airs, lui dans les mers (ça rime). Et moi, au milieu, sur terre (ça rime toujours).
Lui et moi discutons de tout et de rien depuis quelques semaines, le courant passe bien, nous avons divers centres d’intérêt en commun. Parfois, Natacha vient lui faire un petit coucou quand je suis en webcam avec lui.
Réponse impulsive et franche qui plaît beaucoup à ma femme qui, quelquefois, en rajoute un tantinet en se penchant dans l’axe de l’œil de la caméra, offrant ainsi son décolleté en gros plan. Parfois, le soutien-gorge manque à l’appel. Inutile de dire que John est aux anges.
Comme ma femme et moi savons parler de tout, y compris de certains sujets épineux pour la plupart des couples, j’ai vite eu confirmation que John intéressait Natacha qui s’en est ouvert sans complexe :
Il y a une grosse semaine, ma chipie de femme s’est offert le luxe de passer toute nue, fugacement en arrière-plan, au fond de la salle à manger, sachant pertinemment que j’étais dans le salon (les deux pièces communiquent) face à l’ordinateur portable, en train de dialoguer avec mon Grand-Breton. Une fois ma femme disparue de son écran, John a pesté, regrettant de ne pas être en mode enregistrement-vidéo.
Je traduis sa réaction un poil dépitée :
Mon interlocuteur aimerait beaucoup avoir le même type de femme chez lui, mais ce n’est pas tout à fait le cas. Non pas que Leslie (sa légitime) soit un dragon, mais il aurait aimé qu’elle soit plus libérée, comme on dit. Hélas, la vie est mal faite, nous n’avons pas toujours ce que nous aurions souhaité, même à minima.
Légère pause avant que la réponse tombe, un poil fataliste :
Un beau jour, ayant un peu de temps libre et désireux de visiter notre beau pays, il décide de venir nous rendre une petite visite amicale de trois jours. Bien sûr, avant de confirmer ou d’infirmer, j’ai demandé à ma femme si elle était d’accord (c’était la moindre des choses). Puis nous avons planifié sa venue.
J’avais proposé à mon interlocuteur qu’il vienne avec sa femme à lui, mais il a décliné, disant que son épouse ne voudrait jamais, surtout si celle-ci se retrouve nez à nez avec Natacha, sachant qu’elle est fort jalouse.
Donc, quelques jours plus tard, il est venu par le train en joyeux célibataire, prétextant auprès de sa femme une formation professionnelle sur le continent. Je suis allé le chercher à la gare du Nord, et vingt minutes plus tard, il a découvert à la fois notre appartement parisien et surtout ma chère épouse.
Cette exclamation spontanée et sincère vient d’être prononcée en anglais par notre invité, mais comme Natacha (une ancienne hôtesse de l’air sur des vols internationaux) et moi connaissons cette langue, pas de souci. Pour faciliter la lecture, je continuerai à traduire nos divers propos, sauf contre-indication.
Connaissant certains usages français, John l’embrasse sur les joues avec empressement, et ce, quatre fois. Natacha apprécie visiblement cette ardeur envers sa gracieuse personne :
Pour faire bonne impression à notre hôte, ma coquine de femme est vêtue d’une robe chatoyante tirant vers le rouge, droite, fort simple, mais très seyante, sachant mettre ses courbes en valeur, et dotée d’un décolleté non négligeable dans lequel notre invité n’hésite pas à plonger de temps à autre.
Nous nous installons dans le salon. Nous discutons en anglais d’un peu de tout et de n’importe quoi, bien que parfois, notre invité risque quelques mots en français. Soudain, John tourne la tête en direction de la salle à manger :
À ces mots, ma femme sourit d’un air coquin que je ne connais que trop bien, je me demande ce qu’elle va oser dire. La réponse arrive tout de suite :
Abasourdi par cette réponse, celui-ci la regarde avec des grands yeux étonnés :
Puis il soupire longuement :
Même si je ne déteste montrer au monde entier ma bonne fortune, ayant néanmoins quelques égards pour John, j’aiguille la conversation sur un autre sujet moins épicé. Mais je vois bien dans les yeux de John qu’il imagine sans problème la scène qu’il vient d’évoquer avec ma dévergondée préférée.
Aussitôt, ma femme se lève :
Ma femme se contente de sourire, je sais que ce petit jeu l’amuse beaucoup. Contrairement à certaines de ses consœurs, mon épouse revient très vite. Une fois de plus, John y va de son compliment spontané :
Pour sortir dîner, en plus d’un petit gilet noir qu’elle tient en main, Natacha a revêtu une robe ébène assez courte à petites manches, entièrement boutonnée par devant, dotée de divers rivets dorés à titre de décoration. Comme le temps n’est pas encore tout à fait au beau fixe, elle a mis des bottines foncées qui remontent aux genoux. Ses jambes sont gainées de soie sombre, je suppose que ce sont des autofixants.
J’ignore si ma chère délurée a mis une petite culotte ou pas. L’envie me démange de vérifier, mais je sais me contrôler.
Comme sa poitrine tend le tissu, faisant bâiller sa robe entre les boutons du devant, je constate vite qu’elle a mis un soutien-gorge rouge assez échancré. Je me demande même si ce n’est pas en réalité un redresse-seins ou un soutif ouvert, car ses tétons pointent de façon assez marquée sous le textile.
En tout cas, notre invité semble avidement apprécier le spectacle.
Une fois de plus, nous avons bien mangé dans ce restau chinois. C’est très souvent dans celui-ci que nous emmenons nos invités, car nous n’avons jamais été déçus (ni nos convives), et quand on connaît une bonne adresse, on la garde soigneusement dans un coin de sa mémoire ou de ses contacts téléphoniques.
John a visiblement apprécié l’invitation :
Ce qu’il ne dit pas, c’est qu’il a passé son temps à dévorer des yeux ma Natacha qui était assise face à lui. Flegmatique, je réponds :
Nous revenons à la maison en voiture, car le restaurant est situé à douze kilomètres, d’après ce que m’indiquait mon GPS, la première fois où nous y sommes allés, il y a quelques années. Et comme je suppose qu’un bâtiment ne s’amuse pas à se déplacer de son propre chef, j’en conclus que la distance n’a pas changé. Nous aurions pu nous contenter d’aller dans une gargote située dans notre rue, mais je préfère aller un peu plus loin et faire visiter le coin à notre invité. C’est pour cette raison que j’ai loué pour quelques jours une voiture que j’ai garée dans notre parking souterrain, m’arrangeant avec un co-propriétaire.
En parlant de visiter le coin, le programme que j’ai prévu est assez chargé, mais entre ce qu’on planifie et la réalité, il y a souvent une grosse marge.
Le genre de phrase qui plaît beaucoup à ma femme, et à plein d’autres femmes, je présume…
Parfois, en s’éloignant peu de la Capitale, on se retrouve en pleine campagne, même si certains champs et bois sont ceinturés d’immeubles. C’est le cas quand on va vers l’ouest, grosso modo dans la direction de Versailles, mais un peu plus bas sur la carte.
En revenant, je ne prends pas tout à fait le même chemin qu’à l’aller car j’ai une petite idée en tête. Je fais un léger détour sur une route que je sais nettement moins fréquentée. Ensuite, je bifurque vers une petite zone d’activités qui est déserte à cette heure-ci.
À la grande surprise de mes deux passagers, je m’arrête sur le bas-côté. Sereinement, je coupe le moteur, mais je laisse les phares allumés. Puis me retournant à moitié vers la droite, j’annonce placidement :
Ma femme et mon invité s’exécutent.
Natacha est à présent éclairée par les phares de la voiture, un peu comme si elle était sur une scène avec deux hommes comme spectateurs. Elle est toujours étonnée, ne comprenant pas où je veux en venir. Un peu en retrait, John est dans le même cas. Tous les deux attendent la suite des événements.
Celle-ci arrive tout de suite quand je dis à ma femme :
Pour toute réponse, elle nous sourit, à nous, les hommes. Un à un, elle dégrafe lentement les boutons de sa robe, en commençant par ceux du bas, dévoilant ses gambettes, puis le haut de ses bas autofixants (comme je m’en doutais). Peu après, notre invité affiche un large sourire en découvrant que ma femme ne porte pas de petite culotte, révélant un pubis glabre, dont la fente bien prononcée.
Puis son soutien-gorge rouge se révèle, ses mamelons à l’air, ses seins bien maintenus. Ce n’est pas tous les jours qu’elle met ce genre de lingerie qui soutient plus qu’elle ne cache. Sauf erreur de ma part, je crois que c’est la troisième fois qu’elle porte cet accessoire, acheté il y a maintenant six mois.
Puis elle ouvre grands les bras, sa robe largement ouverte, exhibant mieux encore sa poitrine. De son côté, notre invité semble faire l’inventaire précis des courbes de ma femme. Je suppose qu’il n’est pas déçu par ce petit détour.
Nonchalamment, Natacha lui tend sa robe noire que John garde précieusement, sans la quitter du regard. De mon côté, je constate que les tétons de ma femme sont bien érigés, signe évident qu’elle apprécie la situation.
Puis bien plantée sur ses jambes gainées de noir, sans cesser de regarder notre invité d’une façon de plus en plus effrontée, Natacha propulse ses bras dans son dos afin de dégrafer son soutien-gorge, ou plutôt ses balconnets, le mot m’est revenu en mémoire. Les crochets ôtés, ses seins sont mieux libérés, se révélant alors dans toute leur lourde splendeur.
À nouveau, John récupère le vêtement de ma femme, qui se met à pivoter lentement sur elle-même pour mieux montrer la marchandise, pile, face et profils, dans la lueur jaunie des phares, ce qui est un spectacle dont je ne me lasse pas, malgré le risque que nous soyons éventuellement surpris par un véhicule de passage.
Puis, Natacha esquisse quelques pas le long de la route, s’éloignant de trois-quatre mètres, exposant sans complexe son beau popotin. Après une courte pause, elle revient en pleine lumière. Arrivée près de moi, mettant ostensiblement ses mains sur les hanches, elle demande en français :
Natacha aurait pu dire n’importe quoi, John n’aurait rien entendu : il est visiblement trop occupé à mater ma femme, puisqu’elle est à présent presque nue, si on excepte ses bas autofixants et ses bottines.
Résumons la situation : une voiture arrêtée sur le bas-côté dont les phares éclairent une rousse incendiaire quasiment nue, ainsi que deux hommes normalement constitués, dont un qui la découvre en mode réel, avec ses mains qui le démangent furieusement.
Et pas que ses mains…
Je décide de porter l’estocade, comme on dit dans certaines contrées nettement plus au sud de la mienne :
De la main, je désigne délibérément ma femme.
Même si je m’étais adressé à John en chinois ou en arabe, notre invité aurait compris tout de suite mon propos. La communication non verbale, ça aide beaucoup à l’entente entre les peuples. Surtout quand une femme comme la mienne en est l’enjeu.
La seconde suivante, John est déjà en train de bisouter comme un fou les seins exposés de ma femme qui apprécie visiblement cet hommage anglo-saxon, ou plutôt cornouaillo-celtique. Si la bouche de notre invité est très active, ses mains le sont tout autant : elles soupèsent, malaxent, palpent les deux belles masses du devant, puis s’égarent parfois vers celles qui sont plus en arrière et plus bas.
Natacha est flattée de susciter autant de dévotions à son égard. Ses yeux luisants et son large sourire parlent pour elle.
Je me doutais bien qu’il en serait ainsi, j’avais bien remarqué que ma femme était devenue un fantasme vivant pour John, surtout connaissant un peu sa femme (à lui), du moins en photo et par ouï-dire par son mari. La comparaison n’est pas en faveur de Leslie, même si je reconnais que cette femme d’allure assez classique n’est pas à négliger…
Et puis, de son côté, ma femme a le droit de s’amuser un peu. Ces derniers temps, elle était un peu au ralenti. Pour ma part, j’ai la chance d’avoir un beau vivier dans mon entreprise. Natacha ne peut en dire autant, hélas pour elle. Encore heureux que ça ne se limite pas qu’à son entourage professionnel.
Comme aujourd’hui… De plus, John n’est pas non plus à négliger, étant pas trop mal de sa personne et visiblement très enthousiaste.
Tel un croyant fervent, il est actuellement agenouillé pour embrasser comme un fou le ventre dénudé de ma femme, ses baisers descendant lentement mais sûrement vers un pubis glabre, ses mains déjà rivées aux fesses plutôt dodues de ma femme.
Natacha vibre quand la langue ose s’insinuer un peu dans sa fente. Voyant qu’il n’est pas chassé, John s’enhardit un peu plus, d’autant que ma femme écarte de plus en plus les jambes pour lui faciliter l’accès.
Ses doigts enfouis dans la chevelure de notre visiteur anglais, Natacha est en train de savourer un cunni bien mené. John m’avait avoué une fois qu’il aimait beaucoup en faire, de boire directement à la source, mais que sa femme trouvait ça peu hygiénique. Quelle idée étrange, mais il faut de tout pour faire un monde (je parlais de Leslie) ! Son mari est en train de rattraper tout le temps perdu, mais qu’il se méfie : ma femme a la cyprine facile, elle est presque fontaine, et parfois, l’homme a du mal à suivre…
Ma femme s’abandonne à la bouche qui la lèche, qui la farfouille. Elle n’a pas résisté bien longtemps ! Mais je sais qu’elle récupérera très vite et qu’elle peut enchaîner les jouissances sans souci. C’est même pour cette raison que, parfois, je suis assisté par d’autres hommes de confiance. Je connais mes limites.
En tout cas, John est ravi d’être ainsi inondé. Il arrive à suivre sans souci le flot qui s’engouffre dans sa bouche. De plus, le goût est loin d’être désagréable. Décidément, ma femme est en effet le fantasme vivant de ce cher John !
Durant ce temps, j’en profite pour prendre quelques photos, je ne déteste pas les souvenirs, Natacha aussi. C’est ainsi qu’elle possède un tableau de chasse (du genre qu’on voit parfois dans les films policiers), un grand panneau dissimulé derrière notre garde-robe. Avec amusement, je me demande dans combien de temps il faudra que j’achète un autre panneau, car l’actuelle commence à bien se remplir…
Avec tout ça, plongé dans mes réflexions, j’ai loupé une étape, puisque John est à présent debout, tandis que ma femme semble s’être remise de ses émotions.
Le temps semble suspendu, comme figé dans la lumière des phares…
Sans aucun complexe, prenant maintenant l’initiative, Natacha pose sa main sur la grosse bosse du pantalon de John et dit d’un air mutin :
Puis elle s’accroupit aussitôt, et avant que notre invité ne soit revenu de sa surprise, Natacha a déjà extirpé puis enfourné dans sa bouche une verge bien raide. Les yeux fermés, notre invité se laisse aller sous la caresse chaude et buccale de ma femme qui lui masse délicatement les testicules. Peut-être est-il en train de se dire qu’il est en train de rêver ou quelque chose dans le même genre.
Je connais les goûts de ma femme, je connais aussi ses envies. Notre mariage repose sur une certaine liberté pour elle comme pour moi. John n’est pas tout à fait un inconnu pour elle, ils se sont déjà parlé ci et là par caméra interposée. Et je sais reconnaître les lueurs d’intérêt ou de convoitise, aussi bien chez les hommes que chez les femmes.
Certaines personnes diront que ma femme est purement et simplement une salope. Moi, je dis qu’elle profite des opportunités de la vie. D’ailleurs, il m’arrive de faire de même. Toujours est-il que je la contemple en train de donner beaucoup de plaisir à notre invité du soir et aussi des jours suivants.
John serre les dents. Je suppose qu’il est au bout de sa résistance. Alors, je conseille :
Dans un long soupir, John se vide abondamment dans la bouche de ma femme qui avale sans effort apparent le flot qui se déverse dans sa gorge. Du fait de son passé d’hôtesse de l’air très permissive, elle a un certain entraînement pour soulager les tensions masculines. Un ancien commandant de bord m’avait confié en catimini que Natacha était réputée pour être une Banana Split Girl de première catégorie (BSG, qui est, paraît-il, aussi un signe connu en aéronautique)…
Depuis des années, Natacha n’a jamais eu beaucoup de difficultés pour satisfaire un homme de cette façon. Je l’entends encore me dire que ça permet les coups vite faits et bien faits, sans oublier que ça ne nécessite pas de se nettoyer la chatounette ensuite (texto).
Ce qui n’est pas faux…
Après avoir joui sans répit dans la bouche de ma femme, John est un peu chancelant, à la fois par son effort physique et par la situation qu’il n’avait pas osé imaginer qu’elle puisse arriver. Tant bien que mal, il essaye de récupérer, mais je crois comprendre que Natacha l’a royalement vidé avec sa science des sucettes. J’en sais quelque chose, puisque je profite de sa compétence depuis un certain moment. Je ne compte plus les fois où elle m’a démontré ses aptitudes en la matière. Sans me vanter, c’est un nombre à quatre chiffres, et dans quelques années, je parie que nous passerons à cinq.
Vous croyez que j’exagère, que j’en rajoute ? Non, pas du tout, je sais compter et ma femme est assez vorace dans son genre. Pas besoin de vous faire un dessin, n’est-ce pas ?
De la main, je désigne la voiture aux phares toujours allumés :
Puis m’adressant posément à ma femme, je précise :
Natacha se contente de sourire d’un petit air pervers. De son côté, John a repris du poil de la bête et il est ravi de cette proposition. Galamment, il ouvre la portière arrière, puis tandis que ma femme s’engouffre dans la voiture, il lui met posément la main aux fesses.
Glousse ma femme qui se colle tout de suite à notre visiteur quand celui-ci prend place à son tour dans le véhicule. Je sais très bien que Natacha se fera un plaisir de dormir dans la chambre d’amis, ce qui me fera un peu de repos. Parfois, il est bon de déléguer certaines activités, surtout quand d’autres personnes sont d’accord pour me suppléer.
Inutile de dire que le ton est à présent donné. Notre invité a vite compris que son séjour chez nous ne sera pas une morne plaine. Mais ceci est une autre histoire, à commencer par cette première chez nous…