n° 22520 | Fiche technique | 9687 caractères | 9687 1719 Temps de lecture estimé : 7 mn |
06/07/24 |
Résumé: Un récit de première fois telle que je ne l’imaginais pas ! | ||||
Critères: ffh jeunes poilu(e)s hépilé école fsoumise caresses fellation fdanus init | ||||
Auteur : Gauthier_LPR Envoi mini-message |
Nota : je commence par un texte court, histoire de me dérouiller les doigts et les neurones en essayant de rédiger autre chose que de la prose juridique pour la première fois depuis quinze ans. Histoire vraie.
Pause déj’, je jette mes feuilles et mon stylo au fond de mon sac et quitte l’amphithéâtre sans attendre personne ; mon pote Thomas est à l’infirmerie depuis ce matin et j’ai promis de lui apporter un sandwich. Cet abruti s’est tordu une cheville en voulant impressionner Mélissa avec une acrobatie stupide dans les escaliers de notre résidence universitaire. C’est vrai qu’elle est sacrément bandante, Méli : jolie brune aux grands yeux un peu trop écarquillés, mais ça lui donne un charme fou, et un cul ! Seigneur, si un jour les morts se relèvent, ce sera pour le cul de Mélissa, à n’en pas douter.
Bref, ce n’est pas d’elle dont il est question aujourd’hui. Une autre fois peut-être… j’en ai aussi à raconter avec Mémel !
Pour l’instant, je suis à la cafèt’, en train d’attendre mon tour pour m’approvisionner en jambon beurre et rejoindre Thomas. Une main se pose sur mon épaule.
C’est Marjolaine qui vient de prendre place derrière moi dans la file. Marjolaine c’est la petite souris, cheveux longs châtain clair, yeux marron, lunettes trop grandes, jolies fesses, aucune poitrine. Gentille comme un cœur, mais pas vraiment l’objet des fantasmes d’une bande de jeunes mâles bouillonnants d’hormones.
Nous discutons de tout et de rien en rejoignant le bâtiment administratif où est installé le service médical, et Marjolaine est étonnamment prolixe : les cours qui l’ennuient, son mec plus âgé qu’elle qui a déjà un travail et qui rentre fatigué le soir à leur studio, la routine, déjà, elle a vingt ans à peine ! Je ne l’écoute que d’une oreille, elle est gentille Marjo, mais sa vie c’est de la merde et elle m’ennuie avec son papotage.
Si vous avez déjà un peu d’expérience de la vie, vous la sentez venir, l’ouverture en or de la femme qui s’ennuie dans sa vie de couple ! Bah oui, mais moi, à ce moment-là, j’ai vingt ans aussi, et aucune finesse dans les jeux de séduction, d’autant plus qu’à cet instant précis, et pour encore une demi-heure, je suis toujours puceau…
Elle pousse la porte de l’infirmerie et entre en premier. Je suis juste derrière, et mon œil glisse sur ses fesses serrées dans un jean moulant qui est, ma foi relativement flatteur, il faut bien l’avouer. Thomas est allongé sur le premier lit, le reste de l’infirmerie est vide, l’infirmière est partie déjeuner, il n’y a absolument personne dans le bâtiment à cet instant.
Thomas, pour tout vous dire, c’est le beau gosse du duo : footballeur, il est fin et musclé, cet enfoiré, avec un visage de diablotin qui fait craquer toutes les filles. Il a pris le côté ténébreux de son père maghrébin conjugué à la finesse des traits de sa mère berrichonne. Et bien sûr, il enchaîne les conquêtes féminines depuis plusieurs années déjà, lui ! Moi, j’ai un visage un peu plus… atypique, dirons-nous (dédicace aux agents immobiliers qui essaient de faire passer un appartement merdique pour un bien de charme, c’est atypique, on vous dit !). Ceci dit, je suis gaulé aussi, quinze ans d’équitation, de tennis et de rugby plusieurs fois par semaine, ça vous sculpte un minimum tout de même.
Je lui tends son sandwich, et Marjolaine et moi nous asseyons sur le bord du lit à côté du sien, discutant de tout et rien en calant notre dalle. Marjolaine se lève pour donner à Thom une bouteille d’eau, et en reculant pour se rasseoir, se décale et se retrouve à venir s’appuyer sur le bord du lit, entre mes jambes… et, étrangement, elle reste là, continuant à bavarder comme si de rien n’était. Néanmoins, l’atmosphère dans l’infirmerie a changé, et on en a tous les trois, conscience. En une seconde à peine, la désinvolture apparente de Marjo a subitement ouvert un champ des possibles que ni Thom ni moi n’avions envisagé, mais rétrospectivement, je suis bien certain que Marjo, elle, avait pris sa décision depuis un petit moment déjà.
Le cœur battant et la bouche un peu sèche, je pose mes mains sur les hanches de Marjo, qui continue à papoter l’air de rien avec Thomas, qui lui me regarde avec un petit sourire en coin. Aucune réaction. Je pousse mes caresses, mes mains se rejoignent sur son ventre, passent sous son pull léger, effleurent sa peau.
Elle continue de bavarder, sans bouger. Là, je me dis, mon p’tit Gauthier, c’est ta chance ! Si tu n’oses pas maintenant, tu seras puceau à vie, mon gars !
Les doigts tremblants, je déboutonne son jean, y glisse mes mains et reprends mes caresses, une main sur son ventre, et l’autre qui s’insinue sur ses fesses. Dieu, que sa peau est douce… ! Elle porte un string, le long duquel je fais aller et venir ma main, mon doigt longeant le tissu en de lents allers et retours gênés par son pantalon, que je pousse vers le bas.
Je suis donc assis au bord de ce lit médical, Marjolaine appuyée sur le bord, entre mes jambes, son jean baissé à mi-cuisse, mes mains sur son corps, juste en face de Thomas qui nous regarde, goguenard. Elle ne parle plus, tiens ! elle respire fort par contre, et gémit un peu, puis murmure dans un soupir :
Et je fais glisser son string le long de ses jambes, jusqu’au jean qui a fini par tomber sur ses chevilles. D’un mouvement, elle fait tomber ses chaussures et se dégage les jambes, qu’elle écarte pour laisser un meilleur accès à ma main qui s’engage entre ses cuisses. Mes doigts effleurent ses poils courts, puis s’insinuent plus bas ; c’est chaud, c’est doux, c’est le premier sexe de femme que je caresse, et j’y vais tout doucement, le parcourant sur toute sa longueur en des caresses plus ou moins appuyées. Je n’ai qu’une très vague idée de ce que je suis en train de faire, mais ça a sacrément l’air de lui convenir, mes doigts dégoulinent et ses soupirs sont de plus en plus forts.
Sur le lit en face, Thom a ouvert son jean et sorti un sexe d’une solide érection, surmonté d’un gland brun et gonflé. J’ai déjà vu sa queue dans les vestiaires, mais j’admets qu’il a une sacrée belle bite !
Il désigne son sexe bandé. L’éloignement des lits permet à Marjo de se pencher sans avoir besoin de bouger, et la voilà soudain occupée à passer sa langue sur toute la longueur du sexe de Thom – il a les couilles rasées, ce con ! J’y avais jamais pensé, mais à partir de ce jour j’ai toujours pris soin d’avoir une toison bien entretenue et des couilles lisses. Elle embouche son gland, le suce comme un bonbon à faire fondre, et moi, j’ai toujours une main sur sa chatte, et l’autre sur ses fesses, entre lesquelles je passe un doigt curieux et ému.
Petit arrêt sur image : c’est l’instant de ma première fois, et ça se passe à l’infirmerie, j’ai une main sur la chatte de Marjo, un doigt dans son cul, pendant qu’elle suce mon meilleur pote. Si c’était un film, on n’y croirait pas.
Je repousse le lit sur lequel je suis assis histoire de me dégager de la place, et moi aussi je sors ma queue, qui n’en peut plus de bander face à ce spectacle. Je plaque ma bandaison entre les deux globes de Marjo, allant et venant dans la douceur de sa raie culière. La petite souris lance sa main derrière elle, s’empare de ma queue qu’elle branle quelques fois, maladroitement – je ne lui en veux pas, la position n’est pas facile – et me guide entre ses cuisses ; je sens sur mon gland rouge et gonflé la chaleur de son con, dans lequel elle a la gentillesse de m’insérer, avant d’attraper ma fesse et de me tirer en elle d’une poussée profonde qui lui arrache un gémissement incroyablement excitant.
Bordel, ça y est, je baise ! pour la première fois, je baise, et la situation me paraît complètement dingue. Comme de jeunes cons, nous n’avons aucune capote, n’y pensons même pas. Lorsque j’y repense, je me dis : mais quelle connerie !
Les mains sur ses hanches, je m’agrippe à Marjolaine comme Léonardo Di Caprio s’agrippait à son radeau dans l’atlantique nord, et, sans aucun talent, j’inflige à Marjo de longs coups de queue qui font claquer mes couilles sur sa peau – soyez indulgent avec moi, vous qui me lisez aujourd’hui ! Fort heureusement, la jolie Marjo – oui, car à cet instant précis, c’est la plus belle femme du monde – a une envie de sexe monumentale, et mes coups de boutoir désordonnés suffisent à satisfaire sa soif de sexe, soif que Thomas se charge d’étancher de son côté en jouissant à longs traits dans la bouche de Marjo qui grogne de protestation en lui filant une gifle amicale, mais sans pour autant désemboucher et en prenant soin de tout avaler et de lécher ce qui a pu déborder, ce que voyant je ne peux, de mon côté, retenir plus longtemps la satisfaction virile qui monte en moi, jouissant longuement et bien au fond de Marjolaine la petite souris devenue femme fatale le temps d’un déjeuner à l’infirmerie.
Par la suite, il ne s’est jamais rien passé entre Marjo et moi, ni même avec Thom. Le temps a passé, et nous avons perdu contact, comme souvent ; j’ai appris que Marjolaine s’est finalement mariée avec son mec chiant, qu’elle a eu une vie chiante, deux marmots, et un divorce malheureux il y a quelques années. Quant à Thom, ma foi, je n’ai aucune idée de ce qu’il est devenu, mais je lui souhaite une belle vie au soleil.
Et protégez-vous, bordel !
Gauthier.