n° 22535 | Fiche technique | 28919 caractères | 28919 4994 Temps de lecture estimé : 20 mn |
17/07/24 |
Résumé: Matthieu, un cadre de quarante ans, vit confortablement seul dans un village près de son travail. Après une rupture récente, il accepte de partir en vacances en Martinique avec ses amis . S’ennuyant rapidement, il décide de participer à une randonnée | ||||
Critères: fh inconnu vacances voyage exhib lingerie cunnilingu | ||||
Auteur : Mathieug99 Envoi mini-message |
Bonjour, je me présente : je m’appelle Matthieu, quarante ans, cadre dans une grande entreprise. Physiquement, je suis plutôt classique, un mètre quatre-vingt-cinq, quatre-vingt-quinze kilos, une corpulence assez imposante sans être pour autant une personne que l’on pourrait qualifier de « musclée », J’ai les yeux gris/bleus et suis blond avec des cheveux pas trop courts coiffés, la plupart du temps en « bataille organisée ». J’ai un style vestimentaire plutôt classique, jean, le plus souvent bleu clair, et polo ou chemise avec une veste de costume et des baskets. J’ai fait le choix d’habiter dans une maison confortable dans un petit village à vingt-cinq kilomètres de mon travail. Célibataire, sans enfant et avec un revenu confortable, j’ai un niveau de vie plutôt agréable.
Il y a deux ans, environ, j’ai eu l’occasion d’acquérir une petite maison voisine de la mienne et ai sympathisé mentalement et physiquement avec ma première locataire. Après six mois d’une relation que je pourrai qualifier de sexuellement amicale, mais non amoureuse, la voilà qui pose son préavis à la suite d’une mutation à plusieurs centaines de kilomètres de chez moi. Après plusieurs semaines de relation à distance ou j’ai appris à utiliser ses sex-toys connectés à distance (c’est fou ce que l’humain peut être inventif), me revoila le plus souvent seul dans ma maison les soirs et week-end.
Après plusieurs semaines à me concentrer sur mon travail que j’aime particulièrement, lors d’une soirée avec des amis, nous sommes arrivés à parler de vacances et de voyages. Le couple d’amis en question, Johan et Maddy, sont des amis très proche avec qui j’ai plaisir à discuter, m’amuser, souvent sous l’emprise d’une des rares drogue autorisée en France, le vin rouge. Après plusieurs heures à refaire le monde, parler politique et analyser, l’alcool aidant, pourquoi la majorité des hommes préfèrent les femmes aux formes généreuses, mais qu’ils ont souvent du mal à l’avouer, nous sommes arrivés à parler travail, puis vacances. Là ils m’ont annoncé qu’ils avaient réservé, deux semaines de vacances en avril prochain, en All-inclusive dans un charmant village vacances en Martinique. Leur objectif étant clairement annoncé : repos, cocktails, siestes et soirées festives.
Après quelques verres de vin supplémentaires me voilà en train de leur proposer de les accompagner. Non pas pour tenir la chandelle, mais pour faire un break, une pause loin des obligations professionnelles et me voilà donc, vingt minutes plus tard, en train de réserver les billets d’avion ainsi qu’une chambre dans le même village vacances qu’eux.
Nous voilà déjà en mars, Johan et Maddy sont très excités à l’idée de partir. Moi, un peu moins. J’appréhende de partir avec eux car, entre une soirée et quinze jours à l’autre bout de la planète en leur compagnie c’est différent. De plus, nous avons, au quotidien, des tempéraments très différents. Là où ils vont préférer vivre au jour le jour, moi je vais préférer tout planifier, organiser, prévoir. Là où ils vont préférer végéter au soleil, je vais préférer me promener, visiter. Plus les jours passent, plus l’appréhension est présente. Je consulte même les conditions d’annulation, mais, en voyant le montant exorbitant d’une annulation vingt-cinq jours avant le départ, je préfère maintenir ce voyage et puis finalement, ça me fera peut-être du bien de vivre au jour le jour et de végéter au soleil.
Le jour J est arrivé, mes valises sont prêtes depuis plusieurs jours déjà. Crème solaire, médicaments au cas où, deux valises pleines de vêtements et chaussures… j’ai l’impression de partir six mois dans un pays hostile. Le vol se passe très bien. Johan est entre moi et Maddy. Et, il ne nous suffit que d’un regard pour nous comprendre et appeler régulièrement l’hôtesse pour demander, avec un grand sourire et une politesse quelque peu exagérée, un petit remontant. Quelques verres plus tard, le ronronnement des réacteurs aidant, me voilà dans les bras de morphée pendant le reste du vol.
En franchissant la porte de l’avion, la chaleur lourde et humide me saisit. Mes vêtements long et prêt du corps deviennent vite insupportables. Cela présage de belles tenues légères et des décolletés à profusion.
Nous arrivons vers dix-sept heures sur notre lieu de résidence et prenons possession de nos chambres respectives. Après avoir vite déballé mes affaires et pris une petite douche me voilà, vêtu d’une chemise de lin blanche et d’un short large en train d’arpenter les petits chemins de ce village vacances très charmant. Idéalement situé à deux cent mètres de la plage. Aidé de mes lunettes de soleil j’en profite pour regarder, admirer et je peux même dire reluquer les femmes que je croise.
J’ai droit à un vrai défilé de maillots de bains de toutes formes et couleurs. Du plus petit string minimaliste au maillot de bain une pièce qui, pour certaines personnes, ne les met pas moins en valeur. Un défilé de fesses plus ou moins rebondies, de poitrines ballottant dans des maillots de bains et très rarement à l’air libre, parfois à la limite de l’indécence pour mon plus grand bonheur. Après une discussion argumentée avec moi-même, j’en viens à la conclusion suivante : il n’y a rien à redire, le maillot de bain que je préfère, et de loin, est le shorty brésilien légèrement échancré et idéalement avec volants ou froufrous. Les fesses rebondies que j’ai pu admirer dans ce modèle ont eu toute l’effet d’une bombe sur moi, provoquant une tension grandissante dans mon short heureusement non moulant.
C’est après une petite heure de promenade que je rejoints mes chers amis au bar principal de ce petit village vacances pour y prendre un merveilleux cocktail. Johan, tout comme moi est habillé d’une chemise décontractée et d’un short large quant à Maddy, elle porte un très joli bikini, tanga et légèrement push up. Je peux facilement voir que bien que ne me faisant absolument aucun effet car je la considère plus comme une sœur que comme une simple amie, elle provoque un bel effet sur les personnes alentours qui se retournent quasiment tous sur son passage.
Après avoir mangé plus que de raison, l’inconvénient principal d’un restaurant à volonté étant pour moi, l’absence de limite, je vais directement dans ma chambre pour une longue nuit de repos.
S’en suivent deux jours à me prélasser, profiter et flâner entre mer et hôtel. L’ennui commence alors à arriver. Bien que n’étant pas un grand sportif, le fait de rester statique et sans objectif réel au quotidien ne me convient pas du tout. C’est alors, que lors d’un énième passage près de l’accueil de l’hôtel que j’aperçois une brochure proposant des excusions sur l’ile.
Après avoir feuilleté plusieurs brochures et en avoir sélectionné quelques-unes, c’est une tout autre activité qui attire mon regard. Une randonnée de cinq jours, entre mer et montagne, d’une difficulté évaluée à trois étoiles sur cinq mais déconseillée aux enfants et aux personnes âgées, matériel de camping fournis (tente individuelle ou double), repas et dégustations compris. Je repose alors l’ensemble des brochures et sélectionne cette randonnée.
Après avoir passé quelques coups de téléphones, tout est maintenant réservé pour un départ dès le lendemain matin.
Après une nuit légèrement agitée (entre stress de partir avec des inconnus que j’espère, ni trop vieux, ni trop jeunes, ni trop sportif ni trop planplan) me voilà, à sept heures cinquante, dans les premiers, avec dix minutes d’avance, au point de rendez-vous. Avec, pour seul équipement, mon sac à dos avec le contenu nécessaire et suffisant conseillé par le guide pour cette randonnée. Le matériel pour dormir nous sera fourni le premier soir sur le premier lieu de campement.
Etant de nature réservé quand je ne connais personne, je regarde avec attention les différents participants arrivés sans leur adresser la parole. Beaucoup de couples, entre trente-cinq et cinquante-cinq ans. Plus ou moins sportif physiquement et tous très souriant et détendus. Au total nous sommes huit sans compter le guide. Trois couples, une femme de quarante à quarante-cinq ans et moi. La femme seule, Emilie, accompagne deux de ses amis un peu plus jeunes. Je suis donc, le seul célibataire et solitaire de la bande.
Après nous être tous présenté, nous partons en direction d’un petit chemin de randonnée.
Je sympathise rapidement avec quatre personnes de mon âge et passe une première matinée très agréable entre discussions et contemplation de paysages magnifiques. Après la pause déjeuner, la température aidant, tout le monde se met un peu plus à l’aise. Nous sommes alors tous en short, les hommes déboutonnent progressivement leurs chemises et les femmes finissent par retirer leur haut et ne portent alors toutes plus qu’un haut de maillot de bain ou un top léger à bretelles fines. C’est à ce moment-là que je prends le temps de la regarder plus en détails. Emilie, ni grande, ni petite, avec une corpulence agréable à regarder, je note dans ses mouvements une sensualité et une douceur très agréable.
Lorsqu’elle retire son haut, je prends un malin plaisir à regarder en toute discrétion grâce à mes lunettes de soleil, son ventre nu et son joli nombril. Le petit top qu’elle porte alors sans rien en dessous, met sa poitrine en valeur en faisant ressortir les contours de ses tétons. Je remarque également, et je ne m’explique pas comment je n’ai pas pu le voir avant, que ses fesses, mon dieu ses fesses, sont juste parfaites ! Rebondies à souhait, un bassin que certain qualifierait de trop large, mais que je trouve particulièrement à mon gout. Une cambrure mettant en avant l’ensemble de ses formes et des jambes, des cuisses tout aussi agréables à regarder et que j’imagine douces.
Son short, légèrement trop court, laissant apparaitre lors de certains mouvements, un bout de fesse que j’imagine aussi agréable à toucher qu’à observer. L’après-midi est très chaud. La luminosité de l’ile fait ressortir les paysages magnifiques débordants de couleurs. Je me débrouille pour toujours être derrière elle, quitte à ne plus être avec mes compagnons du matin. Je laisse tomber les paysages magnifiques pour passer les deux heures suivantes à regarder ses jolies fesses bouger de droite à gauche et j’essaye de deviner quelle lingerie elle porte sous ce joli short. Les hypothèses se mêlent dans ma tête, je ne vois pas la démarcation de sa lingerie, je pense donc tout de suite à un string mais cela ne serait pas une tenue adaptée à la situation. Je paris donc avec moi-même sur un shorty. Mais je reprends vite mes esprits en me disant que de toute façon, la probabilité que je sache ce qu’elle porte comme sous vêtement est plutôt faible.
Nous arrivons sur le lieu du premier campement où nous attendait un pickup avec l’ensemble de l’équipement pour toute la bande.
Le guide commence par prendre une glacière et nous offre à tous un punch avec ou sans alcool selon les préférences. Après la journée que nous venons de passer, cela nous monte vite à la tête et les langues se délient rapidement. Je fais alors connaissances d’autres personnes et me rapproche naturellement d’Emilie avec qui je prends le plus grand plaisir de discuter. Nous parlons de tout et de rien, de notre travail respectif : J’apprends alors qu’elle est assistante commerciale dans une grande entreprise française, de notre situation commune, célibataire accompagnant des amis en voyage. Les avantages et les inconvénients de cette situation.
Puis vient le moment de monter notre campement. Martial, notre guide, commence la distribution. Matelas, sacs de couchage et tentes. Il commence par les tentes double. Mais il s’arrête au moment de nous donner les nôtres à Emilie et à moi. Il n’en restait qu’une. Et une double. Après nous avoir expliqué la situation il appelle l’organisme pour voir s’il y a possibilité d’en faire venir une autre, mais non. Impossible d’en trouver à cette heure tardive. Emilie me propose tout naturellement que nous la partagions. De toute façon nous serons chacun sur notre matelas et chacun dans notre sac de couchage donc une tente double ou deux tentes simples ça n’aurai pas changé grand-chose. J’approuve alors tout naturellement.
Nous commençons à monter cette tente tant bien que mal et non sans un fou rire causé par notre maladresse respective. Je ne manque pas de jeter un œil curieux et explorateur quand elle se penche en avant que je sois devant elle ou derrière elle. Après une heure de dur labeur. La tente est enfin montée, les matelas positionnés et tout est prêt pour une bonne nuit de repos.
Martial ayant préparé le repas, il nous invite tous à passer à table.
Après un repas fait de plats simples et locaux accompagnés de jus de fruit frais et après une petite toilette rapide à l’aide d’une douche portative, nous nous dirigeons dans nos tentes respectives.
Je propose poliment à Emilie de se mettre en tenue de nuit la première en attendant dehors. Cinq minutes plus tard elle ouvre la tente pour me faire signe de rentrer. Je m’installe tant bien que mal sur mon matelas. Je retire ensuite mon short et mon teeshirt et positionne le sac de couchage sur mes jambes jusqu’à ma taille. Par respect elle m’a naturellement tourné le dos pendant ma gymnastique ridicule de déshabillage dans cette tente, pourtant prévue pour deux personnes, mais trop exiguë à mon gout.
Elle s’allonge à son tour et d’un regard j’aperçois ses tétons tendus au travers du fin tissus de son débardeur de nuit. Je rejette intérieurement la faute sur mes yeux obsédés et voyeurs mais j’apprécie également le spectacle. D’un petit mouvement elle remonte son sac de couchage et me fait comprendre avoir remarqué mon regard. Très gênés je m’allonge en lui tournant le dos en lui souhaitant une bonne nuit. Je l’entends alors rigoler et me dire que nous n’allons pas nous coucher comme les poules. Après m’être remis sur le dos, nous sommes pris d’un nouveau fou rire incontrôlable pendant de longue minutes. Son sac de couchage aillant rejoint sa taille nous commençons à discuter à voix basse pour ne pas importuner nos voisins, car, bien que distant de plusieurs mètres, il ne faut pas oublier que seules deux fines couches de toiles nous séparent.
Je ne me rends pas compte du temps qui passe, mais cela fait déjà plusieurs heures que nous avons rejoint notre tente et sommes toujours en train de discuter, plongé dans la pénombre la plus totale, nous continuons d’échanger sur des généralités, puis nos croyances, nos amis, nos familles puis, une chose en entrainant une autre nous en venons, je ne me souviens plus par quel chemin, à parler amour et sexe. Après avoir partagé avec plus ou moins de gène nos expérience avouable, nous en arrivons à parler sous-vêtements et, je me surprends alors à lui demander tout naturellement ce qu’elle portait aujourd’hui sous son short. Elle me répond alors avec un calme et un regard que j’imagine coquin en ma direction.
Heureusement dans le noir elle ne peut voir mes joues devenues rouges écarlate par la gêne. Elle continue.
Je reste muet pendant de longues secondes devant tant d’honnêteté et de franchise. Puis je lui réponds que je m’en doutais un peu compte tenu de ce que j’ai vu. Que la seule autre possibilité était l’absence totale de sous-vêtements. Elle me répond alors qu’il n’y a que quand elle dort qu’elle ne porte pas de sous-vêtements, mais uniquement un mini short ou une nuisette. Puis elle se tourne et me souhaite une bonne nuit.
Je mis plusieurs dizaines de minutes à m’endormir en pensant secrètement à ce qu’elle portait là en ce moment pour dormir. Le haut que j’ai vu pouvant être un débardeur ou une nuisette … avec rien en dessous …
C’est la lumière du soleil qui me réveille. Je tourne alors la tête et la regarde. Elle dort allongée sur le côté, les jambes relevées en me tournant le dos. Je peux voir à sa respiration que son sommeil est calme et paisible. Son duvet est à ses pieds. Elle n’est pas en nuisette… Mais en mini short. Je peux alors voir deux demi-fesses rebondies et magnifiques à quelques centimètres de moi. J’enfile ma chemise et mon short et sorts de la tente pour la laisser dormir. J’entends alors des voies chuchoter vers le coin repas et vais alors prendre un café et un petit déjeuné avec les lèves tôt du groupe.
Le matin du deuxième jour est un peu froid avec Emilie. Ne comprenant pas pourquoi, je préfère rester gentiment à l’écart sans pour autant rester trop loin. Au cas où elle veuille me parler. A l’heure du déjeuner elle s’assoit à mes côtés puis après s’être assurée que personne ne peut nous entendre me demande pardon.
Je la regarde alors avec étonnement et lui répond avec un petit sourire :
Je continue en lui disant que rien n’était indécent mais que c’était une situation plutôt sexy et qu’au contraire c’est moi qui étais gêné de l’avoir vue ainsi à son insu, mais que malgré toute la gêne j’avais trouvé cela très agréable à regarder. Elle dépose une bise sur ma joue avant de se lever pour aller déjeuner avec ses amis sans rien dire de plus.
Très agréable avec une météo magnifique et des paysages à couper le souffle, malgré la présence de moustiques, la fin de journée est simplement magique. Peu de temps avant l’arrivée je me retrouve à l’arrière du groupe à force de prendre des photos de paysages plus beau les uns que les autres. Emilie me rejoint et prend un malin plaisir à se mettre juste devant moi. Les paysages magnifiques laissent alors place à un balancement tout aussi magique de droite à gauche puis à droite. Contrairement à la veille, les images que je regarde éveillent en moi une chaleur, une excitation incontrôlable. Je la soupçonne d’en jouer avec moi car ses fesses semblent avoir un mouvement de plus en plus ample. Et c’est quand elle se retourne et me fait un clin d’œil que je comprends que cette provocation est bien réelle. Je rentre alors dans son jeu et prend une belle photo de ses fesses.
Quelques minutes plus tard je lui demande de venir voir les photos des beaux paysages que j’ai pris et en les faisant défiler je lui montre volontairement la dernière photo. Elle la regarde et me sourit en me disant que sur cette photo le paysage est un peu trop vallonné à son gout. Je lui réponds que ce sont les plus belles vallées de Martinique. Elle rougie et accélère le pas pour rejoindre ses amis.
Le soir venu, nous nous retrouvons dans la tente après un bon repas agrémenté d’un peu de rhum ambré. Je rentre, comme à mon habitude en deuxième après avoir attendu qu’elle se change. En rentrant je la voie, elle est assise en tailleur et est en train de feuilleter un guide de voyage, vêtue d’une fine nuisette à bretelles qui remonte très haut sur ses cuisses (mais pas assez haut pour que je puisse voir ce qui se cache en dessous). Je reste quelques secondes à la regarder avant de m’assoir sur mon matelas. Je comprends vite pourquoi elle est encore moins vêtue que le soir précédent. Dans la tente, l’ambiance est chaude et humide. Après quelques minutes d’hésitations je retire mes habits et ne porte maintenant sur moi qu’un boxer gris foncé. Elle tourne la tête vers moi et me dit d’une voie basse et douce :
En effet, j’ai aujourd’hui pris plusieurs coups de soleils. Sur la nuque et sur les mollets. Elle se penche alors en avant pour attraper dans son sac un tube de crème hydratante. En se penchant, la nuisette remonte doucement le long de ses belles cuisses puis laisse apparaitre le début de ses fesses. Elle perd l’équilibre et manque de tomber en avant. Cela ayant pour effet de faire remonter la nuisette un peu plus haut libérant complétement ses fesses. Ce soir, elle n’est pas nue sous sa nuisette. Elle porte un joli tanga de dentelles violet. La voire à quatre pattes à quelques dizaines de centimètres de moi, les fesses quasiment nues provoquent instantanément une tension qui, je sais, ne partira pas facilement. Je saisi instantanément mon oreiller et le pose sur mes cuisses pour dissimuler mon sexe gonflé dans mon boxer moulant. Elle se redresse rapidement et repositionne sa nuisette en disant gênée :
Je lui réponds alors que cela n’aurait pas été un problème pour moi et elle sourit timidement en regardant l’oreiller posé sur mes cuisses. Elle se positionne derrière moi et applique délicatement la crème sur ma nuque. La fraicheur de la crème mélangée à la chaleur de ses mains douces et délicates a pour effet de mettre le feu sous l’oreiller. Je sens alors mon sexe tendu palpiter sous le boxer maintenant beaucoup trop serré. Elle caresse maintenant mes épaules doucement et le haut de mon dos. Cela est très agréable et sensuelle.
Après m’avoir demandé si j’avais d’autre coups de soleil je lui parle de mes mollets et lui dis que je pourrais m’en occuper facilement seul, mais elle insiste pour le faire car ayant déjà de la crème plein les doigts ça serait dommage de ne pas l’utiliser. J’enlève l’oreiller de mes genoux et m’allonge sur le ventre. Ainsi, me voilà rassuré car, dans cette position je suis certain qu’elle ne verra pas l’état de mon boxer. Elle applique doucement la crème sur mes mollets et l’arrière de mes cuisses. Je sens la chaleur dans la tente augmenter doucement au fur et à mesure de ses caresses.
Je lui réponds que ce serait un plaisir. Elle me chevauche alors doucement et s’assoit sur mes cuisses. Je sens ses fesses contre mes cuisses. Ma respiration et mon rythme cardiaque s’accélèrent. Elle me masse délicatement les épaules, le dos et faisant passer ses ongles régulièrement le long de ma colonne puis après dix bonnes minutes se penche en avant et s’allonge sur mon dos pour me susurrer à l’oreille :
Je lui réponds avec une petite boule dans la gorge que ce serait un plaisir. Elle se relève alors et s’allonge sur le ventre sur son matelas. Je me lève à mon tour et vois son regard fixé sur mon entre-jambe. Mon excitation est telle que l’élastique de mon boxer n’est plus en contact avec mon ventre. Elle détourne le regard avec un peu sourire. Je me positionne comme elle l’était sur moi, assis sur le haut de ses cuisses, et commence doucement à lui masser les épaules. Je tends mes bras au maximum pour éviter d’être penché en avant sur elle et que mon sexe soit en contact avec ses fesses rebondies. Je fais glisser les bretelles de sa nuisette sur ses bras pour pouvoir lui masser les épaules et le haut de la colonne avec plus de liberté.
Je commence à lui masser le dos par-dessus sa nuisette. Elle attrape la nuisette au niveau de ses cuisses et la remonte doucement. Je regarde alors, la bouche grande ouverte, apparaître sous mes yeux, ses fesses rebondies, puis le tanga qui ne cache plus grand chose, le creux de ses reins, son dos. Elle passe la nuisette par-dessus sa tête et la lance sur son sac.
Je reprends mon massage sur son dos en alternant caresse, massage et légère griffure du bout de mes ongles. Je lui masse aussi plus fermement les reins à la limite du seul vêtement qu’elle porte. À chaque mouvement je descends un peu plus mes mains en passant parfois par-dessus parfois en-dessous du tanga. Je ne décèle aucun geste de refus et continue alors mon exploration. En caressant délicatement ses fesses avec mes deux mains. Je me recule légèrement et pose mes mains à plat sur ses fesses et attend quelques secondes son autorisation d’aller plus loin.
Je prends le manque de réaction pour un feu vert, elle ne bouge pas, se laisse faire. Je descends encore mes mains passant de ses fesses à ses cuisses puis je remonte doucement sur ses fesses, ses reins, son dos, ses épaules. En me penchant cette fois en avant. Mon sexe frôle ses fesses. Elle se cambre doucement pour amplifier le contact. Je m’allonge sur son dos et l’embrasse dans le cou. Je lui mordille doucement l’oreille et passe une main entre le matelas et son ventre. Elle respire de plus en plus fort et fait des petits mouvements avec son bassin caressant avec ses fesses mon sexe palpitant de désir. Je ne peux plus résister à l’envie de la caresser. Elle tourne la tête vers moi et je l’embrasse.
Nos langues se cherchent, se frôlent, se touchent. Je descends ma main plus bas sur son ventre et passe directement dans son tanga entre ses cuisses. Elle émet un petit gémissement quand un premier doigt la pénètre doucement. Elle est déjà trempée d’excitation. Après quelques petits vas et viens je la libère et elle se retourne. Elle est sur le dos, et je suis maintenant à genoux entre ses jambes pliées et écartées. Elle s’assoit, m’embrasse et saisit mon sexe dans sa main douce et chaude à l’intérieur de mon boxer. Caresse doucement le bout avec son pouce tout en faisant des petit vas et vient. Je la repousse sur le matelas. J’ai envie de la caresser, parcourir son corps avec mes mains, ma langue. L’embrasser partout mais l’envie de la prendre, de la posséder est trop grande et je vois dans son regard qu’elle le sait.
Je saisis les deux côtés de son tanga et le lui enlève. Je fais de même avec mon boxer. Je saisis ma bite bien dure et bien droite avec une main et avec je caresse sa fente luisante d’excitation. Je tapote son clito puis, je me positionne et exerce une légère pression. Je la pénètre de toute ma longueur. Elle gémit doucement. Je la saisis par les hanches et commence des vas et viens. Je la sens serrée autour de mon membre. Les vas et viens sont de plus en plus rapide et ample. Je la regarde dans les yeux. Elle remonte ses jambes et les poses sur mes épaules. Nos corps claquent de plus en plus fort à chaque coup de reins. Je sens que je vais venir en elle, j’accélère encore. Elle saisit mon oreiller et le met sur sa bouche. Je m’arrête au plus profond de son ventre et je joui en grandes saccades. Je sens alors son vagin se contracter autour de moi et je l’entends gémir dans l’oreiller.
Il nous faut alors quelques minutes pour reprendre nos esprits et nous nous endormons chacun sur notre matelas, nus.
Vers cinq heures du matin je me réveille me demandant si cela n’était pas un rêve. Mais elle est là, allongée sur le côté les jambes repliées. Nue. Je la regarde de longues minutes en insistant sur ses fesses. Je ne résiste pas à les toucher doucement. Au contact de ma main elle se tourne et se met sur le dos. Elle ouvre les yeux et me dit …
Je la regarde alors, ne sachant plus quoi faire pendant plusieurs secondes puis je caresse doucement ses seins, elle ouvre les yeux et me souris avant de les refermer paisiblement. Je caresse cette belle poitrine en insistant sur les tétons. Ils pointent fièrement réclamant plus. L’un après l’autre je les caresse, les pinces légèrement puis je les embrasse, les lèche doucement et les mordille. Je descends ensuite sur son ventre et continue d’alterner entre caresse, baisers et petits coups de langue. Autour de son nombril. Elle se tortille doucement dès que je descends encore plus bas et atteint sa fente que je vois brillante et légèrement ouverte. Après lui avoir délicatement écartées les jambes. J’y dépose un long et doux baiser avant de la caresser de bas en haut sans la pénétrer. Son clito est dur et gonflé. Je le lèche, le titille du bout de la langue tout en continuant mes caresses le long de sa fente. Elle bouge son bassin et gémit doucement en me caressant les cheveux. Je la pénètre doucement avec un doigt, puis deux, tout en continuant à la lécher. Elle gémit doucement. Je fais des vas et vient de plus en plus rapide, en continuant de lui manger la chatte. Elle gémit de plus en plus sous mes assauts et dans un dernier spasme, elle jouit.
Je retourne alors m’allonger sur mon matelas et me rendort paisiblement.
La suite du périple fut un mélange magique de sexe et de paysages merveilleux. Après mon retour en métropole nous avons décidé de rester en contact, malgré les centaines de kilomètres qui nous sépare pour, qui sait, revivre un jour de bons moments physique ensembles. Je n’ai jamais raconté ce qui s’était passé à Johan et Maddy. Mais leur ai dit que si un jour ils voulaient repartir en vacances, qu’ils n’hésitent pas à me proposer de les accompagner.