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n° 22541Fiche technique30359 caractères30359
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Temps de lecture estimé : 22 mn
24/07/24
Résumé:  Madame revient de chez l’esthéticienne, et ça donne des idées à Monsieur. Des vacances offriront la possibilité d’aller un peu plus loin.
Critères:  fh couple vacances caférestau amour exhib piquepince
Auteur : lexdepenny  (Voir mon profil)            Envoi mini-message
La Chaîne

Nous sommes ensemble depuis six ans, Charlotte et moi, et je n’arrive toujours pas à croire à la chance que j’ai eue à la trouver, cette prof d’histoire-géo que j’adore. Un mètre soixante-quatre, fine, brune aux cheveux longs et aux yeux noisette, 80A de bonnet de soutif, intelligente et cultivée. À vingt-huit ans, elle est une femme qui fait tourner les têtes. Je parierais qu’elle est la vedette de beaucoup de fantasmes masturbatoires parmi ses étudiants… de ses étudiantes aussi, peut-être ?


Elle avait eu peu d’expériences avant moi et j’ai eu l’honneur de faire avancer son éducation sexuelle. Si j’ai dû l’encourager à essayer d’autres positions que celle du missionnaire, tant mieux. Si j’ai dû l’aider à tenter des tenues plus révélatrices, j’y ai pris un plaisir fou. Elle a fini par me dévoiler certains de ses fantasmes et on en a joui tous les deux. La réalisation de ces déboires n’est pas pour demain, me dit-elle, fermement. Toutefois, pour moi, le fantasme n’est qu’un début, et je le lui ai dit.


J’entends la porte de l’appart et voici Charlotte qui entre et m’embrasse. Est-ce un baiser donné avec un brin de fougue supplémentaire ? L’expression sur les lèvres de ma bien-aimée me rappelle un chat que vient de voler et finir tout un pot de crème. Je ne peux plus attendre, il faut que je sache…



Elle prend le bas de sa robe à deux mains et, centimètre par centimètre, se dévoile. J’arrête de respirer. Sa toison naturelle est fournie, noire et frisée, et elle a insinué qu’elle reviendrait de cette visite chez l’esthéticienne avec un nouveau look. Ticket de métro ? Piste d’atterrissage ? L’un ou l’autre lui irait très bien. En tout cas, je suis prêt à n’importe quel moment à lécher et sucer son joli minou, et j’ai l’eau à la bouche et l’espoir au cœur…



Deux chocs, l’un sur l’autre ! D’abord parce que je me rends compte que mon épouse a traversé le centre-ville un samedi matin, en robe légère d’été et sans slip, et ensuite…



Charlotte n’a plus du tout de poils ! Complètement lisse ! Devant cette vision, me mettre à genoux me paraît un geste tout aussi naturel que bien mérité. Je ne me fatigue jamais d’admirer les minuties du sexe de mon épouse. La nouvelle épilation fait ressortir son mont de Vénus, et met en valeur cette fente qui ne cesse de m’émerveiller. Le contraste entre le triangle noir d’avant, et la peau pâle qui est maintenant exposée est presque choquante.


Je suis depuis toujours fasciné par les différentes formes que peut avoir un sexe de femme. J’ai eu des amies au sexe hyper-discret ; une fente quasiment invisible de devant. Puis d’autres aux lèvres intérieures qui dépassaient la fente… largement, dans un cas spectaculaire. Moi, j’aime toutes ces différences. C’est cette fascination qui est si bien servie par ma mie. Consciente de mes yeux tout près de son sexe, ma femme garde ses cuisses résolument serrées, mais cela ne fait que préciser que sa fente n’est jamais complètement fermée et que ses lèvres intérieures sont visibles. Je vois bien le capuchon de son clitoris, surtout qu’en ce moment, le bourgeon est légèrement en érection. J’ai du mal à m’empêcher d’avancer mes lèvres pour le prendre en bouche. Combien d’heures ai-je passées à embrasser, lécher et sucer ce bout de chair ? Car, une fois que ma femme est excitée, son clitoris sort du capuchon, dépasse la fente et s’offre librement à mes caresses buccales ou digitales. Il est tellement sensible à ces moments-là, qu’il suffit que je souffle dessus pour provoquer une contraction involontaire, qui est accompagnée d’une contraction tout aussi involontaire des muscles de l’abdomen de ma belle, et quelquefois, à mon grand plaisir, d’un grognement arraché de ses tripes.



Et c’est vrai. L’épilation donne une ligne nette et pure à son bas-ventre et raffine encore plus sa silhouette de sportive.


Pendant le week-end, je ne sais pas combien de fois je la surprends à se regarder, se toucher, ou se caresser. La robe courte et légère qu’elle a enfilée comme seul vêtement lui donne un accès instantané à son nouveau jouet, car elle passe les deux jours sans culotte. J’observe, et si ça me démange de ne pas pouvoir jouer aussi, je ronge mon frein en silence.


C’est au lit le dimanche soir que j’ai finalement le droit d’y toucher. Elle adore le sexe oral, et moi j’adore brouter son minou, alors je suce et je lèche à cœur joie. Une fois que son clitoris est bien enflé, je le prends entre mes lèvres et je l’aspire jusqu’à ce que son orgasme éclate. Son pubis nouvellement glabre rajoute à mon plaisir, autant la sensation de fraîcheur de cette peau douce fraîchement révélée que l’aspect visuel. Si j’avais su ce qu’elle allait demander à l’esthéticienne, j’aurais été inquiet de la possibilité de me retrouver face à un sexe de petite fille, mais il n’en est rien. C’est une vulve de femme que j’ai à des centimètres de ma figure, une vulve pulpeuse et enflée par mes baisers. Je franchis ces centimètres à nouveau. Je ne lâche pas son clitoris pendant que les spasmes puissants la secouent. Délicieux !


Pendant plusieurs jours, nous abandonnons presque le coït pour des séances interminables où nous nous suçons mutuellement. C’est une compétition pour qui fera jouir l’autre en premier. Parfois, on rit comme des fous, et parfois cela se fait sans paroles, chacun concentré sur le sexe de l’autre.


Sa préférence, depuis qu’on se connaît, est que je suce aussi fort que possible sur sa vulve. Ça fait durcir son clitoris, qui enfle et devient très sensible. Après cinq ou dix minutes de succions répétées, parce qu’il faut que je m’arrête pour reprendre haleine, elle a le sexe infusé de sang, boursouflé et rose.


À ces moments-là, elle va souvent se placer devant notre grand miroir pour s’examiner. Elle tire sur ses petites lèvres pour les faire ressortir de sa fente. Son minou, qui d’habitude ne montre que très discrètement ses replis, se révèle tout bouffi, surtout maintenant, quand il n’y a plus de poils pour camoufler ses contours. Ça lui plaît autant que les picotements qui démangent son sexe et qui ajoutent au plaisir de se voir tellement exposée, dit-elle.


Je vis dans l’espoir qu’un moment viendra où ma femme aura la tentation de montrer ce sexe féminin plus que nu à d’autres que moi. Si la proposition tarde à venir d’elle, je sais que je ne résisterai pas longtemps à l’envie de le lui suggérer. Cette pensée me donne envie de trouver un moyen de rendre cette exhibition éventuelle encore plus flagrante, plus érotique, si cela est possible. Je deviens obsédé par le désir d’embellir cette fente déjà si impudique.


Je finis par acheter une chaîne en or, trente centimètres de long, avec un petit anneau à chaque bout. C’est le prix qui détermine la finesse de la chaîne, dont le poids me surprend, mais en plus gros, elle aurait peut-être été trop lourde, de toute façon. J’achète aussi une paire de boucles d’oreille pas chères, que je vandalise pour attacher les clips à chaque bout de la chaîne.


Après la séance de cunni qui suit la création de ce chef-d’œuvre (!), quand je finis de la sucer, Charlotte se lève pour se regarder dans la glace comme d’habitude. Je lui demande de fermer les yeux et j’attache la chaîne à ses lèvres intérieures avec les clips. L’effet la ravit quand elle ouvre les yeux pour regarder dans la glace, les sensations aussi. Elle se trouve belle, et qui plus est, très sexy. Pari gagné.


Moi je suis moins content. J’avais envisagé que la chaîne formerait une parabole harmonieuse entre ses cuisses, mais il y a un hic, peut-être un maillon de trop, et la chaîne penche d’un côté. Je suis déçu et elle s’en aperçoit. Elle range la chaîne dans son coffre à bijoux en attendant que j’aie le temps et les compétences d’enlever le surplus.


Je n’ai toujours découvert ni l’un ni l’autre avant qu’on ne parte pour Ibiza. Je me contente de la voir revenir du salon de beauté, la veille de notre départ, fraîchement épilée en honneur de ces vacances tant attendues.


Ce n’est pas tellement la vie nocturne de l’île qui nous attire, mais le calme de certaines plages connues des habitués et indigènes. Je ne vais quand même pas nous priver des excellents restaurants qui ne manquent pas à Ibiza. Celui que je propose à ma femme pour fêter notre arrivée est chic, très chic, même.



Pour moi, et, quand c’est elle qui le propose, pour elle, être en « grande tenue » veut dire plutôt le contraire, c’est-à-dire qu’elle sera un peu moins que complètement vêtue. C’est un plaisir partagé qui a mis du temps pour se préciser. Peu après qu’on se soit rencontrés, j’ai commencé à lui expliquer qu’elle serait encore plus sexy si elle laissait certains éléments de sa garde-robe à la maison, lors de nos sorties en couple. Pas de soutif ? À condition que cela ne se passe pas trop près de chez nous, elle accepte assez facilement. Sa poitrine menue n’en a pas vraiment besoin. Sans culotte ? Elle est moins enthousiaste au début, ma dame. Elle accepte de temps en temps, mais sous des robes ou des jupes longueur genoux sinon plus. Elle ne trouve pas ça facile à vivre. Elle est prof, après tout. Les premières fois, elle me raconte une immense sensation de gêne, avec seulement une sous-jacente pointe de plaisir. Heureusement pour moi, c’est cette dernière qui l’encourage à penser que l’expérience mérite d’être renouvelée. Peu à peu, le déséquilibre s’inverse, et savoir que ses fesses sont nues la dérange moins, même en jupe relativement courte. La gêne, m’explique-t-elle, bien que toujours présente, s’est transformée en piment indispensable dans la vague d’excitation et de fierté qu’elle ressent à s’être ainsi mise à risque. Nous sommes tous les deux très conscients de la délectation et convoitise dans les yeux de ceux et de celles qui l’observent quand elle s’habille pour sortir, alors ce petit élément supplémentaire, dont nous deux sommes les seuls témoins, nous excite énormément.



C’est un chemisier des plus classiques. Une forme qui conviendrait tout à fait pour aller au boulot. Le tissu, lui, moins. La texture légèrement rêche de ce lin archi-délicat donne des sensations agréables au bout de seins de ma belle, m’a-t-elle déjà dit. Ma femme, menue de poitrine, avec les tétons sensibles qui durcissent facilement, cède, la plupart du temps, si je lui demande de sortir sans soutien-gorge. Que ce soit elle qui le propose, comme ce soir, est moins courant, et donc doublement apprécié par moi.


Un article de foi chez elle entend que, si elle va laisser apprécier sa poitrine nue en public, elle ne révélera pas trop ses jolies jambes. La jupe qu’elle a donc choisie pour cette sortie est blanche, en coton léger de coupe évasée et fait trente-cinq centimètres en longueur, ce qui, vu les un mètre soixante-quatre de Charlotte, fait mi-cuisse. Elle enfile un petit slip mignon du même vert que le chemisier, car elle aime que tout soit assorti, et des sandales avec un petit talon. Une fois son maquillage fait, ma bien-aimée est prête, et contente de sa prestation. Je compatis.


Pendant que nous attendons le taxi en bas de notre immeuble, j’ai une inspiration subite.



Son sourire de vacances me suggère que j’ai des chances qu’elle dise oui.



Pas sûre peut-être, mais elle commence à déboutonner son chemisier, pendant que je cours repêcher la chaîne de son étui et je l’attache à ses tétons, qui sont déjà en érection. J’en déduis que ça lui plaît, même si je remarque une petite moue d’inconfort quand je resserre les clips. Quand elle referme le chemisier, on voit bien la chaîne à travers, ainsi que comment et où celle-ci est attachée.



Le taxi arrive et on monte. Le chauffeur, un monsieur qui doit avoir la soixantaine bien sonnée a le rétroviseur réglé pour observer ce qui se passe sur la banquette arrière, et je vois qu’il apprécie la jolie tenue de mon épouse.


On roule depuis dix minutes quand je m’aperçois que ma femme n’est pas à l’aise.



Elle soupire, mais elle ouvre son chemisier et détache la chaîne. En effet, ses tétons sont plus foncés et plus gonflés que d’habitude. Le chauffeur ne rate rien du spectacle, moi non plus. Charlotte me passe la chaîne et se fait un petit massage des tétons avant de refermer son chemisier.



Sa voix me dit que, même si elle n’a pas supporté les pinces, le résultat ne la laisse pas indifférente. Le taxi s’arrête dans le parking du restaurant et on descend. Je prends le numéro du chauffeur et lui dis qu’on l’appellera pour venir nous chercher. Nous sommes en avance pour notre table, et le bar qui fait office de réception est bondé, alors on se balade jusqu’à la plage qui n’est qu’à trente mètres. Il fait agréablement chaud, avec une petite brise, et ma dame est contente de regarder la mer et écouter le clapotis des vagues. Moi, je suis moins enchanté. Ça m’enquiquine outre mesure qu’elle n’ait pas pu garder la chaîne, dont je sens le poids dans ma poche. J’aurais tellement aimé la voir ainsi parée sous le regard de tous les clients. Soudain, un éclair génial me frappe et je sors la chaîne.



Elle comprend tout de suite. Elle me connaît trop bien. Elle soupire, mais je sais qu’elle s’exécutera. Il y a quand même un processus à parcourir, entre nous deux, avant qu’elle ne donne son accord pour une de mes folies.



Je garde ce ton désintéressé qui ne la convainc jamais. Elle me tire la langue, puis va derrière un palmier, baisse son slip et l’enlève.



Les lumières du parking, ça veut dire aussi qu’elle sera face au restaurant, et à ses grandes fenêtres qui, de jour, donnent une vue de la plage. Elle se tourne à moitié, juste assez pour voir ce qu’elle fait, relève sa jupe et attache la chaîne.



Elle relève sa jupe un tout petit peu et je vois le reflet de la chaîne plus ou moins au niveau de l’ourlet. J’ai déjà vu, sur le web, des photos de femmes qui ont une chaîne attachée à leur vulve, mais, sans faille, ce sont des professionnelles, vues d’en bas et qui portent une jupette tellement courte que ça leur arrive à mi-fesse. La jupe de mon épouse n’est pas très mini, et les quelques centimètres qui séparent sa décence relative d’un attentat à la pudeur ne détonnent pas pour une jeune femme en vacances à Ibiza. Avec ses fesses nues et son minou orné de sa chaîne, cependant, mon épouse est beaucoup, beaucoup moins dans les normes, même si c’est en cachette. Et je suis le seul à le savoir !



On rentre dans le restaurant. On devra attendre encore quelques minutes, alors on s’installe sur les tabourets hauts à côté du bar dans l’entrée et on prend un cava chacun. En regardant autour de nous, il est évident que ma belle n’est pas la seule à être légèrement habillée. La chaleur de la journée s’est calmée, mais la température permet les décolletés et les dos nus de pas mal des clientes. Ma jolie épouse est tout de même la seule à exhiber ses tétons aussi ouvertement, et ça ne passe pas inaperçu. Son regard un peu distrait me suggère que les clips qui pincent son sexe ne se laissent pas ignorer. Pendant que nous nous dirigeons vers notre table, un monsieur d’un certain âge se fait taper sur les doigts par sa compagne. Pas discret de mettre ses lunettes pour lorgner les seins nus d’une autre femme ! Charlotte et moi partageons un sourire complice.


On a droit à un service impeccable. Deux jeunes serveurs se battent, presque, pour le droit de tirer une chaise pour la faire asseoir. On commande. On mange et on boit très bien. Les tétons de ma belle sont toujours un peu sous l’effet des clips de tout à l’heure et j’admire souvent leur dureté. Elle sait que je suis loin d’être le seul à les regarder, et comme d’habitude dans ces circonstances, ça l’excite et la gêne à la fois. On en arrive aux digestifs.



Une nouvelle fantaisie folle surgit dans ma tête. Je lui prends la main et je retire son alliance.



Elle le dit avec le sourire… un sourire un peu nerveux, il faut dire. Je retire mon alliance aussi. Les deux sont assez solides, une trouvaille chez un brocanteur. Nous nous sommes mariés jeunes, donc fauchés.



Je note le frisson qui traverse tout son corps quand elle rajoute :



Elle se mord la lèvre inférieure. Sa voix tremble.



Elle se lève et se dirige vers les toilettes. Des yeux, surtout mais pas exclusivement masculins, suivent son passage à l’aller comme au retour. Moi je me réjouis d’être le seul à savoir qu’il y a à tout casser un centimètre de jupe qui cache les fesses nues (sans parler de la vulve non seulement nue, mais lisse !) de mon épouse. Moi, je me convaincs que je vois la chaînette, et il est loin d’être impossible que d’autres en devinent la présence.


Nous finissons notre café, on paie et nous nous dirigeons vers la sortie. Elle me montre les alliances dans le creux de sa main, m’envoie un baiser et disparaît derrière la porte marquée « Señoras ». J’appelle le chauffeur, qui dit qu’il en a pour une dizaine de minutes. Je pousse la porte marquée « Caballeros » et je vais pisser un coup. Je ne me presse pas. Je veux qu’elle ait un petit moment d’attente, toute seule dans l’entrée du restaurant, si elle a eu le courage que j’espère. Je me lave les mains lentement et je sors.


Je vois Charlotte. Elle a repris place sur un des tabourets devant le bar et est en conversation animée avec les deux jeunes hommes qui nous ont servis. Celui qui lui parle actuellement fait de son mieux pour ne pas bigler trop ouvertement les tétons nus de ma femme, mais son coéquipier semble s’intéresser à ce qui se passe plus bas. Je m’approche et ce que je vois me coupe le souffle. Elle a les cuisses écartées, bien que discrètement. Sur la surface du tabouret est étalée la partie de la chaîne qui dépasse de sous sa jupe, comme dans la vitrine d’un bijoutier. Nos alliances y sont accrochées. Ma dame fait celle qui est totalement inconsciente du tableau qu’elle présente, tout autant que des yeux avides qui la dévorent. Elle m’aperçoit et fait un petit saut pour descendre du tabouret. La chaîne chute de toute sa longueur. Tout son poids, accentué par celui des alliances, est subitement suspendu des deux petits clips qui l’attachent au sexe de mon épouse. Elle reste figée pendant deux secondes, les yeux à moitié clos. Elle garde les jambes légèrement écartées, et la chaîne oscille entre ses cuisses. Les lumières de l’entrée font scintiller l’or brillant. Les deux jeunes hommes n’en croient pas leurs yeux. Ma femme est en train de leur offrir un spectacle magnifiquement sexy et, il faut admettre, d’une impudeur plus que scandaleuse. Je me presse de la rejoindre. Je la prends par le bras et nous sortons dans le parking. Elle se colle à moi, toute tremblante.



Elle s’écarte de moi de quelques pas. L’éclairage du parking n’est pas des meilleurs, mais les alliances et la chaîne scintillent quand elle bouge. Elle se retourne pour me faire face et écarte ses jambes. Elle est magnifique, avec la chaîne qui pend entre ses cuisses. Indécente, oui, mais délicieuse. Elle enroule encore sa jupe. Maintenant, son minou n’est caché que de millimètres, et quand elle se retourne, je vois la moitié de ses fesses. C’est quasiment la chaîne entière que je vois. Elle se déhanche et la chaîne oscille entre ses cuisses.



En effet, c’est le chauffeur venu nous chercher. Elle n’a même pas le temps de tirer sur sa jupe pour cacher ce qu’elle s’est fait. Je monte devant exprès, parce que j’ai une idée en tête. Elle a donc toute la banquette arrière pour elle.



Il me fait oui de la tête et démarre. Je me retourne à moitié pour regarder ma femme. Elle ne résiste plus à la tentation et fourre sa main entre les cuisses. Le chauffeur règle son rétroviseur pour mieux la voir. Elle me regarde, une question muette dans ses yeux. Comme réponse, je lui retrousse la jupe jusqu’à sa taille, ce qui révèle son minou, ses doigts qui sont en train de le caresser, et la chaîne, avec les deux clips qui la fixent à sa vulve.


Le chauffeur, comme moi, ne peut en arracher ses yeux, et soudain, il doit donner un grand coup de volant pour ne pas rentrer dans un palmier. Il réduit sa vitesse à un minimum. Il y a des parkings le long de la plage et le sourcil levé du chauffeur me pose une question à laquelle je réponds avec un geste affirmatif. Il se gare, et fait comme s’il allait sortir.



Il obéit sans discussion. Lui et moi, on se retourne pour regarder ma femme qui se masturbe. Elle tire sur la chaînette et ouvre sa fente. Son clitoris est bien enflé. Elle le triture, les yeux mi-clos, partie dans son imagination vers un scénario où, me dira-t-elle plus tard, elle cède à son envie de montrer sa chatte aux serveurs, avant de se laisser lécher par l’un des deux, pendant que l’autre lui suce ses tétons.


Le chauffeur me tape sur le bras. Encore une question sans paroles. Je connais ma femme. Je sais que son fantasme le plus puissant, celui qui la fait jouir comme aucun autre, et qui en même temps lui fait une trouille bleue, la place dans une situation où elle permet, insiste, même, que les doigts d’un autre que moi, un homme ou une femme qu’elle ne connaît pas viennent explorer son intimité et manipuler son sexe. Cependant, quand à plusieurs reprises cela aurait peut-être pu se réaliser, elle n’a pas voulu, ou n’a pas osé. En son état actuel, je suis convaincu que pour une toute première fois, elle se laissera faire. Je fais signe au chauffeur d’intervenir.


Il passe sa main entre les sièges de devant et du bout de son index trace la fente ouverte de ma femme. Je bande comme un bouc rien qu’à voir ça. Charlotte se rend compte que cette main n’est pas la mienne, et ouvre de grands yeux effarouchés, mais son inquiétude évidente ne suffit pas pour l’empêcher de remonter son bassin et d’avancer son sexe vers ces doigts étrangers. Le chauffeur tire sur ses lèvres intérieures et joue avec son clitoris pendant une minute. Mon épouse acquiesce en couinant : de petits cris qui témoignent de son excitation. Je reconnais les signes. Elle est tout près de l’orgasme. Le chauffeur réagit en lui prenant le clitoris dur entre son pouce et un doigt. Sans crier gare, il le pince, brutalement.


Charlotte hurle. Il a dû lui faire mal, très mal même, compte tenu de cette multiplicité de terminaisons de nerfs qui aboutissent dans le clito de mon épouse et qui viennent de se faire écraser. Elle hurle, donc, oui, mais en même temps elle jouit comme une folle. Elle tressaillit de tout son corps, puis se fait toute petite, recroquevillée et miaulant sur la banquette. Le chauffeur la regarde se tortiller puis se retourne vers moi et tape sur sa montre.



Il démarre en trombe et cinq minutes plus tard, il nous dépose au pied de notre logement. Il prend l’argent que je lui tends et repart à toute vitesse. J’aide ma femme à monter les escaliers. Elle est toute molle, comme désossée. Je la dépose sur le lit et la déshabille. Je suis sur le point de la couvrir et la laisser en paix quand elle s’agrippe à mon bras et me tire sur elle.