J’ai rédigé cette histoire sur la base d’un fantasme d’un de mes lecteurs. J’espère que vous la lirez avec autant de plaisir que j’ai eu à la mettre en scène.

En ce dimanche après-midi, au gymnase Arena de Paris, le public, dans une ambiance survoltée, regarde les gymnastes féminines faire leurs shows. Les prestations des concurrentes sont remplies de grâce. Chacun peut apprécier le corps sublime de ces jeunes prodiges du sport.

Dans le public, au troisième rang, Kamel se délecte du spectacle. Chacune des gymnastes est pour lui un appel au vice. Elles sont belles, jeunes et appétissantes. Avec son mètre quatre-vingt-onze, pour quatre-vingt-cinq kilos de muscle, cet homme est un colosse comparé aux jeunes athlètes féminines plutôt petites et au corps frêle. L’homme de trente-huit ans s’imagine volontiers à les satisfaire à mesure qu’elles passent devant les juges. Son regard est perçant, il les regarde, une main dans sa poche qui astique son sexe démesuré. Qu’il aimerait s’approcher d’elles ! Il regarde l’installation, comment rejoindre les vestiaires gardés par des armoires à glace recrutées pour l’occasion.

Alors qu’il réfléchit à une solution afin de pouvoir voir ces filles au corps de déesse, le juge central annonce l’arrivée de Simone Biles. Kamel se rassoit, il regarde la scène devant lui. La jeune afro-américaine de vingt-sept ans s’élance sur les barres parallèles, son corps fin et svelte glisse de l’une à l’autre. Le sexe de Kamel se tend comme jamais. Il imagine la petite noire d’un mètre quarante-deux empalée sur son sexe. Il faut qu’il entre dans les vestiaires.

La prestation de la petite athlète ébène se termine. Elle regarde le tableau des notes. Les juges la placent en tête. Un sourire de satisfaction s’accroche sur son visage. Kamel descend les gradins en direction des vestiaires. Un colosse en costume s’interpose.

• — Interdiction de passer.
• — Excusez-moi, mais je dois trouver Simone. Je dois absolument la féliciter.
• — Impossible, les règles sont les mêmes pour tout le monde.

La délégation américaine s’approche, La petite athlète signe des autographes.

• — S’il vous plaît, laissez-moi passer…
• — Non !
• — What’s happening here ?
• — Nothing, all is under control.
• — Simone, Simone…
• — Why is he shouting my name ?
• — He wants to enter your locker room to congratulate you
• — Oh, it’s so cute, let him come.
• — But, it is against the rules.
• — Don’t say that, I will win, a fan can come into my private locker room.
• — Okay, tu as de la chance toi, passe.

Kamel n’en revient pas, son audace a payé. De son côté, la petite athlète a tout de suite été charmée par ce fan imposant. Alors que d’habitude ce sont de petites adolescentes frêles, qui rêvent de devenir comme elle, qui lui demandent des selfies ou des autographes, aujourd’hui un gaillard solidement bâti qui veut la féliciter. Kamel marche fièrement aux côtés de Simone.

• — Merci Simone, thank you. Tu as été vraiment wonderful !
• — Oh thank you, I have only done my best, you know.
• — Sorry, je ne parle pas very well anglais.
• — And me French.

Simone rit, bientôt suivie de Kamel. Simone jette des regards furtifs sur cet homme qui la regarde de haut. Il la dépasse de plus d’une tête. De loin, si la couleur de peau ne contrastait pas tant, on pourrait croire un père et sa fille rentrant au vestiaire après la compétition. Ils passent la porte du vestiaire.

• — Please, nobody shall enter.

Simone Biles regarde attentivement Kamel.

• — You are a really strong man.
• — Oui, je suis très strong, et de everywhere.
• — Everywhere ? That is interesting. Can you show me ?
• — Oui, je peux show you.

Kamel retire son t-shirt. Ses séances en salle de sport, malgré leur prix exorbitant, portent leurs fruits. L’athlète regarde attentivement sa poitrine bien dessinée aux pectoraux puissants. Elle se mord les gencives.

• — Humm, more pretty than Jonathan. Can I touch ?

Sans même attendre la réponse, la belle Afro-Américaine pose ses mains sur le torse de Kamel. Elle palpe les muscles, pectoraux, abdominaux. Elle semble transportée dans un autre monde. Kamel qui n’en espérait pas tant profite de ce moment. La jeune femme au corps ébène caresse avec douceur le corps musculeux de son fan. Le sexe de Kamel continue de grossir. Il tente de résister. Le sourire immaculé de la jeune femme, tranchant avec sa peau foncée, lui confère un charme qui ne peut laisser aucun homme de marbre. Le regard de Simone descend sur l’entrejambe de Kamel.

• — Oh, I see you are strong here too. Very interesting. Can I see ?

L’homme n’a pas besoin de se faire traduire la phrase. Malgré des difficultés chroniques durant ses années au lycée, il comprend parfaitement ce que lui dit l’athlète à la peau ébène. Il descend son pantalon de sport et sort un sexe démesuré.

• — Oh wonderful, I have never seen such a big cock.

La jeune femme prend le pénis en main qui finit de se tendre instantanément sous ses yeux ébahis. Kamel ne résiste pas. Il prend le corps frêle de l’athlète dans ses mains et l’embrasse goulûment. Si au début Simone a un léger mouvement de recul, elle finit par se laisser aller dans les bras de cet Hercule. Même Jonathan Owens ne lui a jamais donné une telle sensation de puissance.

Les mains de Kamel saisissent le juste au corps de Simone et le déchirent d’un coup, révélant une petite poitrine ferme aux tétons sombres et durcis par l’excitation de la jeune femme. L’homme les embrasse, les mordille faisant presque mal à sa partenaire. Il la soulève facilement pour l’étendre sur la table de massage et insère sa langue dans la fente sombre de l’athlète. Simone gémit de plaisir. Jamais un homme ne lui avait fait une telle sensation. Pour elle qui n’avait connu que des Afro-Américains, c’est une révélation. Contrairement à la nouvelle légende urbaine ; il n’y a que les « blacks » qui savent s’occuper d’une femme. Elle sent cette langue qui fouille son intimité. Sa respiration s’accélère. Ses gémissements se font de plus en plus sonores. Kamel peut enfin goûter la cyprine de la jeune femme qui coule abondamment sur sa langue. Il s’en délecte avec plaisir, ne gâchant aucune goutte pour le plus grand plaisir de Simone. Son sexe est tendu.

Il saisit Simone, la soulève et l’empale sur son sexe. L’Hercule est debout. Avec toute la puissance de ses cuisses, il soulève la petite athlète sur son pieu. La jeune afro-américaine hurle sa jouissance, cris mêlés de plaisir et de douleur due au sexe énorme qui laboure son vagin. Kamel secoue la jeune femme dans tous les sens. Qu’elle est serrée pour lui ! Les cris de l’athlète l’excitent. Il redouble d’intensité. Simone est secouée comme une poupée de chiffon. Elle crie, des larmes de joie et de douleur coulent sur ses joues. Soudain, on entend frapper à la porte.

• — Simone, Simone, are you OK ?
• — Ohh…
• — Simone I am going to enter.
• — Ohh no… yes…

La porte s’ouvre au moment où Kamel, s’enfonçant au plus profond de la jeune femme noire, libère sa liqueur visqueuse.

• — Stop, sir. You can’t do that ! I have to get you out !

Le colosse qui sert de garde du corps empoigne Kamel qui a juste le temps de remonter son pantalon avant d’être expulsé du vestiaire. Il voit une dernière fois le visage rayonnant de Simone, le sourire extatique, le regard tourné vers le ciel. Plus bas, le sperme blanc, chaud et épais coule le long de ses cuisses ébène provoquant une image étonnamment érotique.