Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22573Fiche technique14083 caractères14083
2448
Temps de lecture estimé : 10 mn
12/08/24
Résumé:  Une balade entre amis dans le lit d’une rivière
Critères:  fh hh jeunes copains bain forêt nudisme hmast intermast fdanus fsodo
Auteur : centaurspath      Envoi mini-message

Série : Quatre

Chapitre 03 / 03
La rivière

Résumé des épisodes précédents :

En vacances dans les Cévennes à deux couples… déjà quelques jolies soirées…




Après nos petits jeux, nous avons oublié de refermer les volets de la chambre, aussi, le lendemain, je suis réveillé par les premières lueurs du jour.


L’air est frais. Les draps respirent encore l’odeur de nos sexes. Claire est contre moi. Sa peau a ces effluves uniques des petits matins. J’ai envie de passer mon sexe sur ses fesses, de la prendre dans mes bras… mais je sens que ce n’est pas le moment. Aussi je décide de me lever sans attendre que les autres émergent de leur sommeil.

Je descends les marches sans faire de bruit, je lance un café dans cette vieille cafetière italienne et je décide de me poser sur la terrasse. Je ne porte qu’un caleçon car je n’ai pas voulu réveiller Claire en farfouillant dans les tiroirs.

Le soleil chauffe déjà les lauzes et c’est avec plaisir que je m’assois à même le sol.


Perdu dans la contemplation de la montagne environnante, je ne remarque pas qu’un jeune homme s’est posté devant moi. Je lui donne une petite vingtaine, soit de dix à quinze ans de moins que nous tous. Il se pose entre le soleil et moi, mais je n’ose faire mon Diogène. Je devine en contre-jour un grand sourire franc. Il est habillé d’un simple pantalon de toile et il a retiré son tee-shirt, probablement pour ne pas avoir trop chaud en montant du village. Il ne semble nullement gêné par mon caleçon.



Évidemment, c’est ça la campagne : tout le monde est au courant de tout ! Il sait déjà combien nous sommes et combien de temps nous restons. Je n’ai pas beaucoup à lui apprendre sur nous. Je ne suis pas très bien réveillé mais lui est enjoué et volubile à souhait et je ne tarde pas à tout connaître de sa vie : il est en deuxième année de droit à Lyon, il aime les festivals électros, se passionne pour l’art de la Renaissance, et sa copine s’appelle Esther…


Tout à l’écouter, je ne remarque d’abord pas que mon caleçon baille lamentablement et que, d’où il se trouve, il a une vue plongeante sur mon anatomie.


Son regard m’en fait prendre conscience, mais il est trop tard pour me réajuster. J’essaye donc de faire comme si de rien n’était tout en continuant de l’écouter avec un air désinvolte. La situation est gênante et je vois que son regard tombe régulièrement sur mon entrejambe, sans s’y attarder. Le bougre est sacrément mignon, ce qui ne gâte rien. Ça plus la chaleur de la terrasse et je commence à sentir mon zob prendre en épaisseur. Ce n’est pas désagréable, mais ça pourrait être embarrassant. Pierre continue de parler et je sens ma queue atteindre son volume de demi-molle standard, clairement visible par l’interstice de mon caleçon. D’où il est, Pierre doit voir dépasser mon gland gonflé.


Finalement, c’est Thomas qui me sort d’affaires en sortant de la cuisine pour embrasser Pierre. Je me lève, réajuste mon caleçon qui désormais ne me trahit plus que par la taille du paquet qu’il contient.


Côte à côte, on dirait deux cousins. Tous les deux sont très beaux et il émane de leurs corps une prestance virile tout à fait troublante.


Je remonte m’habiller plus correctement pour prendre le café avec tout le monde. Lorsque j’entre dans la chambre, Claire s’est levée, mais ne s’est pas encore habillée, ses yeux embués de sommeil. Elle me regarde, me souris, enlace mon cou et m’embrasse à pleine bouche. Son corps nu contre moi ravive mon sexe qui se dresse entre nous. Elle le remarque et s’en amuse. Son sourire-promesse est celui d’une femme amoureuse. Probablement la plus belle chose au monde. Puisqu’elle est heureuse, je suis à ma place.


Après le déjeuner, nous décidons, Thomas et moi, de partir nous promener dans le lit de la petite rivière qui passe près de la maison. Les filles préfèrent, quant à elles, rester siester à la maison.


Thomas connaît visiblement chaque caillou, chaque recoin par cœur. J’imagine combien il a dû faire cette balade étant enfant. En le regardant sauter de rocher en rocher, je pense à Pierre, lui-même à peine sorti de l’adolescence.

Après une heure de marche, nous nous arrêtons près d’un trou d’eau.



Sans attendre ma réponse, Thomas se déshabille et descend vers l’eau qui, sans être un torrent de haute montagne, n’est pas non plus très chaude.



Le salaud a de l’avance, mais je sais qu’il est assez frileux. Je rattrape mon retard alors qu’il est encore en train de tremper son mollet avec circonspection.


Nous voilà nus, face à face, autour de ce trou d’eau. La lumière qui perce entre les feuilles joue sur son corps. Perfection des débuts du monde. Ses muscles sont secs et sans exagération. Je vois ses poils se dresser à mesure qu’il affronte la fraîcheur de la rivière. Il a un cul magnifique. Je le laisse gagner, ne serait-ce que pour continuer à le regarder.


J’entre à mon tour. L’eau est terriblement fraîche et mon scrotum subit les pires outrages. C’est armé d’un mini zob que je finis par m’asseoir à côté de mon ami.


Nous parlons de tout et de rien : de son enfance ici, chaque été, d’Alice, de Claire… J’essaye de me redonner un peu de vigueur en me caressant discrètement, mais c’est peine perdue.


Nous finissons par ressortir de l’eau. Il y a un rocher au soleil et nous nous y allongeons. Après la froideur de la rivière, la chaleur de la pierre est d’une sensualité incroyable, ce qui m’aide à reprendre une forme acceptable. Sous l’effet du soleil, je ressens les afflux sanguins dans mon sexe qui regonfle peu à peu.


Thomas se redresse soudain et tend l’oreille.



Toujours nus, nous remontons à quatre pattes un petit talus au-dessus de la rivière qui se termine par un replat boisé, baigné de lumière.


Là, au milieu des arbres, à quelques centimètres de nous, la rivière a posé, j’imagine il y a fort longtemps alors qu’elle avait alors un autre lit, une grande pierre aux angles arrondis, comme un galet.


À califourchon sur elle, je vois un jeune couple nu, enlacé. La fille est une jolie rousse avec une belle chevelure qui descend le long de ses courbes. La couleur claire de sa peau contraste avec celle de la roche qui est sombre, et nous sommes assez près pour deviner les quelques poils de sa toison. Elle ondule et frotte son clitoris sur la pierre où la géologie semble avoir dessiné des bosses aux formes phalliques de différentes proportions (Thomas m’expliquera plus tard que cette pierre est connue ici des jeunes gens pour ces caractéristiques propices à toutes formes d’onanisme).


Le garçon qui lui fait face est fin et bien dessiné. Bandé comme un âne, il embrasse sa partenaire avec passion mais il la caresse avec retenue. Il effleure ses seins, ses épaules, redessine ses courbes avec ses doigts pour finir par poser ses mains sur ses fesses pour l’attirer vers lui. D’où je suis, je peux voir perler sa queue. Je reconnais Pierre.


Tous deux se regardent. Ils semblent émus par leur beauté. La lumière s’accroche sur leurs humidités, leurs corps chauffés à bloc, gouttes de sueur, crissements de feuilles sous leurs pieds.


La jeune femme, Estelle, dois-je en conclure, continue ses va-et-vient sur la pierre et se couche sur elle en l’enlaçant. On peut presque entendre le bruit humide de son sexe. J’imagine le contact de ses petits seins sur la pierre polie. Le contact d’abord froid puis réchauffé par le corps. Pierre se penche sur elle et caresse son dos, remonte vers ses fesses. Son sexe lui fait face, érigé comme un totem.


La queue de Pierre est plutôt fine et de taille moyenne. Elle est très belle pour ce que je peux en voir. Elle semble douce, d’une circonférence continue depuis la base jusqu’au prépuce, très long qui recouvre encore sa tête. Elle est visiblement moins proportionnée que celle de Thomas ou la mienne, mais je ne suis pas de ceux qui sont obsédés par la taille. Il y a tant de façons de s’en servir et d’orifices à introduire que je trouve bien que la nature soit ainsi variée.


Estelle l’a prise en main et lèche la hampe, les couilles et la tête toujours encapuchonnée de Pierre. Celui-ci continue de caresser ses fesses, glisse un doigt dans le sillon et cherche la rosette de sa partenaire. Il semble l’avoir trouvée, car celle-ci se cambre un peu et le regarde alors qu’il humidifie son doigt. Il pose ce dernier sur le petit trou de sa compagne et commence les travaux d’approche nécessaires à des jeux plus avancés. Estelle semble plus qu’apprécier et oublie pour un peu la pierre pour aller chercher de ses hanches le doigt qui s’aventure un peu plus. Elle se relève, l’embrasse à pleine bouche et se retourne pour enfourcher un phalle de pierre plus grand que le précédent, pointant ostensiblement son cul vers Pierre. Ce dernier engouffre son visage dans ses fesses et lèche la rondelle offerte. De sa langue, il humidifie et ouvre la petite ouverture, collectant aussi avec son doigt un peu de mouille dans la chatte d’Estelle pour alterner jeux de langues et savants doigtés. Son index peu à peu semble faire son chemin dans le pertuis offert.



Il présente sa tige devant la raie de sa partenaire et commence quelques va-et-vient entre les deux lobes de ses fesses. Collectant la cyprine de la chatte d’Estelle, il enduit son gland de mouille pour le présenter sur son bourgeon. Il s’arrête alors de bouger et c’est Estelle qui ondule pour le faire entrer à son rythme. La finesse de sa queue semble l’alliée parfaite de ce qui me semble être une première sodomie.


Pierre entre doucement, attendant avec patience qu’Estelle s’habitue à sa présence, tout en caressant ses fesses et ses hanches. Son sexe totalement enfoui, ses couilles finissent par toucher le cul de sa partenaire. Il s’arrime doucement et commence quelques légers va-et-vient dans le conduit. Pendant ce temps, Estelle reprend ses mouvements sur la pierre. Leurs deux corps ondulent sous la lumière filtrée du feuillage, de plus en plus rapidement. Emmanché jusqu’à la garde, Pierre se met lui aussi à califourchon sur la pierre et prend les seins d’Estelle dans ses mains. Celle-ci apprécie visiblement cette (première ?) enculade. Leurs deux jeunes corps s’agitent, beaux comme au premier jour. On peut distinguer la sueur sur leurs corps et presque sentir l’odeur de leurs sexes qui se mélange à celle du sous-bois, entêtante et enivrante.


Excités comme ils le sont, je ne pense pas qu’ils tiennent très longtemps. Je regarde Thomas qui me regarde… Pas de doute : il vaut mieux s’éclipser.


Nous redescendons doucement vers la rivière, toujours à quatre pattes. Arrivés plus en contrebas, nous nous retournons : toujours à poil, nous sommes tous les deux bandés à mort, excités comme des ânes.


Nous regardons nos deux tiges pointées, dures, presque douloureuses. Elles appellent l’apaisement de nos mains et, sans réfléchir, nous répondons à l’injonction.


Thomas dégage son gland et entame de longs va-et-vient. Je vois son prépuce coulisser, la mouille abondante, couler sur la hampe, humidifier ses couilles, perler sur son bas ventre. Sa queue est magnifique, dressée comme une pierre païenne au milieu de la nature. Il l’empoigne à deux mains, relève ses fesses, fourrage l’orifice invisible. Son gland se couvre et se découvre au rythme de son bassin.


Je caresse ma colonne avec un, puis deux doigts que je mouille sur mon frein. Mon gland, circoncis, s’est ouvert ; la couronne, large, bien dégagée. Le méat est bien écarté et coule abondamment. Je lubrifie la tête de ma pine et, comme Thomas, je commence à baiser le fourreau de mes mains, ma queue dressée vers le soleil.


Nous sommes comme deux bêtes en rut, répondant à l’appel de la Vie autour de nous. J’ai envie de jouir, d’ensemencer et de me répandre, faire l’amour au monde entier. Je veux inonder la terre, asperger le ciel.


Sans que je comprenne bien comment cela arrive, je finis par me retourner vers Thomas qui se relève sur ses genoux et nous collons nos queues l’une à l’autre. Nos mains, tour à tour, synchrones, se font orifices pour nos deux tiges qui coulissent l’une contre l’autre. Nous baisons nos mains comme si notre vie en dépendait. Je sens sa hampe gorgée de sang contre la mienne, je peux presque la sentir pulser. Son prépuce glisse contre mon frein découvert. Sans réfléchir, je l’embrasse à pleine bouche. Il répond à mon baiser. C’est surprenant ce visage d’homme. C’est anguleux, tout comme son corps. Je me rapproche encore, je sens son ventre dur contre le mien. Je prends ses fesses à pleine main pendant qu’il glisse ma queue entre ses couilles. Enlacé, je coulisse entre ses cuisses pendant que sa queue frotte sur mon ventre. Je sens qu’il se tend et sa mouille fait place à un geyser de sperme contre mon abdomen. Sont-ce les contractions de ses jambes sous le plaisir ou sa jouissance sur moi, je jouis à mon tour d’un jet de foutre qui mouille son entrecuisse et goutte sur le sol. La tête et le corps en fusion, je continue d’embrasser son corps, je le lampe, je goûte sa sueur pendant qu’il se perd dans mon cou. Je prends dans main son foutre répandu sur mon ventre qu’il mélange avec le mien. Nous goûtons l’un et l’autre nos jus métissés et nous nous embrassons, nos langues mêlées.


Que dire ensuite ? La surprise ? Oui… L’inquiétude ? Aussi… Comment va réagir l’autre ?


Nous retournons dans le ruisseau pour nous rincer, nous habillons et commençons à redescendre. Nous n’entendons plus de bruit du replat où se trouvaient Estelle et Pierre… Nous ont-ils vus ?


C’est Thomas qui, le premier, rompt le silence.



Nous partons d’un grand rire. Et puis plus rien… Silences de mecs embarrassés mais complices. Toujours amis, peut-être plus encore ?


Au loin, la maison nous attend, les filles sur la terrasse, complices elles aussi. Que s’est-il passé en notre absence ?


La soirée sera douce, j’en suis sûr.