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n° 22602Fiche technique11920 caractères11920
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Temps de lecture estimé : 9 mn
27/08/24
Résumé:  un homme est pris en stop par un agriculteur et va découvrir sa part féminine
Critères:  hh inconnu campagne autostop hsoumis hdomine hmast fellation préservati nopéné init
Auteur : Alpin en string            Envoi mini-message
L'auto-stoppeur

Il y a des jours où tout va mal. Ce jour-là en faisait partie… Il était déjà arrivé en retard au boulot, il avait rencontré pas mal de problèmes dans son travail et, à l’heure de rentrer, voilà que sa voiture ne voulait plus démarrer  ! Il se mit à jurer avant de se reprendre. À quoi bon  ? Ça ne ferait pas redémarrer sa voiture pour autant. Il passa un coup de fil pour rassurer sa femme puis commença à prendre le chemin du retour à pied, tout en faisant du stop dès qu’il entendait une voiture s’approcher de lui.


Il avait déjà parcouru un bon kilomètre quand la chance lui sourit enfin. Une fourgonnette ralentit et se gara sur le bas-côté. Le conducteur baissa sa fenêtre et l’interpella :



Il contourna le véhicule, ouvrit la portière et rentra. À peine était-il assis sur le siège passager prévu pour deux personnes que la fourgonnette redémarra.


Son sauveur avait l’air d’un grand gaillard, plutôt bien bâti, sans doute habitué aux travaux manuels. Une petite odeur de foin et de terre régnait d’ailleurs dans le véhicule. Plutôt sympathique, l’homme entama la conversation et les minutes de route passèrent sans que ni l’un ni l’autre ne les trouvât longues. Il se dit qu’il aurait pu tomber pire et que cet agriculteur – c’était visiblement là sa profession – était un compagnon de voyage fort agréable.


Le feeling était là, ils s’étaient très vite tutoyés et la discussion allait bon train quand ils arrivèrent en vue du croisement de l’ancienne route. L’homme demanda :



Il ne pouvait décemment pas lui refuser cette faveur et, vu son retard actuel, il n’était plus à une ou deux minutes près. La camionnette quitta la route principale et suivit l’ancienne voie qui serpentait à travers champs et forêts. Il faisait encore clair en cette fin de journée de printemps, l’air s’engouffrant dans les vitres ouvertes était agréable et, de son avis, le retour se transformait en une sympathique balade champêtre.


À peine cinq cents mètres plus loin, l’agriculteur vira à gauche dans un chemin de terre à peine visible. Encore dix mètres et la camionnette stoppa en lisière de la forêt qui la cachait de la route, en bordure d’un grand champ où paissait un troupeau de vaches. L’homme descendit, enjamba la barrière avec aisance et alla vérifier si la citerne d’eau était suffisamment remplie pour la nuit. En le regardant faire, il décida de descendre lui aussi pour faire quelques pas dans l’air du soir. Il faisait bon. Il se sentait bien.



Il ne sut que répondre à cette dernière phrase. D’ailleurs, il ne savait comment la comprendre vu le peu de choses qu’il connaissait sur cet agriculteur. Il devait faire une moue dubitative, car l’homme reprit d’une voix plus douce :



Il le regarda, un peu étonné.



Il prit une profonde inspiration et ferma les yeux. Après tout, ça ne pouvait lui faire que du bien après cette journée éprouvante.



Il sourit en lui-même : voilà qu’il était tombé sur un agriculteur adepte de méditation  ! Après tout, pourquoi pas  ?



Il commençait à se détendre, à se sentir bien. Une douce chaleur l’envahissait.



Oh oui, il le sentait qui caressait ses bras nus, se glissait sous les manches de son polo. Il en avait la chair de poule, mais c’était délicieux.



Il rouvrit les yeux et le regarda avec incompréhension. D’un mouvement de tête, l’homme désigna son torse.



Il porta la main à son entrejambe et saisit à travers le tissu du pantalon sa verge qui semblait être déjà grosse.

Tous deux éclatèrent de rire.


Ils retournèrent à la camionnette.



Il n’avait jamais pensé à se caresser ainsi. Même s’il était curieux de tester cette sensation, il n’osait pas vraiment le faire devant l’agriculteur.



Il ferma à nouveau les yeux et commença à caresser du bout des doigts ses tétons toujours durs.



Il grattait délicatement sa poitrine à travers le polo et il devait bien reconnaître que ces caresses, la présence de l’autre homme, le lieu, tout contribuait à augmenter la chaleur en lui.



Il rouvrit les yeux et regarda l’homme qui s’était tourné vers lui, cuisses écartées, une main désormais posée sur la braguette de son pantalon. Le mouvement était on ne peut plus clair : l’agriculteur était en train de se caresser. Sa queue était d’ailleurs de plus en plus visible, excroissance sous le tissu du pantalon, et grossissait à vue d’œil. Cette vision ne fit qu’augmenter cette chaleur, son trouble. Tout cela l’excitait.



L’agriculteur comprit le désir naissant et là, devant lui, doucement, déboutonna son pantalon, fit glisser la braguette, sortit une verge déjà bien tendue et finit par se branler tout doucement. Sa queue était de bonne taille, large, et le prépuce faisait des allers-retours sur un gros gland d’où commençaient à perler quelques gouttes d’excitation. L’homme appréciait visiblement de s’exhiber ainsi devant son auto-stoppeur qui continuait à se caresser la poitrine. Car il était devenu SON auto-stoppeur : une relation intime s’était instaurée et il se sentait s’abandonner à cette excitation qui montait en lui.



Cette phrase le surprit dans le silence quasi érotique qui s’était installé. Il se mordit les lèvres, excité par l’audace de l’homme et la vue de sa queue raide.



Il gémit un petit «  Oui  », essoufflé.

L’homme fit glisser son pantalon sur les chevilles, offrant à son spectateur conquis la vision de cette bite raide, tendue vers le ciel et qui semblait plus grosse que jamais, au-dessus d’une belle paire de couilles légèrement poilues. Sa jambe s’était dégagée du pantalon et reposait désormais sur le siège passager, les cuisses complètement ouvertes vers l’auto-stoppeur comme une invitation à venir l’honorer. Il mourrait d’envie d’y succomber.


L’agriculteur rompit à nouveau le silence qui régnait, égrainant ses mots avec lenteur, comme pour mieux savourer le moment et le rendre plus excitant encore.



Il dut avouer en lui-même qu’en cet instant irréel, effectivement, il la trouvait belle… Il commençait lui-même à sentir sa propre verge gonfler d’excitation, bien que coincée sur ses couilles dans le bas de son slip.



Il leva vers l’agriculteur un regard interrogatif.



Encouragé par la voix douce de l’agriculteur, il ouvrit la petite porte.



Il dut fouiller pour trouver la boîte de préservatif, écartant les bobines de ficelle de botte de paille. Mais que faisaient donc des préservatifs dans la camionnette d’un agriculteur  ? Mais après tout, il y était bien lui aussi dans cette camionnette et de plus en plus excité qui plus est. Il ne réfléchit pas davantage, saisit la boîte et lui tendit.


L’agriculteur saisit le petit sachet, en extirpa un préservatif et le déroula rapidement sur sa verge. Il le regarda faire avec délice en sachant qu’il pourrait se lâcher et s’adonner à son fantasme en toute sécurité.



Il se pencha lentement en avant, se mettre quasiment à quatre pattes sur la banquette tout en s’avançant petit à petit entre les cuisses poilues. Sa tête, sa bouche s’approchait du gros membre dressé vers lui qui semblait l’appeler et l’attendre. Il posa doucement ses lèvres dessus, obéissant à cet appel mystérieux.



Il sortit sa langue, pendante comme celle d’une petite chienne devant son maître, et entreprit de lui lécher la bite consciencieusement. Il pensait aux gouttes de mouilles qui s’écoulaient du gland, sous le latex, regrettant presque que la capote soit là. Il sentait monter en lui un désir animal et s’y abandonnait, non sans une certaine honte, poussé par une excitation bestiale.



Sans réfléchir il goba alors le gros gland et entreprit de faire coulisser ses lèvres de long de la tige, d’abord doucement, maladroitement, puis de manière plus experte. L’agriculteur était aux anges, les yeux fermés, et savourait l’instant en gémissant des mots d’encouragement.



Il releva la tête et aussitôt, l’agriculteur recommença à se masturber à quelques centimètres à peine de sa bouche. Les allers-retours de sa main se firent de plus en plus rapides alors que tout son corps se mettait à trembler.



C’était un gémissement presque inaudible, mais il s’exécuta aussitôt et recommença à le pomper du mieux qu’il pût. Très vite, il sentit la queue tressaillir et le bout de capote gonfler : l’agriculteur venait de jouir. Il se retira et contempla, incrédule, la grosse bite encore dressée, surmontée d’une bulle de latex remplie de liquide blanchâtre, le foutre, ce jus de couilles qu’il avait fait jaillir par le mouvement de ses propres lèvres. Il la regardait incrédule quand soudain il réalisa qu’il venait de faire une pipe à un inconnu dans une camionnette, en pleine nature. Il songea qu’il avait agi comme une vraie salope, une petite pute… ou plus simplement en partenaire docile de cet homme. Il se surprit à être encore excité tandis que son «  mâle  » se rhabillait.



Déjà, la camionnette démarrait et reprenait la route du village.


Il ne dit plus rien et fit le reste du trajet en silence, revoyant dans sa tête ce qui venait de se passer, tout excité encore.

Soudain, il se mit à rire doucement, surprenant l’agriculteur.



Ils souriaient tous les deux quand ils passèrent le panneau d’entrée de l’agglomération.



La camionnette se gara sur la place du village. Il en descendit.



L’homme lui tendait une carte.



Il saisit la carte en souriant et salua l’homme. Il lui répondit par un clin d’œil. La camionnette repartit aussitôt. Il marcha jusque chez lui à grandes enjambées. À chacun de ses pas, il sentait le tissu de son slip frotter sur le haut de ses cuisses. Il était poisseux d’excitation… et il aimait ça.