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n° 22606Fiche technique20629 caractères20629
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Temps de lecture estimé : 15 mn
30/08/24
Résumé:  Après de nombreuses années passées à nourrir nos fantasmes libertins, notre couple passe le cap.
Critères:  fhhh couplus fsoumise voir fellation préservati pénétratio double sandwich fsodo sm init
Auteur : auboutdumonde      Envoi mini-message
Une soirée tant attendue

Je me présente : Yann, quarantenaire, approchant doucement la cinquantaine. Avec Stéphanie, nous formons un couple uni qui dure maintenant depuis presque vingt-cinq ans.


Je dois vous parler de Stéphanie. Comme moi, elle est entrée dans la quarantaine, mais sa nature sportive lui permet d’avoir un physique que des femmes bien plus jeunes pourraient lui envier : elle est fine, musclée sans que cela soit disgracieux, elle a des fesses fermes, un petit 85A qui lui va à ravir, mais qu’elle juge trop petit.

Dans la vie de tous les jours, Stéphanie est d’un tempérament réservé, timide, diraient certains. Mais dans notre intimité, elle peut montrer un tout autre visage.


Contrairement à certains couples qui s’assagissent avec le temps, nous prenons avec Stéphanie le chemin inverse. Après des débuts très sages où nous avons appris à nous faire confiance, à mieux connaître nos sensations, nos goûts, notre sexualité s’est enrichie progressivement de nouvelles pratiques.

Nous avons aujourd’hui une sexualité tantôt douce, tantôt épicée, où nous mêlons sexe oral, pénétration vaginale, anale, double pénétration avec des sex-toys, etc. Bref, nous explorons toutes les possibilités offertes par la sexualité en couple.


Depuis maintenant plusieurs années, elle a un goût de plus en plus prononcé pour le sexe mêlé de soumission. Sans pratiquer le BDSM dont les pratiques faisant appel à la douleur ne nous attirent ni l’un ni l’autre, elle en apprécie certains aspects. Porter une panoplie de soumise faite de lanière de cuir l’excite beaucoup, être qualifiée dans l’acte de petite salope, de petite pute également.


De mon côté, je me suis toujours senti libertin par nature. J’ai toujours éprouvé du plaisir à imaginer ma femme ayant une sexualité avec d’autres personnes, en particulier des hommes, de préférence en ma présence, mais pas uniquement. Ce penchant, Stéphanie le connaît bien, il l’excite et nous évoquons régulièrement dans nos ébats des partenaires imaginaires, que nous remplaçons par des sex-toys.

Alimentée par ces fantasmes libertins, la double pénétration avec des jouets occupe une place particulière dans notre sexualité, source d’excitation autant physique que cérébrale.


Bien que l’idée d’autres partenaires lui plaise beaucoup, elle a jusqu’à présent toujours refusé de passer à la réalisation de nos fantasmes.

J’ai néanmoins continué d’alimenter mes envies et mon imaginaire, ainsi que les siens, je pense, en fréquentant assidûment quelques sites libertins et en ayant noué des relations à distance, mais régulières, avec quelques personnes rencontrées sur ces sites.


L’épisode que je vais vous raconter aujourd’hui porte sur la manière dont notre couple a basculé du fantasme à sa réalisation. Ce sera à vous de savoir si ces évènements sont à venir, s’ils se sont déjà réalisés totalement ou partiellement.




Le jour J



Un samedi soir seuls sans les enfants : c’est un évènement rare dont je compte bien profiter. Cela fait quelques semaines que ma chérie est particulièrement demandeuse de sexe. Je dis bien de sexe, pas de câlins ni même de faire l’amour. Plus attirée en ce moment par les longues fellations, les sodomies profondes, les mots de salopes ou de baiseuses que par la douceur, Stéphanie a entretenu mon désir ces dernières semaines, excitant mes sens, mais aussi mon cerveau.


Dans ces moments-là, je l’imagine prise par un, deux ou trois, étalons. J’en parle d’ailleurs avec mes contacts sur les sites libertins. L’un des couples avec qui j’échange souvent me dit que c’est certainement le moment si je souhaite aller plus loin. L’idée fait son chemin. Lors d’un de nos rapports, le fantasme est de nouveau évoqué, mais Stéphanie rentre plus que d’habitude dans le jeu. Bien décidée à m’exciter, elle me demande si j’aimerais qu’elle se fasse remplir pendant qu’elle me suce.


Alors je m’organise.


Le jour tant attendu arrive, et après avoir déposé nos enfants pour leurs week-ends, nous rentrons à la maison bien décidés à en profiter. Ma belle se montre très tactile durant le trajet retour. À son étonnement, elle me trouve un peu sur la réserve et peu entreprenant. Même si nous avons l’habitude de respecter nos rythmes et envies respectifs, je vois bien qu’elle est un peu déroutée, déçue que je ne lui saute pas dessus dès notre retour, mais elle l’accepte sans réellement m’en tenir rigueur. Nous prenons le temps de boire un verre ensemble et de nous préparer un repas léger.


À la fin du repas je lui demande d’aller passer une petite robe noire relativement sage que nous apprécions tous les deux, mais en dessous je veux qu’elle porte un ensemble de lingeries dont le bas est ouvert, laissant libre sa jolie petite chatte, et qu’elle porte également son plug bijou.

Habituée et rassurée sur la suite de sa soirée, elle accepte volontiers ma demande.

Intérieurement, je souris car je sais bien qu’en acceptant, elle n’a aucune idée de ce que la suite de la soirée lui réserve. Contrairement à ce qu’elle avait imaginé, elle me voit prendre les clés de la voiture. Sortir ainsi la rend perplexe, hésitante mais décuple aussi son désir. Sans doute s’imagine-t-elle que j’ai réservé un lieu charmant pour nos ébats, ce qui n’est pas entièrement faux.


La route est mi-amusante, mi-frustrante. Stéphanie n’arrête pas de me questionner pour savoir où l’on se rend. De mon côté, le trajet est inconfortable. En raison d’érections récurrentes, je suis à l’étroit dans mon jeans. Je ressens aussi le stress de l’organisation.

On arrive enfin. Il s’agit d’une ancienne propriété bourgeoise entourée d’un parc. Des voitures sont garées sur le parking.


À nouveau, elle me questionne sur l’endroit où nous venons d’arriver. Elle a tout à fait compris que le lieu est libertin et si la situation est pour elle excitante, cela la rend néanmoins nerveuse. Comme nous aimons à le pratiquer ces dernières semaines, je reprends mon rôle de dominant, lui faisant savoir que nous irons visiter le lieu, mais que cela ne l’oblige à rien en termes de sexe. Après une dernière hésitation, ma femme accepte la visite.


À l’entrée, nous sommes accueillis par une jeune femme qui nous explique qu’il y a plusieurs salons privés réservés ce soir-là, que le nôtre ne sera pas disponible tout de suite. Visiblement, l’idée d’avoir un espace privatif au sein de cet établissement libertin la rassure et lui plaît beaucoup.

Ma femme me glisse à l’oreille :



La jeune femme qui nous accueille nous explique également qu’en attendant nous pouvons profiter du bar, de la piste de danse, des terrasses et bien sûr des coins câlins. Elle nous informe aussi qu’un couple ayant réservé un salon privé, comme nous, et le laisse en libre accès à toutes les personnes qui le souhaitent, mais uniquement en voyeurs pour leur soirée qui se déroule à l’étage.


Nous entamons alors notre exploration des parties communes où nous croisons des couples et des hommes seuls. L’endroit est agréable, de la musique mais pas trop, les gens sont bien habillés. Nous trouvons le bar que l’on nous a indiqué et nous prenons un verre.


Désireux de découvrir les salons privés et d’en savoir plus sur la soirée du couple, nous nous décidons à rejoindre le premier étage. Personnellement, je sais ce que nous allons trouver, et ce sont mes contacts qui m’ont recommandé ce lieu propice au voyeurisme.

La musique est un peu plus forte ici, et des personnes encombrent le passage de porte si bien que nous ne pouvons pas réellement voir ce qu’il se passe à l’intérieur. Nous entendons malgré tout un peu le bruit des ébats qui s’y déroulent.


L’ouverture se libère enfin. Une femme est au milieu de trois hommes. Celui qui semble être son mari lui caresse le dos pendant qu’un participant la prend en levrette et qu’elle en suce un autre. Je sens Stéphanie se raidir à cette vue, mais très brièvement. Plusieurs personnes comme nous assistent à la scène.

Tout en caressant doucement les fesses de ma chérie, je lui dis que cette femme doit avoir beaucoup de chance. Stéphanie semble troublée, mais l’excitation, le plaisir ressenti par cette femme est communicatif, et à la manière dont elle se colle à moi, je comprends bien qu’elle est excitée. Afin de rompre le silence, elle me dit en souriant :



Mes caresses se font plus insistantes autour du plug et je me décide à passer la main sous sa robe pour lui caresser la chatte.

Je suis amusé par son regard qui semble dire « fais attention, on pourrait nous voir », compte tenu de ce qui se passe autour de nous. Mais mes doigts sont déjà trempés.


Un « bonsoir » nous interrompt et un homme engage la conversation. Stéphanie ne le sait pas, mais j’ai déjà échangé avec lui régulièrement. Il se prénomme Antoine et il connaît son rôle potentiel dans le déroulement de la suite.

Antoine demande à ma femme si nous venons souvent et si nous apprécions la soirée. Ma femme est légèrement tendue, je ressens son stress dû au premier vrai échange que nous avons avec un participant à la soirée depuis notre arrivée. Le spectacle ne s’est pas arrêté pour autant. Un des partenaires a éjaculé dans la bouche de la suceuse et un autre a pris sa place.

Tout en regardant le spectacle, il demande à ma femme :



Sous-entendu : faire comme celle qui se trouve au milieu de la pièce. Elle lui répond qu’elle ne sait pas, qu’elle ne pense pas en être capable…


Histoire de respirer un peu, nous retournons au bar. Nous prenons un verre quasiment sans parler. Tout cet environnement nous trouble. C’est très excitant et un peu terrifiant en même temps.

Antoine nous rejoint. Le changement de cadre rend la conversation plus facile. Il l’interroge précautionneusement pour connaître sa réaction à la scène à laquelle nous venons d’assister.



L’affirmation d’Antoine ne semble pas laisser ma femme indifférente, elle se love contre moi tout en rougissant légèrement.

Je profite du moment pour m’éclipser brièvement et vérifier que le salon privé sera bientôt prêt, ce qui m’est confirmé à l’accueil. À mon retour, je constate qu’Antoine et ma femme n’ont pas bougé et que la conversation se poursuit calmement. Je décide alors de faire monter un peu la température en lui attrapant les fesses et en massant son cul à l’aide de son bijou. Stéphanie accepte la caresse sans même hésiter.


Quelques minutes plus tard, un membre du personnel vient nous informer que le salon que j’avais réservé est ouvert.


Antoine, s’adressant à ma femme :



Au moment de s’éloigner, j’indique à Antoine où se trouve le salon, et lui dit qu’il peut passer voir si elle s’occupe bien de moi. Mais ça, il le sait déjà.

Stéphanie a l’air de prendre cela pour une simple provocation de ma part.


Nous nous rendons donc au salon. Un canapé et un grand futon sont installés en face-à-face dans une pièce décorée simplement mais avec goûts. Je pousse la porte derrière nous sans toutefois la fermer complètement.

Je demande à Stéphanie si cette situation l’excite, ce qui est le cas. Seuls dans la pièce, je retire sa robe après quelques hésitations de principe de sa part. Mes doigts trouvent sa chatte inondée. À partir de là, difficile de nier l’excitation.

Je libère ma queue. À peine assis sur le canapé, ma douce est déjà en train de s’occuper d’elle avec sa bouche. À sa manière de sucer, je ressens encore un peu plus son excitation.

Tout occupée à sa tâche, Stéphanie n’a pas remarqué la porte s’entrouvrir et notre partenaire de discussion s’installer dans l’embrasure de la porte derrière elle.



À ces mots, je sens le frisson qui parcourt son dos. Elle a bien sûr reconnu la voix et qui est le voyeur. Pour garder le feeling de la soirée, je mets doucement, mais assez fermement, les mains de part et d’autre de sa tête en retenant ses cheveux pour lui indiquer de reprendre sa fellation, ce que Stéphanie fait après seulement quelques secondes.

Elle me suce toujours aussi bien, mais je la sens légèrement perturbée, alors je me dis qu’il faut y aller. Je fais signe à Antoine de se rapprocher et de lui caresser la chatte. En fait, il savait déjà quoi faire, dans nos conversations sur un site libertin, je lui avais indiqué ce que j’attendais de lui.


Le premier contact de ses doigts sur la chatte de ma chérie lui envoie comme une petite décharge électrique. Cela a plutôt pour effet de la cambrer, ce qui rend son petit cul plugué encore plus désirable.

Très vite, je la sens sucer plus fort, respirer plus fort, alors qu’il est en train de la fouiller avec ses doigts. Je fais signe à Antoine d’enfiler un préservatif et de venir la prendre.

Depuis qu’il est entré dans la pièce, Stéphanie ne l’aura finalement presque pas vu, tout occupée qu’elle est à poursuivre sa fellation.

Antoine prend possession de sa chatte calmement, les va-et-vient de sa queue produisent rapidement leurs effets sur Stéphanie qui alterne moments d’abandon et retours gourmands à la fellation qu’elle me prodigue.


Avec ce qui se passe, pour moi aussi, l’excitation vient, trop rapidement, alors je me retire de sa bouche ; je ne le lui ai pas dit, mais j’ai pris la décision de faire très attention à ne pas éjaculer avant la fin de cette soirée. Je sais très précisément comment je veux qu’elle se passe pour la faire jouir.

À peine me suis-je retiré de sa bouche qu’Antoine a quitté son sexe, retiré son préservatif, et vient mettre sa queue devant la bouche de Stéphanie qui l’avale aussitôt.


La vision de ma femme en train de sucer une autre bite pour la première fois est certes un peu étrange mais divine. Je me dis qu’elle est décidément une très belle suceuse, alors, pourquoi s’arrêter en si bon chemin ?

Je prends le temps de calmer mes sensations en buvant un verre. Difficile avec le spectacle qui s’offre à moi.

Une fois calmé malgré tout, je reviens vers les amants, je retire le bijou du cul de ma chérie (elle sera trop serrée pour mon excitation) et je m’enfonce doucement dans sa chatte. Je l’entends gémir la bouche pleine. Alors que jusque-là les choses s’étaient passées presque sans mots, je lui demande si elle aime. J’ai le droit à un oui prolongé qui confirme ce que m’avait laissé supposer son sexe détrempé. Ce oui m’excite et me donne envie de voir si son cul sera tout aussi accueillant. Tout en continuant à la prendre, je commence à masser le plus serré de ses orifices qui cède rapidement sous la caresse. Caresse à un doigt puis deux.


Excitée par le traitement que je lui inflige, Stéphanie éprouve de plus en plus de difficulté à sucer Antoine, laissant sa tête reposer sur son bas-ventre tout en continuant à le masturber avec sa main.

Le temps d’aller chercher le lubrifiant, de mettre un préservatif, et je suis dans son cul. Je crois que c’est à ce moment qu’elle a définitivement basculée dans la soirée. Une bite dans le cul, une autre dans la bouche… Stéphanie découvre les sensations de son corps en mode salope, en salope réelle, sans sex-toy pour ersatz. Stéphanie s’est mise à sucer Antoine comme jamais elle ne l’avait fait, y compris avec moi, jouant avec sa queue, en en léchant le gland et en le regardant droit dans les yeux pendant qu’elle lui inflige ce traitement.

Ayant capté le changement et profitant d’une petite accalmie, je reviens vers sa bouche pour me faire sucer.


Comme convenu lors de nos préparatifs, Antoine en profite pour s’esquiver discrètement et entrouvrir la porte. Tout occupée à son excitation, Stéphanie le remarque à peine, juste le temps qu’il revienne prendre possession de son cul à son tour.

Quant à moi, j’ai vu les deux nouveaux arrivants, complices habituels d’Antoine, se déshabiller discrètement, et commencer à se masturber en la regardant sucer, enculée jusqu’à la garde.


Je fais signe à l’un d’eux d’approcher. Ses lèvres quittent ma queue et je fais un peu de place au nouveau. Stéphanie me regarde inquiète quelques secondes pendant qu’il s’installe pour mettre sa queue juste devant sa bouche. Je lui souris pour l’encourager.



Encouragée par mes paroles, Stéphanie prend alors cette nouvelle bite dans sa bouche.


Je me rapproche d’elle, lui caresse le dos et lui demande si elle se rappelle de la femme du début de soirée.

Je lui fais remarquer que c’est à son tour d’être prise de cette manière.


Antoine renchérit :



Le dernier participant s’approche alors, caresse à son tour les seins de ma femme avant de demander à celui qui est dans sa bouche de lui laisser la place. Cette fois-ci, Stéphanie n’hésite même plus et l’avale tout de suite.


Dès lors, la conversation s’installe entre ses baiseurs…



Le vocabulaire manque certainement d’originalité, mais qu’importe puisqu’il a le mérite de l’exciter et de nourrir ses fantasmes de soumission.


Antoine se décide à abandonner son cul, ce qui me donne l’opportunité d’aller vérifier qu’elle est toujours aussi excitée en glissant mes doigts dans son intimité. Je n’ai pas souvenir de l’avoir vue aussi trempée. La cyprine inonde littéralement son sexe, coule sur mes doigts.


C’est le moment de rejoindre le futon. Je fais lever Stéphanie, la prends par la main pour la guider vers l’un de ses nouveaux complices qui s’est allongé sur le dos. Stéphanie guide immédiatement sa queue vers son sexe. Sans mots, tellement cette situation a été fantasmée depuis plusieurs années, Stéphanie a compris que j’allais la sodomiser pour qu’elle goûte enfin à une vraie double pénétration. Instinctivement, elle s’est penchée en avant pour me faciliter l’accès à son cul.

L’excitation a fait son travail, et c’est sans difficulté que mon sexe investit son cul. La sensation du conduit étroit n’est pas complètement nouvelle, mais cette fois-ci les mouvements de son amant du jour dans son vagin, le fait de la savoir prise réellement par deux hommes en même temps, rendent la situation terriblement envoûtante.

La pénétration dure quelques instants sous le regard d’Antoine et de son complice, mais je sens que je ne peux pas tenir très longtemps. Je laisse donc ma place, presque immédiatement remplacé.


Le spectacle est presque surréaliste, je vois ma femme, mon amoureuse, celle qui partage ma vie depuis vingt ans baiser, jouir de tous ses trous. Les images pornographiques, mes propres fantasmes d’il y a quelques jours me semblent fades à côté de cette vision. Jamais elle n’aura autant été ma salope et ne m’aura autant excité.


Mes sensations physiques étant un peu calmées, je reviens sur le couchage, la fais se redresser un peu et lui glisse ma bite dans la bouche. Stéphanie en est à trois bites en même temps. Celui qui baise son cul finit par éjaculer dans sa capote.


Et c’est Antoine qui vient le remplacer. Ce moment est trop intense et elle demande grâce dans un dernier orgasme.

Stéphanie, allongée sur le dos, les préservatifs retirés, les amants viennent l’entourer et se faire sucer à tour de rôle.

Un premier voit son plaisir l’amener à l’éjaculation, il se retire de sa bouche pour éjaculer sur ses seins, puis c’est au tour d’Antoine de faire la même chose.


Comme convenu, ils quittent discrètement la pièce, nous laissant seuls. Comme je l’avais envisagé, je n’ai pas encore éjaculé. Après avoir laissé Stéphanie se reposer quelques minutes, je reviens prendre possession de sa chatte. Elle aime ça, me le dit. Elle rit presque nerveusement de toutes ces sensations accumulées.


Stéphanie sent la transpiration, le sperme, bref le sexe cru, hard, ce qui la rend encore plus désirable. Je sens pour quelques instants encore ma queue dans sa chatte complètement ouverte, trempée. C’en est trop pour moi et je me libère dans une très longue éjaculation.



Le retour à la maison dans la voiture se fait dans un calme presque étrange. Elle ne dit presque rien mais à son sourire discret, je sens que quelque chose a basculé et je sens que l’on va remettre ça.

Finalement, elle s’endormira dans la voiture, et je la conduis jusqu’à notre chambre ainsi. Le lendemain, les effluves de cette nuit de sexe sont toujours perceptibles sur sa peau, preuve que la soirée de la veille n’était pas l’un de nos rêves érotiques. Ce qui nous amènera à engager un nouveau round à deux dès le réveil.