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n° 22632Fiche technique45086 caractères45086
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Temps de lecture estimé : 34 mn
12/09/24
Présentation:  Un récit fort classique et plutôt très soft.
Résumé:  Deuxième jour de vacances, je déambule sur la plage en ce milieu d’après-midi. Si je continue sur la même trajectoire, mon chemin va bientôt longer un groupe de jeunes femmes ou de jeunes filles, je ne distingue pas trop.
Critères:  fh jeunes grosseins vacances fête plage
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Big Beautiful Boobs

Un récit fort classique et plutôt très soft. Bonne lecture : )



Nata



Deuxième jour de vacances, je déambule sur la plage en ce milieu d’après-midi. Si je continue sur la même trajectoire, mon chemin va bientôt longer un groupe de jeunes femmes ou de jeunes filles, je ne distingue pas trop. Je m’approche un peu plus. Elles sont quatre : une rousse, une blonde, une brune et une châtaine, un parfait quatuor. Leurs têtes se tournent parfois vers moi. Il est vrai que je ne suis pas rachitique et que je m’entretiens, sans être toutefois une machine à muscles. De plus, ma haute stature me fait remarquer.


Tandis que je m’avance vers ce groupe assis au sol, mon attention est attirée par l’une des filles, une brunette qui me rappelle vaguement quelqu’une, mais je n’arrive pas à cerner où et quand. Elle ne peut pas être une de mes élèves, trop âgée, vu que je m’occupe de pré-ados. Petite précision, je suis prof, mais je n’ai qu’une seule année d’activité réelle à mon compteur, les remplacements que j’ai pu faire auparavant étant trop éclectiques.


J’infléchis légèrement ma marche pour mieux regarder cette brunette qui m’intrigue. La plupart des filles semblent glousser en me voyant venir vers elles, torse nu. Seule la brunette reste impassible, drapée dans un paréo bariolé.



Poursuivant ma marche vers le groupe, je m’approche un peu plus, dévisageant toujours la brunette. Soudain quelque chose en moi fait tilt :



Je me plante à deux mètres de la jeune femme qui me scrute en fronçant des sourcils, puis son visage s’illumine :



J’avance de deux pas :



Tandis que je m’accroupis, une rousse en bikini rouge demande :



Nathalie explique :



Puis, après les présentations, nous discutons tous les cinq, comme si de rien n’était. Tout y passe, les goûts, les couleurs, les activités du coin. Un truc m’intrigue :



Nathalie a un petit sourire crispé. Aurais-je dit quelque chose qu’il ne fallait pas ? Gouailleuse, sa voisine la pousse du coude :



Son autre voisine insiste, affichant un petit sourire en coin :



Un sourire crispé aux lèvres, Nathalie soupire :



Intrigué, je demande :



Elle ouvre son paréo, pour révéler un bikini très classique, et surtout me faire découvrir la plus extraordinaire paire de seins lourds enrobés de tissu que j’ai pu voir de mon existence, du moins en vrai, pas sur papier ou sur écran ! Une parfaite explication de la loi de la gravité !



Tandis que Nathalie referme prestement son tissu, sa blonde voisine explique à sa place :



Après avoir renoué son paréo, ma copine d’enfance ajoute :



Je me fige sur place. Légèrement inquiète, Nathalie demande :



Comme j’ai de longs bras, je pose mes mains sur ses épaules :



J’explique l’idée saugrenue qui m’a traversé l’esprit :



Se souvenant sans doute de note enfance commune, Nathalie se met à sourire :



La rousse demande :



Toutes les filles se mettent à rire :



Puis nous continuons à parler d’un peu de tout et de n’importe quoi. J’évite de trop regarder dans la direction de ma copine retrouvée, car mes yeux auraient une fâcheuse tendance à viser plus bas que les siens, d’autant que son paréo est assez entrouvert, ce qui m’offre un mignon spectacle.


Soudain, j’ai droit à un comparatif des maillots de bain. Je fronce des sourcils : j’espère que je ne vais pas être obligé de faire un jugement de Pâris, le prince troyen qui a dû donner la pomme à la plus belle des Déesses, ce qui a entraîné ensuite bien des dégâts, dont on parle toujours trois mille ans plus tard !


Je respire quand je constate que la conversation n’en prend pas le chemin. Elles discutent de maillots une-pièce, et Nata ne semble pas partisane de ce genre de vêtement. Intrigué, je demande :



Amusée, sa voisine intervient, en faisant plein de gestes :



J’essaye d’imaginer :



Devançant Nathalie, la blonde s’exclame :



Je ne pensais pas qu’avoir une poitrine hors norme pouvait poser ce genre de souci. En tant qu’homme souvent travaillé par ses hormones, je ne vois que l’intérêt sexy et libidineux de la chose, pas les à-côtés de la vie courante.




Baignade



Nous discutons d’un peu de tout et de rien. Dans la foulée, j’apprends que Nata n’a pas mis un pied dans l’eau, craignant d’avoir des ennuis. Saisissant cette opportunité, je me redresse, puis je tends la main à ma copine retrouvée :



Avec une lenteur calculée, elle me scrute de haut en bas, puis de bas en haut, presque comme si elle avait des rayons X à la place des yeux :



Amusée, elle agrippe ma main :



Toujours assise sur le sable, révélant (selon mon point de vue) une splendide vue dans son décolleté, la blondinette lance :



Ayant eu une assez bonne éducation par mes parents, je tourne momentanément le dos tandis qu’elle ôte son tissu. Puis, sans la regarder, je tends le bras derrière moi :



La dénommée Béatrice s’exclame :



S’aidant de ma main, ma copine d’enfance se lève :



Pour toute réponse, je ris de façon étouffée. Du coin de l’œil, je regarde ma voisine, dont je tiens la main dans la mienne. Oh purée (pour ne pas dire autre chose), c’est vrai qu’elle a une sacrée artillerie sur le devant de la scène ! C’est dingue de chez dingue ! Je comprends mieux pourquoi des tas de bonhommes veulent s’agglutiner en masse autour de ses masses.


J’en ai des sueurs chaudes et froides, et si je ne fais pas attention, mon chapiteau va se lever ! Vivement que je sois dans l’eau !


Mais dans l’eau, ce n’est pas moins dangereux pour la libido ! Car à ma grande stupéfaction, je constate que les seins de Nathalie flottent carrément, telles deux bouées au gré des vaguelettes, ce qui rend le spectacle très lascif !


Je m’en étonne ouvertement :



Devant cette démonstration peu glamour, je proteste :



Je m’immerge jusqu’au cou :



Mi-figue mi-raisin, ma copine d’enfance répond :



Puis je m’éloigne un peu, afin de ne plus avoir ces deux masses flottantes tentatrices, et faire en sorte que la situation devienne moins tendue dans mon maillot de bain. Éloigné de quelques mètres, je tourne en cercle autour de Nathalie qui s’en amuse :



Je lui demanderais bien ce qu’elle fait pour entretenir ses seins, mais ce ne serait pas diplomate de ma part, d’autant qu’elle est complexée. Justement, ça serait bien qu’elle soit fière de ses deux appas. Une mission pour Super-Vévé !


Tiens, je retombe en enfance !


Quoique, ce n’est pas plus mal. Être un adulte n’est pas toujours joyeux. Quand on est petit, on veut devenir grand, et quand on est grand, on regrette souvent de ne plus être petit. Éternelle insatisfaction !


Nous continuons de discuter à distance. Nata se détend peu à peu, elle semble apprécier le fait de se baigner et aussi ma présence à ses côtés. Je me souviens de notre enfance, de nos jeux, de la fillette qu’elle était alors, assez grande et fine, souvent en mode garçon manqué. En une grosse décennie, il y a eu du changement !


La voix de Nathalie me tire de la rêverie :



Nous sortons de l’eau, nous dirigeant vers le groupe des filles restées sur la plage. Alors que nous nous approchons, elles nous accueillent par des :



Fronçant des sourcils, mains sur les hanches, Nathalie les gronde. Moi, ça m’amuse. Nous nous séchons, puis nous nous asseyons afin de discuter. Je constate que ma copine d’enfance a conservé sa serviette sur ses genoux, mais n’a pas remis son paréo, m’offrant une vue non négligeable sur ses lourds lolos.


Nous retournons deux fois dans l’eau, une fois avec tout le monde et l’autre uniquement à deux. Puis le soleil déclinant, Nathalie me propose de nous revoir demain matin et de passer la journée ensemble.




Une journée entière



Le lendemain, je me présente sur la plage à l’heure dite. Comme il est assez tôt, il n’y a pas grand monde aux alentours et pas de trace de Nata. Mais comme nous sommes en vacances, la ponctualité n’est pas forcément de mise.



Je me retourne, elle est là, toute seule, enveloppée dans le même paréo qu’hier, avec à la main un grand sac. Je m’en étonne :



Je hausse un sourcil, doublé d’un sourire :



Un peu hautaine, elle passe devant moi :



Tournant la tête vers moi, Nathalie fronce des sourcils :



Elle se rappelle et s’en amuse :



Je me retiens de dire que, maintenant, Nathalie forme une sacrée paire à elle toute seule. Décidément, je fais une fixette sur sa poitrine, mais un homme comme moi qui ne déteste pas les lourds lolos ne peut qu’être fasciné par ce qu’il a sous les yeux. N’empêche que de tels seins sur une jeune femme de corpulence moyenne, ça détonne sérieusement.


La matinée se passe très bien avec diverses baignades et parlottes. Le midi, j’invite Nata à déjeuner en terrasse. Elle proteste pour payer sa part. Je m’en sors par une boutade :



Après le repas, nous retournons lentement vers la plage. Nous passons à côté d’un cabinet médical, un déclic se fait en moi : ça va me donner un bon prétexte pour poser une question qui me turlupine depuis un certain temps.


Pour appuyer mes dires, je montre la plaque du cabinet :



Je comprends son point de vue. Lentement, nous arrivons au bord de la plage. Perchée en haut de la petite digue, près de la descente qui mène au sable, Nata balaye lentement du regard le rivage. Soudain, elle s’exclame :



Profitant du contexte, choisissant mes mots, j’entraîne la conversation sur un terrain assez glissant, tout en ajoutant à ma phrase une tonalité amusée :



Je crois qu’un certain nombre de filles avides de notoriété auraient été ravies de lire ce genre de papier, puis d’apposer leur signature en dernière page. Mais dans le cas de Nata, les demandeurs ont sûrement fait chou blanc.



C’est vrai que j’aimerais beaucoup voir Nata accourir vers moi, les lolos à l’air. Je suppose que ça doit joyeusement bringuebaler et s’entrechoquer dans tous les sens ! Oui, j’adorerais voir ce genre de spectacle, mais Nathalie n’est certainement pas disposée à me faire ce genre de petit plaisir visuel.


Bien que j’essaye de chasser cette scène de mon esprit, elle revient tout le reste de la journée. C’est épuisant, d’autant que c’est foutrement excitant !


La vie est vraiment mal faite : ma copine d’enfance est carrément la concrétisation de mes fantasmes, mais c’est comme si elle était une somptueuse pâtisserie protégée par une triple couche de verre blindé !


Oui, la vie est vraiment très mal faite !


Autres jours


Plus je fréquente Nathalie, plus je la trouve à mon goût et ça ne se limite pas qu’à ses appas en devanture. Il lui reste encore quelques traces de méfiance envers ma personne, puisque je suis un homme et que la plupart des mâles qu’elle a fréquentés ne voyaient que ses lourds lolos. Je ne peux pas les en blâmer, car je suis un peu dans le même cas.


Honnêtement, je reconnais que les seins de Nata ont été le « produit d’appel », puis je me suis fortement intéressé à ce qui les entourait, aidé par ma relation d’enfance avec elle.


Néanmoins, Nata m’a globalement accepté, même si parfois, elle part dans des suspicions étranges, dont elle s’excuse ensuite. Le plus amusant dans l’histoire est qu’elle me balance des reproches totalement infondés, alors qu’elle aurait pu me récriminer pour d’autres nettement plus fondés. Un exemple parmi d’autres : elle persifle quand une blonde élancée et mince entre dans mon champ de vision (alors que ce n’est pas mon type de femme), mais elle ne dit rien quand c’est une femme brune à forte poitrine qui fait la même chose !


Je ne cherche pas à comprendre. La logique féminine m’échappe de temps à autre.


En tout cas, elle ne cache plus trop ses courbes quand je suis avec elle, son paréo ne lui servant quasiment à plus rien sur la plage. Et moi, je profite du spectacle de ses belles masses qui oscillent agréablement sous chacun de ses mouvements. En contrepartie, c’est pénible pour le contrôle de mon cinquième membre !


En revanche, je n’arrive toujours pas à me faire à ce phénomène de flottaison ! Il y a indéniablement un côté incongru, étrange, mais ultra-bandant à la chose. Je suis avide de voir ce que ça pourrait donner dans une baignoire remplie de mousse ! Rien que d’y penser… houlà !


Nous passons nos journées à la plage à alterner sable et eau. Le midi, parfois c’est pique-nique, parfois c’est brasserie. Jamais nous n’avons eu un souci de conversation, comme si elle et moi étions connectés sur la même longueur d’onde. Nata l’a d’ailleurs remarqué :



Allongée sur sa serviette, Nata poursuit :



Ma copine d’enfance se moque de moi :



Elle se met à rire, je l’accompagne.


Ainsi passent nos journées, avec parfois la présence des copines, ce qui m’empêche de trop zieuter Nata. Un peu jalouse, celle-ci me surveille du coin de l’œil, pensant sans doute que je vais profiter de l’aubaine pour mater ou draguer ses amies. Oui, elles sont mignonnes, voire belles, mais aucun n’égale ma Nata à moi.




Se jeter à l’eau



Il ne reste plus que quatre jours avant le retour à la vie normale. Comme de coutume, Nathalie et moi sommes en train de barboter dans la mer.


C’est alors que je me jette à l’eau au sens figuré :



Immergée jusqu’au nombril, elle me regarde avec des grands yeux ronds :



Elle me regarde toujours avec des grands yeux ronds :



Je m’approche d’elle, assez pour poser mes mains le long de ses bras :



Je constate qu’elle a simplement évoqué la distance. Elle aurait pu couper court en me disant qu’elle n’éprouve rien de rien pour moi, mais elle ne l’a pas fait. Ce qui est bon signe ! Nathalie m’oppose un petit sourire crispé :



Sans se dégager de l’emprise de mes mains sur le haut de ses bras, elle m’adresse un petit sourire un peu narquois :



Je la gronde faussement :



Elle ouvre de grands yeux :



Puis pour couper à la conversation, car je suis un gros primitif sans cervelle, je la plaque contre moi, tout en l’embrassant fougueusement. Je ne crois pas l’avoir entendu dire des choses comme « arrête » ou « stop » …




Argumentation



Quand nos lèvres se dessoudent, je flotte sur un petit nuage, même si une partie de mon cerveau se demande si ma joue ne va pas récupérer une gifle ! Mais pour l’instant, rien ne vient. En revanche, Nata me regarde avec de gros yeux tout ronds :



Elle cligne des yeux :



Elle ne répond rien, un peu perdue. Son corps tout doux et tout mouillé toujours contre le mien, je la regarde intensément :



Son regard change brusquement, il se durcit :



Je la serre un peu plus contre moi :



Obtuse, elle insiste, tout en se dégageant de mon étreinte :



Nathalie reste interdite quelques secondes, j’en profite pour mettre les choses au point :



Je suis en train d’abaisser mon maillot de bain, révélant une verge déjà en pleine forme :



Elle se met à pouffer :



Elle se met à rire. Je la capture à nouveau dans les bras, ma verge bien droite plaquée sur son ventre. J’attends un peu avant de l’embrasser à nouveau. Je ne me suis pas du tout pris de façon bien réglementaire, mais comme on dit, seul le résultat compte !



Un peu confus, je remballe la marchandise, mais pour ma grande joie, Nata me fait comprendre illico qu’elle souhaite un autre baiser de ma part. Le visage levé vers le mien, elle reste plaquée contre moi, sans ajouter un mot, mais son attitude est clairement demandeuse. Il ne faut jamais faire attendre une femme en pareil cas.


Nous avons passé le reste du séjour à flirter gentiment, sans aller trop loin, mais sans rester toutefois trop sages. J’ai eu droit plusieurs fois à l’immense plaisir de dévorer ses seins et de croquer ses tétons. Et même si par hasard nous avions franchi le pas, je ne l’aurais certainement pas clamé sur tous les toits. Ça ne concerne que nous deux, Nata et moi.




Après les vacances



La période qui se situe après les vacances est toujours très critique en ce qui concerne les amours d’été. La plupart du temps, ça se solde par une rupture ou un délitement des sentiments, souvent pour deux raisons principales : l’éloignement géographique et le retour à la normale, loin des conditions idylliques.


Presque chaque week-end, je viens voir ma Nata à moi. Environ cent cinquante kilomètres, aller-retour, ça va encore. Encore heureux qu’elle se soit un peu rapprochée de sa région natale, car dans notre enfance, son père avait été muté plus loin.


Nathalie est partagée : elle est très heureuse que je vienne souvent la voir et que je lui téléphone quasiment chaque jour (ou que ce soit elle), mais en même temps, elle a de gros doutes sur la pérennité de notre relation :



À chaque fois, je me retiens de lui signaler qu’elle pourrait argumenter avec sa poitrine, mais ce ne serait pas diplomate, vu son complexe. Un beau jour, à l’approche de Noël, j’ai droit à une explication sur le sujet :



Elle me regarde d’un air suspicieux :



Je respire un grand coup avant de lâcher :



Sa réponse fuse aussitôt, lourde de menaces :



Sa voix devient dangereusement doucereuse :



Elle souhaite mettre de l’huile sur le feu, et je n’ai pas trop envie de m’écraser devant elle :



Abusant de ma supériorité physique, je la capture dans mes bras pour la presser contre moi, ce qui a pour effet que je sens fort bien sa voluptueuse poitrine et que quelque chose qui se manifeste déjà plus bas dans mon anatomie. Elle proteste :



Le ton impérieux de ma voix la radoucit un peu :



Je ne continue pas, je me contente de la garder captive dans mes bras, profitant de la douceur de ses volumes. C’est elle qui rompt le silence :



Elle me regarde avec des grands yeux :



Cette tête de mule n’avouera jamais rien ou si peu. Je continue :



Spontanément, elle s’exclame :



Quatre mois, en effet, mais quatre mois bien remplis. Je réponds à ce contre-argument :



Je laisse en suspens ma phrase, quelque chose vient de faire tilt en moi :



Je respire un grand coup :



Ses yeux brillent, elle devient égrillarde :



Inutile de préciser que nous avons ensuite expérimenté cette allégorie de la vis et de l’écrou. Et ce n’était pas la première fois…




Soirée et tenue



Nata a passé Noël en famille, et moi aussi, dans la mienne. Mais le réveillon de Saint-Sylvestre nous est réservé, et c’est prévu pour ce soir, dans la contrée de notre enfance qui est encore la mienne. Mes parents ayant des obligations, Nata et moi allons en quelque sorte les remplacer. Depuis notre explication, ma chérie se pose moins de questions sur notre avenir commun, elle semble avoir pris confiance. De mon côté, mes sentiments n’ont pas changé, c’est avec elle que je veux vivre, j’en suis certain. Mon éventuelle mutation semble sur de bons rails. Bref, tout va bien.


Nathalie est en train de se changer, elle essaye la robe que nous avons commandée à deux sur le web et que j’ai reçue hier chez moi. Elle n’a pas souhaité l’essayer tout de suite. Assis dans le canapé, j’attends qu’elle sorte de notre chambre.



WAOW !! Ça, c’est de la robe longue noire ! Magnifiée par celle qui la porte ! Un beau dos nu et devant, un vertigineux décolleté qui s’échancre très bas, poussé par deux masses somptueuses. Juste en dessous des seins et au-dessus du nombril, ce décolleté est momentanément refermé par un anneau doré rond qui ne demande qu’à céder, puis repart juste en dessous sous la forme d’un étroit ovale qui dévoile un peu plus de chair rose légèrement bronzée. Avec le jeu d’ombre, j’ai l’impression que ses seins viennent taquiner le haut de son nombril, aidés par le poids et la gravité.


C’est torride, je bande déjà !


Ça m’apprendra à aimer les gros lolos et à contempler actuellement la catégorie supérieure. C’est à la fois sexe, classe et un zeste vulgaire. Je sais, ça semble antagoniste, mais c’est l’effet que produit sur moi cette tenue, ou plutôt la femme qui est dedans.


Je suis tiré de ma contemplation par la voix de Nathalie :



Je hausse un peu le ton de ma voix :



Nathalie se souvient de cet épisode :



Ne semblant plus faire attention à sa tenue un peu trop sexy au décolleté fort ravageur, ma petite amie explique :



Amusé, je croise les bras :



Puis, ma compagne fronce des sourcils :



J’explique un peu cyniquement :



Lentement, je m’approche de ma compagne. Je dépose un gros baiser dans son décolleté :



Nathalie rougit un peu :



Je la capture dans mes bras, je constate que le tissu est très fin, ce qui fait que je sens distinctement sa peau sous mes doigts. J’ai une envie folle de lui arracher sa robe sur le champ et de lui faire l’amour durant toute la nuit !


Mais nous sommes attendus. Ce sera juste partie remise. Alors je me contente de l’embrasser fougueusement, me pressant comme un fou contre son corps si rempli de formes appétissantes ! Cette femme me rendra totalement fou, c’est indéniable !




Retour de soirée



Tout s’est fort bien déroulé : présentation, dîner, danse, etc. Mis à part une poitrine fort avantageuse, sans doute la plus avantageuse de la soirée, ma compagne ne dépareille pas du tout parmi les autres femmes présentes en même temps que nous. Il est largement temps de partir de cette soirée, ce que nous faisons. Nous disons au revoir à diverses personnes, puis nous quittons la salle. Comme à l’aller, je m’installe derrière le volant. Une fois la voiture démarrée, Nathalie se détend :



Elle module son compte-rendu :



Je lui explique mieux ma façon de voir :



De retour à mon appartement, la porte refermée derrière nous, j’en profite pour la capturer aussitôt dans mes bras et la plaquer contre mon torse, puis je l’embrasse fiévreusement.


Peu après, nous sommes tous les deux nus sur le lit. J’ai réussi l’exploit de lui enlever sa robe sans la déchirer, malgré ma fébrilité ! De plus, ce serait bien que cette robe resserve prochainement pour diverses occasions. Tandis que je l’embrasse partout, Nata se met à rire :



Je ravage ses seins si lourds, elle glousse :



Tout en caressant mes cheveux, elle argumente :



Elle se met à glousser :



Comme ceci est une histoire soft et que je suis pudique (Nata plus que moi), pas de détail sur ce qui se passe entre ma dulcinée et moi. Néanmoins, je peux dire que j’ai abusé de ses seins puis de son corps de diverses façons, avant d’avoir l’immense plaisir de venir jouir en elle. Du grand classique, je suis un homme normal ayant des envies normales.


Ça évoluera peut-être par la suite, qui sait…


Pour le premier final de cette nuit, j’avoue avoir un peu hésité entre être en elle ou me laisser aller à des fantaisies espagnoles entre ses deux belles masses, choses que j’ai souvent faites lors de petits coups rapides.


Oui, je sais, je suis très fana de ses lolos, de les embrasser, de les lécher, de les sucer, de les goûter, de les croquer, de les dévorer, et j’en passe. De plus, maintenant quand nous sommes à deux, Nata oublie souvent de mettre un soutif sous ses habits, et moi, je possède deux mains très baladeuses et une bouche vorace.


Cette nuit, nous avons, elle et moi, joui plusieurs fois, et le moins que je puisse dire est que je suis complètement vidé, plus une seule goutte ! Et malheureusement, ça ne se recharge pas avec une seringue ou un entonnoir.


Nous sommes blottis l’un contre l’autre, moi sur le dos, elle sur le côté, avec un sein lourd qui repose lascivement sur mon torse. Avec ses attributs particuliers, c’est une chose possible. Bien sûr, je caresse cette belle masse moelleuse.


C’est elle qui rompt le silence :



Je suis très satisfait par ce qu’elle vient de dire. Je plaisante :



Je me gratte la tête :



Bien qu’émue, Nathalie décide de se moquer de moi :



D’un bond, elle se vautre sur moi, son visage au-dessus du mien :



Alors que nous nous apprêtons à nous embrasser, elle se fige :



C’est un aspect des choses que je n’avais pas vu venir, mais que je demande à voir, et si possible, assez rapidement…