n° 22636 | Fiche technique | 8411 caractères | 8411 1432 Temps de lecture estimé : 6 mn |
15/09/24 |
Résumé: Une femme raconte à son chéri sa première fellation | ||||
Critères: fh jeunes couple copains école fellation init | ||||
Auteur : SulfurousGuy Envoi mini-message |
Projet de groupe : Les premières fois |
Mon sexe se perdait entre ses lèvres. Tout comme moi. Je n’existais plus qu’à l’intérieur de ce mouvement de chair et de plaisir. Sa bouche m’entourait et me faisait danser en elle. Même l’intérieur de sa bouche était beau. Cette cavité humide m’accueillait avec douceur et j’étais heureux d’être dans cette bouche, qu’elle me fasse l’honneur de s’occuper de moi, qu’elle m’aspire et me lèche avec passion.
Mon pénis était l’objet d’attention de cette femme et cela faisait de moi le plus heureux des hommes. Mon sexe avait le droit à la caresse de ses longs doigts, à ses baisers pulpeux et enflammés, à la chaleur de sa bouche, et au toucher exquis de sa langue sur la partie la plus sensible de mon anatomie. Elle était une artiste et j’étais son chef-d’œuvre. Et chaque seconde qui passait, elle se surpassait dans sa maîtrise du plaisir.
Je voulais faire durer l’instant le plus possible, mais il devenait de plus en plus dur de se retenir. Elle le sentait venir et leva vers moi son regard coquin, savourant sa victoire prochaine. Avec un sourire ravi, elle continua de lécher l’objet de son divin crime. Une vague menaçait de déborder, et elle cerna à nouveau la tige de ses lèvres. Mon bassin se cambra, tout mon corps se rendit et je lâchais en elle le fruit de mon extase, tandis qu’elle aspirait de toutes ses forces.
L’assaut fut un succès, comme à chaque fois. Et même un plus grand, cette fois-ci, me semblait-il.
Épuisée, elle se laissa retomber doucement sur moi et sa poitrine opulente vint presser contre mes pectoraux. Jenny n’était pas une fille comme les autres. Elle aimait sincèrement sucer. Je la suspectais même de préférer la pénétration par la bouche qu’entre ses jolies jambes. Mais je ne lui en soufflais mot : je ne voulais pas qu’elle soit mal à l’aise, et j’étais trop bien avec cette fille. Elle se blottissait sur moi pour faire un câlin, et je l’entourai de mes bras. Je sentais son souffle chaud dans mon cou et j’étais bien. Tandis que ma main s’aventura sur ses fesses, je réfléchissais. Quand est-ce qu’une jeune femme apprend à faire ce genre de chose ? Quand est-ce qu’elle commence à mettre le pénis d’un homme dans sa bouche ?
Lorsque je lui posais la question, elle répondit que sa première fois avait été avec un garçon timide, à l’université. Il n’avait jamais vu, tout comme elle, une personne de l’autre sexe nu. Mais contrairement à lui, elle était curieuse et voulait savoir.
Puisqu’ils avaient confiance l’un dans l’autre, elle parvint, petit à petit, à la laisser voir. C’était dans une salle de classe déserte. Quand elle vit l’instrument hors de sa cachette, elle le trouva hideux. Comment pouvait-on avoir une chose aussi horrible entre les jambes ? Choquée par ce qu’elle avait vu, elle ne voulut pas, pendant des semaines, revoir son ami. Il n’insista pas. Mais à mesure que les jours passaient, elle revoyait ce pénis dans ses pensées. Progressivement, elle ne le trouvait pas si laid. Après tout, c’était comme une main, ou un pied, c’était juste un organe. Lorsqu’il était tendu, il pouvait même avoir un certain style.
Elle se dit qu’elle avait été un peu méchante avec son ami, et que malgré sa timidité, il avait accepté de lui montrer son intimité. Alors elle chercha à le revoir et à retrouver sa confiance, à se faire pardonner. Mais elle ne demanda plus à revoir son pénis. Pendant des mois, ils se virent, mais parlèrent d’autre chose.
Jusqu’à ce qu’un jour, alors qu’ils étaient assis seuls sur les gradins du stade de foot, il lui demande ce qu’elle avait pensé de son engin. Elle pouffa aussitôt, puis se reprit et tenta de répondre sérieusement. Elle lui raconta son dégoût, tout d’abord, puis sa fascination et son attirance pour son sexe qui était à ses yeux bien plus qu’un objet de perversion ou d’abaissement, comme on le laissait suggérer dans la société. C’était une création de la nature, et cela avait son utilité, car les hommes en avaient toujours un, génération après génération. C’était une forme d’œuvre d’art.
Il resta silencieux un long moment pendant qu’ils regardaient l’horizon. Puis il lui demanda si elle aimerait le revoir. Elle pouffa une nouvelle fois, puis réalisa qu’elle était un peu mal à l’aise, sans vraiment savoir pourquoi.
Puis elle repensa à ces dernières semaines où le souvenir du pénis s’était un peu estompé, modifié et remplacé peu à peu par des fantasmes. Puis devant son immobilité, elle se reprit :
Il regarda autour d’eux. Le soir commençait à tomber, personne ne passait ici à cette heure, il était peu probable qu’on les surprenne.
Il défit sa ceinture. Et baissa son caleçon. Elle resta un moment devant, à le regarder. Il avait changé. Ou bien les souvenirs de Jenny n’étaient plus les mêmes. Elle ne le trouvait plus aussi moche qu’avant. Le soleil couchant se reflétait dessus et lui donnait une certaine allure. Leurs regards se croisèrent. L’instant semblait irréel, et pourtant, tous les deux le souhaitaient. Alors, pourquoi ne pas en profiter ?
Elle toucha du bout du doigt le gland déjà bien dressé. Sous le coup de l’émotion, il se montra un peu plus, ce qui la fit sursauter. Elle était fascinée. C’était vraiment doué d’une vie propre.
Mais les yeux du garçon brillaient et elle savait qu’elle avait carte blanche. Ses doigts se refermèrent autour de la chair. C’était chaud et palpitant. Ils restèrent ainsi un long moment, le rouge leur montant aux joues, à tous les deux. Ils aimaient ce qu’il se passait. Ils aimaient ce moment. Elle le fit coulisser dans ses doigts et il ferma les yeux pour mieux sentir. La pénombre s’installait peu à peu autour d’eux, mais ils en étaient à peine conscients, puisqu’ils étaient dans leur monde de découverte.
Elle le masturba doucement. À chacun de ses mouvements, elle le sentait réagir. Et elle-même commençait à mouiller dans sa culotte. Cela l’excitait. Elle réalisa qu’elle aimait avoir le contrôle. Peu à peu, le mouvement s’accrut et elle sentait que quelque chose arrivait. C’était instinctif, comme inscrit dans la mémoire de l’espèce.
Brusquement, le garçon se déversa sur ses doigts. Elle regarda sa main ouverte et poisseuse, intriguée. Elle se sentait comme une sorte de scientifique menant une expérience de biologie humaine. C’était tout nouveau et très intéressant.
Elle le fit venir plusieurs autres fois dans la soirée, mais la source s’était déjà tarie. Les jours suivants, il devint son cobaye et ne se faisait pas prier quand elle voulait le faire. Ils trouvaient un endroit tranquille aux toilettes et ne se faisaient jamais surprendre. Puis un jour, en se léchant les doigts après une séance, elle se dit qu’elle pouvait essayer quelque chose de nouveau.
Cette fois-ci, elle voulait le faire avec la bouche. Mais elle avait besoin de plus de temps pour ça, et d’un espace plus confortable. Alors elle l’invita chez elle. Ses parents n’étaient pas là pendant une semaine, donc personne ne les dérangerait. Elle le fit s’allonger, ouvrir sa braguette et une fois qu’elle eût le joystick en main, elle plongea les lèvres. Ça avait un goût de sel de mer. Ce n’était pas ce qu’elle préférait, mais ce qui l’intéressait, c’était sentir le pénis qui palpitait dans sa bouche et sentir les émotions du garçon.
Elle pouvait accélérer, ou décélérer. Les sensations étaient même démultipliées, avec les lèvres et les muqueuses. À la fois le contrôle, mais aussi la sensation qu’elle avait en bouche et ce qu’elle faisait ressentir a son partenaire. Cela semblait être comme un tsunami de sensations pour lui. Une gigantesque vague de plaisir qui semblait le submerger. Et elle avait maintenant une finesse de contrôle bien plus importante et c’était ça qu’elle aimait. Avoir le contrôle alors que le garçon pensait que c’était l’inverse.
Et c’était ça qu’elle aimait encore aujourd’hui quand elle me le faisait. Depuis l’université, elle n’avait pas revu le garçon, et je lui demandai s’il lui manquait. Elle me répondit que cela lui avait donné l’occasion d’avoir de nombreux pénis différents dans la bouche et qu’elle ne le regrettait pas. Alors, avec un sourire non feint, une fois qu’elle eut fini son récit, elle se redressa sur moi et retourna faire ce qu’elle aimait. En fermant les yeux pour mieux ressentir, je réalisai encore une fois la chance d’être avec une femme comme elle.