n° 22658 | Fiche technique | 9126 caractères | 9126 1591 Temps de lecture estimé : 7 mn |
27/09/24 |
Résumé: Corinne et son mari s’apprêtent à accomplir leur accouplement dominical lorsqu’on sonne à la porte. Ils sont interrompus par une voisine, mais le mari ne l’entend pas ainsi. | ||||
Critères: fh couple noculotte vidéox intermast cunnilingu anulingus pénétratio fsodo humour | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Comme tous les dimanches matin, selon un rituel bien rodé, en bons bourgeois qu’ils sont à la cinquantaine, Chris et Corinne sont nus au lit, un ordinateur portable ouvert devant eux. Ils regardent une vidéo porno pour se mettre en train avant de baiser. C’est leur plaisir dominical depuis que leur fille unique a déserté le cocon familial, ce qui leur permet de donner libre cours à leurs envies. Pas de danger d’être dérangés, plus question de réfréner leurs pulsions vocales. On peut être bourgeois et aimer le sexe. La nature ne les a pas desservis. Chris a perdu ses cheveux, mais il est encore gaillard et pratique même la boxe à ses heures. Corinne est une grande blonde à mèches, vrai canon dans sa jeunesse, mais ses rondeurs dues à l’âge ont été plutôt bien réparties. Chris adore quand elle sort le week-end son caleçon fuseau en coton qui moule sa croupe joufflue juste comme il faut. Pour l’un comme pour l’autre, l’acte sexuel fait partie de l’hygiène de vie.
Chacun a sa vidéo préférée. Corinne a mis dans ses favoris une série d’accouplements avec un noir supérieurement membré en train de pilonner des femmes mûres, dont certaines lui ressemblent un peu.
Chris a privilégié les ébats à quatre de deux couples américains, une blonde volubile et une brune plantureuse, besognées chacune par le mari de l’autre, un brun maigre et un chauve trapu. Des scènes qui rassurent Corinne parce que ces Américaines ont le même âge qu’elle, même si l’échangisme ne l’attire pas. Mais au moins, Chris n’est pas excité par des jeunettes… Comme tous les dimanches, avant de se mettre au lit, elle a attaché ses cheveux et chaussé ses lunettes.
En regardant ces vidéos, ils se branlent mutuellement sous la couette jusqu’au moment où la queue de Chris aura pris le volume suffisant pour satisfaire Corinne.
Mais au moment où précisément, l’épouse, après avoir ôté ses lunettes, va se pencher vers le mari pour le sucer puis l’enfourcher, le sexe bien humidifié par la vision du cul du noir en train de virevolter entre les cuisses d’une blonde charnue (presque son portrait), on sonne à la porte d’entrée.
Elle découvre en bas de chez elle Nelly, sa voisine.
Mais la voisine continue de pérorer et interpelle Corinne, sollicitant son avis, l’assortissant d’un « je ne te dérange pas au moins » que l’auditrice, par faiblesse, ne dément pas et lâche « non non ».
Alors, Chris, excédé et voyant sa queue dégringoler, prend une initiative. Il s’assied par terre, se glisse entre les jambes de Corinne, sous son peignoir de bain, dos au mur et surtout bouche courant sur les cuisses nues de son épouse. Celle-ci regimbe. Elle essaye de repousser l’envahisseur des mains et des pieds, mais Chris saisit ses cuisses avec la force de ses bras musclés et la bouche rencontre la vulve. Corinne a alors un soubresaut et montre, de sa fenêtre, une expression qui alerte la voisine :
Et tandis que Nelly poursuit la lecture du devis avec force commentaires, Chris exerce un cunnilingus vertical sur l’intimité de Corinne, avec l’autorité d’un mari affirmant son privilège conjugal. La tension des cuisses s’est relâchée, les pieds ne manifestent plus un travail de rejet et se sont même légèrement écartés. Chris ne tarde pas à constater, avec satisfaction, qu’un liquide vaginal commence à couler sur son museau. Il complète l’action de sa langue par l’introduction d’un index fureteur dans la fente béante. Le visage de Corinne s’éclaire d’un bref sourire illustrant un plaisir fugace.
Désormais, Chris branle franchement Corinne qui ondule. Elle a même glissé un pied nu sur le bas-ventre de son mari assis et le branle à son tour tout en faisant mine d’écouter sa voisine, le menton sur la main posée sur le rebord de la fenêtre pour contenir ses gémissements. Désormais, la situation l’amuse. Quel cochon, ce Chris ! Lui revient en mémoire quelques scènes comparables, telle cette réunion familiale mortellement ennuyeuse, durant laquelle, assis à côté d’elle à table, Chris avait relevé sa mini-jupe pour atteindre son string. Elle avait pareillement tenté de le repousser, craignant que les autres commensaux découvrent le manège, mais placés en bout de table, ils bénéficiaient d’une relative discrétion. Chris avait commencé à la branler, elle avait écarté les cuisses puis s’était levée brusquement pour aller aux toilettes.
Aussitôt après, Chris s’était levé officiellement pour aller fumer dehors. En fait, il était allé rejoindre Corinne qui l’attendait fesses à l’air dans les toilettes.
Sous le pied de Corinne, la queue de Chris a pris du volume et de la raideur. Et sous la langue de Chris, son clito est devenu en feu. Il faut absolument qu’elle baise, la plaisanterie ne peut plus durer. D’autant que Chris est en train de visiter son anus de son doigt inquisiteur, sachant à quel point, elle est sensible de ce côté-là aussi.
Et dès que fenêtre est refermée, c’est une vraie tempête dans la chambre conjugale. Chris n’a même pas le temps d’atteindre le lit. Corinne jette son peignoir et s’empale à même le sol sur la queue dressée de son mari, couinant en virevoltant et virevoltant en couinant, pénétrée jusqu’à la garde, ses nichons opulents tressautant au rythme de ses coups de reins. Allongé par terre, Chris se régale du spectacle de ce corps pulpeux en mouvement permanent, chignon défait, bouche haletante, regard allumé.
Il y a longtemps qu’il n’a pas vu son épouse dans une telle frénésie érotique. Leurs peaux claquent sous les contacts et malgré l’inconfort de la position au sol, ils persistent à ignorer le lit. Corinne se met même à quatre pattes pour se faire prendre en levrette et Chris est stupéfait de la voir désigner du doigt son petit trou, l’invitant muettement à y entrer. C’est fait assez rapidement, car il l’a déjà bien préparée lorsqu’elle était à la fenêtre et il reçoit son adhésion à grands coups de hanches, tant et si bien qu’il ne peut se retenir d’éjaculer. Elle se cambre, l’essore de légères rotations, tourne la tête vers lui et lui dit :
Un peu vexé, il s’en va à la douche où elle le rejoint, pointes de sein encore dures, bouche encore gourmande. Elle fait mine de le gifler en lui disant :
Chris reconnaît le déni habituel de son épouse lorsqu’elle a pris un gros panard. Ainsi va parfois la vie de couple. Sortir de son ronron permet de rester sexuellement « en prise ». Du reste, Chris se promet, une fois qu’il aura récupéré, de ne pas attendre une semaine pour culbuter Corinne. Elle voulait que ça dure un peu plus ? Eh bien, elle allait être servie. Leur sieste serait crapuleuse.