n° 22666 | Fiche technique | 25006 caractères | 25006 4217 Temps de lecture estimé : 17 mn |
02/10/24 |
Résumé: Depuis un certain temps déjà, j’étais fasciné par cette jeune femme bien en chair qui sévissait dans cette salle de jeux. | ||||
Critères: fh gros(ses) amour init | ||||
Auteur : Foretdorient Envoi mini-message |
Récemment, j’ai retrouvé des photos de moi datant de l’époque où j’étais étudiant. Qu’est-ce que j’étais gauche et emprunté ! Ce n’est rien de le dire, on ne peut que le constater sur ces quelques clichés. Inutile de préciser que mes relations sentimentales et sexuelles étaient à ce moment-là au point mort. Elles l’avaient d’ailleurs toujours été, je n’avais jamais été capable d’enclencher une vitesse. Auprès de la gent féminine, je passais pour une calamité, mes rares amis pensaient même que j’étais pédé. Pour autant, les rares fois où je m’étais fait draguer par des hommes, j’avais fui à triples enjambées.
Le soir, en sortant de la fac, je m’arrêtais souvent dans cette salle de jeux, qui était sur le chemin entre l’université et ma piaule. L’endroit, au demeurant fort peu avenant, avec ses murs lépreux, ses posters déchirés, ses néons maladifs et ses machines bruyantes, était un refuge pour moi, j’y faisais halte pour me détendre après une journée de cours. Mais la raison principale de ma venue en ces lieux n’était pas le plaisir des jeux, c’était avant tout le secret espoir de la rencontrer, elle !
Le gérant de céans était un gros bonhomme nonchalant et taciturne. Outre son goitre, ce qui me choquait le plus, c’étaient ses mollets hyper gonflés que cachaient à peine des pantalons toujours trop courts. Il devait être diabétique ou quelque chose comme ça. Nous échangions à peine trois mots, « Bonjour », « Bonsoir », parfois un peu plus, quand je devais acheter des jetons. Malgré son apparence statique, il ne fallait pas l’emmerder, il virait manu militari le moindre fauteur de troubles, qui se retrouvait tout penaud sur le trottoir, la queue entre les jambes. D’après ce que j’avais pu constater par moi-même, aucun de ces petits coqs ne se permettait par la suite de protester, tous avaient secrètement peur du vieil homme.
La jeune femme que je convoitais était une des nièces du responsable, tout le monde était au courant de ce lien familial qui était de notoriété publique. À l’instar de son oncle, c’était une fille aux courbes plus que généreuses, dont la silhouette obèse dégageait une présence imposante. Sa volumineuse poitrine affolait la plupart des habitués, et son fessier hors normes était à l’avenant. Mais ses gestes brutaux et ses réactions en général mal aimables et agressives en décourageaient plus d’un. Prenant exemple sur son aïeul, la grognasse ne se laissait pas marcher sur les pieds.
Son visage carré aux traits grossiers, encadré de cheveux raides souvent gras et négligés, reflétait une certaine dureté, une carapace qu’elle s’était construite pour se protéger du monde extérieur. Ses vêtements, choisis plus pour leur praticité que pour leur style, étaient souvent sombres et sans fioritures, ajoutant à son allure bourrue de loubarde de banlieue. Elle se déplaçait avec une certaine lourdeur, chacun de ses pas semblant être une affirmation de sa présence et de sa volonté de s’imposer.
Indépendamment de son embonpoint, ce n’était pas une belle femme, loin de là ! Son visage était ravagé par une cohorte d’imperfections bizarres, des acrochordons que je trouvais plutôt moches et qui ne m’auraient pas donné envie de l’embrasser. Pour autant, ses yeux profonds et ténébreux semblaient porter le poids de pensées introspectives et secrètes, cette fille n’était pas qu’une apparence, c’est d’ailleurs ce qui m’attirait chez elle, quelque chose d’intense vibrait derrière sa physionomie abrupte. Elle était indiscutablement différente des autres, probablement plus mure et plus mature et surtout plus réelle, il y avait du vécu derrière son âpreté. Malgré son apparence renfrognée et son attitude réservée, il y avait quelque chose de profondément humain et de touchant dans sa personnalité. Ses rares sourires, bien que fugaces, révélaient une sensibilité cachée, une vulnérabilité qu’elle préférait garder pour elle. Elle restait pour moi une énigme, une personne qui, sous sa carapace, cachait une richesse intérieure et une complexité fascinante…
Quoi qu’il en soit, il serait néanmoins malhonnête de vous cacher mon attrait pour sa rotondité !
En général, lorsqu’elle jouait au flipper, ses mouvements étaient précis et concentrés. Ses gestes assurés maîtrisaient parfaitement chaque rebond de la balle. Mais ils devenaient souvent beaucoup plus brusques lorsqu’elle laissait échapper sa rage dans son adversité face aux aléas de la petite balle. Son attitude devant la machine me fascinait. Invariablement, je m’approchais d’elle pour admirer le spectacle qu’elle m’offrait.
De temps en temps, elle échangeait quelques mots avec ses condisciples, des discussions brèves et très directes. Manifestement, ils venaient presque tous du même lycée où ils préparaient des CAP, des BEP, voire plus si affinités, les bavardages ne planaient jamais bien haut. Quand l’un d’eux sortait une plaisanterie bien grasse ou une allusion grivoise, j’enrageais. Ma jalousie était à fleur de peau. Chaque rire complice, chaque clin d’œil échangé, laissait présager une certaine complicité. Ça me faisait bouillir de l’intérieur. Je serrais les poings, sentant une colère sourde monter en moi. Je détestais être témoin de ces moments de connivence entre mon égérie et ces tarés, ces instants où elle semblait si à l’aise avec eux, alors que moi, elle me tenait systématiquement à distance. Je ne venais pas du même monde, pour eux, la fac c’étaient les bourgeois, les élites, ils se méfiaient de moi.
Un jour, l’un d’eux se permit cette réflexion particulièrement ordurière envers ma dulcinée :
Je blêmis soudain, impossible d’admettre que la donzelle sur laquelle je fantasmais depuis des lustres soit ainsi considérée comme une fille facile ! Je tombais des nues, j’étais au bord de l’écœurement. Mais la belle me rassura instantanément en répliquant du tac au tac au connard, avec une véhémence non dissimulée :
La grosse Lolo ne se démonta pas, elle vint droit sur lui, le saisit par le t-shirt et le poussa avec violence contre le Space Invaders, sur lequel il s’écrasa lourdement en faisant s’emballer la machine.
Ça sentait le roussi. Devant les grands yeux noirs et virulents de la belligérante, le quidam n’insista pas et quitta le lieu sans faire de vagues, et sans même marquer un mouvement d’humeur.
À partir de ce jour-là, mon amour platonique envers ma vestale ne fit plus que s’accroître. Qu’est-ce que j’étais fier d’elle ! C’était une vraie femme de tête, une guerrière, une Amazone. Vraiment, je l’admirais. Je n’avais d’yeux que pour elle, je ne pensais qu’à elle, amoureux au dernier degré, alors que tout laissait présager que nous n’étions vraiment pas faits l’un pour l’autre. Mais c’était ma dernière planche de salut, je ne pouvais m’empêcher de ressentir une attirance pour elle, qui me poussait à la revoir, encore et encore, et à penser à elle au-delà du raisonnable.
Malheureusement, de son côté, elle avait manifestement fort peu de considération pour moi. Quand nous nous croisions, elle me créditait à peine d’un signe de tête, et nos interactions restaient rares et superficielles. Parfois, nos regards s’accrochaient brièvement, mais elle détournait rapidement les yeux, comme si ma présence ne méritait pas plus qu’un coup d’œil furtif. Pire, mon attitude avait l’air de l’agacer, j’éprouvais un certain mépris venant de sa part ! Autrement dit, je n’avais aucune chance.
J’imaginais qu’elle devait penser quelque chose comme : « Il croit quoi ce gringalet, que je vais me jeter dans ses bras ? On dirait une petite fiotte, même pas capable de décocher un mot ! ». Mais en fait, je n’en savais rien, j’ignorais tout de ses pensées, ce n’était que pure spéculation.
C’est vrai que je la regardais sans doute avec trop d’insistance, en particulier quand elle jouait. Mais, comprenez-moi, elle m’ensorcelait. Chaque mouvement de ses mains sur les boutons du flipper, chaque inclinaison de son corps pour suivre la trajectoire de la bille, monopolisait mon attention. Il y avait une sorte de grâce dans sa concentration, une intensité qui rendait chaque instant captivant.
Alors, chaque jour qui nous était offert, on me retrouvait assis près du Pac-Man, jetant des coups d’œil furtifs dans sa direction, espérant qu’elle remarquerait enfin ma présence. Mais elle restait invariablement indifférente. Quoi qu’il en soit, je n’aurais jamais osé l’aborder directement, j’étais beaucoup trop timide et sauvage avec les femmes. Les rares fois où j’avais envisagé de lui parler, les mots s’étaient lamentablement emmêlés dans ma tête, je m’étais retrouvé paralysé par la peur du rejet, complètement bloqué.
Mais, chaque soir, en quittant la salle, je me promettais d’y revenir le lendemain, dans l’espoir de percer un peu plus le mystère de cette jeune femme intrigante. J’attendais qu’une bulle magique s’ouvre enfin entre nous, et qu’elle nous permette de nous retrouver. Mais le temps s’égrenait, rien ne se passait, mon désespoir grandissait.
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Ce jour-là, alors que je rentrais piteusement chez moi, après un court passage dans cette salle de jeu, quelqu’un m’interpella derrière mon dos. Je me retournai, et à ma grande surprise, tombai sur la dite Lolo, de son vrai nom Laurence. Je n’en croyais pas mes yeux, elle me regardait certes avec gravité, mais avec un zest de bienveillance et une certaine malice. Elle s’était débarrassée de sa carapace et semblait à l’aise et décontractée.
Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Je restai un instant interdit, ne sachant que répondre, coincé dans mon vortex. Puis, avec un sourire maladif, je hochai timidement la tête.
Nous commençâmes à marcher côte à côte, le silence entre nous était à la fois gênant et électrisant, mon bonheur irradiait. Mais elle cassa vite l’ambiance lorsqu’elle se tourna vers moi pour ajouter :
Un siège vermoulu et miteux que la municipalité avait eu la bonté de conserver devant un bosquet en retrait de la rue, elle s’installa près de moi et j’eus soudain peur que cette vieillerie craque sous son poids.
Je n’en menais pas large, j’étais mal, très mal. C’est donc pour ça qu’elle m’avait suivi, pour me passer un savon. J’osai un bref coup d’œil vers elle, son mécontentement était évident, son visage était sévère et fermé.
Mais que répondre ? Je savais qu’elle avait raison, je comprenais son courroux. J’avais été tellement con, tellement insistant, tellement débile. Je m’en voulais de l’avoir déçue et d’avoir ainsi perdu toute chance avec elle, mais ne trouvais rien à rétorquer, aucune excuse ne sortait de ma bouche. Le monde était en train de s’écrouler, j’étais effondré.
Peut-être allait-elle me saisir par le colbac, me propulser comme un malpropre vers le minuscule parterre de fleurs qui sévissait devant nous, en m’insultant comme le dernier des derniers. Franchement, je le méritais et j’en acceptais par avance les augures.
Pourtant, elle n’en fit rien, bien au contraire, elle posa fermement sa main sur mon bras, comme pour m’empêcher toute retraite, et ajouta :
Quelle révélation ! J’osai un regard vers elle, elle me souriait cette fois avec tendresse. Ce n’était pas des conneries, elle le pensait vraiment. Ô temps suspend ton vol !
J’en restai bouche bée, me contentant d’un signe de tête. Ses mots me surprenaient et me touchaient profondément. Elle voyait juste en moi, comprenait mon malaise, c’était bien la seule personne à être si clairvoyante.
Je sentis une vague de soulagement et de joie m’envahir. Cette déclaration d’amour était inespérée. Tout ce temps, elle avait attendu que je fasse le premier pas. Qu’est-ce qui lui plaisait chez moi ? Je n’avais pourtant rien pour moi, ni la verve ni la prestance de ses copains d’école, je n’étais qu’un petit oiseau blessé méritant juste un peu de compassion.
Elle éclata de rire. Puis, ayant certainement peur de me froisser, elle revint à son sourire, un sourire sincère et chaleureux qui illumina son visage.
Puis, elle ajouta, avec une pointe de vulnérabilité dans la voix :
Ses mots me touchèrent au plus profond. Je sentis une émotion intense monter en moi, un mélange de tendresse et d’admiration. Elle se dévoilait avec une honnêteté désarmante, et cela ne faisait que renforcer mon attirance envers elle.
Elle prit une profonde inspiration avant de continuer :
Ces paroles résonnèrent en moi avec une force inattendue. Je réalisai à quel point elle avait dû souffrir des jugements et des préjugés des autres. Derrière sa carapace, il y avait une personne vulnérable qui méritait d’être comprise et respectée.
Nous continuâmes à marcher, je me sentais connecté à elle. La salle de jeux, les regards furtifs, les moments de jalousie, tout cela semblait désormais bien loin derrière nous. Grâce à elle, nous avions enfin franchi la barrière de la timidité, et je savais que ce n’était que le début de quelque chose de beau et de prometteur.
Je fus épaté par sa perspicacité.
Elle ricana avec indulgence.
Je restai un instant sans voix, ne sachant comment réagir à ces révélations. Mais son sourire et son ton léger me rassurèrent. Elle avait fait attention à moi, avait glané toutes les informations qu’elle avait pu, son intérêt envers ma petite personne était incontestable.
Tandis que nous traversions la place, je sentis une nouvelle complicité naître entre nous. Chaque pas que nous faisions ensemble semblait nous rapprocher davantage, et je savais que ce moment marquait le début d’une relation spéciale et authentique.
Je ne pus m’empêcher de rire à cette plaisanterie banale.
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Nous montâmes les marches de mon immeuble, et je sentis une excitation mêlée de nervosité monter en moi. C’était un moment important, un moment où nous allions enfin pouvoir nous retrouver ensemble. j’étais prêt à découvrir qui elle était vraiment, au-delà des apparences et des préjugés. Mais, ainsi qu’elle l’avait deviné, j’étais encore puceau et avais vraiment la trouille de me retrouver seul avec une femme.
En ouvrant la porte de ma chambrette, je me sentais à la fois heureux et anxieux.
Elle explosa de rire à cette évocation. Je ris de bon cœur avec elle, malgré mon stress, appréciant son humour et sa légèreté.
Nous entrâmes dans mon appartement, et elle jeta un coup d’œil rapide autour d’elle.
Je ne pus m’empêcher de sourire à sa franchise.
Elle haussa les épaules :
C’est vrai qu’il n’y avait pas non plus beaucoup d’endroits pour s’asseoir dans cette pièce : une chaise en bois, un fauteuil souffreteux, un tabouret pour la salle d’eau. Elle se rabattit sur le lit. Mal lui en prit, les ressorts grincèrent horriblement et l’armature céda sous son poids. Elle se retrouva presque le cul par terre.
Je vins à son secours, lui tendis la main pour l’aider à se redresser, me confondis en plates excuses.
Elle éclata de rire, comme à une bonne farce.
J’étais vert. Mais elle riait de plus belle, elle ne parvenait plus à s’arrêter.
Ce n’était pas beau à voir, un enchevêtrement de métal tordu, juste bon pour le ferrailleur.
Elle m’attira sur le matelas où nous nous allongeâmes côte à côte. Je n’en menais pas large, convaincu que j’étais que je n’allais pas faire des étincelles, qu’elle allait être déçue et qu’après elle ne voudrait plus me revoir.
Ce faisant, elle posa ses lèvres épaisses sur les miennes et je sentis sa langue mutine glisser le long de mes dents. Finalement, j’ouvris la bouche pour la laisser entrer. Nos langues s’emmêlèrent et ce baiser fut tout de suite passionné et intense, et il s’éternisa. C’était vraiment génial, c’était aussi la première fois que j’embrassais une femme.
Et quelle femme ! Elle m’excitait, je sentais mon sexe raidir dans ma culotte. J’en devenais osé, hasardant une main sur sa poitrine pour la caresser doucement. Manifestement, elle appréciait, car elle émit un « humm » d’approbation, ce qui m’encouragea à continuer mon exploration. Désormais, je lui pétrissais ardemment la poitrine et elle gémissait de plus belle, ce qui renforçait encore ma fougue.
Au bout d’un certain temps, n’en pouvant plus, elle se détacha de moi, se redressa, retira prestement son sweat-shirt et dégrafa son soutien-gorge libérant ses deux incroyables nichons d’une lourdeur effarante. Ils étaient constellés de grains de beauté, comme je n’en avais jamais vu dans les magazines que je feuilletais à l’époque.
Le visage de la belle était incroyablement lubrique lorsqu’elle s’approcha de moi en me présentant ses opulents appendices :
Je ne me fis pas prier, ses petits bouts étaient tous durs. Je me mis à dévorer ses mamelles tout en les soupesant. J’étais comme fou, je bandais comme un damné.
J’étais tellement pris par les événements que je la sentis à peine poser sa main sur mon sexe. En constatant la dureté de l’objet, elle grogna de satisfaction et entreprit de défaire mon pantalon avec une facilité déconcertante, preuve s’il en est qu’elle avait de l’expérience en la matière. Je dus l’aider quand même un peu avant qu’elle sorte mon sexe de sa cachette, ce qui me fit ramollir un peu.
Mais elle ne l’entendit pas de cette oreille. Elle saisit fermement ma bite et entreprit de me branler avec un grand savoir-faire. Elle allait juste à la bonne vitesse avec les bons mouvements, c’était presque meilleur que quand je me branlais, moi. À ce rythme, je sentais la pression monter. À mon tour, je me mis à gémir :
Et elle comprit parfaitement ce qui m’inquiétait et que j’allais venir. Mais sans se démonter, elle se pencha prestement sur ma queue et, tout en continuant à m’astiquer la hampe, elle entreprit de me sucer le gland. À ce rythme, je ne pus tenir très longtemps. Elle ouvrit la bouche pour recueillir les premiers jets et orienta ma trique vers ses lolos pour les asperger des suivants.
J’aurais aimé qu’elle reste un peu, mais elle avait l’air bien décidée à partir.
Et devant mon insistance :
Elle remit soutif et pull, après s’être sommairement essuyé les nichons, à l’aide d’une serviette trouvée dans la salle d’eau. Puis nous nous embrassâmes à nouveau, un baiser passionné derrière la porte d’entrée, le petit goût de foutre dans sa bouche n’était même pas désagréable.
Évidemment que ça m’allait, je n’avais pas besoin de répondre, mon sourire radieux en disait long sur mon bien-être.
Je crois que je lui dis « Je t’aime », tandis qu’elle dévalait les escaliers, mais je ne sais pas si elle l’entendit, ce jour-là.