n° 22669 | Fiche technique | 11616 caractères | 11616 1936 Temps de lecture estimé : 8 mn |
04/10/24 |
Résumé: Un institut d’épanouissement personnel dans une ville de province | ||||
Critères: f jeunes école fmast jeu délire | ||||
Auteur : tatamarie Envoi mini-message |
Madame nous sommes très honorés de votre visite, soyez assurée que nous mettrons tout en œuvre pour votre satisfaction.
Au téléphone vous m’avez laissé entendre qu’il s’agit de votre fille, que vous la souhaitiez un peu plus « délurée ». Ce terme m’a fait sourire, il est précis, peut-être un peu trop, nous préférons « épanouissement personnel ».
En effet, la principale activité de notre institut est de développer chez les jeunes gens leur conscience de soi et de leur corps, de prendre pleinement possession de leurs capacités et limites, et c’est cela que nous appelons épanouissement personnel.
Je vais donc essayer de vous donner toutes les informations nécessaires sur notre institut, son fonctionnement et ses prestations.
Je vous arrête tout de suite Madame, les termes sexe et sexualité n’ont pas cours chez nous. Ce que nous faisons ici va bien au-delà de la satisfaction de bas instincts, nous avons ici beaucoup de jeunes filles de bonnes familles de notre ville, qui viennent recevoir une formation que leurs parents ne sont pas habiles à leurs donner.
On peut donc dire que nous dispensons des formations, un peu particulières peut-être, mais au combien nécessaire au fonctionnement de notre société et à l’harmonie des couples.
Une grande partie de nos cours concerne les jeunes gens, garçons ou filles, qui ont souvent un besoin de soutien que nous sommes à même de leur fournir.
Dans tous les cas tout nouvel élève commence par une séance de découverte de soi. Après un entretien avec moi-même pour essayer de cerner l’état d’esprit et les espérances de l’élève, il passera par une séance de prise en main de son corps, qui nous permettra de juger de ses connaissance et expériences du domaine.
Je pense que vous serez d’accord avec moi qu’une jeune fille qui a passé quatre années en internat au couvent des Oiseaux, entourée d’amies prévenantes, a une connaissance bien supérieure que la jeune fille qui, vivant chez ses parents, a fait ses études au lycée Sainte Clotilde, et que le chauffeur accompagnait tous les jours au lycée.
Je crois d’ailleurs, Madame, que vous-même avez passé quelques années au couvent des Oiseaux, je pense que vous savez donc de quoi je parle. Je sais par ailleurs que votre fille n’est pas interne, elle est donc plutôt dans le deuxième cas.
Après une ou deux séances nous serons en mesure de préciser, en fonction des objectifs que vous nous fixerez, un programme de travail.
Pour illustrer nos méthodes, nous avons réalisé un petit film sur ces séances de découvertes. Il s’agit d’un cas réel et non pas d’une actrice, mais que nous avons bien entendu « anonymisé », si je puis me permettre ce néologisme. Si vous voulez bien vous tourner sur votre gauche, vers l’écran fixé sur le mur, je vous ferai quelques commentaires.
D’abord vous voyez que la scène est sombre, aucune lumière forte n’est possible car nous tendons au début vers un relâchement complet. L’élève a même un bandeau sur les yeux, toute la séance joue sur l’ouïe, la parole de la monitrice et le toucher ou la vue ne doivent pas intervenir.
Écoutez bien les paroles et surtout la voix de la monitrice, l’élève ne se rend pas vraiment compte qu’elle suit les paroles, elle ouvre son corsage, glisse une main pour caresser sa peau. Le corsage plus ouvert, l’élève, naturellement, s’agace les mamelons.
Le film ne présente que quelques moments clés de la séance, nous sautons un peu plus loin, l’élève a maintenant enlevé son pantalon, et la monitrice lui fait enlever son soutien-gorge. Vous remarquerez que le ton est cette fois impératif, et que l’élève suit ici un ordre.
Un peu plus loin nous retrouvons la voix enjôleuse de la monitrice, quand elle suggère de se caresser le ventre le long du slip, et puis de glisser deux doigts sous l’élastique pour se caresser la toison. On peut voir que l’élève est toute concentrée sur son corps, elle halète un peu, elle est pousse de petits cris chaque fois que son doigt s’approche de son bouton d’amour.
Voici maintenant la fin, la monitrice n’intervient plus, elle laisse l’élève terminer la séance seule selon son ressenti.
Par exemple ici l’élève est maintenant nue, les jambes écartées, elle a deux doigts en elle, ce qui montre qu’elle n’est probablement plus vierge, et l’autre main qui s’active frénétiquement sur son bouton, elle a donc une connaissance plus que théorique du clitoris.
À ses cris, on sent qu’elle est concentrée, qu’elle aspire à la conclusion, elle poursuit jusqu’au plaisir final, qui semble important.
Cette séance est donc primordiale pour nous, elle nous permet de comprendre les réactions du corps de l’élève, de savoir la connaissance qu’elle en a déjà, jusqu’où elle est capable d’aller. Ici, par exemple, on ne peut pas dire que nous avons une « oie blanche », et cette jeune fille a déjà une connaissance plus qu’empirique du corps de la femme.
Je voudrais aussi vous faire remarquer le travail de la monitrice. Elles sont spécialement formées, ont des techniques très précises, et le succès d’une séance dépend entièrement de l’habileté de la monitrice. Je vous ai par exemple signalé les différences entre l’impératif, enlever le soutien-gorge, et la persuasion complice suggérant d’enlever le slip pour se caresser plus facilement.
Oui, notre activité est légale, notre entreprise a pignon sur rue. La majeure partie de nos activités se passe d’ailleurs sans contact physique, uniquement par la voix, et quelquefois visuellement. Si un contact physique est prévu, nous prenons toutes les précautions juridiques nécessaires. C’est d’ailleurs le seul moment où des papiers entrent en jeu, car l’impératif de discrétion qui nous anime nous interdit les contrats écrits et les archives.
Par contre il faudra que votre fille nous présente une pièce d’identité, nous ne pouvons évidemment pas intervenir avec des mineurs.
Bien entendu nous proposons d’autres aspects de notre domaine. Nous avons une très large gamme d’activités, à destination des jeunes gens comme présentée, hommes et femmes, mais avons aussi des séminaires sur des sujets spécifiques, par exemple la préparation au mariage, où on informe l’épousée sur la nuit de noce. Nous avons aussi une gamme plus technique, par exemple l’utilisation de la bouche et de la langue, pour hommes ou pour femmes.
Enfin, pour suivre la mode, nous avons créé une formation spécifique sur la petite porte, pour l’homme qui pénètre comme pour la femme qui reçoit. Je vous rassure tout de suite, nous ne recevons évidemment pas d’hommes homosexuels, cela n’est pas dans notre culture.
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Merci d’être venue, Madame, j’ai souhaité vous rencontrer pour parler un peu des deux séances de découverte que nous avons passées avec votre fille.
Elle a fait forte impression, sur moi et sur les monitrices, par son intelligence et sa vivacité. Elle a pleinement profité pour découvrir, ou peut-être redécouvrir, les plaisirs du corps, et s’est donné à fond, il lui fallait chaque fois quinze minutes pour récupérer son souffle.
Elle est aussi un peu une forte tête, à la deuxième séance elle a en partie dirigé le déroulement, et la monitrice a du fortement s’adapter. Votre fille était venue en jupe et corsage, et n’a pas suivi les paroles de la monitrice, elle ne s’est pas déshabillée, elle a juste enlevé son slip.
Après la séance elle est repartie le slip dans son sac, elle avait envie de sentir l’air sur son bas-ventre disait-elle.
Oui, comme vous le pensez, si elle s’est d’abord isolée dans sa chambre en rentrant ce jour-là, c’est probablement qu’elle était spécialement excitée d’avoir fait tous le trajet son sexe à la merci des regards des hommes.
J’ai aussi fini par comprendre votre souhait. Comme elle a son bac, elle ira à la rentrée à l’université, elle sera donc loin de vous, entourée de jeunes gens, garçons et filles, entourée de tentations. Vous voudriez donc l’armer pour cette ambiance perverse, la protéger des tentations.
Je me dois d’être honnête avec vous, nul ne peut totalement prévoir ce futur, et avec le tempérament qu’a votre fille, elle voudra certainement expérimenter.
Ce que je vous propose est de lui donner quelques cours sur l’homme, son corps et son fonctionnement, afin qu’elle ne débarque pas à l’université dans l’inconnu. Ensuite, vous en mère ou moi en confidente, il faudrait l’informer, peut-être lui faire un peu la leçon.
Par ailleurs, en ce qui concerne le petit souci personnel dont vous m’avez entretenue, je peux peut-être vous proposer notre initiation. Vous savez, nous avons souvent la demande de la part de femmes mariées dont le mari à cette idée en tête, soit par ses lectures, soit parce qu’il a une maîtresse qui lui donne ce côté.
Je ne vous cache pas que plusieurs séances sont nécessaires, d’abord psychologiques, puis plus physiques. Il faut en effet être convaincue de la possibilité et des avantages, par des analyses et démonstrations de notre personnel.
Nous sommes convaincus que les blocages sont dans la tête, toute femme à la capacité de recevoir un sexe d’homme dans son fondement. On passera donc à la deuxième partie, où avec les encouragements précis et orientés de nos monitrices, nous procédons à des introductions, de taille en augmentation, pour assouplir et habituer le conduit.
Cela peut se faire avec des artefacts si vous rêvez exclusivement de votre mari, mais également par des membres réels, cela donne une sensation plus vive.
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Je souhaite vous informer aujourd’hui des résultats des séances de travail avec mademoiselle votre fille. Je peux vous rassurer tout de suite, les résultats sont au-delà de nos espérances.
En ce qui concerne les choses de la vie, elle en a une bonne connaissance, peut-être heureusement pas toujours en pratique, mais certainement théorique. Elle sait comment est fait un garçon, et comment l’on s’en sert, nous avons d’ailleurs abrégé ces séances, elle a largement le niveau souhaité. Je suppose qu’elle a des amies plus avancées qui lui racontent la vie.
En ce qui concerne sa nouvelle liberté à l’université, nous n’avons pas non plus d’inquiétude. J’ai moi-même discutée avec mademoiselle votre fille, elle est bien consciente de sa liberté mais aussi de ses contraintes et limites. Je ne peux mieux résumer son état d’esprit qu’en rappelant ses propres paroles : elle citait sa grand-mère, madame votre mère, qui semble l’avoir déjà entretenue de ces sujets « la main dans le machin, le machin dans la main, mais pas le machin dans le machin ». C’est un peu cru, mais joliment dit, madame votre mère a beaucoup d’esprit.
Pour ne pas être en reste, j’y ai ajouté un aphorisme de ma propre défunte mère « surtout garde bien ton slip ».
Je pense donc que mademoiselle votre fille est parfaitement armée pour vaincre à l’université.
Permettez-moi d’être également très satisfaite des résultats pour vous-même. Que votre mari soit le plus heureux des hommes depuis que vous lui permettez des privautés que vous lui refusiez depuis des années me rends grandement satisfaite des prestations de notre institut.
Qu’en plus vous-même retiriez de cette nouvelle position un plaisir accru et nouveau pour vous m’a remplie de joie.
C’est vrai madame, nous toutes avons, par le passé, peut-être un peu manqué l’occasion, par un puritanisme un peu exagéré, de profiter pleinement de toutes les possibilités de plaisir.
Sans parler, comme vous le dites si bien, que c’est une possibilité à enseigner à nos jeunes femmes, pour profiter de leur plaisir et de décupler celui de leur jeune mari, tout en étant une voie sans risque, que l’on peut utiliser sans l’arrière-pensée d’une grossesse non voulue.
Nous sommes très honorés que Madame nous recommande auprès de ses amies.