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n° 22704Fiche technique21697 caractères21697
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Temps de lecture estimé : 15 mn
20/10/24
Résumé:  Une prof d’université, subjuguée et irrésistiblement attirée par un spectateur lors d’une soutenance de thèse, lui fait passer dans l’intimité de son bureau un examen très particulier.
Critères:  fh fplusag inconnu profélève école fdomine lingerie intermast cunnilingu
Auteur : Barbarello      Envoi mini-message
La tentation universitaire

Le dédale des couloirs de la fac défilait et je suivais instinctivement pour ne pas dire aveuglément cette prof de droit international en grande tenue avec sa toge rouge et noir. Campée sur ses talons, les lunettes dans les cheveux, une petite pile de dossiers retenue par son bras contre sa poitrine, l’air distingué, une démarche chaloupée, mais assurée, elle faisait virevolter l’amplitude de son uniforme universitaire un peu guindé d’une manière étonnamment sexy. Elle devait bien avoir quinze ans de plus que moi, j’aurais pu être son élève. Je ne la connaissais pas si ce n’est depuis très peu de temps et pourtant j’avais accepté sous un motif futile, un prétexte, de l’accompagner jusqu’à son bureau de vice-doyenne situé dans la partie administrative désertée entre midi et deux heures. Nous venions juste de nous rencontrer et tout s’était passé si vite.


Rien ne me prédestinait, ce matin-là, à me retrouver dans cette situation. J’avais dû remplacer ma femme, en déplacement, pour assister à la soutenance de thèse d’une de ses jeunes stagiaires protégées, Anne, que je voyais souvent à la maison. J’étais arrivé légèrement en avance afin de pouvoir encourager la doctorante avant qu’elle ne passe sur le grill. Mais la salle était déjà pleine à craquer et il ne restait plus que le premier rang étrangement vide. Moi qui voulais me mettre dans un coin discret : c’était raté ! Impossible de m’éclipser avant la fin sans me faire remarquer par tout le monde. Je m’étais quand même assis en décalé sur la droite afin d’éviter d’être trop visible dans ce no man’s land de sièges inoccupés devant l’estrade.

Le jury provoqua naturellement le silence en faisant son entrée en grande pompe. Il était composé d’un aréopage de sept professeurs, en tenue d’apparat, plutôt d’un certain âge, essentiellement masculins sauf une femme qui faisait baisser considérablement la moyenne d’âge. À cette époque, le mot parité n’était pas encore passé dans les mœurs. De par ma situation, j’étais à moins de deux mètres de la tribune et pour entendre les réponses de l’impétrante, située à quatre ou cinq mètres sur ma gauche, je devais me tourner presque complètement.

J’assistais donc à ce spectacle grandiloquent avec la curiosité d’un entomologiste plutôt que celle d’un juriste. Je me demandais même si les gros scarabées perchés sur l’estrade entendaient les réponses tant ils faisaient preuve, dans leurs questions, d’une incommensurable jubilation à s’écouter parler à la limite de la congestion cérébrale.


Lors d’une longue réplique d’Anne à ses maîtres, je me sentis regardé, toisé, focalisé par quelqu’un dans mon dos. Intuition et sensation bizarres qui me firent me retourner brusquement alors que la doctorante nageait toujours en pleine démonstration. Derrière moi, il n’y avait que la tribune avec deux membres du jury latéralisés. L’un semblait déjà en pleine hypoglycémie, tandis que l’autre était la seule jurée féminine. Et c’était elle que je surprenais en train de m’observer. Nos regards se croisèrent et se figèrent. Elle rougit aussitôt, mais ne baissa pas la garde. En fait, j’étais bêtement plus gêné qu’elle. Son attention à mon égard ne se relâcha pas pendant toute la soutenance. Quand j’étais de dos pour écouter les réponses argumentées, j’avais l’impression qu’elle avait toujours son œil posé sur mon épaule. Comme si j’étais une cible, sa cible ! Si j’étais face au jury pour boire les doctes paroles de ses collègues en plein récital, j’étais inexorablement attiré par sa présence magnétique. J’essayais de me concentrer sur l’orateur, mais je décrochais et immanquablement je retrouvais ses yeux déjà rivés sur moi.

Son insistance commençait à me prendre la tête. Du haut de sa bonne et belle quarantaine, elle avait la prestance un peu provocante des femmes mûres. Ses attitudes étaient l’expression de ce charme discret de la bourgeoisie. Pour autant, il émanait d’elle une sensualité tout en retenue. Bref, elle n’était pas mal du tout. À chacune de nos rencontres oculaires, elle avait une touchante poussée de chaleur qui la faisait légèrement rosir. Ce manège devait certainement être visible depuis la salle. J’étais mal à l’aise et ne savais plus comment me comporter. Quelle que soit ma position, mon attitude, mon attention, j’étais systématiquement dans son collimateur. Au bout d’une petite heure, le jury mit fin aux débats et se retira pour statuer sur le sort de cette thèse. En se levant pour aller délibérer, mon snipper féminin ne manqua pas de se retourner pour me lancer un regard que, compte tenu des circonstances, je ressentais comme insoutenable.


Profitant de cette interruption de séance, j’abandonnais mon siège, histoire de me détendre les jambes et d’aller voir Anne pour m’enquérir de ses impressions et savoir combien de temps prenait la délibération. Elle n’était pas inquiète sur l’issue de sa prestation. Le jury devait, selon elle, revenir dans une dizaine de minutes pour l’adouber. Elle crut bon d’ajouter avec un sourire complice à mon égard :



Je ne savais quoi rétorquer. J’ai dû rougir d’ailleurs. Heureusement, une autre personne l’accapara.

Effectivement, il ne fallut pas attendre trop longtemps le retour sur scène des jurés qui avec solennité ont décerné le titre de docteur en droit avec les félicitations du jury à Anne. Cris de joie et standing ovations pour l’heureuse élue. Tout le monde se tournait vers elle. Enfin presque, car il me suffisait de regarder sur ma droite pour croiser le regard appuyé et avenant de Madame Fournier-Dailly sur ma personne du haut de son estrade et de sa toge professorale.


Tout ce petit monde quittait la salle répondant à l’appel des petits fours créant un embouteillage devant la sortie. Attendant calmement à ma place et à distance la fin du bouchon, je fus sollicité par cette fameuse jurée qui me demanda de lui faire passer une pile de documents abandonnés sur une table. Ce que je fis, inconsciemment touché par cette marque d’attention. Au moment de la remise du paquet, elle me dit avec beaucoup d’assurance :



Je n’étais pas trop dupe et j’avais très envie de savoir jusqu’où cela pouvait aller. Au détour des quelques banalités échangées pendant le trajet, j’abordais le sujet. Une attitude volontariste dont je ne suis pas coutumier, mais là…



Elle laissa un grand blanc, puis me regarda bien dans les yeux en s’arrêtant devant une porte et me dit avec une certaine effronterie : « J’aimerais bien que vous vous en expliquiez ! ». Elle avait retourné la situation de manière magistrale, ce qui me laissa sans répartie.

Sur ce, elle ouvrit son bureau fermé à clé. Me fit signe de la précéder. Alors que j’accédais après un petit couloir intérieur à une grande pièce meublée d’une vaste table de travail, de quelques dessertes encombrées et d’une immense bibliothèque, j’entendis qu’elle refermait à clé derrière elle. Étrange impression, celle d’être pris au piège et d’être malgré tout un prisonnier volontaire. Les stores vénitiens qui filtraient le soleil produisaient déjà une ambiance tamisée, intimiste et secrète. Elle posa ses dossiers et me demanda d’en faire de même avec mon chargement en me désignant un endroit au pied d’un meuble. Elle se débarrassait de son imposante toge dévoilant sa fine silhouette, agréablement formée et vêtue d’un élégant chemisier blanc à jabot tombant par-dessus un pantalon noir, moulant à la taille et descendant en s’évasant jusque sur des escarpins noirs. Elle libéra ses cheveux châtain clair de son chignon professoral. Ils adoucirent son visage, glissèrent sur ses épaules. Même si son allure restait distinguée et toujours un peu coincée, elle venait de répandre une fragrance glamour dans l’atmosphère en remuant sa tête pour mettre en forme sa coiffure. J’étais sous le charme. Mon corps était envahi par l’oppression d’un désir ou d’une curiosité qui me fascinait et dont j’étais devenu la victime consentante. Derrière elle, il y avait une gigantesque peinture du 19e – façon pompier – où figurait un doyen en grande tenue qui observait la scène du haut de sa tronche congelée. De plus en plus attiré par mon hôtesse j’essayais de me rendre indifférent en faisant semblant de m’intéresser du regard à la bibliothèque, à une pile de dossiers, aux tableaux sur le mur, aux fauteuils empire, etc. Une indifférence qui devait certainement me trahir aux yeux de Madame Fournier-Dailly.


Elle s’approcha de moi et me dit :



Et elle plaqua sa main sur mon entrejambe. Surpris, je sursautais, mais elle s’accrochait bien aux parties qu’elle explorait par les crispations de sa main. Elle appréciait la réactivité de mon sexe déjà mis en état d’alerte depuis mon entrée dans cette pièce. Je crois que j’étais sidéré par l’indécence de son geste, mais également soulagé, car j’avais enfin la solution à l’énigme dont je n’osais imaginer l’issue. Sans se départir de son air conquérant, elle me déclara :



Et, elle posa ses lèvres sur les miennes. Tandis que son autre main qu’elle avait mise derrière ma tête m’entraînait dans cette étreinte. Sa langue m’envahissait, ses doigts façonnaient mon sexe. Je ne pouvais plus rester passif. Je m’aventurais sous son chemisier pour sentir sa peau, tandis que je m’attaquais à la fermeture de son pantalon. Elle se laissait faire et se déhanchait pour me faciliter la tâche. Elle se recula pour finir de se dégager de son vêtement tombé à ses pieds et le déposa sur une chaise à proximité. Elle avait encore ses talons ne dévoilant que ses jambes dont le haut était encore caché par le bas de son chemisier. Je pouvais juste apercevoir son entrejambe moulé dans un sous-vêtement ouvragé.

Elle me faisait face et commença à déboutonner méthodiquement son haut tout en m’observant. Je me sentais voyeur alors que je voulais être acteur. Je pouvais maintenant admirer son corps mis en beauté par une lingerie de qualité. On se saurait cru dans une photo d’Helmut Newton. Ses seins de petite taille pointaient leurs fiers tétons sous le tulle, son ventre plat plongeait dans la cambrure d’un pubis duveteux filtré par une broderie raffinée. Elle s’assit sur le rebord de l’immense table qui devait lui servir de bureau et me dit tout de go :



C’était plus sensuel que directif, une sorte d’invitation. Je m’exécutais sans la moindre hésitation, mais certainement avec moins de grâce qu’elle. Alors que j’allais finir par le clou de mon strip-tease amateur, elle m’arrêta net :



J’obéissais aussitôt et avançais timidement vers elle. Presque avec la même appréhension qu’un élève s’approchant de sa professeure pour recevoir une punition. Madame Fournier-Dailly m’attrapa par le bras pour m’attirer contre elle et me positionner perpendiculairement à la table, contre sa cuisse dénudée. Une certaine fébrilité me gagna. Je sentis sa caresse sur ma poitrine d’abord fugace puis de plus en plus prégnante quand elle glissa sous l’élastique pour s’emparer de mon membre en érection. Elle le dégagea de son boxer qu’elle fit descendre le long de mes jambes que je dus écarter pour faciliter le passage. Sa main prit délicatement la verge, l’étira méticuleusement vers le haut jusqu’à faire remonter les testicules et renouvela plusieurs fois ce traitement comme si elle voulait l’affiner tout en la modelant.



Elle commençait par survoler le corpus scrotal du bout de ses doigts fins ornés de bijoux précieux, signes de son statut social. Elle mesurait l’influence que ces caresses généraient sur mon pénis, puis elle massait, pressait et soupesait les couilles sans oublier de laisser traîner son majeur sur le périnée devenu particulièrement émotif. Elle recommença consciencieusement en variant les rythmes et en suivant dans mes yeux les stigmates de ma « souffrance ». Je ne savais pas si c’était la manifestation de sa supériorité féminine, voire universitaire ou bien une manière de vérifier l’efficience de ses judicieux travaux dirigés. Et puis, vint le moment où elle s’attaqua à cette verge gorgée de désirs par ses soins collatéraux.



Joignant le geste à la parole, elle se mit à me masturber avec précautions, douceur et dextérité. Ma bite et ses réserves furent soumises à rude épreuve. Le terme « rude » est inexact, car la séquence fut émotionnellement forte et euphorisante, même si elle monopolisait toute ma volonté de résister afin que cela dure encore et encore. Elle savait ralentir pour que je ne succombe pas et entretenir le manque pour que je la supplie de reprendre. Je sentais sa satisfaction de me voir vibrer et gémir sous son emprise. J’étais devenu son objet. Sûre de ses manipulations, elle porta enfin l’estocade. Je m’accrochais à ses cuisses et me libérais abondamment, longuement, dans ses mains qui m’accompagnaient, mes yeux perdus dans les siens.


Je ne savais pas si elle était contente de ma soutenance, de mes réponses, de ma prestation. Elle saisit un paquet de mouchoirs qui était là sur la table par hasard, ou prévu à cet effet, et s’essuya. Elle m’en tendit un. Et, elle fit le commentaire nécessaire à son immanquable évaluation.



Décidément, elle était toujours sur son piédestal de prof des universités et se complaisait dans la métaphore pédante. Mais il y avait aussi quelque chose de vexant, même d’humiliant dans sa remarque. Certainement piqué au vif, je décidais de reprendre l’initiative.



Surprise par ma question qu’elle n’avait visiblement pas prévue, elle me dit de manière dubitative :



Je l’invitais donc à s’allonger sur le bord de la table et lui retirais sa culotte. J’en profitais pour ouvrir ses jambes. Elle ne semblait pas choquée, au contraire elle s’exhibait avec arrogance tout en me dominant du regard. Je m’inclinais jusqu’à son intimité légèrement froissée par la contrainte de l’étoffe. Sur ses lèvres perlait une brillance qui trahissait son excitation. Je soufflais légèrement sur cette fente intimidée. Je caressais l’intérieur de ses cuisses à proximité de cette vulve frémissante. Puis j’approchais ma bouche pour un baiser délicat sur ce fruit défendu, mais ici sans défense. C’est alors que j’avançais timidement ma langue entre les commissures de ses muqueuses. Elle se promenait sur ses palmes académiques intimes dont les feuilles de laurier s’écartaient. Nos lèvres s’humidifiaient par le mélange de sa cyprine et de ma salive. J’avais soif de son miel, de la douceur de sa grotte, des contractions de cette moule. Je lâchais ma langue sensuelle, sauvage et gourmande. Celle-ci fouillait, butinait, s’enivrait dans ce jardin extraordinaire. J’entendais au loin des gémissements étouffés pendant que je me régalais de cet entrejambe agité par quelques soubresauts. Comme j’avais décidé d’appuyer mes arguments, je m’étais aussi mis à parler avec les mains. Et c’était son clitoris qui en avait les faveurs. Ce dernier semblait introverti et nécessitait beaucoup de diplomatie pour le faire sortir de sa réserve. L’alternance d’effleurements et de subtiles pressions réussissait à le convaincre. Son bassin bougeait, son rythme cardiaque s’accélérait, sa main s’accrochait à mes cheveux. Je persistais dans mes investigations. Mes doigts sur son bouton devenaient de plus en plus pertinents. Quand je ressentis, venant du fond de son vagin, une vague qui s’empara d’elle et la submergea. Elle perdait pied et ne pouvait se retenir de geindre de plaisir tout en plaquant ma tête contre son entrejambe.


Je laissais passer les embruns et déposais un dernier baiser sur sa chambre d’amour puis me relevais. Debout, au-dessus de ce corps abandonné, je distinguais, parmi ses cheveux en bataille, ses yeux fermés qui devaient prolonger ainsi la jouissance intérieure. Toutes ces émotions avaient redonné de la vigueur à ma virilité. Si bien que, quand elle revint à elle et voulut se relever, elle tomba nez à nez avec mon sexe émergent. Ce qui ne l’empêcha pas de retrouver sa distanciation professorale en m’attribuant une appréciation :




Je lui prenais la main pour la faire descendre de sa table de travail, la retournais pour admirer son cul que, dans le feu de l’action, je n’avais qu’aperçu. Par la même occasion, je dégrafais son soutien-gorge. Elle semblait flattée par mon inspection à laquelle elle contribuait de bonne grâce. La vue imprenable sur sa croupe me donna justement une incompressible envie de la prendre.

Mes mains se portèrent aussitôt sur ses hanches. Je lui demandais de bien s’appuyer sur la table en cambrant son postérieur et d’écarter ses jambes. Elle comprit là où je voulais en venir. Mon chibre aussi ! Tout émoustillé par autant de beauté, il trouva vite son chemin et fut avalé goulûment par son puits d’amour. Mon coup de reins nécessaire à l’arrimage fut abrupt. Elle ne s’attendait pas à ça et me dit en essayant de regarder derrière elle :



Sans attendre sa réponse, j’avais entamé un va-et-vient cartésien dans la chaleur de sa chatte. Ma bite appréciait cette séquence cocooning dans laquelle elle évoluait, léchée de toute part et lubrifiée par le nectar de Madame Fournier-Dailly. Celle-ci, passé l’étonnement, ondulait maintenant en rythme avec moi. Cette synchronisation érotique me propulsa assez rapidement dans un orgasme communicatif puisque ma partenaire encourageait mes spasmes par des « encore » qui, in fine, se transformèrent par un « oh oui ! » libérateur autant pour elle que pour moi. J’avais envie de rester en elle collé dans son vagin, comme on reste dans un lit chaud pour éterniser le bien-être d’une grâce-matinée exagérée. Mais les lois de la physique en décidèrent autrement.


Nous nous retrouvâmes donc, nus, face à face. Elle n’était plus aussi distante, il y avait de la gravité dans ses yeux mouillés et de la fragilité dans son attitude. Elle se blottit contre moi, m’enlaça et se confia :



Elle m’embrassa chastement et se détacha lentement de mon corps. Mes mains caressèrent ses seins que j’avais délaissés, ma bouche se posa sur ses tétons, je les titillais, les suçais, les léchais. Je la sentais vaciller. Elle repoussa ma tête pour mettre fin à ce supplice, à nos ébats, à nos adieux charnels.


Elle se rhabillait sans conviction comme si elle avait voulu que cet intermède continue. Je la matais en train de refaire son chignon de professeur de droit. Je trouvais cela tellement sensuel et excitant quand, je vis qu’il y avait quelqu’un, dans la salle, qui n’avait pas perdu une miette de ce qu’il s’y était passé, qui s’était rincé l’œil sans sourciller, qui était resté de marbre… C’était le doyen du grand tableau 19e. Il me regardait maintenant du haut de son accrochage. Il faisait toujours la gueule avec sa tronche de peinture à l’huile et semblait nous asséner cette célèbre formule latine : « Dura lex, sed lex » (certains amateurs de la situation prendront soin de la détourner ad hoc).


Avant de quitter ce bureau des délices et de nous séparer, elle me gratifia de ces derniers mots :