n° 22716 | Fiche technique | 14067 caractères | 14067 2337 Temps de lecture estimé : 10 mn |
25/10/24 |
Résumé: Jean-Michel et Martine partagent pour les vacances une maison avec piscine avec leurs voisins Corinne et Christophe. Qu’ils vont découvrir sous un angle inattendu. | ||||
Critères: 2couples couple couplus voisins grossexe vacances piscine voir exhib nudisme fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
C’était l’idée de Martine. Louer une maison de vacances avec piscine avec leurs voisins et amis Christophe et Corinne, histoire de partager les frais. Jean-Michel, le mari de Martine, avait fini par se rallier à cette idée avec un peu d’inquiétude. Parviendraient-ils à s’entendre dans cette intimité ? Leurs dix ans de différence d’âge ne risquaient-ils pas de créer des tensions sur des détails aussi pratiques que la nourriture, l’heure du coucher ou les excursions ?
Mais l’enthousiasme des voisins emporta le morceau. Il faut dire que Corinne, une grande blonde à mèches, portant fièrement et harmonieusement ses cinquante ans, et Martine, petit corps tonique à la chevelure grisonnante, s’entendaient comme deux vieilles copines malgré leurs différences d’âge et de physique. Et Jean-Michel, du genre râblé et chevelu, aimait bien Christophe, grand et athlétique à tête rasée, avec lequel il partageait sa passion du foot comme supporters de l’équipe locale.
La maison les séduisit d’emblée. La piscine devint leur point central et les deux femmes ne quittaient plus leur bikini. Martine incita même Corinne à enlever le haut pour bronzer, ce qui leur valut quelques plaisanteries grivoises de Christophe alors que Jean-Michel se montrait un peu gêné par ces deux poitrines nues.
La première nuit, Jean-Michel et Martine entendirent des bruits dans la chambre voisine qui ne laissaient place à aucune ambiguïté. Corinne et Christophe faisaient l’amour. Ils avaient beau essayer d’être discrets, le grincement du lit, les soupirs à peine étouffés et au final le cri d’orgasme de Corinne agitèrent l’autre couple dans son lit. Puis le silence se fit et tout le monde s’endormit.
Mais rebelote le lendemain matin. Cette fois, Corinne ne se retint plus et couina à plusieurs reprises. Jean-Michel et Martine sortirent de la chambre afin de préparer le petit-déjeuner. Les voisins arrivèrent un peu plus tard sommairement vêtus lui d’un short de bain et d’un tee shirt lui arrivant à mi-cuisses sous lequel elle était manifestement nue. Ils semblaient parfaitement détendus comme s’ils sortaient d’un sommeil ordinaire, c’est à dire chaste. Jean-Michel et Martine se gardèrent de la moindre allusion à leurs ébats.
La journée du lendemain se passa en excursion dans des lieux touristiques des environs, suivie d’un bain dans la piscine où cette fois, Corinne et Martine laissèrent tomber le slip. Elles se montraient très gaies, très joueuses, comme si elles s’amusaient par avance de la réaction de leur conjoint.
Est-ce le spectacle de sa femme nageant nue qui stimula Christophe ? Toujours est-il qu’une érection se manifesta sous son short de bain. À peine sa femme sortie de la piscine, la croupe ondulante avec un rien de provocation, il la prit par la main et l’entraina à l’intérieur de la maison, tandis qu’elle riait aux éclats. Martine et Jean-Michel les entendirent monter à l’étage, parfaitement conscients de ce qui allait se passer. Les cris de plaisir de Corinne ne tardèrent pas à atteindre les oreilles de l’autre couple, d’autant que leur fenêtre était restée ouverte.
Troublés et dérangés à la fois, ils ressentirent soudain l’effet d’une différence d’âge qu’ils avaient jusqu’à présent occultée. Et pourtant, les deux amoureux n’étaient pas si jeunes.
Le retour du couple fornicateur au bord de la piscine ne suscita néanmoins aucun commentaire, comme s’il n’avait fait que prendre une douche. L’un et l’autre étaient nus et se glissèrent dans l’onde comme pour se laver de leurs ébats. Mais cette fois, le coucher se déroula dans le calme… jusqu’au petit matin où, une fois encore, le lit de la chambre contiguë se mit à grincer jusqu’à l’exclamation finale de la grande blonde. Et son retour toujours vêtue de son tee shirt long au petit-déjeuner, un léger sourire aux lèvres, sans autre considération.
Cette situation commençait à agacer l’autre couple. Jean-Michel se sentait amoindri par comparaison avec la vitalité de Christophe. Martine souffrait d’être moins sensuelle que Corinne. Une tension commença à s’installer dans la cohabitation. Elle s’exprima dans les choix de nourriture, les plus âgés penchant pour le végétarien, les autres pour le carnivore. Le but des promenades suscitait aussi la controverse. Il régnait un non-dit qui devenait de plus en plus pesant, la sexualité débordante des uns se mariant mal avec la chasteté des autres, à tel point que le séjour d’une semaine dans cette location confortable menaçait de tourner court.
Corinne finit par prendre à part son amie pour lui demander la raison de sa mauvaise humeur et celle de son mari. Elle en connaissait parfaitement la raison mais voulait l’entendre de sa bouche.
Martine encaissa. Elle devait bien admettre qu’ils étaient devenus paresseux au lit. Mais ce qu’elle ne dit pas, c’est qu’à force d’entendre son amie jouir, des envies se réveillaient en elle. Mais son mari ne semblait pas en mesure d’y répondre. Corinne sembla deviner son état d’esprit.
Martine sentit une onde de chaleur envahir son bas-ventre. Elle avait ressenti la même chose quand Christophe avait baissé son short de bain pour plonger dans la piscine, révélant un appareil génital particulièrement copieux. Elle comprit pourquoi Corinne se régalait et en redemandait. Jean-Michel, il fallait l’admettre, était moins pourvu. Mais l’idée de ce bain de minuit la séduisait. Elle y voyait un peu de piment supplémentaire pour leurs vacances.
Martine et Corinne convinrent de ne pas avertir Jean-Michel afin qu’il ne se braque pas. Ils passèrent la soirée à jouer aux cartes et comme il avait fait très chaud dans la journée, la soirée était d’une douceur exquise.
Mis devant le fait accompli, Jean-Michel fut tenté de ne pas suivre mais voyant Christophe prendre à son tour le chemin de la piscine, il suivit le mouvement. Les trois étaient déjà dans l’eau, nus comme des vers, quand Martine interpella son mari :
La demi-pénombre encouragea-t-elle le quatrième larron ? Toujours est-il qu’il se mit nu à son tour et se glissa dans l’onde. Son attitude montra qu’il y prenait un certain plaisir, ce qui rassura son épouse. Pendant ce temps, Corinne s’était adossée au rebord où elle s’agrippait, le corps allongé, procédant à de petits battements de pieds à la surface de l’eau. Tel un animal marin, Christophe s’approcha d’elle en louvoyant. Il se glissa entre ses jambes qui s’écartèrent et sa bouche entra en contact avec le sexe de son épouse.
Ce fut le début d’un cunnilingus aquatique qui fit glousser la récipiendaire dont les cuisses reposaient sur les épaules de son mari. Réduits au rôle de voyeurs, Martine et Jean-Michel feignaient l’indifférence, mais ils ne pouvaient pas se départir d’une curiosité de plus en plus manifeste. Christophe avait entrainé Corinne là où l’eau était la moins profonde et lui avait fait tourner le dos. Il la pénétra par derrière et l’eau de la piscine fit alors des vagues consécutives aux virulents coups de boutoir du mâle en rut tandis que sa femelle piaillait sous les assauts.
C’est le moment que choisit Martine pour se rapprocher de Jean-Michel. Sa main glissa entre les cuisses de son mari et rencontra son sexe ; Erigé. Adossé au mur opposé, le couple voyeur ne l’était plus tout à fait autant puisque Martine masturbait franchement son mari en regardant les ébats sur l’autre bord. Corinne était maintenant de face, les jambes enroulées autour des reins de Christophe, les mains sur ses épaules, et accompagnait ses coups de reins si virulents qu’ils la relevaient à demi de l’eau. La piscine n’était plus qu’un cri que l’onde renvoyait dans les frondaisons alentours, un cri de femme baisée et heureuse de l’être.
Martine n’en pouvait plus de désir. Elle colla Jean-Michel au mur du bassin et sans lui demander son avis, s’empala sur le vit érigé et tressauta avec allégresse, provoquant elle aussi des vagues si fortes que les abords de la piscine, de part et d’autre, se trouvèrent inondés. Ne voulant pas être en reste, la mature grisonnante y alla aussi de ses « oh ah hou hou ! » tandis que Jean-Michel la tenait fermement par ses petites fesses très agitées. Il y avait beau temps qu’il n’avait pas vu sa femme dans un tel état érotique, et beau temps aussi qu’il ne s’était pas senti aussi dur. Mais il n’avait pas l’endurance de Christophe et une décharge électrique déferla dans ses reins. Des trainées blanchâtres apparurent à la surface de l’eau : son sperme. Martine avait quand même eu le temps de jouir et elle l’embrassa avec la langue, ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps.
Apaisé, le couple assista au bouquet final de l’autre duo. Il ne s’était pas rendu compte, tout à son affaire, que l’ardente copulation s’était transférée au bord du bassin. Allongée pieds en l’air et jambes en V, Corinne recevait l’ultime hommage de son conjoint, leurs râles se mélangeant dans l’extase.
Tous se retrouvèrent ensuite dans l’eau mais l’état d’esprit avait changé. Jean-Michel et Martine baignaient dans une douce euphorie, félicités par leurs voisins pour avoir brisé leurs tabous.
Jean-Michel et Martine durent en effet se rendre à l’évidence. Ce bain de minuit leur avait non seulement permis de renouer avec le sexe mais aussi de briser une routine conjugale dans laquelle ils s’étaient enfoncés petit à petit.
La fin du séjour en fut évidemment transformée. Les deux couples évoluaient dans leur maison et ses abords presque toujours nus. Au petit matin, lorsqu’ils entendaient le lit voisin grincer et Corinne pousser ses soupirs d’extase, Jean-Michel et Martine ne sortaient plus de leur couche. Elle le ragaillardissait d’une pipe et l’enfourchait dans la foulée, clamant son plaisir bien fort pour qu’elle puisse être entendue de l’autre côté de la cloison. Jean-Michel assurait d’autant mieux qu’il avait du retard à combler et son taux de testostérone fit un bond en avant. De même, les hormones de Martine s’étaient si bien réveillées qu’elle était en permanence lubrifiée. S’ils se montraient plutôt calmes le soir au coucher, il n’en allait pas de même après le déjeuner. La sieste était devenue un rendez-vous érotique où la nouvelle vitalité de Jean-Michel se conjuguait harmonieusement avec la sensualité retrouvée de Martine.
C’est alors qu’ils se trouvaient en pleins ébats qu’ils virent arriver dans leur chambre l’autre couple en tenue de l’amour.
Et c’est ainsi que deux couples s’unirent dans le même lit, avec une telle frénésie que dans le feu de l’action, Christophe se retrouva entre les cuisses de Martine et Jean-Michel chevauché par Corinne, cette dernière en position inversée à la demande de son partenaire parce qu’il avait admiré son cul, il est vrai son atout sexuel majeur. Et les voisins devinrent échangistes sans l’avoir nullement programmé. L’étonnant de l’affaire est que Jean-Michel ne trouva rien à redire à entendre son épouse crier son plaisir sous les assauts de Christophe, même s’il n’avait jamais provoqué lui-même cet étonnant gargouillis d’extase pendant qu’elle se faisait écarteler. De même que celle-ci accepta de bon gré le spectacle de son mari en train de pilonner son amie en levrette avec une ardeur dont elle avait rarement bénéficié. Ni l’un ni l’autre ne pensaient alors à une scène détournée de cocufiage.
Que se passa-t-il ensuite ? Simplement la fin du séjour puisque la location arrivait à son terme. Ce fut comme si les deux couples réintégraient leur peau initiale de voisins. Ils partirent chacun dans leur voiture, réintégrèrent leur domicile, se passèrent quelques coups de fil mais sans plus renouer avec leur transgression, comme si les vacances n’avaient été qu’une parenthèse érotique. Jean-Michel retrouva Christophe pour regarder les matches de foot et Corinne échangea avec Martine sur la déco, le jardin et leur progéniture respective. Jusqu’au jour, beaucoup plus tard, où elle glissa à son amie :