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n° 22734Fiche technique41974 caractères41974
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Temps de lecture estimé : 30 mn
03/11/24
Résumé:  Une série de première fois
Critères:  fh fhh hplusag fplusag copains collègues amour fellation init
Auteur : BVT      Envoi mini-message

Projet de groupe : Les premières fois
Nos premières fois

Cet été, nous nous sommes retrouvés avec des amis en fin de journée sur ma terrasse après un barbecue, une ballade et une partie de pétanque. La nuit tombait tout juste quand une de mes amies nous a raconté que leur fille de quinze ans venait de leur annoncer qu’elle avait eu son premier rapport sexuel. De cet aveu, nous avons dévissé sur le sujet. Certains acceptant de raconter rapidement leur première fois, j’ai tenté de retenir les histoires les plus intéressantes. Donc toutes les bases sont vraies ou au moins, ce sont celles racontées par mes amis, le reste…




Moi


Je commence par moi, bien qu’elle soit bien classique ma première fois, je ne l’ai jamais oublié. J’avais quinze ans, ma copine aussi. Après de longues semaines à nous découvrir, nous avons eu la chance de pouvoir avoir la maison de mes parents pour plusieurs jours, ils étaient en voyage professionnel. On s’est retrouvé tous les deux dans ma chambre en fin d’après-midi après les cours. Son dernier bus est dans deux heures. Nous avons commencé calmement par des baisers, puis des caresses, des mains baladeuses de plus en plus intrusives.


Ensuite, j’ai commencé à la déshabiller. Elle a été très active pour ma plus grande surprise. Une fois nue, elle n’a pas cherché à se cacher, alors moi non plus. Quand elle a commencé à s’occuper de moi, avec sa main, par la suite ses lèvres et enfin sa bouche, je n’ai pas résisté longtemps, heureusement, j’ai eu la présence d’esprit de la prévenir.


Après un rapide nettoyage, à mon tour, je suis parti à la découverte de son corps, la douceur de sa peau, son goût, ses odeurs. Elle a joui me bloquant la tête entre ses cuisses. Quand elle m’a libéré, j’avais retrouvé toute ma splendeur. Je me suis allongé sur elle, je lui ai redemandé si elle était toujours d’accord. Avec son accord, j’ai posé mon sexe sur le sien et je l’ai pénétrée facilement, mais que sur quelques millimètres. Je n’ai pas réussi à lui déchirer son hymen de peur de lui faire mal. Une fois de plus, ma surprise a été grande, quand elle a crocheté ses jambes dans mon dos et m’a ordonné de continuer. J’ai donc insisté et, finalement, c’est passé. Elle a lâché un petit cri, j’ai eu peur. Mais rapidement, elle a commencé à onduler du bassin, m’incitant avec ses talons dans mes reins à la prendre de plus en plus vite. Elle a réussi à jouir juste avant que je cède de nouveau.


Nous avons réussi à nous revoir le lendemain et là, j’ai enfin réussi à outrepasser mon angoisse et, enfin, j’ai profité de son joli petit corps. Nous sommes restés ensemble jusqu’à la fin du lycée, mais la poursuite de nos études a eu raison de notre couple.


Gaëlle


La jeune femme de vingt ans se trouve face à deux femmes et trois hommes. Elle vient se présenter, espérant obtenir leur aval pour la place libre dans la collocation. Licence en poche, elle intègre en septembre un master. Jusque-là, elle vivait chez ses parents, mais, impossible à partir de maintenant, elle change de ville. Ses parents lui offrent un budget de mille euros par mois. C’est énorme, mais pas suffisant si elle prend un logement seule.


Cette grosse collocation est donc une superbe opportunité. Elle fera d’énormes économies sur le loyer et les charges, comme cela, elle ne sera pas obligée de prendre un petit boulot qui risquerait de nuire à ses études. Elle n’a pas de grosses facilités pour les apprentissages, alors elle travaille dur pour y arriver. Elle répond à leurs questions avec une vraie sincérité. Elle accepte les conditions qu’on lui impose.


Le soir même, quand elle reçoit un message indiquant que sa candidature est retenue, elle est ravie. L’appartement est immense, une très grande pièce commune donnant sur une belle cuisine tout équipée. D’un côté, un couloir donnant sur les trois chambres des filles ainsi que leur salle de bain et sanitaires. La même chose de l’autre côté pour les garçons. Les chambres sont petites, mais très bien équipées. Les propriétaires ont tout pensé pour les étudiants. La chambre de Gaëlle est équipée comme les autres, un lit de cent quarante, un dressing et un bureau-étagère pour le travail. Elle peut s’asseoir sur son lit pour travailler sur le bureau ou s’appuyer sur la tête de lit et faire pivoter le plateau pour travailler les jambes allongées sur le matelas.


Les premières semaines passent très vite. L’ambiance est sérieuse, mais joviale. Tout le monde s’entraide. De temps en temps, des invités partagent les lits de certains et certaines. Les week-ends sont plutôt calmes, beaucoup des locataires rentrent chez eux. Gaëlle ne peut pas rentrer toutes les semaines, elle a souvent cours le samedi matin. Elle attend avec impatience les vacances pour pouvoir enfin revoir sa famille.


Plus le temps passe, plus elle est attirée par Manu (Emmanuel). C’est une bête de presque deux mètres pour cent kilos, tout juste selon lui, alors que la jeune fille ne passe pas le mètre soixante pour tout juste cinquante kilos. Ce grand sportif intelligent suit des études pour devenir avocat. Il ne s’agit pas d’amour, non, mais d’une attirance physique. Elle imagine le soir dans son lit quand elle se caresse qu’il s’occupe d’elle avec passion. Mais le jeune homme n’a jamais fait un pas vers elle, et la timidité de la jeune femme ne lui permet pas de prendre les devants.


Plus le temps passe, plus cette attirance devient forte. Elle fait tout pour lui faire comprendre tout en restant correct, mais il reste impassible. Pourtant, avec Gaëlle, c’est le seul de la colocation qui n’a encore jamais reçu quelqu’un dans sa chambre. Lors des vacances d’avril, ils se retrouvent tous les deux dans l’appartement, les autres sont rentrés.


Avec l’arrivée du printemps, les tenues se sont allégées et les hormones travaillent de plus en plus. La jeune femme, se battant avec sa timidité, se promène devant sa cible en petite robe ou débardeur moulant. Elle se fait de plus en plus aguicheuse. Mais rien n’y fait, il la félicite pour sa beauté, pour ses choix, mais il ne tente rien. La moitié des vacances sont déjà passées, la jeune fille n’en peut plus. Elle n’a pas réussi à se satisfaire hier soir. Elle est en manque ce sexe quand elle se lève ce samedi matin.


En suivant la bonne odeur de café, elle trouve Manu, les mains dans le bac à vaisselles. Il ne porte qu’un short et un débardeur pour ce qu’elle peut voir. Son humeur maussade s’efface immédiatement à la vue du gaillard. Une force venue du plus profond de son ventre, la pousse à tenter sa chance, et tout de suite. « C’est maintenant ou jamais », se dit-elle. Elle enlève son peignoir, qu’elle laisse tomber et avance. Plus rien ne peut l’arrêter. Elle met son ventre en contact avec les fesses fermes du jeune homme. Il est surpris de la sentir contre lui, mais, après l’avoir bien identifié, ne fait rien pour limiter cet attouchement. Gaëlle se sent imbattable.


Elle passe ses mains sous le coton du maillot et caresse sans retenue le dos. Le tissu finit par la gêner rapidement.



Il s’exécute et, désormais, en plus des caresses, elle le couvre de baisers. Le jeune se laissant faire, la jeune femme se sent encouragée. Ses bras sont tout juste assez longs pour arriver à faire le tour du bassin pour attraper la ceinture du short. Elle ne résiste pas longtemps et le vêtement tombe aux pieds de Manu. Surprise ! Il est nu en dessous. En se mettant un peu sur le côté, elle arrive à attraper la verge qu’elle convoite. Elle se sent puissante. L’organe déjà bien développé prend de plus en plus de volume. Gaëlle en a déjà manipulé quelques-uns, mais jamais un comme ça. Sa petite main peine à faire le tour du gland. Qu’à cela ne tienne, elle le branle au début lentement, puis de plus en plus vite.


Il doit prendre appui sur le plan de travail pour garder l’équilibre. Il respire de plus en plus fort, il gémit et, au bout de quelques minutes, lâche tout dans l’évier. Pendant qu’il retrouve ses esprits, elle continue de caresser l’ensemble de ses organes génitaux d’une main et ses fesses d’une autre. Elle est aux anges.


Subitement, il attrape un torchon, s’essuie les mains, se tourne pour la découvrir en petite nuisette presque transparente. Il est captivé par les tétons des petits seins qui déforment le tissu très léger. Au vu du peu d’efficacité du voilage à cacher le corps de la jeune femme, il décide de le faire tomber. Non seulement elle ne résiste pas, mais elle fait tout pour l’aider. Il la prend dans ses bras et la conduit dans sa chambre. Heureusement pour lui, il est très maniaque et son lit est nickel. Il la dépose sur le matelas et commence à la couvrir de caresses, puis de baisers. Elle jouit une première fois. Hors de question d’en rester là, il descend inexorablement sa bouche vers le bas ventre de sa partenaire. Pour la première fois de sa vie, Gaëlle est léchée. Elle jouit très rapidement, une fois, deux, et enfin une troisième fois. Elle est obligée de l’arrêter tant l’orgasme est violent. Il profite de son manque de résistance pour se couvrir d’un préservatif sorti de la table de nuit.



Il enlève la protection, bascule sur le dos l’entraînant sur lui.



Elle s’exécute. Attrape le mat, le positionne à l’entrée de son puits intime et commence une lente descente. Rapidement, cela coince, elle se relève un peu et redescend, mais rien n’y fait. Manu se rend compte qu’elle hésite certainement par peur d’avoir mal. Il l’invite à se coucher sur lui et il lui caresse le dos, les fesses, les cuisses. Il sent qu’elle se détend, alors il pose ses grandes mains sur les fines hanches de sa partenaire pour la maintenir fermement et commence des mouvements de son bassin. Elle prend un plaisir immense, mais incomplet. Finalement, sans savoir pourquoi, la membrane se déchire sans la moindre douleur pour la jeune femme qui peut enfin le sentir au fond d’elle. Elle se fait jouir une nouvelle fois avant de se redresser. Toujours empalée, elle est maintenant à quatre-vingt-dix degrés. Les deux amants voient le ventre de la femme déformée par la tige qui la pénètre. Elle pose ses mains sur la bosse et la masse tout en reprenant ses ondulations jusqu’à une nouvelle jouissance commune cette fois-ci.


Après la douche salvatrice, il la prendra une nouvelle fois sur la grande table du salon. Elle est allongée les fesses au bord, lui debout, lui tenant les jambes. Quand elle jouit, il la reprend dans ses bras et la dépose à genoux sur le canapé, les bras sur le dossier. Il la besogne de nouveau en jouant avec ses seins.


Durant toute la semaine qui suit, ils font des folies dans tous les coins possibles de l’appartement, sauf les chambres de leurs colocataires. Au retour des autres, ils ont tenté de garder leur secret. Mais cela n’a pas duré longtemps. Se rejoignant régulièrement la nuit, ils ont fini par se faire griller.


Il y a beaucoup de sentiments entre eux, mais pas d’amour. C’est une attirance physique qui durera deux ans. À la fin de ses études, Gaëlle est partie pour rejoindre son premier poste dans une grande entreprise. Avant de se séparer définitivement, ils ont passé un week-end de folie durant lequel elle lui a offert ses fesses en guise d’au revoir.



Maxime


À quinze ans, Maxime n’est pas en retard avec les filles. Malgré un physique banal et un style des plus simplistes, il a déjà embrassé plusieurs filles, tâté et tété plusieurs tétons, et même trempé ses doigts dans deux sexes féminins. Grâce à son baratin, il arrive à plaire à certaines filles, mais il en rebute d’autres. Malgré tout, il n’a encore jamais réussi à tremper son biscuit.


Éline a sa préférence en ce moment. Bien qu’elle aussi soit toujours vierge, elle aime jouer avec les garçons. Elle n’a pas froid aux yeux, elle les branle et les suce avec beaucoup d’ardeur. Elle a décidé de s’occuper de Maxime cette semaine. Il a rapidement cédé à ses avances, mais quand elle a plongé sa main dans son boxeur, il n’a pas résisté et a tout lâché en moins de deux secondes. Surprise au début, elle a vite éclaté de rire, se moquant de lui et refusant de continuer, vu son état. Ils se donnent quand même rendez-vous pour mercredi après-midi dans leur cachette, mais elle lui conseille de bien se branler avant pour pouvoir la contenter.


Malheureusement, cette rencontre n’aura jamais lieu. La maman de Maxime a eu un très grave accident de travail. Elle risque de perdre l’usage de ses jambes. Après plusieurs semaines d’hôpital, elle est autorisée à rentrer chez elle. L’entreprise de la maman a fait faire beaucoup de travaux pour rendre la maison accessible au fauteuil roulant.

Le papa de Maxime ne voulait pas laisser sa femme seule à la maison, il avait trop peur d’un nouvel accident, surtout que les médecins sont catégoriques : « Il faudra du temps, mais un jour, elle remarchera si elle n’a pas d’autres traumatismes ». Il a donc changé ses horaires de travail avec l’accord de son patron. Maintenant, il travaille de nuit pour accompagner sa femme la journée, Maxime devant assurer les soirées et les nuits. Le samedi était consacré aux courses pour le papa et il en profitait pour prendre un peu l’air pendant que Maxime faisait le ménage. Le dimanche, ils le passaient ensemble.


Maxime n’avait plus de vie sociale et cela a duré cinq ans. Bien que sa maman faisait de plus en plus de progrès, le père n’en démordra pas, « il faut la protéger ». Bac et licence en poche, Maxime voulait continuer en Master, mais la spécialité qu’il convoitait n’existait pas dans leur ville, il devait partir. Son père refusa dans un premier temps, mais sa mère s’est rebellée. Le paternel a dû se ranger aux choix de sa femme, surtout qu’elle remarchait maintenant presque normalement et qu’elle allait reprendre le travail à temps plein. Pour limiter les frais, sa maman a demandé à une copine si elle ne pouvait pas l’héberger.


C’est comme cela que Maxime est arrivé chez Sandra et Robert, couple de quadragénaires. Ils avaient aménagé un studio dans un garage attenant à la maison. Maxime aura toute son autonomie. Son logement comporte deux portes, une qui lui permet de sortir et une autre qui mène à un cagibi, puis via une autre porte à la maison par la cuisine. Sur cette porte, il y a une roue qui permet d’informer le locataire. Il y a trois positions, entrée interdite, autorisée et présence souhaitée rapidement. Sur la porte du jeune homme, il y avait le même code pour que les propriétaires soient, eux aussi, informés.


Plusieurs semaines sont passées. Maxime a trouvé ses marques. L’entente avec ses locataires est parfaite. Ils reçoivent régulièrement leurs amis et sortent aussi souvent.

Maxime et Sandra ont pris l’habitude de discuter le samedi matin en faisant les corvées de linges, ménages, courses. Mais il passe aussi beaucoup de temps avec Robert au jardin.


Décembre vient d’arriver, le jeune homme aurait bien aimé rentrer chez lui pour le week-end de ses vingt ans, mais impossible. Pour aider ses parents, il a trouvé un petit boulot et il travaille tous les samedis à la supérette. Il n’a pas osé demander de changer d’horaires de peur de perdre son job, qui non seulement le fait vivre, mais qui lui permet aussi de faire de belles rencontres. En rentrant le mercredi avant son anniversaire, il voit le code comme quoi il est attendu. Il tape donc à la porte et entre dans la cuisine de ses locataires.



En arrivant dans son petit palais, Maxime est excité, bien que ce soit une « vielle » pour lui, Sandra n’en est pas moins attirante. Son corps est très bien conservé. Maxime n’arrive pas à contrôler un début d’érection, il doit se soulager. C’est en imaginant le corps de sa propriétaire sur lui, qu’il se vide sur son ventre.


Quand, le samedi, il arrive dans le salon, il trouve le couple assis côte à côte sur le canapé. Un apéro dînatoire est prêt. Robert se lève pour lui serrer la main et lui souhaiter un « bon anniversaire », Sandra ne bouge pas, mais lui tend les bras. Il se baisse pour lui faire deux bises et elle en réclame deux autres. Elle porte juste une petite robe légère avec un beau décolleté et les cuisses bien dénudées. Les yeux du jeune homme n’en perdent pas une miette. La cheminée dégage une forte chaleur, en quelques secondes, Maxime a chaud lui aussi. Est-ce la température ou la tenue de la femme qui lui procurent ces bouffées de chaleur ?


Après un premier verre de champagne, ils discutent de tout et de rien, le temps, le boulot, les études et, bien entendu, les copains et les copines.



Un long silence s’installe et Maxime craque et lâche toute la vérité. Non, jamais, tout allait bien jusqu’à cette éjaculation précoce, puis l’accident de sa maman…


Sandra se lève pour refaire le service. En se penchant, elle expose complètement sa poitrine aux yeux du jeune homme qui en reste bouche bée à la vue de ses splendides rondeurs se terminant par des tétons provocants. Elle trinque de nouveau avec son mari et Maxime. Elle reste debout et regarde son mari avec amour. C’est lui qui prend la parole.



Sandra lui explique qu’elle a très envie de l’initier. Elle veut faire de lui, « un homme à femmes ». Pendant une heure, ils vont détailler ce qu’ils lui proposent, tout en mangeant léger. Maxime arrive enfin à se détendre et accepte leur première proposition, mais il ne se voit pas passer entre les mains de Robert, enfin, pas tout de suite en tout cas.


Robert se lève et invite Sandra à en faire autant. Il se met derrière elle face au jeune puceau, attrape le bas de la robe et la fait passer par-dessus tête. Maxime est cramoisi. Pour la première fois, il est face à une femme nue en réel. Robert la caresse sans quitter le jeune homme du regard. Il passe ses mains partout sur le corps de sa femme qui commence à bien apprécier, les tétons ne peuvent pas cacher son excitation. Puis il demande à son invité de se lever, Sandra s’approche de lui et le déshabille lentement. Quand il est nu, elle s’assoit sur la table basse et l’embouche. Il ne tiendra pas longtemps, tellement la femme est experte et que le jeune homme est excité. Elle avale tout, le lâchant qu’une fois totalement vidé.



Après cette leçon de morale, elle reprend sa place sur le canapé, fesses au bord de l’assise et jambes écartées. Elle invite son mari à venir la lécher pour montrer à leur apprenti comment il faut s’y prendre. Elle jouira. L’homme invite le jeune à le remplacer, l’incite et le conseille. Aidé par ces deux professeurs, Maxime s’applique de son mieux et arrive tant bien que mal à soutirer quelques gémissements à sa partenaire.



Elle l’installe au milieu du canapé, et lui grimpe dessus s’embrochant dans le même mouvement. Elle commence à monter et à descendre lentement. Le jeune homme est aux anges. Il découvre des sensations inédites pour lui. Après quelques minutes, il commence à prendre un peu d’initiatives en bloquant le corps de la femme, au risque de se libérer tout de suite. Elle lui sourit et l’embrasse passionnément. À la fin du baiser, Robert est collé dans le dos de sa femme et en profite pour s’occuper de ses seins. C’est maintenant, Maxime qui donne le rythme. Il aimerait bien faire jouir sa partenaire, mais il comprend vite que ce ne sera pas pour maintenant, il se vide dans un grand râle.


Sandra se rend compte qu’il est un peu perturbé et elle le rassure rapidement.



Elle ne le laisse pas répondre, se lève et sort se rafraîchir. Maxime se sent tout drôle de se retrouver nu le sexe graisseux devant le mari de son amante. Robert, lui, n’hésite pas une seconde et lui demande de décrire ses sensations, il lui donne quelques conseils et lui fait comprendre que la soirée n’est pas terminée. Il finit par lui conseiller d’aller prendre une douche et de revenir rapidement.


Tous les trois se retrouvent pour continuer leur soirée. Maxime aura droit à une nouvelle séance, où, cette fois-ci, il sera plus performant, mais il prend un coup au moral quand il verra sa partenaire jouir violemment devant lui, sous les coups de boutoir de son mari.


Durant toutes ses études, il a appris énormément avec le couple. Au point d’être efficace avec les femmes, mais il a aussi découvert les hommes. Quand il doit quitter ses propriétaires pour continuer sa vie, il en a gros sur la patate. Il sait très bien que toutes les femmes et tous les couples ne fonctionnent pas comme eux. Il lui faudra chercher patiemment ses nouveaux partenaires.



Sayan



Jean-Marc est un vieux grincheux, pas méchant pour deux sous, mais pas vraiment sociable. À cinquante-sept ans, il a le droit, heureux homme, de partir à la retraite. Ce n’est pas qu’il est fanatique de son travail, mais, comme il vit seul et que son seul enfant est à l’étranger, son boulot est aussi son réseau social. Il aurait pu continuer, mais, conscient de sa chance face à d’autres collègues qui devront attendre parfois jusqu’à soixante-quatre ans, il va partir.


Il n’a jamais été bien riche, mais, bien que vivant en Bretagne dans un petit appartement avec vue sur le port, il possède aussi une maison dans un quartier très sympa de Bordeaux, un héritage de ses parents.


Il ne mettra que quelques semaines à se décider, au revoir Lorient et bonjour Bordeaux. Son bien breton trouve un acquéreur en trois jours, il se dit qu’il aurait dû le vendre plus cher, mais bon…

La plus grande majorité de ses meubles vont finir chez Emmaüs, son logement de Bordeaux étant bien mieux équipé. Il décide quand même de tenter de vendre quelques objets sur un site fort connu.


En déposant ses annonces, il précise qu’il peut assurer la livraison sur l’axe Lorient/Bordeaux au besoin. Quelques jours plus tard, en retournant sur le site, le hasard, ou plutôt l’algorithme, lui fait certaines propositions d’annonces. Une en particulier attire son attention. Deux jeunes filles de Nantes cherchent un logement pas trop cher sur Bordeaux pour poursuivre leurs études. Il est incapable de dire pourquoi, mais pour la première fois de sa vie, il a envie de rendre service, pour autant il ne se précipite pas et met l’annonce dans ses favoris. La nuit lui portera certainement conseil.


Effectivement, son sommeil est perturbé. Sa maison de Bordeaux, un ancien commerce, n’est pas très grande, mais elle est parfaitement située et, surtout, grand privilège, elle a une grande cour accessible en voiture. Ses parents, quand ils ont racheté, ont remplacé le commerce du rez-de-chaussée en garage, gros avantage : toujours une place de stationnement devant.

Au premier niveau, il y avait une grande pièce à vivre et un local sanitaire et au deuxième, une belle chambre parentale. La cour communique avec une petite route qu’empruntaient les livreurs, mais, surtout dans cette cour, ses parents avaient transformé une dépendance en deux jolies chambres tout confort, une pour Jean-Marc quand il était jeune et l’autre pour des amis de passage.


Il finit par contacter les deux filles pour leur proposer cette option. Il a un retour très rapidement. Pas à l’aise avec la messagerie, Jean-Marc propose d’échanger par le téléphone. Ils discuteront longtemps, mais les filles, craignant une mauvaise rencontre, demandent l’adresse exacte du bien pour faire des recherches. Deux heures plus tard, elles rappellent souhaitant visiter.


L’ancien passera les prendre sur Nantes pour leur faire visiter l’endroit le week-end suivant. Quand il arrive sur le point de rencontre, il est face à deux très jolies jeunes femmes, mais très différentes. La première est blonde, grande et bien en chair, la deuxième est noire de peau, cheveux bouclés, petite est plutôt menue.

En chemin, la blonde est plutôt bavarde alors que sa copine reste en retrait sur la banquette arrière. Il apprend que la grande s’appelle Sonia et c’est original, la petite Sayan. Sonia est originaire du nord de la France, Sayan est née en République démocratique du Congo, dans une tribu aux traditions particulières. Son prénom vient d’une très vieille arrière-grand-mère qui était d’origine indienne.


Après la pause réglementaire, il ne reste plus qu’une heure et demie de route si tout va bien sur Bordeaux. En presque quatre heures, l’homme a l’impression de tout savoir sur les deux filles, sauf l’intime, bien entendu. Elles ne lui ont pas beaucoup posé de questions.

Une fois sur place, il décide de passer par-derrière et de se garer dans la cour. Les filles découvrent ainsi tout de suite leurs petits nids. Elles sont ravies et émerveillées par ce qu’on leur propose. La blonde ne peut contenir sa joie et interpelle son futur propriétaire.



La blonde lui saute dans les bras et lui colle deux magnifiques bises sur les joues. Sentir les seins de cette nénette se plaquer sur sa poitrine ne laisse pas l’homme insensible. La deuxième locataire est beaucoup plus sur la retenue, bien qu’elle soit, elle aussi, folle de joie.


Durant le week-end sur place, elles découvrent le quartier, puis font le chemin jusqu’à la fac. Avec les transports en commun, pas besoin de voiture, de toute façon, elles n’en ont pas, bien qu’ayant leurs permis.


L’affaire est faite.


Jean-Marc déménage définitivement trois semaines plus tard et les filles arrivent le quinze août pour préparer leur rentrée. Durant la semaine, chacun vaque à ses occupations, par contre, tous les vendredis soir, ils prennent l’habitude de se retrouver chez l’ancien pour prendre un petit apéro et discuter de leurs activités.


Les semaines passent, puis les mois, et enfin, la première année est en poche pour les deux étudiantes. L’été, Sonia part retrouver sa famille qui lui impose de passer du temps avec eux en échange du financement des études. Sayan, elle reste sur Bordeaux, elle a trouvé un bon boulot de réceptionniste pour s’autofinancer, sa famille ne pouvant l’aider que partiellement.


Jean-Marc n’aime pas partir en vacances. Le matin, il fait son ménage, quelques courses au besoin, mais surtout, il va voir quelques copains et copines. Après la sieste, il bricole dans son garage. Il aime travailler le bois qu’il marie parfois avec du métal de récupération. Sayan termine sa journée vers seize heures et, tous les jours, elle rejoint son loueur et apprend à ses côtés. Ils finissent par se tutoyer, c’est plus simple quand on travaille si proche l’un de l’autre.


Le dernier vendredi de juillet, les deux amis se retrouvent pour prendre un petit rafraîchissement, comme d’habitude. Sayan semble perturber ce soir et l’homme lui demande ce qu’il se passe. Elle hésite longtemps, puis finit par tout lui expliquer.



Elle lui coupe la parole.



Sayan en reste là pour ce soir, mais elle reviendra à l’attaque tous les jours ou presque. Comme il fait de plus en plus chaud, ses tenues sont de plus en plus minimalistes quand elle est dans la cour ou dans l’atelier. Jean-Marc ne rate rien du spectacle, mais reste très discret pour ne pas se faire prendre par la jeune femme.

Cela fait maintenant quinze jours que Sayan a fait sa demande, mais l’homme n’a toujours pas pris sa décision. Au fond de lui-même, il doit bien reconnaître que plus les journées passent et moins il trouve d’arguments pour refuser. Alors qu’elle le relance un soir, il finit par lui demander :



Alors qu’il est assis en plein milieu du canapé, elle se lève et vient s’asseoir à califourchon sur lui, lui prend le visage entre les mains et l’embrasse.

Après une longue conversation, ils se mettent d’accord, pour se retrouver la semaine prochaine afin de célébrer cette « cérémonie », comme l’appelle Sayan.


Ce n’est qu’en arrivant que la jeune femme prend conscience de l’importance du moment. Elle s’est faite toute belle, elle a revêtu sa robe traditionnelle sans rien d’autre et s’est soigneusement épilée. Durant la semaine, elle a clairement expliqué à son partenaire comment devait se dérouler la cérémonie. Le vieux monsieur est tout aussi fébrile. Il s’en veut d’avoir cédé, mais maintenant, il ne peut plus reculer. Jean-Marc aurait bien bu un verre, mais elle refuse. Par contre, elle lui demande de mettre un peu de musique, ils dansent, se rapprochent de plus en plus, elle lui demande de la déshabiller lentement.

On n’est pas vraiment dans la tradition de ses ancêtres, mais bon, il n’y a personne pour venir vérifier. Un point sur lequel elle ne tergiverse pas, il doit impérativement lui monter dessus. D’après sa maman, c’est la position qu’il faut pratiquer pour qu’ensuite, elle éprouve du plaisir avec les hommes.


Le moment a été magique, même si elle a pris plus de plaisir dans les préliminaires que dans l’acte lui-même, trop anxieuse. Par contre, contrairement à la tradition, elle a passé la nuit avec son initiateur et les jours suivants. Jean-Marc et Sayan ont régulièrement passé des nuits ensemble, bien que la jeune femme ait maintenant beaucoup de succès auprès des jeunes hommes.


À la fin de ses études, la jeune femme est restée sur Bordeaux. Pour son plus grand plaisir, le vieil homme a le bonheur de la voir de temps en temps, avec son mari qui sait tout et ses enfants. Mais aussi et ça, mis à part eux, personne ne le sait, elle vient de temps en temps revivre des bons moments avec son initiateur.



Martine et Pierre


On peut dire que ces deux-là étaient faits pour se rencontrer.


Tous deux, plutôt timides et réservés, grands sportifs, ils ont réussi à surmonter leurs difficultés pour devenir vendeurs dans le même groupe de produits pour le sport, lui à Amiens et elle à Lyon. Bien notés par leurs managers respectifs, ils se sont vus proposer une promotion malgré leurs vingt ans. Pour monter cet échelon, ils doivent suivre une formation d’une semaine sur Lille.


Martine est une jolie fille, mais qui n’a jamais attiré la gent masculine. Sa carrure, ses capacités physiques, ses muscles ont plutôt rendu les hommes jaloux qu’amoureux. Il y a bien une copine de club qui lui a fait du rentre-dedans, mais ce n’est pas son truc les filles. Alors, elle n’a jamais franchi le cap.


Pierre est une bête de la nature, très grand, des épaules larges, des mains monstrueuses. Pour autant, il est incapable de parler seul à seule avec une fille sans se mettre à bafouiller. Il n’a jamais tenté d’en draguer une et n’a jamais vraiment été dragué par elles. Sauf peut-être la mère d’un copain qui a tout fait pour le faire craquer, sans succès. Il ne voulait pas prendre le risque de briser cette belle amitié. Alors, il n’a jamais franchi le cap.


Quand le groupe s’est retrouvé au complet le lundi matin, Martine et Pierre ont tout de suite compris qu’ils étaient les plus jeunes de la formation. Les dix autres participants semblaient avoir tous au moins le double d’eux. Ainsi, naturellement, ils se sont rapprochés pour boire leurs cafés, pour suivre les présentations et dans les jeux de rôles prévus. Le courant est très vite bien passé entre eux. Après en fin de journée, l’animatrice a donné par petit groupe un travail à faire pour le lendemain, afin de voir leur réactivité.

Après le repas, les deux tourtereaux ont bien tenté de travailler au bar de l’hôtel, mais impossible de se concentrer avec le bruit qui montait plus les heures avancées. Trouvant une force venue du plus profond de lui, Pierre se lance :



Elle est ravie de l’invitation, mais elle ne peut s’empêcher d’appréhender ?



C’est donc une demi-heure après qu’ils se retrouvent pour travailler. Ils ont l’une comme l’autre passé une tenue plus cool que l’uniforme professionnel. Pendant deux heures, il y aura des sourires, des frôlements, des rires et des fous rires. Malgré tout, ils ont été bien productifs. Quand l’heure du départ est arrivée, ils se sont fait deux petites bises pleines de tendresse.


Le lendemain, leur travail impressionne la formatrice et les autres participants, qui finissent par les intégrer un peu plus. La journée se passe à ravir et le soir pas de travail de groupe, car le lendemain, c’est un autre formateur. Les jeunes sont invités à manger et boire un coup avec les anciens. L’ambiance est très joyeuse. Pierre finit par se rendre compte qu’un des membres du groupe commence à draguer ouvertement « sa » Martine.


Pour la première fois de sa vie, il ressent de la jalousie. Il serre les dents quand il la voit rire à pleines dents à la dernière connerie du malotru. Il veut partir, il va partir, mais non, finalement, il ne peut pas fuir.


De son côté, Martine commence à ne plus supporter son « dragueur » qui devient de plus en plus lourd avec l’alcool. Au début, elle l’a laissé faire pour taquiner « son » Pierre, mais elle n’arrive plus à s’en sortir. Alors, quand elle voit son grand baraqué se rapprocher d’elle, elle lui lance un énorme sourire encourageant.


Les deux jeunes se mettent à discuter, ignorant totalement le troisième comparse qui aurait bien dit deux mots à l’intrusion du sportif, mais qui n’en a pas les moyens physiques, donc, beau joueur, il bat en retraite.



À son tour, elle trouve une force inconnue venant de ses entrailles. Alors, elle profite de cette puissance pour poser discrètement sa main sur la cuisse de son sauveur.



Ils sortent trouver un coin discret sur la terrasse. Elle regarde au loin, il attend en la regardant.



Elle respire profondément et longuement avant de reprendre.



Il la regarde amoureusement, se retenant de la prendre dans ses bras à cause des collègues qui pourraient les voir. À son tour de bien souffler plusieurs fois avant de lui répondre.



À peine cinq minutes après, ils sont dans la chambre de la jeune femme, trois minutes plus tard sous la douche, et, après de nombreux baisers, un tas de caresses pleines de savon, ils sont sur le lit. Le premier round n’a pas été fabuleux, mais pour autant, vingt-cinq ans plus tard, ils en gardent un excellent souvenir, d’après ce qu’ils viennent de nous déclarer les yeux rougis.




Fin