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n° 22739Fiche technique39353 caractères39353
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Temps de lecture estimé : 29 mn
04/11/24
Résumé:  Après avoir fêté ses vingt ans avec son frère jumeau, Amandine est prise de pulsions incestueuses qui vont la plonger dans une spirale incontrôlable.
Critères:  f fh jeunes freresoeur grossexe hépilé cérébral exhib fmast intermast pénétratio
Auteur : Amandinette            Envoi mini-message
La gueule de bois

Amandine se réveilla lentement avec le sentiment de sortir d’un trou noir. Une lumière voilée l’aveuglait. Elle ouvra ses yeux et elle comprit que son drap lui recouvrait totalement le visage, il filtrait les rayons du soleil qui pénétraient dans sa chambre. Elle repoussa son drap dans un geste vif. Les rayons du soleil la percutèrent en plein visage, car ses volets n’avaient pas été fermés et sa fenêtre était restée grande ouverte. Nous étions au mois de juillet, il faisait déjà chaud en ce samedi matin. Au loin, elle perçut des chants d’oiseaux et en arrière-plan le ronflement d’un moteur de tracteur qui devait œuvrer dans un champ à l’autre bout du village. Elle soupira.


Bon, il est temps de te lever ma petite Amandine, se disant ça pour elle-même.


Elle s’étira puis se redressa sur son lit, et elle fut surprise de constater qu’elle était totalement nue. Ses yeux cherchèrent une réponse à l’absence de son débardeur qu’elle ne quittait pourtant jamais pour dormir. Un bout de tissu familier dépassait derrière son pied de lit, son string noir traînait sur le sol. Un peu plus loin, son godemichet était resté ventousé sur le sol stratifié, elle n’avait même pas pris le soin de le ranger. C’est alors que les images de sa soirée lui revinrent d’un coup. Avec son frère jumeau Hugo, ils avaient fêté leurs vingt ans. Leurs amis étaient venus, leurs parents leur avaient laissé la maison pour l’occasion pour le Week-end. L’alcool avait coulé à flots, ils en avaient abusé et maintenant elle devait assumer sa gueule de bois.



Reprendre conscience du moment présent, elle devait s’activer. Un flash lui revint de nouveau. Après la fête, ils étaient montés se coucher avec Hugo. Dans l’escalier qui mène à l’étage, là où se trouvent leurs chambres respectives, elle avait trébuché. Il se trouvait derrière elle, il l’avait poussée en appuyant ses mains sur ses fesses qu’elle avait senti dénudées, sans doute sa jupe évasée s’était relevée dans sa chute.



Ils avaient rigolé, ils étaient passablement éméchés.

Amandine se leva nue, elle s’avança devant sa fenêtre largement ouverte et elle profita du moment présent. Depuis sa fenêtre, elle observa le tracteur qui brassait le foin coupé tout au loin, il lui sembla sentir l’odeur de ce foin coupé et elle s’en étonna, il était si loin. Pas de vis-à-vis, elle se pavana ainsi nue sans craindre d’être observée.


L’image d’elle se superposa à celle du tracteur. Elle se revit en train d’enfiler sa tenue de nuit, Hugo s’était changé et il était venu la rejoindre. Il portait l’un de ses éternels caleçons en coton, ceux qui se boutonnent sur le devant. Il avait attendu qu’elle termine de se brosser les dents et il se tenait là, une épaule contre le chambranle de la porte de la salle de bain restée grande ouverte. Il regardait avec insistance son joli cul blanc dévoilé par la ficelle fine du string noir qu’elle portait. Elle avait croisé son regard qui s’était posé sur ses fesses, son petit sourire en coin lui avait glacé le sang. Son regard était rempli de gourmandise et elle n’avait pas pu tolérer une telle manifestation de sa part. La bouche pleine de dentifrice, elle l’avait sermonné une nouvelle fois.



Elle s’était essuyé la bouche, elle était passée à côté de lui qui n’avait pas bougé, leurs corps s’étaient frôlés.

Amandine se retourna faisant dos à sa fenêtre. Ses fesses en appui contre le rebord, elle fixa le godemichet qui était juste là non loin d’elle. Le voyant ainsi érigé fièrement lui fit revenir le souvenir de son sourire lorsqu’elle avait regardé le devant du caleçon qui était passablement déformé par le sexe de son frère.


Il se tenait là à l’observer alors qu’elle était sur le point de ressortir de la salle de bain. Il lui avait semblé que son membre était particulièrement long, lourd et mouvant, elle n’avait pas pu l’imaginer réellement, ses souvenirs étaient confus. Elle avait regagné sa chambre avec cette image en tête. Elle s’était assise sur son lit, stupéfaite de n’avoir jamais remarqué une telle anatomie chez lui. Des sexes de garçon, elle connaissait, elle en avait déjà baisé à quelques reprises, mais là, c’était différent. Elle ne devait pas penser à celui-ci… pourquoi une telle attirance subitement ? Ce besoin animal de forniquer devait sans doute être de plus en présent en elle. Des semaines, voire des mois à se contenter des vingt centimètres de silicone ne la satisfaisaient plus. Elle aspirait à une bite, une vraie, et la seule qui était à sa portée en cette période estivale était bien celle de son frère.


Amandine enfila le débardeur qui était posé sur le dossier de sa chaise de bureau à roulettes, puis son string noir. Elle se sentait un peu plus à l’aise ainsi, bien que se sentir nue était toujours perçu comme un plaisir pas suffisamment vécu à ses yeux. Elle s’arrêta devant le large miroir de son armoire et, se revoyant ainsi vêtue, elle se remémora ce qui avait tout déclenché de sa folle nuit.


Vers trois heures trente du matin, elle s’était relevée pour aller uriner. Sa vessie était pleine et elle ne tenait plus. Les lumières des réverbères extérieurs éclairaient sa chambre d’un halo orangé qui lui suffisait largement pour y voir clair sans devoir allumer la lampe de son chevet. La porte de la chambre de son frère, située pile en face de la sienne, était restée à moitié ouverte. Elle l’avait ignoré et elle s’était soulagée ensuite dans les WC. Lorsqu’elle était revenue, traversant le couloir qui était plongé dans une relative pénombre, elle s’était arrêtée à l’intersection de leurs chambres. La respiration régulière de Hugo était parfaitement audible et, dans un étrange élan de curiosité, elle pénétra dans sa chambre d’un pas aussi léger que celui d’une chatte. Son cœur s’était accéléré lorsqu’elle s’était postée à quelques centimètres de son frère qui dormait profondément étendu sur le dos. Le halo orangé provenant de sa chambre à elle se diffusait dans celle de son frère et suffisait pour révéler ce qu’elle voulait contempler. Largement échancré entre ses cuisses, et du fait que sa cuisse soit repliée à plat sur le côté, le caleçon de Hugo révélait une bonne moitié de son pénis.


Amandine se souvint parfaitement de la vision incroyable qu’elle avait ressentie en voyant ce membre pourtant au repos aussi allongé. Elle avait eu le temps de le détailler. Il semblait épais et long d’une bonne douzaine de centimètres, peut-être plus. La verge paraissait lisse, mais un peu fripée au bout, là où commence la partie du gland. Ce dernier était quasiment totalement décalotté et cela la surprit, car Hugo n’était pas circoncis, elle en était certaine. Elle l’avait trouvé beau et une envie irrésistible de le toucher lui était venue, mais heureusement, elle s’était retenue. Elle se souvint encore de l’excitation qui l’avait envahie et l’envie subite de se masturber lui était venue. Elle s’était précipitée sur son godemichet qu’elle avait ensuite ventousé sur le sol stratifié de sa chambre.


Avant de sortir afin de gagner la cuisine située au rez-de-chaussée, Amandine prit soin de ranger son godemichet dans son tiroir de chevet, ses souvenirs de la veille étaient toujours présents dans son esprit lorsqu’elle passa sa main sur toute la longueur du jouet érotique qui avait séché, mais qui portait toujours l’empreinte de sa jouissance.


Elle avait retiré son débardeur et son string noir, et nue, elle s’était d’abord masturbée sur son lit. Elle s’était malaxé les seins, tirés sur ses tétons qui étaient devenus saillants, puis elle s’était doigtée. Lorsqu’elle s’était sentie aussi humide que possible, elle s’était empalée sur les vingt centimètres de silicone avec la souplesse d’une gymnaste. Après quelques minutes à baiser son godemichet dans la position accroupie, elle s’était retrouvée pratiquement allongée sur son sol stratifié, les jambes en l’air à se fourrer généreusement la chatte avec le jouet. Elle avait tellement joui ensuite qu’elle avait giclé un jet abondant de liquide transparent depuis son urètre. C’était la première fois qu’elle était parvenue à une telle performance.


En ouvrant la porte de sa chambre, ce dernier souvenir érotique lui fit esquisser un sourire et elle constata que la chambre de Hugo était vide, sa porte était restée grande ouverte. La descente de l’escalier fut hésitante, car elle était encore un peu tourneboulée de s’être remémoré sa folle nuit. Ses jolis seins en forme de grosses poires juteuses, dépourvus de soutien-gorge, rebondirent généreusement à chaque marche et elle se retrouva rapidement en bas : toujours personne. Sur la table de la cuisine, un mot était écrit sur un post it.


Je suis parti retrouver Thomas au tennis, ne m’attends pas pour midi, je rentrerai en fin d’après-midi, signé Hugo


La maison était à elle seule pour toute la journée et cela lui donna une envie étrange d’exhibition solitaire. Le temps était magnifique, elle comptait bien profiter de cette solitude qui arrivait à point nommé pour déambuler nue dans toute la maison, petit plaisir simple, mais si rarement pratiqué. Elle remonta dans sa chambre, retira son débardeur ainsi que son string noir qu’elle jeta sur son lit. Lorsqu’elle redescendit l’escalier, elle prit un plaisir immense à sentir comme ses seins se secouaient librement de façon outrageuse.


Après son petit déjeuner, elle prit un bon bain qui la relaxa. Elle resta nue, et sans se soucier un seul moment de son absence de vêtements, elle entreprit de s’activer sur le ménage de la maison dans le plus simple appareil. À chaque fois qu’elle passait devant le large miroir accroché au mur au-dessus de la commode du salon, elle admirait les formes de son corps svelte et surtout ses seins qui vivaient. Sa peau était légèrement hâlée, cela manquait de bronzage et elle en était consciente, mais elle pouvait voir la trace blanche laissée par son bas de maillot de bain qui révélait deux jolies fesses blanches parfaitement galbées. Ses deux globes étaient l’un de ses principaux atouts aux yeux des garçons sans parler de ses superbes seins qui étaient tout simplement parfaits. Elle aimait se sentir ainsi totalement libre et elle s’affaira donc dans le ménage de la maison dans un sentiment de bien-être. Aspirateur, balais, vaisselle, poussière, tout y passa, et rapidement l’heure de midi était dépassée. Pendant tout ce temps, elle avait tout de même jeté des coups d’œil réguliers sur l’extérieur et notamment vers le portail afin de s’assurer que personne ne vienne la déranger, mais tout était resté calme.


Elle prit un rapide déjeuner composé d’une salade, puis elle se décida à profiter de la terrasse désormais orientée en plein soleil. Il faisait chaud, mais l’ombre du saule qui était planté au milieu de leur terrain était largement suffisante pour y mettre un transat, ce qu’elle fit.


Nue, elle s’était allongée confortablement sur le dos sur le coussin moelleux du transat. Admirant son corps habillé d’ombre et de lumière, elle se caressa les seins gentiment en s’attardant sur ses tétons déjà durcis. Ses mains s’aventurèrent sur sa fine toison rectangulaire, puis trouvèrent le chemin de sa fente déjà bien humide. Elle jugea bon qu’elle ne fût pas aussi décidée que cela à se masturber à l’air libre, alors elle se retourna sur le ventre. Quelques nuages passèrent lentement au-dessus d’elle et un air léger et tiède lui caressa le corps tel un amant attentionné l’aurait fait de façon délicate, c’était agréable. Rapidement, et malgré son état d’excitation présent, les résidus de fatigues de la veille la firent sombrer dans un sommeil profond.


Un air glacial la saisit d’un coup, elle ouvrit les yeux, elle était dans une totale obscurité. Recouverte d’une vieille couverture à carreau poussiéreuse, elle grelotta, elle était assise directement sur un sol métallique. Mais que lui arrivait-il ? Où se trouvait-elle ?



Elle claquait déjà des dents quand une lumière puissante jaillit soudainement du plafond, des néons fatigués illuminèrent l’espace dans lequel elle se trouvait. L’endroit où elle se trouvait était totalement vide, il lui fallut quelques secondes pour analyser la situation. Tout ceci n’avait aucun sens. Son regard se posa sur chaque coin de la pièce à la recherche de quelque chose, mais, hormis de la tôle ondulée en guise de mur, elle ne voyait rien. Le plafond était haut de trois ou quatre mètres. Elle fut prise de panique quand l’idée d’avoir été kidnappée lui vint alors. On devait sans doute l’observer, car la lumière n’avait pas jailli toute seule, mais elle ne vit aucune caméra. Mais où se trouvait-elle ? Que voulait-on d’elle ? Avait-elle été enlevée par un maniaque ? Un tueur en série ? Ce genre de chose n’arrivait qu’aux autres. Elle était en plein cauchemar et elle allait bien se réveiller. Recroquevillée sur elle-même avec la couverture qui lui recouvrait les épaules, elle sentait ses fesses en contact direct avec le sol glacial, cela lui faisait aussi mal que si elle s’était brûlée. Elle ajusta sa couverture de façon à s’asseoir dessus. Elle était nue, comment se pouvait-il ?



Enlevée, elle avait dû être enlevée alors qu’elle s’était endormie sur le transat. Elle était convaincue de cette évidence. Un coup de son frère à coup sûr ! Qui d’autre savait qu’elle était seule ? Son regard gourmand sur elle. Il avait été bizarre depuis quelques jours avec elle. Il ressemblait de plus en plus à un prédateur quand il était avec elle.



Elle se redressa tout en veillant à marcher sur la couverture de façon à ne pas rentrer en contact avec le sol métallique avec ses pieds nus. Elle fit glisser ses mains contre les murs ondulés. Elle était convaincue qu’elle devait être dans un conteneur de marchandises, ceux qu’on voit sur les camions où sur les bateaux.



Elle tambourina ses poings sur la paroi qui refléta un bruit sourd et solide.



Elle devait reprendre ses esprits, il y avait bien un moyen de sortir d’ici. Surtout ne pas sombrer dans l’hystérie. Elle essaya de percevoir des bruits extérieurs, des mouettes, un bruit de moteur, quelque chose, mais rien.



Sur le plafond des inscriptions répétées à l’infini, comme des tags.



Les minutes passaient, elle grelottait de plus en plus quand son regard se posa sur un boîtier équipé de touches chiffrées et à côté une trappe verrouillée qu’elle n’avait pas vue dans un angle.



Elle jubila et elle essaya plusieurs chiffres qui lui venaient, sa date de naissance, celle de son frère, la date du jour, rien à faire.



Elle s’assit dépitée, ses pieds étaient devenus rose vif à cause du froid ainsi que ses mains devenues déjà bleuies. Elle allait crever de froid, elle en était certaine.



Elle tapa cette combinaison sur le boîtier qui grésilla d’approbation, la trappe se déverrouilla.



À genou, elle se glissa par l’étroit passage qui vraisemblablement l’emmenait dans une autre salle de dimension identique.



La trappe se referma automatiquement quand elle pénétra dans la nouvelle salle. Au contraire de la précédente, il faisait bien plus chaud ici, à tel point qu’elle se sentit obligée de se dégager de sa couverture. Elle se retrouva donc nue dans le noir.


Comme précédemment, la lumière jaillit d’un coup avec la même installation de néons au plafond. La pièce était elle aussi vide, mais, dans un angle, une masse allongée était recouverte d’une bâche.



Soudain, la bâche remua, un pied nu dépassa, puis un autre. La bâche se retira, un homme nu de dos se redressa et se retourna.



Par réflexe de pudeur, Amandine se recouvra avec la couverture, Hugo ne l’avait jamais vue nue, ce n’était pas la veille qu’il la verrait. Il n’avait sans doute pas pris conscience de sa nudité et Amandine fut troublée de voir son corps nu également. Elle ne put s’empêcher de regarder son sexe qu’elle trouva si allongé qu’il lui arrivait quasiment au milieu de ses cuisses. Comment n’avait-elle jamais remarqué qu’il put avoir une bite aussi longue ? Il fallait qu’ils se retrouvent ainsi séquestrés quelque part pour découvrir l’anatomie de son frère… et quelle anatomie ! Lorsqu’elle l’avait observé la nuit précédente dans la pénombre, elle n’avait sans doute pas pu remarquer son volume exact, d’autant plus qu’il était alors allongé et endormi. Le pénis était là devant ses yeux ébahis. Flasque, il remuait lourdement dans tous les sens, sans parler de ses belles couilles qui pendaient elles aussi. Elle remarqua qu’il n’avait aucun poil nulle part, cette réalité lui fit s’accélérer les battements de son cœur, son frère avait vraiment une bite magnifique, et, en érection, il devait être incroyable.


Était-ce l’atmosphère étouffante de cette salle qui lui faisait ressentir des brûlures sur ses joues ou était-ce la vue de ce sexe qui la faisait réagir ? Elle était vraiment troublée.


Hugo attrapa d’un coup la bâche afin de la positionner comme il le put devant lui, il venait de prendre conscience de sa nudité.



Chacun de leurs côtés, ils explorèrent chaque centimètre carré des parois de leur salle, en vain.



Une illumination vint subitement dans l’esprit cartésien d’Amandine.



Hugo s’avança et, une fois positionné devant le tube, dégagea la bâche qui le recouvrait. D’un coup d’épaule, il se retrouva nu. Amandine apprécia la musculature sèche de son frère et notamment ses abdominaux assez dessinés. Hugo était vraiment un beau mec.



Le pénis dans sa main, il introduisit le gland décalotté dans l’orifice. Amandine n’en croyait pas ses yeux. Elle était estomaquée de voir un tel membre juste là devant elle. Dessous, les testicules pendaient lourdement et remuaient mollement. Elle s’éclaircit la voix.



Elle n’en rata pas une miette, le liquide jaunâtre jaillit depuis le méat dans un petit sifflement caractéristique.



Hugo était concentré, mais il ne se sentait pas très à l’aise de devoir pisser totalement nu devant sa sœur. Il fut pris de secousses et de nouveau il visa bien mal.



Hugo ne la regarda pas. Il écarta sa main comme signe d’approbation. Amandine saisit le pénis avec le bout de ses doigts comme si elle n’osait pas le toucher et elle visa l’orifice tant bien que mal, car le pénis était flasque. C’était bien la première fois qu’elle faisait quelque chose d’aussi obscène et d’aussi érotique à ses yeux. Sous ses doigts, elle sentit la douceur et la chaleur de ce sexe mou. Il lui semblait assez épais et elle s’amusa à le comparer avec son godemichet. Une bite pareille lui aurait fait un de ses effets ! Elle devait se concentrer, rester dans le moment présent, alors elle reprit ses esprits.


Le liquide remplissait peu à peu le tube, mais Hugo avait vidé sa vessie à mi-chemin de la graduation.



Elle compressa la verge afin de tenter de faire couler encore quelques gouttes précieuses, comme si elle était en train de traire un pis de vache, sauf que, dans cette manœuvre, elle sentit que la verge se mit à durcir sous ses doigts.



Hugo se recula, son pénis était désormais mis à l’horizontale et particulièrement tendu.



Hugo mima le bon geste bien que son pénis soit désormais tendu à l’extrême.



La position d’Amandine était assez cocasse, car elle devait plaquer sa fente contre le tube. Avec ses doigts, elle écarta ses lèvres, puis sans savoir vraiment si elle se trouvait face à l’orifice, elle évacua son urine par petites quantités avec cette satanée couverture dégoûtante qui la gênait. Comme l’avait fait son frère, elle la fit tomber d’un coup d’épaule.



Après quelques minutes, le niveau requis était presque atteint, mais il manquait encore un peu de liquide pour atteindre le niveau 1516.



Amandine s’écarta de la paroi, restant nue à la vue de son frère qui ne la regardait même plus tellement l’angoisse l’avait envahi.



Hugo resta bouche bée, sans doute son esprit tentait de faire le film, et Amandine perçut son trouble.



Amandine caressa la queue avec sa main droite pendant qu’avec la gauche, elle s’était saisi un téton. Hugo se cambra davantage afin de mieux exhiber son sexe.



Aussitôt, Amandine se mit à genou et elle enfourna le gland dans sa bouche. Elle le lécha, l’embrassa tout en le branlant généreusement. Elle sentit les mains de Hugo se poser sur sa tête l’obligeant à enfourner davantage sa bite au fond de sa gorge, elle manqua s’étouffer. Il lui donna le rythme à adopter et elle aima cela.

Elle se dégagea de son emprise peu après, puis, restant à genou, elle compressa la queue tendue entre ses jolis seins. Hugo lui saisit un téton qu’il fit rouler sous ses doigts, Amandine gémit.


Elle s’installa sur le sol et, accoudée en arrière, elle s’ouvrit à lui en écartant largement les cuisses. Hugo se mit à genou de façon à lui lécher la chatte. Il caressa le petit triangle de poils bruns, puis il introduisit directement deux doigts dans la fente trempée d’Amandine. Il s’activa en elle avec brutalité, ce qui accentua le plaisir de sa sœur. Il la lécha ensuite avec gourmandise, puis il attrapa ses cuisses qu’il tira vers lui afin de la pénétrer avec son chibre turgescent. Il la baisa sans retenue, leurs corps ruisselaient de transpiration. La chaleur dans le conteneur était étouffante, mais Amandine n’en éprouva aucune gêne, bien au contraire. Quelque part à l’extérieur, le grondement d’un orage retentit au moment où ils étaient sur le point de jouir ensemble. Hugo râlait et haletait tandis qu’Amandine gémissait et hurlait.



Hugo était dans un état second, il n’était focalisé que sur son plaisir. Amandine se tortilla et elle parvint à se libérer, elle se précipita devant le tube gradué. Elle se positionna devant juste à temps et un liquide puissant jaillit sans aucun contrôle un peu partout devant elle. Elle jouissait en étant prise de tremblements convulsifs. Derrière elle, Hugo s’était mis debout et gicla plusieurs jets de sperme liquide sur ses fesses.


Amandine ne s’arrêtait plus de gicler et elle sentit un liquide froid tomber sur ses épaules de façon abondante. Cela la surprit et, comme un électro-choc, elle ouvrit les yeux.


Il lui fallut quelques secondes pour analyser la situation qui lui sembla rapidement grotesque. Elle était toujours allongée sur le ventre sur son transat et elle avait bien rêvé. Elle se mise à pouffer de rire lorsqu’elle prit conscience qu’il s’était mis à pleuvoir et que la pluie fraîche l’avait réveillée alors qu’elle était en plein rêve érotique, à moins que cela soit davantage un cauchemar.



Son rêve avait été construit grâce à des ingrédients divers rendant le tout totalement délirant, mais semblant si réels. Elle reconnut en elle-même que la trame de base était axée sur le fantasme de voir son frère nu et cela ne la surprit pas vraiment.


Avant de se relever, elle voulut se rassurer, alors elle tourna sa tête dans tous les sens afin de vérifier qu’elle était toujours seule, mais la pluie redoublait d’intensité. Elle ignorait complètement combien de temps elle avait rêvé et l’heure qu’il était. Son cœur se mit à tambouriner dans sa poitrine à l’idée que Hugo soit déjà revenu de sa partie de tennis. L’aurait-il vue dans le jardin nue comme un ver ? Cette idée la paniqua. Il fallait pourtant bien qu’elle bouge de là où elle était. Il n’était pas prudent de rester nue ici même sous la pluie.



Elle se mise à courir les seins ballottant dans tous les sens, ne cessant de scruter autour d’elle. Sous ses pieds nus, l’herbe était froide et glissante et elle y voyait de moins en moins, car ses cheveux châtains mi-longs se collaient sur le devant de son visage, ils ruisselaient. Juste avant de rentrer dans le salon dont la porte vitrée coulissante était restée grande ouverte, elle scruta l’intérieur afin de s’assurer qu’elle était bien seule, les deux mains plaquées sur ses seins qu’elle compressait. Elle ignorait totalement le temps qu’il s’était passé. Hugo était-il déjà rentré ? Elle rentra d’un pas léger dans le salon et son regard se posa sur le minuteur du micro-ondes qui affichait l’heure.



Elle était rassurée, Hugo n’était donc pas rentré et elle était toujours seule. Elle expira un ouf de soulagement et elle reprit confiance en elle. Elle libéra ses seins de ses mains, dont les tétons pointus étaient durcis par la fraîcheur de la pluie, son corps en entier dégoulinait. Étonnement, elle apprécia ce moment, et elle resta nue sans se sécher, elle avait eu tant d’émotion qu’un peu de fraîcheur ne pouvait que lui faire du bien. Elle prit même le luxe de se servir un verre de jus d’orange dans la cuisine, profitant de nouveau du plaisir d’être nue.


Alors qu’elle sirotait son jus de fruits, les images de son rêve lui revinrent. Quand elle y repensait, elle se demanda d’où lui étaient venues toutes ses idées farfelues et notamment le fait d’avoir été capable de matérialiser Hugo dans son délire. Hugo était-il vraiment bâti comme elle l’avait imaginé ? Elle esquissa un sourire à cette pensée, mais une autre image revint à elle, celle où elle s’était imaginée se faire baiser par lui sans ménagement. Fantasmait-elle à ce point sur son frère ? Certains rêves érotiques sont parfois inexplicables, alors elle décida de tourner cette page qui resterait enfouie au plus profond d’elle-même, mettant l’alcool responsable de tout ceci.


Les fesses en appui contre le plan de travail de la cuisine et au moment où elle buvait sa quatrième gorgée de jus d’orange, elle entendit le bruit strident caractéristique du portail couiner. Tous les voyants d’alerte s’allumèrent dans son esprit. À cause du mauvais temps, Hugo avait dû écourter sa partie de tennis et il était déjà de retour. Prise de panique, le cœur battant à tout rompre, elle posa son verre sur l’évier, se précipita dans le salon, courut à petits pas pour éviter de glisser sur le carrelage et arriva au pied de l’escalier. À ce moment précis Hugo ouvrit la porte d’entrée qui donnait justement sur le bas du même escalier, impossible d’échapper à sa vue.


NON, NON, NON ! hurla-t-elle dans sa tête pour elle-même.


Elle gravissait les marches deux par deux, mais elle était certaine qu’à mi-chemin, Hugo pourrait voir son joli cul blanc gravir l’escalier.


Elle se précipita dans sa chambre avec le poids de la honte sur ses épaules, cette masse lui parut colossale, alors elle s’effondra sur son lit qu’elle enduit d’eau de pluie. Elle s’en voulait, que lui avait-il pris d’avoir des envies de se foutre à poil ? Qu’allait-il penser d’elle ? La prendrait-il pour une catin ? Une exhibitionniste ?


On toqua à sa porte, il était là, il allait entrer et lui sauter dessus.



Elle sanglotait, pétrifiée par la peur et par la honte. Hugo ne pouvait pas la laisser ainsi, il ne comprenait pas pourquoi elle pleurait. Il était inquiet pour elle.



Se pouvait-il qu’il ne l’ait pas vue ? Aurait-il été aussi aveugle que de ne pas voir un âne dans un couloir ? Il se jouait d’elle, certainement.



Trop tard, la porte s’ouvrit, elle eut juste le temps de se couvrir avec son drap blanc qui rapidement devint transparent du fait de l’eau de pluie.



Il s’approcha et il posa une fesse sur le bord de son lit. Il voyait que sa sœur était en panique, tétanisée.



Elle s’apaisait, Hugo était un peu rassuré, mais toujours dans l’expectative.



Amandine voyait son frère tout faire pour la rassurer et tenter de comprendre son malaise. Il lui souriait, jamais il n’avait été aussi attentionné qu’à cet instant avec elle. Elle décida de se lâcher un peu.



L’étonnement se manifesta instantanément d’un haussement des yeux sur le visage de Hugo dès l’évocation de ce détail qu’elle avait voulu préciser de façon anodine. Elle jugea bon de poursuivre.



Elle haussa des épaules pour toute réponse.



Sans aucune réponse, Hugo voyait qu’elle avait le regard dans le vague, alors il la bouscula de la main gentiment.



Il sourit de façon complice.



Elle lui sourit à son tour, elle était détendue et heureuse d’avoir soulagé sa conscience… partiellement !




Qui n’a jamais fait de rêve délirant rempli de fantasmes inavouables me jette la première pierre. Je ne me souviens pas avoir fait un rêve aussi intense depuis, mais ce dernier me revient parfois en boucle. J’avoue avoir fantasmé sur Hugo pendant pas mal de temps comme une envie incestueuse. Cette histoire comporte une suite qui ne tient qu’à vous de connaître si vous me la demandez. Je ne suis pas une écrivaine professionnelle, aussi je m’exprime avec mes mots, et mes pensées me viennent comme des flashs, merci donc de votre bienveillance.


À très vite !


Amandine