n° 22763 | Fiche technique | 9330 caractères | 9330 1706 Temps de lecture estimé : 7 mn |
20/11/24 |
Résumé: Un homme marié, une femme mariée, ils sont amants. | ||||
Critères: fh caresses québec | ||||
Auteur : sportrick Envoi mini-message |
La maison est calme, aucun bruit, ni de l’intérieur ni de l’extérieur, juste le vent qui se permet de passer dans la maison, il a bien le droit, les fenêtres et les portes avant et arrière sont grandes ouvertes. Je suis devant mon ordi et j’essaie de comprendre comment fonctionnent certaines applications, surtout le « tchat » et la webcam. Je me décide à l’appeler. Elle en connaît un peu plus que moi sur la façon d’accéder au tchat et de synchroniser la webcam. Elle tchatte souvent, elle me l’a dit, et même qu’elle m’a déjà montré ses seins via la webcam, j’étais super excité. Il faut dire que nous avons tchatté plusieurs fois et que les conversations tournaient toujours autour du sexe. Je ne m’en plains pas, elle non plus. Elle aime me raconter ses trucs. Ce qui m’a fait dire : « Je crois bien que tu es exhibitionniste et moi voyeur ». Chose certaine, elle aime le sexe et moi aussi.
Nous sommes dimanche, je sais qu’elle est chez elle. J’aimerais la voir, j’aimerais qu’elle soit là près de moi. Je veux la toucher, la caresser, et, en même temps, je ne veux pas qu’elle vienne chez moi, je culpabilise. Ma queue, elle, n’entretient pas les mêmes sentiments, elle s’en fout ma queue, elle aime bander, se faire caresser, et surtout, elle aime jouir, sur les seins, les fesses, le ventre, pourvu qu’elle jouisse. Je fantasme, son corps me donne des chaleurs, des étourdissements.
Alors que je suis perdu dans mes pensées érotiques, la sonnerie du téléphone me ramène à la réalité.
C’est elle.
Je lui explique que j’ai des problèmes avec mon ordi, c’est la raison pour laquelle elle ne peut me contacter par le « tchat ».
Elle raccroche.
Je reste songeur, debout, avec le téléphone encore dans la main. Je constate que cette dernière partie de notre conversation a eu un effet sur mon… J’ai un début d’érection.
Je retourne à l’ordi et j’essaie de me concentrer sur l’écran. J’y parviens, mais non sans peine. Le temps passe.
Dans le calme de ce dimanche ensoleillé, j’entends le crissement de pneus d’une voiture sur les gravillons de l’entrée.
Je me lève et me dirige vers la porte avant. Elle est là, debout à côté de sa voiture, je suis sans mot, je l’admire. Oui, je la contemple, ses longs cheveux blonds, son sourire invitant qui me montre à quel point elle est contente de me surprendre par son audace. Elle est venue, malgré mes protestations au téléphone.
Je la détaille des pieds à la tête, et je vois bien que, sous sa petite robe d’été légère, elle ne porte pas de soutien-gorge. Je distingue la pointe de ses seins qui tendent le tissu. Je me dirige vers elle et je l’invite à entrer dans la maison. Une fois à l’intérieur, je l’embrasse presque chastement sur les joues. Elle s’approche avec plus de détermination que moi, espérant sans doute que je la prenne dans mes bras et l’embrasse avec plus de fougue.
Elle est là devant moi, debout dans le salon. Je ne dis rien, je la regarde, je la détaille, je devine les formes de son corps que je connais, mais pas assez. Les quelques fois où nous avons fait l’amour ne m’ont pas rassasié. Elle non plus, puisqu’elle est là. Elle porte une petite robe d’été avec des motifs à fleurs, mais de petites fleurs. Elle est boutonnée sur le devant de haut en bas et quelques boutons près de l’encolure sont détachés, ce qui laisse entrevoir le début de sa poitrine, mais de façon « chaste ». La robe est ample, mais pas trop, et légère. Elle porte également de petits souliers de toile de couleur beige. Elle me regarde dans les yeux et m’offre le plus malicieux et délicieux des sourires. Au même instant, elle tourne sur elle-même, ce qui a pour effet de soulever sa robe et… dévoiler ses fesses blanches pendant un court instant. Ma voix se trouble, mais je parviens cependant à dire :
Dans le même souffle, elle relève sa robe, comme une petite fille gênée, jusqu’à la taille, me dévoilant ainsi son sexe, que je dévore des yeux. Sexe qui est tout propre, bien épilé, sans aucun poil pubien. Je me retiens pour ne pas me jeter sur elle comme un ogre affamé. Je me lève cependant et me dirige vers elle pour la prendre dans mes bras, je la serre contre moi, elle ne refuse pas ma caresse et il n’en faut pas plus pour que nous échangions un baiser des plus grisant. Après ce long baiser, je l’éloigne un peu de moi et je défais les boutons de sa robe. J’ouvre les pans de sa robe et je redécouvre ses seins, sa peau blanche qui me fait si envie. Je la dévore des yeux et elle le sent bien dans mon regard, ce qui n’est pas pour lui déplaire. Elle est venue de son plein gré. Malgré mon opposition à sa venue, au téléphone, donc, je comprends que, pour elle le désir est bien présent. Pour vérifier l’état de son désir, je me risque à lui passer la main sur son pubis. Pourquoi ne suis-je pas surpris de constater que sa chatte est ruisselante… alors qu'elle vient juste d’arriver !
Ce que j’aime particulièrement, c’est sa chatte. Elle mouille comme ce n’est pas possible. Dès les premières fois où j’ai posé un doigt sur sa chatte, j'ai découvert à chaque fois, qu’elle mouillait beaucoup. Je pouvais facilement glisser un doigt ou même deux puis trois. Elle aimait que je mette mes doigts dans sa chatte et que je la caresse, la masturbe, que je joue avec son clitoris qui se gonflait au premier contact. Je me demande même si juste le fait de venir me voir et de ne pas porter de culotte n’avait pas contribué à son excitation. La réponse est oui.
Je la tire par la main et l’amène à l’étage dans une des chambres. Je m’assois sur le lit et elle se campe devant moi, sa robe toujours entrouverte. Je glisse mes mains derrière sa robe, j’embrasse son ventre et caresse ses fesses. Je laisse une main s’aventurer entre ses fesses pour rejoindre par derrière sa chatte qui ne demande qu’à se faire toucher, caresser, pénétrer. Mon majeur n’hésite pas à se frayer un chemin dans cette grotte des plus invitantes. Cette caresse ne la laisse pas indifférente, elle se tortille devant moi, elle se penche pour prendre possession de ma bouche et, de ce fait, écarter ma main de sa chatte.
Je profite de sa position pour faire glisser sa robe, elle se retrouve complètement nue. Nous mettons à profit ce moment pour lui permettre d’enlever son chandail, et moi de faire glisser mon short qui retenait prisonnier mon érection.
Elle ne perd pas une seconde, elle s’empare de mon pénis et commence à lui prodiguer une douce caresse qui s’apparente à une masturbation, mais en plus doux et plus sensuel. Je me laisse tomber sur le dos sur le lit et, naturellement, elle tombe avec moi. Nous nous embrassons à perdre haleine. Ma main retrouve le chemin de sa chatte et, cette fois, mieux positionné, je peux à mon tour lui prodiguer une caresse.
Je découvre son clitoris tout gonflé. Dès que mon doigt le lui touche, elle gémit doucement et cambre les reins. Ses murmures, ses douces lamentations, son souffle court dans mes oreilles sont d’une douceur qui n’expriment pas la douleur, plutôt un état de bien-être qui ne peut qu’augmenter. Le plaisir qu’elle me procure avec ses caresses n’a d’égal que celui que je lui donne. Le vent chaud, en cet après-midi, qui entre par les fenêtres ouvertes, vient lui aussi contribuer à la sensualité de ces instants. Nous sommes étendus côte à côte sur le lit, à nous caresser, nous embrasser, nous désirer, nos corps vibrent à l’unisson.
Après cette entrée en matière, nous ne prenons que quelques instants de répit, nous prenons le temps de prendre notre temps. Je la regarde, allongée nue à côté de moi, je sens la chaleur de son corps. Je caresse son bras qui est entre nous et j’effleure son ventre. Je laisse glisser ma main sur celui-ci et, doucement, je remonte sur ses seins. Ses seins, oui, parlons-en de ses jolis seins. Tout a commencé là…