n° 22764 | Fiche technique | 31525 caractères | 31525 5474 Temps de lecture estimé : 22 mn |
21/11/24 |
Résumé: Passé la cinquantaine, une femme autonome change. | ||||
Critères: fh fhh couple plage hotel hdomine caresses fgode pénétratio sandwich fsodo init | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
« Je ne comprends pas ce qui m’arrive, cet homme me rend folle. »
Sophie se pose énormément de questions. Seule dans son lit ce lundi ce matin, elle revit une partie de son week-end.
« Comment est-ce possible que moi, si autonome, libre de tout lien, en arrive à faire ce genre de choses ? »
Vendredi, elle était allée retrouver son ami du moment dans son appartement. Enfin du moment… Ils viennent de fêter les six mois de leur premier baiser. Rien que cela, c’est déjà un exploit pour elle. Mais en plus, ce qu’elle a fait avec lui et accepté de lui durant ce séjour aurait été, pour elle, inimaginable, inconcevable même. Et pourtant, elle l’a fait et son corps le lui rappelle ce matin.
oooOOOooo
Sophie est née dans une bonne famille en mille neuf cent soixante-sept. Son père, chef de la petite entreprise familiale de fabrication de sous-vêtements, était respecté de tous. Il eut l’intelligence de ne jamais toucher à la politique malgré de nombreuses sollicitations. Sa maman, fait rare pour l’époque, travaillait comme assistante de direction pour un journal régional. Son mari aurait souhaité qu’elle reste à la maison pour prouver aux autres qu’il gagnait bien sa vie, mais elle a toujours refusé. Elle voulait garder son autonomie, et surtout voir du monde. La famille vivait dans un grand domaine et recevait souvent. Durant ces fêtes, Sophie devait se tenir avec une baby-sitter à l’écart dans sa chambre, qui donnait sur l’avant de la maison. Les fêtes s’organisaient dans les grands salons et sur la terrasse de l’autre côté. Elle pouvait voir arriver les invités, elle pouvait entendre la musique, les rires et autres discussions, mais ne pouvait rien comprendre. Devenue grande, elle se retrouva en pension dans un très bel établissement privé. Quand elle était au manoir, il n’y avait plus de nounou… mais plus de fête non plus.
Ce n’est qu’à l’âge de dix-sept ans, par un hasard total, qu’elle découvrit le pot aux roses. Alors qu’elle ne devait rentrer de pension que samedi midi comme d’habitude, elle eut l’occasion de repartir avec les parents d’une copine le vendredi en fin de journée. Exceptionnellement, ils devaient faire un détour et passer pas très loin de chez elle. À l’époque, les téléphones étant rares, elle n’avait pas prévenu ses parents de ce retour anticipé. Elle aimait en plus l’idée de leur faire la surprise. En franchissant la grille, elle eut la surprise de voir quatre voitures en bas du perron.
« Tiens encore un repas d’affaires ou une fête en tout genre », se dit-elle.
Plutôt que d'entrer par l’avant, elle décide finalement de faire le tour pour voir au moins une fois à quoi ressemblent ces moments. Et là, elle tombe sur une partouze en bonne et due forme. Quelle surprise de voir sa maman se faire lécher l’entrejambe par la femme du maire, visiblement, tout en prenant le sexe dudit maire dans sa bouche et lui prodiguant de nombreux aller-retour ! Son père, quant à lui, administrait de violents coups de reins derrière la femme à genoux entre les cuisses de sa femme.
La surprise passée, elle s’est reprise. Elle est retournée sur le perron, est rentrée et, rapidement, est montée dans le grenier pour se cacher. Il lui a fallu pas mal de temps pour retrouver ses esprits et réfléchir à la suite. Profitant du bruit de la musique, elle descend au premier étage dans sa chambre, passe par les toilettes, prend une douche et remonte dans sa cachette avec un duvet et un oreiller.
Elle eut beaucoup de mal à s’endormir, mais finalement, la fatigue l’a rattrapée et ce n’est que vers huit heures qu’elle fait surface. Elle a le temps d’aller assouvir un besoin urgent et de récupérer de quoi se sustenter avant que ses parents ne bougent. Fidèles à leurs habitudes, ils partent faire leur footing avant l’heure normale d’arrivée de leur fille.
Toujours dans le grenier, Sophie est attirée par une malle mise en lumière par le soleil à travers une fenêtre de toit. Elle ne l’a jamais vue. La curiosité étant forte, elle l’ouvre. Encore une énorme surprise : elle y trouve une multitude de jouets sexuels. Elle en reconnaît quelques-uns, certaines de ses copines d’internat sont consommatrices de ces produits. Il ne faut pas croire que tous les internats, même privés, sont aussi des couvents. D’ailleurs, que se passe-t-il vraiment derrière les murs de ses institutions ?
Quand les parents reviennent, elle est dans la cuisine comme un samedi normal. Ils dissertent sur leur semaine respective, puis sa maman file sous la douche, laissant la place à son mari quelques minutes plus tard. Cette nuit, Sophie a pris la décision de crever l’abcès avec sa mère, mais ne sait pas comment s’y prendre. Après de longues minutes de discussion de tout et de rien, la maman déclare en s’étirant :
Après quelques secondes d’hésitation, Sophie se lance et, en fixant sa maman droit dans les yeux :
Elle vient de lâcher son scud. La première réaction de la femme attaquée est de tenter une contre-attaque, mais elle bafouille, n’arrive pas à s’exprimer normalement, alors elle se calme et répond simplement :
Sophie est toute tremblante, pour la première fois, elle tient tête à un de ses parents. Elle ose soutenir le regard maternel. La génitrice comprend qu’elle doit s’expliquer et elle le fait avec des mots simples et sans chercher à se justifier. Elle minimise juste ses pratiques. Cela reste de l’intime quand même. Elle ne peut contenir ses larmes. C’est à ce moment-là que le père revient.
Ils discuteront de très longues heures, pour chacun respectant la parole de l’autre, et personne ne porte de jugement.
Dès ce jour, la vie de Sophie prend un grand tournant. Alors qu’elle ne participait jamais aux jeux entre filles à l’internat, elle s’y est mise. Au début, juste pour voir, puis, petit à petit, elle s’est rapprochée de sa copine de chambre. On ne peut pas parler d’amour, mais de tendresse réciproque. Pour ses dix-huit ans, elle a rapporté le godemichet qu’elle a volé à ses parents. Après s’être longuement préparée en échangeant de nombreux baisers, de nombreuses caresses et beaucoup de léchage, elle a demandé à sa partenaire de lui ôter sa virginité. Ce fut fait avec tellement de tendresse que seules les petites traces de sang prouvent que l’hymen était bien encore présent.
Pour ses parents aussi, la vie a pris une nouvelle tournure. Ils continuent leurs soirées « particulières » comme ils aiment dire, mais leur fille est prévenue et elle prend des dispositions pour ne pas s’approcher de la demeure familiale ces week-ends-là.
Bac en poche avec la plus belle des mentions, elle intègre une grande école de commerce parisienne. Rapidement, elle s’est fait draguer par un beau parleur qui pensait la manger toute crue. Bien mal lui en a pris ! Pour pouvoir profiter des charmes de la belle, il a dû obéir à tous ces caprices. Au début, il acceptait par gourmandise de se laisser soumettre au désir de sa compagne, mais ensuite, il n’a jamais réussi à prendre le dessus. Quand, plusieurs semaines après, il a commencé à lui tenir tête, elle a rompu, trouvant rapidement un remplaçant.
Elle adore voir les hommes se plier à ses exigences. Elle aime les voir se mettre nus devant elle. Ensuite, ils doivent la dénuder lentement en pliant soigneusement ses vêtements. Elle aime se faire lécher longuement, elle ne leur rend la pareille que très rarement et surtout, jamais quand ils osent le lui demander. Elle leur interdit de se vider en elle, ils doivent tous se retenir au risque de se faire jeter. Ils ne doivent jamais rien demander, elle seule propose et ils doivent obéir. Elle ne les avilit pas pour autant. Elle reste soft, mais ferme.
À la fin de ses études, elle est immédiatement embauchée par l’entreprise où elle a fait son stage pour sa thèse de fin d’études. Performante et disponible, elle a rapidement pris du galon. Elle n’a jamais refusé la moindre mission, aussi bien en France qu’à l’étranger, ce qui lui a permis de faire beaucoup de rencontres. C’est fou le nombre d’hommes qui n’hésitent pas une seconde quand elle les invite dans sa chambre d’hôtel. Plus ils ont de responsabilités, plus ils se laissent dominer par la jeune femme.
Sophie n’a jamais mélangé sexe et boulot. Ses compétences et son charisme sont suffisants pour que tous ses subordonnés la suivent sans contestation, hommes et femmes confondus. À quarante ans, son patron lui a proposé de rentrer au comité de direction de l’entreprise. Il a été très honnête, bien entendu, c’est grâce à ses qualités, mais surtout, il sait qu’elle a été approchée par la concurrence. Cette promotion doit la faire rester avec eux sans parler des quarante mille euros annuels d’augmentation.
Tous les premiers week-ends du mois, elle se rend dans la grande demeure familiale pour une réunion de travail. Elle se doit d’arriver le vendredi avant le repas du soir et ne peut pas partir avant le dimanche matin. Le programme du samedi changeait régulièrement, après la réunion avec les actionnaires, qui font tous partie de la famille. Ils étaient pratiquement tous toujours présents, sauf un. Sa place était vide, mais prête au cas où. Il participait uniquement en Visio.
oooOOOooo
Sophie vient tout juste d’avoir cinquante ans quand elle arrive au manoir pour le week-end. Durant toutes ses années, elle a manipulé des dizaines d’hommes. Grâce à son entreprise, les portes des groupes de réflexions, golfs, clubs… se sont ouvertes. Elle a constaté que plus l’homme a du pouvoir, plus il est facile à dominer dans le privé, comme ce grand patron du CAC40, qui passe plus de temps à lui masser les pieds qu’à la pénétrer. Et elle adore ça.
Grande surprise, Jacques, l’actionnaire absentéiste, est présent. Il la salue comme s’ils se connaissaient depuis longtemps. Il est grand, baraqué, des mains puissantes, un regard perturbateur. Sophie est immédiatement sous le charme.
Il ne lui laisse pas le temps de répondre. Elle est déstabilisée. Jamais on ne lui a parlé comme ça.
« Mais pour qui il se prend, celui-là ! »
Pourtant, guidée par une force intérieure, elle rejoint sa chambre, se change, prépare un petit baise-en-ville et rejoint le perron juste à l’heure.
Sophie ne se reconnaît pas. Elle d’habitude si sûre d’elle, elle qui n’a jamais obéi à quiconque dans le privé, ce soir, elle se laisse manipuler et par un homme en plus. Alors pourquoi ?
Elle le suit, il dépose leurs sacs de voyage dans le coffre, lui ouvre la porte de son 4×4. Le siège est tellement haut, qu’elle a du mal à grimper, il lui tend la main pour l’aider. Une fois sur l’assise, elle ne peut que constater que sa robe qui normalement arrive presque aux genoux est largement remontée, découvrant ses cuisses au point de laisser entrevoir une bande de ses bas autofixants. Il a vu, elle sait qu’il a vu et il sait qu’elle sait. Chevaleresquement, il ferme la porte et fait le tour pour rejoindre le poste de pilotage. Elle en profite pour remettre un peu d’ordre dans sa tenue. Durant le voyage, ils discutent de tout, mais surtout d’elle. Il lui pose beaucoup de questions sur sa vie, auxquelles elle se surprend à répondre franchement, même quand elles commencent à être intrusives.
Quarante minutes plus tard, ils se rendent compte qu’ils ont beaucoup de points communs, en particulier celui d’être célibataires tous les deux, mais par choix de vie.
Le cadre est chaleureux, le repas est divin, la conversation est agréable. Deux heures plus tard, il lui propose de venir prendre un dernier verre dans sa chambre.
« Mais que croit-il, celui-là ? Il pense me mettre dans son lit comme ça ! »
Elle arrive enfin à se reprendre et refuse poliment l’invitation. Jacques n’insiste pas. Elle dormira mal, se retournant de nombreuses fois. Elle s’imagine sous la coupe de cet homme qu’elle ne connaît pratiquement pas.
Dans les mois qui suivent, Jacques est toujours présent aux réunions et, systématiquement, il prépare une sortie le vendredi soir avec Sophie : théâtre, cinéma… et de nouveau, le premier restaurant.
Cette fois-ci, elle accepte l’invitation au dernier verre dans sa chambre. Il la laisse entrer la première. Elle pose ses affaires sur un guéridon, puis entre dans la chambre, enfin, une chambre… une très grande chambre.
Il l’invite à prendre place dans un profond fauteuil et ouvre la bouteille de champagne qui se trouvait dans un petit frigidaire. Il s’installe en face d’elle avant de trinquer à sa beauté. À cause de la profondeur du siège, sa robe ne cache plus ses cuisses. Elle se sait observée, mais ce regard ne la dérange pas. Elle se sent belle et désirable. Elle aimerait bien prendre les choses en main, mais elle n’y arrive pas. Une demi-heure passe. Elle refuse un nouveau verre et souhaite rejoindre sa chambre. Ils se lèvent, mais Jacques reste devant elle, l’empêchant de passer.
Elle va le gifler, mais… Elle ouvre les boutons dégageant son buste. La robe au sol, elle ne porte plus qu’un magnifique ensemble de dentelle, ses bas et ses chaussures qu’elle envoie sous une petite table basse. Sans le quitter des yeux, elle passe ses mains derrière son dos et dégrafe le soutien-gorge qui tombe à son tour. D’un geste langoureux, elle pose un pied sur la table et enlève un premier bas, puis l’autre avec tout autant de sensualité. Le tanga ne résistera pas bien longtemps. Elle a réussi l’opération sans perdre sa grâce.
Il s’approche, lui prend la tête entre ses mains et l’embrasse avec fougue. Elle lui rend son baiser avec passion.
Une fois de plus, elle obéit. La veste tombe, la chemise la rejoint rapidement. Elle découvre un torse musclé, légèrement poilu et un ventre plat. Durant l’opération, il a fait sauter ses chaussures.
Elle n’en revient pas elle-même, mais elle obéit à toutes ses injonctions, comme elle aime voir les hommes le faire avec elle. Mais, pour la première fois de sa vie, c’est elle qui est soumise.
Elle s’exécute et sourit à voir la bosse qui déforme le boxeur.
Elle baisse le dernier vêtement et découvre un magnifique sexe déjà en grande forme. Sans attendre son ordre, elle pose les mains sur les hanches de l’homme et approche sa bouche du gland qu’elle couvre de doux baisers.
Elle lève les yeux tout en sortant sa langue. Après avoir joué avec son gland, elle le gobe maintenant lentement, l’enfonçant de plus en plus loin à chaque mouvement. Il la laisse faire quelques minutes avant de l’aider à se relever.
Il la prend dans ses bras, la porte comme une jeune mariée jusqu’au lit. Il la pose délicatement, les fesses au bord du matelas, les jambes dans le vide. Il s’agenouille en lui écartant les cuisses, puis plonge directement sur le sexe duquel coule déjà un fluide copieux. Elle jouit rapidement une première fois, ensuite une seconde. Après, il lui lève les jambes pour atteindre son œillet, elle explose.
Quand elle retrouve ses esprits, elle est couchée sur lui. Elle sent sa tige de chair et de sang contre son ventre. Elle le chevauche et s’empale profondément dans un grand râle. Elle prend appui sur le torse de son amant et commence de longues ruades. Elle jouit, jouit et re-jouit. Quand elle s’écroule, il la bascule et lui grimpe dessus, prenant l’initiative dans un bon vieux missionnaire. Elle ne peut contenir ses cris. Pour la première fois de sa vie, il arrive à lui déclencher un immense orgasme dès qu’il se vide en elle.
La deuxième chambre a été inutile. Sophie est restée avec lui. Après une douche câline, ils se sont endormis tendrement enlacés. Au petit matin, elle a été réveillée par un sexe frappant à l’entrée du sien. La fameuse position de la petite cuillère qu’elle s’est toujours refusé de pratiquer. Pourtant, là, non seulement elle le laisse faire, mais, en plus, elle tend ses fesses vers lui pour lui faciliter la tâche. Quand, en plus, il s’est mis à lui couvrir les seins de caresses et le cou de baisers, elle a une fois de plus atteint un orgasme dévastateur. À peine remise, elle peut toujours le sentir en elle, mais cette fois, elle veut reprendre la main, au moins en partie. Brutalement, elle bouge, le plaque sur le dos, se jette entre ses cuisses grandes ouvertes, attrape ce sexe qui lui a donné tant de plaisirs et, en prenant appui d’une main sur son torse puissant, le branle. Doucement au début, puis en constante accélération sans quitter ses yeux. Elle le sent grossir, elle peut même sentir le sang qui bouillonne dans le corps caverneux. Elle ne peut retenir un sourire quand elle voit le rictus sur son visage.
« Tu vas craquer, mon salop. »
Et il craque. Elle ralentit sans arrêter totalement, pour le vider complètement. Subitement, il l’attrape et la colle sur son torse, partageant sa semence.
Ils partent dans un pseudo-combat tout en explosant de rire.
À dix heures, ils sont dans la salle du conseil. Les autres participants n’en pensent pas moins, mais se gardent bien de toute remarque, sauf l’ancêtre qui complimente la femme pour sa beauté. Le soir même, après une longue journée, Jacques rejoint sa complice pour continuer la découverte de son corps et de son âme.
De retour chez elle, Sophie se pose beaucoup de questions sur elle durant ce week-end. Pourquoi elle s’est comportée comme cela et pourquoi elle a aimé être bousculée ? Que lui demandera-t-il la prochaine fois, s’il y en a une ? Et si elle veut retrouver ce qu’elle considère être sa nature, lui, acceptera-t-il de lui obéir ?
Il lui faudra attendre trois mois avant de recevoir une invitation de la part de Jacques toujours aussi directif.
Je passe te chercher vendredi en début d’après-midi. Tiens-toi prête pour quatorze heures. Tu prends tes affaires comme d’habitude pour les week-ends de conseil d’administration, mais nous allons sécher cette réunion. Je t’emmène sur la côte, ils annoncent du beau temps. Autre point : annule tous tes rendez-vous de lundi. Et enfin, dernier point : pour faire la route, je te veux entièrement nue sous une petite robe. Merci d’avance pour ces bons moments que nous allons vivre. Jacques.
« Non, mais pour qui il se prend, celui-là, trois mois sans nouvelles et il me donne des ordres ? Merde alors… Mais j’ai tellement envie de le revoir, ce con ! »
Et pourtant, elle lui répond simplement « D’accord » avec un bisou.
Durant le trajet, puis tout le week-end, il n’aura de cesse de la guider, de la commander avec juste la fermeté nécessaire pour qu’elle ne se rebelle pas. Elle a bien tenté à un moment de prendre les choses en main, mais il n’a rien cédé, se contentant de dire : « Une autre fois, peut-être ».
Ils ont pris l’habitude de se rencontrer de plus en plus souvent, et un beau jour, il lui lance en arrivant chez elle :
Elle a bien essayé, mais rapidement, elle a abandonné. Impossible de le soumettre comme elle sait si bien le faire avec d’autres. Pourtant, il a accepté sans rechigner les premières demandes. Il faut dire qu’elles n’étaient pas très contraignantes : « Déshabille-moi, caresse-moi, lèche-moi… ». Ils ont donc continué la soirée de façon on ne peut plus classique, comme beaucoup de couples.
oooOOOooo
Et il y a eu ce fameux week-end pour leurs cinq mois. Ils ont franchi un nouveau cap ou, pour être plus précis, il lui a fait franchir un nouveau cap, en introduisant dans leurs pratiques des jouets. D’entrée, il lui a annoncé qu’il avait envie de la sodomiser. Elle lui a clairement affirmé qu’elle ne pratiquait pas, il a réussi à la convaincre d’essayer et c’est elle qui s’est prise sur lui en écoutant ses consignes.
Puis, le lendemain, après l’avoir longuement fait jouir avec ses mains, sa bouche, puis son sexe, il s’est introduit dans ses fesses, tout en lui plantant un long plug dans le sexe, qu’il a coincé entre ses cuisses. Prise ainsi des deux côtés, il n’avait plus qu’à lui balancer des bons coups de reins pour la faire jouir comme jamais. La séance a été tellement forte pour elle, qu’elle n’a pas refait surface avant plusieurs minutes. Alors qu’enfin, elle se tourne vers lui, il lui annonce :
Il file sous la douche, elle dort.
Au réveil le lundi matin, elle est surprise de se retrouver nue sur le lit et sans couette ni drap sur elle. Il lui faut quelques secondes pour se rendre compte qu’il est assis sur un fauteuil juste en face d’elle buvant un café. Elle tente de se recouvrir :
Elle prendra un long temps de réflexion. Durant ce moment de silence, bien entendu, elle envisage de l’envoyer promener, mais, rapidement, elle se l’imagine bavant devant le spectacle qu’elle pourrait lui offrir. Alors, elle se redresse, dispose quelques oreillers et s’installe confortablement, les genoux largement écartés et les talons joints. Elle commence lentement à caresser ses bras, tout en le fixant fermement droit dans les yeux. Il accroche à son tour son regard.
Il ne répond que par un léger sourire. Elle attaque ses seins, tournant longuement autour avant de s’en prendre aux tétons. Elle n’hésite pas à tirer fort dessus. Puis une des mains descend sur le ventre qu’elle câline longuement en augmentant le rayon, surtout vers le bas. Ses doigts finissent par atteindre le haut de ses lèvres. C’est à ce moment-là que l’autre main arrive à son tour directement sur sa fente et engage de longs mouvements de haut en bas, pendant que la pulpe des doigts de la première s’occupe du clitoris. Elle ne peut plus contenir ses gémissements, notamment dès que son amant n’arrive plus à garder son regard dans le sien. Il est subjugué par le spectacle. Elle finit par en jouir bruyamment, peut-être un peu trop, mais c’est pour le fun. Puis, elle ralentit et s’arrête. Elle est contente d’elle, il bande, et très fort.
Elle pense qu’il va lui sauter dessus quand il bouge, mais il attrape un vibromasseur dans son dos, le lui lance entre les cuisses, et reprend sa place dans son siège. Elle veut garder son avantage, alors elle prend l’objet en latex, le met en route et se frotte longuement le sexe. Sa jouissance monte. Elle se pénètre et jouit rapidement, et cette fois-ci, sans en ajouter. Elle est heureuse de le voir se branler lentement. Il arrête quand il se rend compte qu’elle le regarde.
Enfin, elle a réussi, il continue, elle reprend son œuvre. Quand elle atteint un nouvel orgasme, il se libère sur son ventre. Une fois leur esprit revenu à la normale, ils ne peuvent s’empêcher de rire chacun de leur côté. Elle se lève d’un coup, presque à lui bondir dessus, l’attrape par le sexe et lui lance :
Après ce moment humide plein de tendresse, ils décident quand même de profiter du beau temps pour prendre l’air, surtout qu’ils ont besoin de reprendre des forces. Durant la très longue promenade, il décide, dès que possible, de profiter de ce qu’elle a les fesses à l’air. Puis, ils se dirigent vers un petit restaurant où il choisit une table un peu à l’écart. Bien entendu, la main de l’homme passera plus de temps sous la table que dessus. À tel point que Sophie sent de nouveau son excitation monter.
Elle réclame de rentrer afin d’aller faire la sieste. Après une bonne heure de repos, elle lui grimpera dessus pour se faire jouir, mais s’arrête dès qu’elle le sent monter en pression. Pendant presque une heure, elle va ainsi « jouer » avec lui, puis déclare qu’il est temps d’aller faire un tour sur la plage. Elle se sent tellement bien, qu’elle s’amuse comme une gamine dans les vagues. Elle l’arrose, puis court pour ne pas se faire attraper. Elle finit allongée sur le sable, bras et jambes tendus et écartés comme une étoile de mer. Il s’approche entre ses cuisses et, d’un de ses pieds nus, passe sous sa petite robe et vient taquiner son entrejambe.
Ils rentrent à la tombée de la nuit après avoir pris un repas très léger. Il tient sa promesse. Une fois propre, elle s’étale sur le lit et lui réclame un massage des jambes. Bien entendu, il s’exécute avec beaucoup de minutie, mais ne s’arrête pas aux jambes. Son plaisir monte progressivement. Elle cambre le dos et monte ses fesses telle une offrande.
Il s’exécute, incapable de ne pas répondre à un tel ordre. Après sa première jouissance, il lui impose de se caresser le clitoris et il recommence sa besogne. Elle crie, elle devient hystérique, elle tremble de tout son corps, elle hurle son bonheur. Il se vide en elle.
Des week-ends de folie, ils en ont vécu plusieurs et, régulièrement, elle a été pénétrée par deux orifices. Jusqu’au jour où il lui a avoué qu’il avait très envie d’inviter un partenaire pour la prendre à deux. Elle a bien entendu refusé, mais continuellement, il est revenu à l’attaque. Elle a fini par lui dire qu’elle était prête à faire une tentative, mais sous certaines conditions. Ils se sont mis d’accord après une très longue conversation.
Comme convenu entre eux, vendredi, il est venu la chercher pour vivre un de leurs week-ends de sexe pur. Le vendredi soir a été très chaud, le samedi matin plus tendre et c’est le samedi soir qu’un « invité » s’est présenté. Les premiers échanges cordiaux et les premiers verres arrivent à détendre le trio. L’ambiance devient chaleureuse quand, subitement, Jacques interpelle Sophie :
Elle comprend au ton qu’il utilise que ça va commencer. Elle s’exécute en suivant ses consignes à la lettre. Elle se déshabille. Ensuite, il lui demande de tourner sur elle-même, d’écarter les jambes, de se pencher en avant, de cambrer le dos et, pour finir, de revenir face à eux, les mains derrière le dos.
Jacques se lève et encourage son complice à en faire autant. Ils s’approchent d’elle et commencent à profiter de ses charmes. Sur consignes, elle les déshabille lentement. Elle les branle doucement.
Son homme la conduit sur le lit. Il la pénètre sans plus attendre, il la besogne, la faisant monter progressivement vers une jouissance, mais il s’interrompt au meilleur moment.
La discussion a fait retomber légèrement les érections masculines, alors Jacques demande à sa compagne d’arranger la situation. Elle les caresse, les branle et les suce. Ensuite, elle s’empale sur le troisième complice et se laisse sodomiser par son amant régulier. Les dernières barrières tombent et durant toute la nuit, elle sera honorée à plusieurs reprises.
Ils trouvent enfin le sommeil lorsque le jour se pointe. Elle se réveillera complètement groggy quand on frappe à la porte. Les deux hommes n’ont rien entendu, ils sont totalement nus de part et d’autre d’elle, juste couvert par un drap jusqu’au nombril. Elle décide de s’amuser. Elle se lève en passant par le bout du lit, en emportant avec elle le drap avec lequel elle se couvre pour aller ouvrir.
Elle tombe sur une femme de service.
La jeune femme rentre et tombe sur les deux hommes allongés sur le lit, arborant une belle érection nocturne. Sophie ne peut retenir un rire moqueur. Mais l’employée ne se démonte pas.
Les deux femmes s’approchent, grimpent sur les hommes et les embouchent dans le même mouvement. La surprise passée, les deux hommes se relâchent et profitent. Jacques craquera le premier.
La jeune femme n’acceptera pas la réciprocité de peur de perdre son emploi.
Le repas clos, ils se lavent tour à tour, s’habillent et sortent profiter du beau temps. Beaucoup de têtes tourneront en croisant cette femme aux bras de deux hommes. Dès que possible, elle sera pelotée par l’un où par l’autre et même par les deux.
Avant de retrouver le confort de la chambre, ils passent par un petit restaurant.
Au retour, à peine la porte fermée, elle se retrouve nue, prête à être de nouveau dévorée par ses deux partenaires. Par contre, elle n’accepte pas la double pénétration que Jacques lui propose ou, tout du moins, pas dans la même configuration. Elle veut son homme dans ses entrailles et se contente de sucer l'autre. Ils auraient bien continué, mais les hommes sont hors service et les chairs de Sophie ont besoin de repos.
oooOOOooo
Voici, pourquoi, elle se pose autant de questions ce lundi matin, après toutes ces folies. Elle se dit que tant que cela n’influe pas sur ses performances professionnelles, pourquoi se priver de moments que peut-être beaucoup de femmes rêveraient de vivre ?