n° 22767 | Fiche technique | 21445 caractères | 21445 3673 Temps de lecture estimé : 15 mn |
22/11/24 |
Résumé: Le passé refait surface lorsqu’un homme rencontre la fille de son premier amour. | ||||
Critères: fh hplusag fplusag jeunes amour vengeance voir ffontaine fmast hmast facial cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo init humour québec | ||||
Auteur : anneadam Envoi mini-message |
Romain referma la porte derrière lui en retenant son souffle. Son cœur battait la chamade, il ne parvenait pas à calmer son excitation et un sentiment persistant de confusion l’habitait. Depuis qu’il avait vu la fille de Joliane, ses pensées n’avaient eu de cesse de tourner autour d’elle de manière obsédante. Elle était le portrait tout craché de sa mère, mais son caractère était beaucoup plus arrogant. Il était encore sous le choc de son approche explicite et de ses propositions indécentes. Des souvenirs de ses dix-huit ans remontaient dans sa mémoire. Le cours des choses avait fait dévier Joliane de sa route et il était partagé entre le remords et le regret de lui avoir fait faux bon.
À plusieurs reprises dans sa vie, il avait pensé à Joliane, s’était demandé ce qu’elle devenait, avait rêvé à une dystopie où il serait allé la rejoindre pour voir « Rise of the Zombie » après avoir mangé des sous-marins grillés au snack-bar chez Paulo. Il aurait sûrement mangé un « banana split » à deux et il l’aurait embrassée. Sa vie aurait été tellement différente, il ne serait pas dans cette éternelle course aux sensations à accumuler les maîtresses comme il le faisait. À quarante-sept ans, il aurait eu une famille, une maison, un emploi stable et il coulerait des jours heureux et complices avec Joliane. Il aurait honoré sa promesse, il ne l’aurait jamais trahie.
Les choses, pourtant, ne s’étaient pas présentées de la sorte, et la fille de Joliane le lui rappelait de la manière la plus rude qu’il puisse imaginer. Elle n’avait que vingt ans et, en seulement quelques minutes, elle avait tout compris de l’emprise qu’elle exerçait sur lui. La dernière fois où il l’avait vue, elle n’était qu’un bébé. En ce moment, il se disait qu’il n’aurait jamais dû revoir ses anciens amis du collège ; il savait qu’il reverrait Joliane et que ça le mettrait dans tous ses états. Chaque fois, c’était pareil ; elle avait l’air si bien, si détachée, comme si tout ce qui avait existé entre eux n’avait jamais eu d’importance. Le pire, c’était de la voir avec lui, avec ce type instruit, affable et rieur. Un type qu’il aurait pu devenir s’il n’avait pas été abruptement extirpé de son innocence par Monica.
Finalement, lors de cette réunion de collégialité, il avait à peine parlé à Joliane, elle lui avait présenté sa grande fille, Rose. Elle était le portrait à l’identique de sa mère au même âge. L’odeur de Rose l’avait mis dans un état qu’il ne pouvait comparer à rien d’autre, sinon à l’évènement le plus fondateur de sa vie. Celui qui lui avait donné une assurance inébranlable tout en brisant à jamais sa chance de vivre avec Joliane.
***
Eté 1997 Mc Masterville
Il arriva chez Guillaume peu après le dîner. C’est sa mère, Monica, qui l’accueillit. Dans son petit cercle d’amis, il se disait nombre de grivoiseries à propos de la mère de Guillaume, parmi lesquelles circulait la rumeur qu’elle était cochonne et qu’elle s’était changée devant Marc Simoneau. Il l’avait vue nue sans qu’elle ne cherche à se cacher. Les ragots allaient bon train et il est vrai qu’elle manifestait son intérêt à Maurice, son mari, avec une impudeur déconcertante pour les amis de Guillaume.
Romain, qui flirtait depuis plusieurs mois avec Joliane, louchait malgré tout vers la poitrine de Monica. Elle avait beau être une « vieille », tous convenaient qu’elle était très belle, sa poitrine généreuse exaltait leurs passions. Mais ce jour-là était spécial pour Romain. La veille, il avait pour la première fois mis sa main dans la culotte de Joliane et, ce soir, il devait la rejoindre à nouveau. Le week-end dernier, alors qu’elle gardait les enfants des voisins, il l’avait rejointe après que les petits se soient endormis. Là, dans le salon des Dubois, il avait dégrafé son chemisier avant de maladroitement tenter de décrocher sa brassière. C’est finalement elle qui avait retiré le soutif pour qu’il puisse enfin voir s’illuminer ses deux globes ronds à la texture veloutée. Pendant de longues minutes, il les avait caressés doucement en les soupesant. Il était tellement bandé qu’il en avait mal. Puis, Joliane avait mis sa main derrière sa nuque et l’avait attiré à elle, sa bouche s’était posée contre ses mamelles qui avaient raidi. Il l’avait léchée, tétée et mordue jusqu’à perdre le fil du temps. Elle soupirait fortement, ses pommettes avaient rougi, il sentait son plaisir lui brûler les lèvres. Lorsqu’elle avait déboutonné son pantalon et posé la main sur sa queue, il l’avait prise par la taille et avait quitté ses seins pour l’embrasser. C’était tellement cochon, tellement sexe, puis l’auto des Dubois était rentré dans la cour. Il avait à peine eu le temps de rattacher ses culottes et de fuir par la porte arrière qu’ils entraient dans le salon.
La veille de sa première fois avec Monica, ils avaient eu une deuxième chance. Joliane gardait chez les Marcotte, qui avaient la réputation de finir très tard leurs soirées festives. Joliane obtint leur aval pour inviter Romain à se joindre à elle. Il se consacra activement aux enfants durant la soirée, leur laissant un souvenir inoubliable et faisant du même coup une excellente impression à leurs parents. Puis, dans la pénombre de la soirée, ils prirent le divan comme témoin de leurs ébats. Cette fois, ils purent consommer leur désir. Joliane le branlait maladroitement, heureusement, car il aurait éjaculé beaucoup trop rapidement. Lui tentait d’identifier son clitoris en bougeant son doigt dans sa fente. C’était chaud, mouillé et elle gémissait dans son oreille. Il avait finalement joui en répandant son sperme sur ses seins et, accessoirement, sur le divan des Marcotte. Il n’était pas certain qu’elle ait joui alors il avait continué de la branler, mais elle l’avait arrêté, l’avait embrassé, et ils s’étaient collés le reste de la soirée.
Donc, chez Guillaume ce jour-là, il n’avait pas tellement la tête à regarder les seins de Monica. Il flottait dans l’attente de son rendez-vous. Comme il faisait chaud, les gars décidèrent d’aller se baigner dans la piscine. Monica sirotait un cooler, vêtue d’un bikini timide, en lisant. Elle jetait un œil aux jeunes hommes de temps à autre. Maurice était parti à la pêche avec l’oncle et le petit frère de Guillaume. Monica était bronzée à l’extrême et ses cheveux blonds étaient remontés sur le haut de sa tête avec deux baguettes. Romain, qui avait la tête ailleurs, ne put quand même pas réfréner un regard vers la poitrine de Monique en sortant de la piscine pour aller aux toilettes. Lorsqu’il quitta finalement la cible des yeux, il remarqua qu’elle le regardait par-dessus ses lunettes. Gêné, il disparut rapidement dans le hall d’entrée en passant par la porte patio. Lorsqu’il sortit de la salle de bain, Monica était à la cuisine en train d’ouvrir un nouveau cooler. Elle lui bloquait le chemin en le regardant, souriante. Dans un geste lent, elle avait dégrafé son haut de maillot et l’avait calmement retiré. Puis, elle s’était avancée doucement jusqu’à Romain, avait pris sa main et l’avait déposée sur son gros sein ferme. Il était resté pétrifié tout en bandant violemment. Elle avait tâté sa queue puis s’était agenouillée devant lui. Elle avait baissé son maillot à ses pieds en continuant de jouer avec son pénis tout en flattant ses couilles de l’autre main. Elle l’avait branlé un peu en le regardant toujours en souriant, puis elle l’avait sucé. Romain était tellement mal à l’aise qu’il était resté muet sans bouger, mais, dès que les lèvres de Monica avaient assailli son gland, il avait été submergé des plus exquises sensations. C’était si bon qu’il s’abandonna presque immédiatement en oscillant du bassin pour suivre les mouvements de la bouche qui l’étreignait. Elle calait sa queue profondément en alternant une succion baveuse et des coups de langue langoureux sous son frein. Elle caressait non seulement ses couilles, mais glissait sur ses fesses, qu’elle finit par empoigner à deux mains en enfonçant son membre si profondément qu’il disparut entièrement dans sa gorge. Lorsqu’il sentit la décharge venir, elle le pompa plus rageusement et il éjacula dans sa bouche. Le sperme coulait un peu sur le menton de Monica lorsqu’elle se releva. Elle le ramassa avec son doigt et le suça comme si c’était un sirop doucereux. Elle remit son haut de maillot et ses seins hérissés plissèrent le tissu. Elle prit une gorgée de cooler et lui lança :
Dans la tête de Romain, tout s’était bousculé et, plutôt que de rejoindre Joliane comme il l’avait prévu, il était resté chez la mère de guillaume. Il était grisé par un sentiment qui lui était jusqu’alors étranger, il oublia complètement d’appeler son amoureuse, elle ne lui pardonna pas. Et pendant un temps, il ne s’en soucia pas trop. Son idylle avec Monica dura presque six mois durant lesquelles il découvrit tous les recoins de la sexualité de cette déesse de l’amour.
Après l’avoir dépucelé lors de leur première nuit, Monica lui enseigna les rudiments du cunnilingus. Il était bon élève, ayant à cœur de la faire jouir. Il restait attentif à ses mouvements et mariait ses gestes aux soubresauts qu’il créait. Dès le premier jour où il fourra sa bouche entre ses cuisses, il se découvrit une passion aussi inattendue qu’obsédante pour le cunnilingus et, après seulement quelques semaines, il découvrit que les femmes pouvaient être des fontaines. Il aborda les éjaculations de plus en plus fréquentes de Monica avec un enthousiasme qui la surprit. La plupart de ses amants plus âgés, incluant Maurice, son mari, abordaient ses excès de jouissance avec dédain. Romain, qui prenait un plaisir sauvage à éjaculer dans la bouche de Monica, recevait ses débordements avec la même délectation. Il arrivait fréquemment que Monica fasse jouir son amant une première fois avant qu’il ne la lèche et qu’il lui fasse l’amour. Elle profitait alors de son ardeur beaucoup plus longtemps, car s’il se rechargeait rapidement, il était généralement prompt à se décharger une première fois. Cette situation évolua positivement, tant et si bien qu’un soir d’automne, peu après l’Halloween, Monica emmena Romain au motel Capri avec l’intention ferme de satisfaire une de ses fantaisies les plus décadentes. Dans le décor kitch de leur chambre mal éclairée, elle ne se contenta pas de lui faire une fellation. Elle le fit monter sur elle pour qu’il chevauche son visage et, alors qu’elle sentait l’imminence de son orgasme, elle relâcha sa queue et le força à monter plus haut sur son visage. Écartant ses fesses, elle lui lécha langoureusement l’anus, glissant une langue chaude et moite là où il s’y attendait le moins. Si son premier réflexe fut de se dégager de son emprise, il ne lui fallut que quelques secondes avant de se mettre à ondoyer sur sa langue. C’était un plaisir si vif et si profond qu’il éjacula avant qu’elle n’ait eu le temps de le reprendre dans sa bouche. Comme il le faisait souvent alors, il se cala entre ses cuisses et goûta son sexe. Elle était ce soir-là particulièrement chaude et sa mouille avait des parfums tropicaux qui l’excitaient. Sa chatte se déployait en ondoyant sur sa langue lorsqu’elle avança son bassin pour offrir son cul à ses caresses. Il lui mangea l’anus pour la première fois. Ses soupirs de contentement l’incitèrent à intensifier ses mouvements. Il se surprit à adorer les sensations de plaisir qu’il recevait sur toute sa langue, elle gémissait en se masturbant alors qu’il la léchait de plus en plus frénétiquement. Lorsqu’elle se délia de son emprise, ce fut pour le chevaucher. Il saisit ses seins lourds avant de la pénétrer d’un trait. Elle était extrêmement gonflée contre son sexe, ses seins durcissaient dans ses mains. Elle se releva un peu plus haut sur lui afin de se saisir de sa queue, qu’elle dirigea à l’entrée de sa rose. Elle s’appliqua alors à pousser pour le faire entrer en elle. Il jouit immédiatement, alors même qu’il l’enculait pour la première fois. Elle oscilla sur lui en relevant son bassin pour mieux caresser sa chatte, ce qui lui permit de voir sa queue qui la forait. Il pompa autant qu’il put et sentit un nouvel orgasme l’assaillir. Cette fois, ce fut réciproque, et elle gicla sur son ventre en hurlant sourdement.
À partir de ce jour, et jusqu’au divorce de Monica, ils firent de la sodomie le point d’orgue de leurs rencontres. Romain devint tenace et audacieux, la prenant avec de plus en plus d’assurance, il fit l’expérience d’une variété de positions parmi les plus jouissives. La dernière fois qu’il fit l’amour à Monica, ce fut durant tout un week-end où il la prit tant qu’il mit presque un mois à guérir des microlésions qu’il avait subies. Puis, elle tourna la page sur leur histoire et il n’eut plus de nouvelle d’elle.
***
Printemps 2023 Ste-Julie
Dans son bungalow, Romain regardait sa dernière conquête dormir sur le lit. Elle était très jolie, mais il était évident qu’il ne la reverrait pas. Ça avait été une baise hautement ennuyante. Elle avait d’abord été rebutée à l’idée de le sucer, elle ne faisait pas ça. Quand il avait tenté de lui donner du plaisir par un cunnilingus, pratique pour laquelle il s’enorgueillissait d’être un virtuose, elle n’avait montré aucun signe d’appréciation. Elle avait le cul serré comme un écrou et il était évident qu’elle ne jouait pas sur ce terrain-là. Finalement, il avait réussi à la faire jouir en la prenant en missionnaire alors qu’elle faisait l’étoile en émettant des soupirs un peu trop rauques à son goût. En préparant un café et des toasts, il regarda sa messagerie et fut surpris de trouver une demande d’amitié de la part de Rose. Son cœur tressauta dans sa poitrine alors qu’il acceptait la requête.
La femme se leva, il n’était plus certain de son nom, Marie-Chantal ou Marie-Noël, quelque chose en tout cas qui contenait un Marie dedans, ou était-ce Mélanie ? Il lui offrit un café et lui demanda si elle avait bien dormi. Elle l’embrassa comme si elle était comblée et elle lui parla de revenir le soir suivant. Il coupa court en arguant qu’il était occupé. Visiblement, elle avait apprécié beaucoup plus que lui leurs « échanges », et elle mit un temps à comprendre qu’il n’y aurait pas de suite.
Comme elle partait, il entendit la sonnerie caractéristique de Messenger sur son téléphone. Qui donc l’appelait sur Messenger ? C’était plutôt inhabituel. Il ouvrit son cellulaire et constata que c’était Rose. Il ouvrit l’appareil et répondit à l’appel. Rose apparut vêtue d’un bikini, ses cheveux étaient irradiés par le soleil et le ciel bleu azur découpait sa silhouette.
Elle souriait beaucoup trop. Hébété, il se contenta de répondre :
Elle rigola.
Elle passa l’appareil à quelqu’un et le cadre s’élargit pour révéler trois jeunes filles : une brune, une rousse et Rose. Elles retirèrent leur haut de maillot et la mâchoire de Romain se décrocha. Rose avait des seins identiques à ceux de Joliane. La rousse avait de petits seins pointus qui regardaient vers le haut et la brune avait de très gros seins aux mamelles très larges et aux pointes allongées. Aucun doute qu’il préférait les seins de Rose. Il parvint néanmoins à avoir suffisamment de répartie pour répondre, avec un semblant d’affect :
Il y eut des cris et des rires, puis :
La communication se termina sur l’image des trois filles qui lui faisaient des bye bye seins nus sur une plage du sud.
Comme il bandait violemment, il décida de se masturber. Les images de Roses l’accompagnèrent jusqu’à ce qu’il déverse sa crème à côté de son café.
***
Le lendemain soir, alors qu’il gagnait son lit, il reçut de nouveau un message de Rose.
Il bandait déjà lorsque sa photo apparut sur l’écran et que la sonnerie se mit à résonner.
Il répondit. Elle était allongée sur le lit blanc de son hôtel, elle ne portait qu’une camisole de lin colorée et ses jambes croisées dissimulaient son sexe sans poil.
Il retira son sous-vêtement, laissant voir son équipement au garde-à-vous. Il commença à se caresser. Elle fit de même en enfonçant ses doigts dans sa petite chatte allongée. Il bandait si dur que son gland prenait des proportions démesurées. Lorsqu’elle mouilla son cul pour y plonger son index, il crut qu’il allait défaillir.
Il se contenta d’un grognement en accélérant son rythme masturbatoire. Elle approcha un dildo qu’elle fit glisser sur son anus avant de l’enfoncer lentement en elle. Visiblement, elle jouissait de plus en plus fort à mesure que le gode l’ouvrait. Romain passa sa main libre sous ses couilles et vint titiller son petit trou en continuant de se masturber de plus en plus frénétiquement. Lorsque Rose se mit à éjaculer, il ne put se contenir et explosa lui aussi. Elle se tordit sur son matelas avant de se laisser choir sur le côté.
Romain resta muet un certain temps. Dans les jours qui suivirent, il la revit virtuellement à plusieurs reprises. Après une semaine de cette sinécure, elle occupait totalement son esprit. Obnubilé, il se languissait de plus en plus de la prochaine rencontre. Ainsi, lorsqu’elle lui annonça qu’elle serait disponible un mercredi après-midi dans un appartement de la rue Courtemanche à McMasterville, il n’hésita pas une seconde. Elle avait, selon ses propres dires, férocement envie qu’il la prenne de tous les côtés. Surtout, il ne devait pas se masturber dans les deux jours précédant la date fatidique, elle voulait qu’il soit gorgé de sperme. Elle lui envoya une photo de son costume d’infirmière où elle lui montrait son cul suffisamment écartelé pour que l’on devine sa fente.
Lorsqu’il se présenta à la porte du logement, il était imbibé de convoitise et excité comme un satyre. Elle lui ouvrit avec son sourire le plus coquin. Elle portait un habit de nurse plutôt kitch avec une blouse blanche, une mini-jupe et un petit chapeau estampillé du croissant rouge. À peine était-il rentré qu’elle lui sauta au cou pour l’embrasser. Son haleine chaude et sucrée l’envoûta, puis elle glissa une main dans son slip et il sentit sa queue au bord de l’explosion. Elle se dégagea de lui et se dirigea vers la porte au fond du hall en relevant sa jupe blanche pour dévoiler son cul parfait. Lorsqu’elle écarta ses fesses, il vit qu’elle portait un plug dont le joyau rouge rubis scintillait. Il banda de plus belle à la simple idée qu’il allait certainement l’enculer. À peine la porte se refermait-elle qu’il se précipitait pour la rejoindre.
Sa surprise fut complète lorsqu’il tomba nez à nez avec une vieille dame en chaise roulante qui le regardait d’un drôle d’air.
Derrière elle, Rose se tenait tout sourire.
Elle quitta après avoir salué Monica, qui ne cessait de la remercier. Puis, Monica lui fit son sourire invitant avant de lui demander où ils étaient. Elle tenait un papier déchiré dans ses mains. Il le déplia. C’était un vieux papier d’école qu’il avait jadis donné à Joliane. Un simple cœur contenant les noms Joliane + Romain.