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n° 22789Fiche technique20813 caractères20813
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Temps de lecture estimé : 15 mn
03/12/24
Résumé:  Au cours d’une maraude humanitaire le soir de Noël, Magali et sa nièce Camille récupèrent un SDF pour l’inviter à des agapes dans leur association. Mais l’homme a un talent caché.
Critères:  fh fff grossexe grosseins groscul sales fête fsoumise voir fmast entreseins préservati pénétratio hdanus humour
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Projet de groupe : Noëlies
Le père Noël est un sdf

Camille voyait arriver la soirée de Noël avec terreur. Elle venait de rompre avec son petit ami et la seule perspective qui se présentait à elle était un réveillon seule, étant en rupture avec sa famille, précisément à cause de son ex. Mais têtue, elle refusait de donner raison à son père, sa mère, son frère, sa sœur qui, tous avaient prédit cet épilogue.


Néanmoins, quoi de plus triste que cette solitude alors que tout le monde ou presque communie dans des agapes familiales ? Mais une idée lui vint soudain à l’esprit. Sa tante Magali, qu’elle voyait de temps à autre, et qu’elle admirait pour son esprit libertaire, se trouvait peut-être seule elle aussi puisqu’elle était divorcée de longue date. Un réveillon avec elle, voilà ce qu’elle allait lui proposer, en espérant qu’elle ne se trouverait pas en tête à tête avec un de ses amants. Car, bien que tout juste sexagénaire, elle ne dissimulait pas une vie sexuelle encore active favorisée par un corps n’ayant pas encore subi les épreuves du temps. Camille lui trouvait, nonobstant ses cheveux grisonnants et quelques rides, des ressemblances avec elle pour sa petite taille, son poids léger, ses seins menus et ses jambes nerveuses, sans parler des traits de son visage. Elles avaient incontestablement un air de famille et elle se sentait plus proche d’elle que de sa mère, en particulier par l’état d’esprit. Magali l’avait toujours encouragée à vivre pleinement sa vie de jeune femme de vingt-huit ans et à ne pas s’embarrasser d’une conjugalité dont elle avait éprouvé elle-même les pesanteurs avant de s’en affranchir.



Camille réfléchit quelques secondes. La compagnie de SDF malodorants n’avait rien de très excitant à ses yeux un soir de Noël ou n’importe quel autre soir d’ailleurs. Mais entendre sa tante réduite à cet abandon lui faisait mal. Au moins, elle ne serait pas seule. Elle accepta, et Magali en fut ravie. Si bien que le 24 décembre, aux alentours de vingt heures, alors que les rues de la ville étaient en voie d’être désertées, Camille occupait le siège passager du van de l’association, sa tante au volant, à la recherche de quelques miséreux traînant sur les trottoirs, en quête de quelques piécettes de la part de citadins attardés.



*****



Cette recherche s’avéra longtemps vaine. À se demander où étaient passés tous les mendiants squattant les trottoirs. Elles tombèrent d’abord sur un clochard complètement aviné qui les insulta lorsqu’elles le sollicitèrent. Un autre, plus amène, déclina en expliquant qu’il préférait rester seul avec son petit univers aménagé dans un coin sombre, et ce, malgré le froid. Alors qu’elles se demandaient si elles n’allaient pas rentrer bredouilles, elles rencontrèrent un gars barbu et hirsute, d’âge indéfinissable, genre faunesque, qui stationnait sous un pont avec un chariot de supermarché rempli de son barda. Son phrasé révéla une origine étrangère, probablement slave. La perspective de se mettre au chaud pour le soir de Noël, avec un bon repas en prime, l’enchanta, à condition de ne pas être séparée de son chariot. Celui-ci intégra le van en même temps que son propriétaire (ou locataire) et Magali mit le cap sur l’association, considérant qu’il n’y avait rien de mieux à attendre. Camille fut contrainte d’ouvrir sa vitre, car le garçon ne sentait pas la rose. Il annonça son prénom, Dimitri, et se dit Ukrainien, ce qui lui valut d’emblée la sympathie des deux femmes.



******




Agnès, un tablier noué autour de la taille, considéra le barbu chevelu avec un peu de déception. Elle avait cuisiné pour au moins dix personnes, soigné l’arbre de Noël, prévu même quelques petits cadeaux symboliques et ses deux associées ne lui présentaient que ce « client ».



Contrairement aux deux autres femmes, celle-ci était du genre rondouillarde, toute en seins, en cuisses et en fesses. Divorcée elle aussi, la cinquantaine bien avancée, elle consacrait sa vie à cette association humanitaire. Son visage rond traduisait la bienveillance sans se départir d’une certaine autorité.



L’arrière-salle de l’association comportait une salle de bain avec une grande baignoire. Invité fermement à se déshabiller, alors que le bain coulait, le mendiant marqua un temps d’hésitation. Être nu devant ces trois femmes lui faisait perdre de son assurance.



Il finit par obtempérer, Magali ramassant ses hardes au fur et à mesure pour les jeter, afin de les remplacer par une tenue plus conforme à la soirée festive. Et c’est quand il baissa son pantalon qu’avec un bel ensemble, les trois femmes ouvrirent la bouche de surprise. Il exhiba un pénis long, recourbé, ferme, doté d’un gland proéminent se balançant au rythme de ses mouvements, une vraie corde à nœuds.



Puis elle se ressaisit en sommant le faune de se coucher dans la baignoire. Nanties chacune d’un gant de crin, Magali et Agnès se mirent à frotter le gaillard dans une eau savonneuse qui prit une curieuse teinte grise. Camille fut chargée du shampoing pour la chevelure et la barbe. Nettoyé, peigné et récuré, le SDF prenait plaisir à ces soins féminins et sa tournure devenait plus humaine. Mais quand, enfin, il sortit de l’eau pour s’envelopper de la serviette tendue par Magali, une autre surprise survint. L’homme présentait une érection phénoménale.



Magali arrivait avec des vêtements propres cédés à l’association. Mais quand il fallut enfiler le caleçon, impossible de loger la trique, qui refusait de dégonfler, malgré les objurgations des bénévoles.



L’homme affichait un air contrit. De ses explications maladroites dans un langage approximatif, ses interlocutrices comprirent qu’il était sujet à ce genre de phénomène physique et qu’il ne pouvait rien faire d’autre que d’attendre la dégringolade.



Vêtu d’un pull, mais déculotté et la queue en avant, le faune considéra l’arbre de Noël et la table déjà mise avec attendrissement. Il y avait longtemps qu’on ne lui avait pas fait un aussi bel accueil. Il reçut en cadeau une paire de chaussettes de laine qui, assurément, lui seraient très utiles sur le trottoir. Mais il ne débandait toujours pas. Et cette queue majuscule commençait à émouvoir trois femmes, en particulier les deux plus âgées, qui n’avaient pas été visitées depuis un certain temps par un organe mâle.



La petite voix de Camille venait de se déclarer. Les deux matures se regardèrent, considérant muettement la proposition dérangeante de leur cadette.



On écarta des couverts, de toute manière inutiles, sur la table où on fit asseoir le barbu. Camille lui fit un petit sourire et commença à l’astiquer. L’homme rejeta la tête en arrière, ravi que cette jolie poupée blonde daigne s’occuper de sa queue. Camille y allait énergiquement comme pour hâter la conclusion, mais plus elle branlait et plus l’engin grossissait, si c’était encore possible.



Magali prit le relais et démontra aux deux autres toute sa technique de la branlette. Sa main tournicotait autour de la hampe comme pour la visser et la dévisser en même temps, une autre main sur les couilles qu’elle pressait légèrement. Un grognement de plaisir s’échappa de la bouche du branlé dont le gland prenait une curieuse teinte mauve. Magali y posa un doigt délicat et humide supposé accélérer l’éjaculation. Mais nada. La fatigue dans la main et le poignet, la sexagénaire abandonna la partie.



Alors, cette dernière sembla adopter les grands moyens. Défaisant son tablier, déboutonnant son corsage, dégrafant son soutien-gorge, elle exhiba deux lourdes mamelles dont elle entoura le braquemart et entreprit une authentique cravate de notaire dont elle était manifestement experte. La queue coulissa entre les deux courges laiteuses sous le regard béat du récipiendaire. Mais Agnès y prenait aussi un plaisir manifeste, car elle n’avait jamais eu une aussi belle queue dans son sillon mammaire. Elle pressait ses nichons avec ferveur autour de la hampe, si bien que Magali et Camille se demandèrent si elle n’allait pas jouir avant le faune. Mais elle eut mal aux seins avant la conclusion attendue et se retira elle aussi, en se rajustant, la mine dépitée. Et de conclure :



Les deux matures se tournèrent vers Camille. Celle-ci comprit illico.



Camille resta coite. Il est vrai qu’elle avait toujours été sensible aux grands formats, et rarement satisfaite par les organes proposés, mais à ce point…


Elle finit par se laisser entraîner vers un divan qui servait aux soins d’urgence dans un coin de la pièce. Lentement, elle se dévêtit et s’allongea nue, son petit corps gracile offert, comme résigné. Mais en même temps curieuse de cette situation inédite dans sa vie sexuelle. Agnès exhuma un étui de préservatifs de la boîte à pharmacie et entreprit laborieusement d’en coiffer l’Ukrainien, de plus en plus réjoui par la tournure des événements. Un tube de gel, entreposé on ne sait pourquoi dans cette pharmacie, servit à Magali pour enduire le latex, car elle était bien consciente que sa nièce, à la petite chatte étroite, allait devoir serrer les dents à la pénétration. L’homme fut invité à ôter son pull, histoire d’être à égalité avec Camille, qui considéra le torse aussi velu que les cuisses et le visage. Jamais elle n’avait fait l’amour, si on peut dire, avec un type à la virilité aussi exacerbée, aussi animale. Pas glamour, le garçon, dont la queue faisait avec le reste de son torse une excroissance diabolique. Elle regarda le membre, fascinée, qu’il lui appartenait de dégorger pour complaire à sa tante et son amie.


Toutefois, il ne se montra pas maladroit. Il procéda à quelques caresses, y compris sur le sexe de Camille, avant de s’engager. Agnès et Magali observaient, un peu inquiètes, tant la disproportion des deux corps était criante. Elles décidèrent d’aider l’opération en prenant chacune un petit pied de la jeune femme pour les écarter et l’ouvrir le plus possible.

Il s’enfonça lentement, dosant l’introduction. Camille ouvrit grand la bouche sur un cri muet, ses pieds toujours tenus écartés par les deux matures, scrutant en même temps le piston, fascinées par ce labourage intime. Roulant légèrement des hanches, le dénommé Dimitri finit par s’ouvrir un passage qui l’engloutit en majeure partie. Et soudain, le visage douloureux de Camille se détendit. Ses petits pieds, désormais lâchés par les deux dames, se croisèrent sur les reins du chevelu et il fut manifeste qu’elle venait à sa rencontre en ondulant. Elle lâcha un cri de gorge, exprima un « oooh, mon Dieuuuuu ! » d’actualité, puisqu’il n’était plus très loin de minuit. Un bruit de clapot émergea du divan. Abondamment lubrifiée, Camille acceptait sans rechigner les coups de boutoir de plus en plus virulents du faune, dont le cul poilu virevoltait. Le petit corps se montrait étonnamment dynamique, pieds sur le matelas pour renvoyer la balle, mains griffant les épaules sur fond de « hou hou ah ah oh oh ». Debout auprès du divan, Agnès et Magali assistaient fascinées à cet accouplement hors norme, de plus en plus échauffées au point que la quinquagénaire se caressait les seins sortis de son soutif et la sexagénaire le sexe à l’intérieur de son pantalon.


Puis Camille se cabra, en proie à un orgasme si violent qu’elle en eut les yeux révulsés et la bouche baveuse, tremblant de tout son petit corps. Effrayé, Dimitri se retira promptement, craignant que sa jolie partenaire ne tombe dans les pommes. Mais elle récupéra ses sens, le visage rayonnant de celle qui a joui, et osa même embrasser le faune (qui ne l’était plus vraiment à ses yeux) en remerciement du service rendu à sa féminité délaissée. Mais il bandait toujours, la queue plus que jamais gonflée, luisante du jus de Camille.


Le plan Camille ayant donc échoué, sauf pour elle évidemment (son visage alangui en témoignait), les deux matures se consultèrent brièvement après avoir elles aussi récupéré de leurs émotions de voyeuses. Toujours dépoitraillée, Agnès conclut en toute logique :



Prenant les choses en main avec autorité, elle fit allonger l’Ukrainien sur le divan déserté par Camille et se mit à poil, révélant son corps pulpeux au pubis foisonnant. Elle enfourcha l’allongé avec précaution, et son vaste déduit absorba la quasi-totalité du braquemart. Ce n’est pas tous les jours que son intimité était aussi bien remplie. Faisant aller et venir sa croupe charnue, les nichons se balançant au rythme de ses aller-retour, bientôt pétris par des mains masculines, il fut assez clair, au vu de sa mine réjouie et de ses onomatopées extasiées, qu’elle cherchait moins à faire éjaculer le SDF qu’à prendre son pied. Elle n’avait pas été aussi bien servie depuis des lustres et elle entendait profiter de cette soirée de Noël inattendue pour se gaver de cette bite miraculeuse. Médusées, Camille et Magali assistèrent à l’exaltation de leur associée, lâchant quelques mots crus indignes d’une soirée à caractère religieux. Elle finit vautrée sur le torse velu, couinant son orgasme avant de vérifier si le latex s’était rempli de la substance masculine.


Eh bien non. Il luisait toujours bien tendu autour du gland, très lubrifié et toujours prêt à l’emploi. Magali comprit qu’elle était désormais la seule chance de dégonfler l’engin, à soixante balais, ce qui s’annonçait mal après les deux échecs successifs avec des femmes plus jeunes, bien que l’envie ne lui manquât pas de goûter elle aussi à une pénétration massive. Elle se rappela soudain que sa dernière partie de fesses remontait à une soirée estivale avec un patient de son cabinet de podologue amateur de femmes mûres. Une petite bite à l’éjaculation précoce après un dîner assez médiocre. Tandis qu’Agnès, un peu groggy, réintégrait ses vêtements, Magali ôta les siens, révélant son corps mince, son petit cul à raie courte et ses seins en poire, à peine touchés par l’âge au prix de séances de gymnastique intenses.


Mais cette fois, c’est Dimitri qui prit l’initiative. Une fois qu’elle fut nue, il prit Magali par la main et l’entraîna vers la table de Noël où il la fit asseoir au milieu des assiettes et des serviettes en papier. Docile, la sexagénaire le vit se positionner debout devant elle, le pénis géant à hauteur de son sexe déjà bien ouvert, car elle s’était franchement masturbée pendant les ébats précédents. Mains sur la table, le souffle dans les narines de Magali, il la pénétra en deux temps tandis qu’elle verrouillait ses reins de ses mollets et s’accrochait à ses bras.


Ce fut un coït aussi bref que le précédent, mais aussi intense qui la rendit échevelée, le chignon défait. Confondant un slave avec un anglophone, elle le stimula de « fuck fuck fuck me ! » tandis qu’il la labourait de toute sa longueur. La table se déplaça sous les coups de boutoir, Magali se faisait franchement défoncer avec une sensation d’être pénétrée jusqu’à l’estomac. Son visage passait de la douleur à l’extase et son regard se portait sur la jonction des deux sexes comme pour vérifier si elle ne rêvait pas, tout en talonnant ses fesses. Décidées à hâter enfin l’explosion, Agnès et Camille y mirent chacune du leur, l’une en mettant le pouce dans l’anus du baiseur, l’autre en lui palpant les couilles. Et alors que les douze coups de minuit venaient à peine de sonner à la pendule de l’association, le phénomène éjacula enfin en déchirant sa capote surmenée, inondant le déduit de Magali de son sperme épais, dont la majeure partie échoua sur le carrelage en une grosse flaque visqueuse. La sexagénaire força sur ses mollets pour profiter de l’ultime raideur avant de s’affaler sur la table, vaincue, épuisée, mais satisfaite à un point qu’elle n’osait plus imaginer. Puis elle courut vers la salle de bains pour une toilette intime rendue nécessaire, tandis que l’autre considérait son sexe enfin ramolli.



C’est en regardant Dimitri se rhabiller que Magali, qui sortait de la salle de bains encore nue, ses vêtements à la main, eut une inspiration.



L’initiative fut saluée avec enthousiasme par les deux associées, un peu moins par le destinataire qui se sentait déguisé, mais il n’avait pas trop le choix. Et c’est coiffé du bonnet réglementaire et vêtu d’une houppelande vermillon qu’il fit honneur aux agapes préparées par Agnès.


La question de l’après-Noël fut évidemment posée. Magali se voyait mal renvoyer leur brillant étalon sur le trottoir comme un vulgaire escort boy. Il fut convenu qu’il serait provisoirement hébergé dans le local, en attendant de trouver un logement décent. Agnès suggéra même de contacter son ex-mari, patron d’une entreprise de transport, pour prendre le garçon en stage et pourquoi pas lui faire passer le permis poids lourd dans une entreprise en manque de personnel. L’homme écoutait sans rien dire, mais en continuant de dévorer le repas de Noël, ce qui arrangeait bien ses hôtesses, car elles ne voulaient pas de restes. Elles partirent se coucher au cœur de la nuit, laissant Dimitri seul dans le local, comme un gardien.

Magali revint le lendemain après-midi pour mettre un peu d’ordre. Mais plus de Dimitri ni son chariot. Il avait même embarqué sa tenue de Noël. Il ne serait pas chauffeur routier, mais mendierait sans doute quelques jours, déguisé en père Noël. Magali se consola en se disant que sa maraude de la veille lui aura au moins permis un peu de bonheur… et à elle aussi, ainsi qu’à Agnès et Camille. Mais c’était évidemment inracontable… sauf ici.