Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22795Fiche technique8042 caractères8042
1331
Temps de lecture estimé : 6 mn
04/12/24
Résumé:  Une jeune femme sillonne les rues à la recherche de sa prochaine victime.
Critères:  fh inconnu nympho fellation portrait -fellation
Auteur : sormion      Envoi mini-message
La sérial suceuse

Elle marchait d’un pas rapide dans les rues animées de Cannes, son regard balayant les visages des passants à la recherche de l’inspiration. Sa bouche pulpeuse et son allure provocante laissaient deviner les envies qui la consumaient. Chaque soir, elle se livrait à la même chasse, à la même quête de plaisir interdite. Son amour pour les fellations n’était pas un secret. C’était une passion dévorante, un art qu’elle pratiquait à la perfection.


Dans les recoins sombres des bars et les ruelles discrètes, les ombrages dessinaient les contours de sa silhouette fatale. Les regards des hommes s’attardaient sur son décolleté plongeant, sur les jambes fuselées qui dépassaient de sa mini-jupe. Elle le savait, l’effet qu’elle produisait sur les passants n’était pas anodin. Son charme sauvage les attirait dans les pièges de son plaisir.


L’un d’entre eux, un bel inconnu, croisa son chemin. Il portait les stigmates d’un voyageur, un jean délavé et une chemise ouverte, laissant deviner les traces du soleil sur sa peau. Il la regarda, intrigué, et elle sentit son cœur s’emballer. Elle s’arrêta net, son sourire en coin taquinant les lèvres. Ce fut à ce moment qu’elle sut, la soirée allait prendre un virage inattendu.


Elle s’approcha de lui, les gestes assurés d’une prédatrice qui savait ce qu’elle voulait.



L’inconnu la dévisagea, un mélange de surprise et de convoitise dans les yeux. Elle savait comment les aborder, comment les allumer sans dire un mot de trop. C’était son talent, son art. Et quand les lèvres de sa proie se tordirent dans un sourire, elle sut que la soirée s’annonçait très prometteuse.


Ils entrèrent dans une ruelle sombre, les murs tagués de messages à caractère sexuel qui la mettaient en appétit. Elle le fit reculer doucement, le collant à la paroi froide et humide, et, sans la moindre hésitation, elle s’agenouilla. Le son de son genou qui claquait sur le sol résonna dans les airs, une promesse d’extase. Le regard de l’homme brillait d’excitation. Il devinait à peine les contours de son visage dans les ténèbres, ses lèvres qui s’approchaient, prêtes à le dévorer.


Elle commença par déboutonner son pantalon, les doigts habiles glissant le long de la fermeture à glissière, laissant apparaître son érection. Elle le regarda, les pupilles dilatées, l’haleine courte. Sa langue glissa sur les lèvres, humide et avide, avant de se poser délicatement sur le gland durci. L’inconnu gémit à peine, la surprise se mêlant au plaisir. Les mains de la sérial suceuse explorèrent les courbes de son bassin, la chaleur de sa peau, les poils drus de son pubis.


Ensuite, elle l’avala, lentement, profondément, savourant les centimètres de chair qui remplissaient sa bouche. Son geste était fluide, sans à-coup, empreint d’une maîtrise qui laissait deviner les milliers de fois qu’elle l’avait exécutée avant. Sa langue dansait dans les veines gonflées, les caressant d’un balai subtil qui envoyait des frissons dans tout son corps. Il sentait la chaleur de sa bouche, la pression de sa gorge qui se refermait, le délice de la salive qui coulait dans les replis les plus intimes.


Et dans les moments les plus intenses, dans les profondeurs les plus abyssales de son art, elle adorait les regards qui se perdaient dans les siens, les mots sans suite qui s’échappaient, les gémissements incontrôlés qui se mélangeaient à la mélodie de la passion. Elle aimait tout autant les silences, les respirations haletantes, les mains qui se cramponnaient à sa tête dans un ultime sursaut avant de se relâcher dans les spasmes de la jouissance.


Mais ce soir-là, ce qui l’excitait le plus, c’était la sensation de la puissance qui passait entre eux, dans les airs chargés de la ruelle. C’était la connexion viscérale, les regards qui se croisaient dans les ténèbres, les corps qui se frôlaient, les langues qui se cherchaient dans les recoins les plus secrets. Chaque gorge profonde, chacun de ses coups de langue, c’était une déclaration de domination, une revendication de son plaisir sans limites. Et dans les spasmes de son amant d’un soir, dans les jets de sperme qui la remplissaient, elle sentit monter en elle une excitation sans nom.


Alors, quand l’homme eut fini de jouir, les jambes flageolantes, les mains tremblantes, elle se leva, essuya sa bouche d’un revers de la main et sans un mot, sans un regard, s’en alla dans la nuit, laissant derrière elle un parfum de tabac mélangé à la sueur de l’interdit. C’était dans ces moments-là, dans les ruelles sombres et les étreintes furtives, qu’elle se sentait la plus libre, la plus puissante. Car les fellations, c’était plus que du sexe pour elle, c’était une addiction, une obsession, un chemin vers la transcendance.


Mais elle n’était pas rassasiée pour autant, elle déambulait dans les rues à la quête de son prochain plaisir. Son regard, perçant et insatiable, balaya les trottoirs à la recherche d’hommes à la beauté brute qui pourraient satisfaire son appétit sans bornes pour les fellations. Son corps ondulait à la perfection, attirant les regards avides, et son parfum enivrant flottait dans les airs, une invitation silencieuse à la débauche.


Son rituel commençait par un sourire aguichant, un regard insistant qui disait tout sans un mot. Les prétendants à sa bouche avide se sentaient flattés, séduits par son audace sans artifice. Puis, sans cérémonie, elle les emmenait dans les recoins les plus discrets, les murs couverts de graffitis servaient de toile de fond à son art oral. Là, dans l’obscurité relative, les odeurs de la ville mélangées à son excitation, elle se mettait à l’œuvre, dévoilant les secrets de sa passion.


Ses lèvres se dessinaient, pulpeuses et humides, prêtes à accueillir les attributs masculins. Son toucher, si doux, si ferme, si maître de l’art de la fellation, embrassait les bites de ces inconnus, les serrant dans sa bouche chaude, les caressant de sa langue experte. Elle adorait les goûts variés, les textures, les tailles, les formes, tout ce qui les rendait si uniques et si irrésistibles à ses papilles avides.


Au fur et à mesure que les secondes s’étiraient, les gémissements des hommes se fondaient dans les bruits de la vie nocturne. Les yeux fermés, elle savourait les moments d’extase qu’elle procurait, les spasmes de plaisir qui traversaient les chairs tendues dans sa bouche. Puis, sans crier gare, à la limite du contrôle, les hommes éjaculaient dans sa gorge, remplissant son corps de chaleur, de vie, de plaisir. Et, une fois son but accompli, elle se retirait, sans un mot, laissant les visages des hommes brûlés par la volupté, et les bites encore frémissantes de son empreinte.


Elle aimait la brusquerie de la chose, la façon dont les regards se glaçaient d’incompréhension avant de se fondre dans la passion. Chaque soir, dans les ombrages des rues, elle collectionnait les moments intimes, les instants de faiblesse et les soupirs de satisfaction, je la voyais changer, se transformer dans les bras de ces inconnus, son visage baigné de lumières changeantes, les veines de son cou battant à tout rompre.


Ses cheveux, autrefois soyeux, prenaient les reflets de la lune et de la pluie, s’accrochant à la sueur des corps masculins. Son rire, si pur et innocent le jour, se mua en un murmure lubrique, une mélodie à nulle autre pareille dans les ténèbres. Et dans les moments les plus intenses, la tête des hommes roulait en arrière, les murs des ruelles reflétant les expressions de plaisirs sans fin.


Elle, la chasseuse solitaire, la reine de la fellation, s’en allait, la langue encore chargée des sécrétions de sa proie, le cœur battant à tout rompre dans la poitrine. Chaque pas qu’elle posait sur les pavés humides résonnait dans le silence de la nuit, marquant son chemin vers une prochaine aventure, une prochaine conquête. Son envie sans cesse croissante la poussait à chercher les plaisirs les plus interdits, à transgresser les limites de la bienséance, à tout risquer pour une caresse, une étreinte, un baiser.