n° 22853 | Fiche technique | 19433 caractères | 19433 3532 Temps de lecture estimé : 15 mn |
30/12/24 |
Résumé: Rencontre improbable avec un acteur porno | ||||
Critères: #chronique #psychologie #érotisme #rencontre #consolation #occasion #masturbation #fellation #vidéox fh couleurs inconnu hépilé fépilée complexe bizarre caférestau douche amour odeurs caresses fellation cunnilingu anulingus 69 fist pénétratio fsodo hdanus | ||||
Auteur : Alice Love Envoi mini-message |
J’ai l’impression de sortir d’une lessiveuse géante, tellement je me sens nauséeuse ! Quel réveil ! Direction les toilettes où je manque de me casser la gueule. Assise sur la cuvette, j’essaie de rassembler mes idées embrumées, mais le constat est clair : j’ai pris une belle biture hier soir. Retour au lit où je m’affaisse à nouveau. Tout est confus dans ma tête, plus aucun souvenir ! Je me tourne vers mon réveil digital qui affiche 10 h 30 et je réalise au bout de quelques instants que je suis complètement à poil. Bizarre, car j’enfile toujours un tee-shirt avant de me coucher. Avant de me coucher ? Justement, je n’ai plus aucun souvenir de l’heure où je me suis mise au lit. Le trou noir !
Et puis, je prends conscience d’une autre anomalie. Une odeur. Une odeur subtile, mais bien réelle. Une odeur d’homme, de mâle… Instinctivement, je porte ma main entre mes cuisses puis sous mon nez. Non, rien d’anormal. Pas de trace de rapport. Ma langue pèse quinze kilos, mais je n’ai pas l’impression d’avoir sucé de mec cette nuit. Et pourtant, je regarde le drap froissé de l’autre côté du lit et je me penche pour le sentir : aucun doute… un homme a dormi là. Mon cœur s’emballe, car je sens que tout cela est bizarre. J’inspecte les moindres recoins de la chambre en craignant de voir surgir quelqu’un à tout moment. Rien. À peine rassurée, j’enfile un grand tee-shirt et je vais dans ma cuisine pour prendre deux aspirines. Mon miroir me renvoie une image pitoyable. Je fais beaucoup plus que mes trente ans. De vilains cernes sous les yeux, des cheveux ébouriffés, un teint cireux ! Avec en plus ce putain de maquillage de la veille qui se barre en sucette ! Beurk, je me hais. Et pourtant, je ne suis pas moche, loin de là, avec ma belle chevelure blonde, mes grands yeux bleus et ma bouche pulpeuse qui font craquer les mecs habituellement. Mais ce matin, c’est une catastrophe.
J’ouvre la porte du petit couloir qui mène à la cuisine de mon appartement. Et là nouvelle anomalie qui accélère mon rythme cardiaque. Une odeur, une bonne odeur de café chaud. Et aussi un léger bruit dans la cuisine. J’approche à pas de loup vers la porte ouverte de ma kitchenette et je le vois assis en train de boire tranquillement un bol de café. Un homme. Un homme noir, plus précisément. La trentaine. C’est son sourire éclatant de blancheur qui me frappe d’abord quand il me voit.
Ma sale tronche et mon attitude agressive lui font perdre son sourire un instant.
Je m’approche de mon armoire à pharmacie, mets deux comprimés effervescents dans un verre d’eau et attends leur dissolution. Un coup d’œil à la fenêtre m’apprend qu’il pleut à torrents sur Paris en ce dimanche matin. Mais bordel ! Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Comme s’il lisait dans mes pensées, le garçon reprend :
Progressivement, mes souvenirs me reviennent. Je suis allée hier soir à une soirée organisée par une société de communication… avec un moral dans les chaussettes. La première « amie » que je rencontre me demande « Laurent n’est pas là ? » Ah putain ! le truc à ne pas dire quand ton mec vient de te larguer. Pas de réponse de ma part, mais une première vodka orange avalée rapidement au bar. Deuxième « amie », même question et deuxième vodka orange. Je me souviens encore de la quatrième, mais après c’est le trou, le trou noir.
Il reprend son sourire désarmant.
« Salope d’Amélie ! Déballer mes déboires sentimentaux comme ça, au premier venu ! Je vais lui crever les yeux quand je la reverrai… »
Je commence donc à reconstituer la soirée tout en buvant mon verre d’eau et mes aspirines. Mais il y a encore des trucs qui m’échappent.
Oh putain, la honte ! Je devais quand même être vraiment dans un sale état.
J’examine alors un peu plus attentivement cet interlocuteur si compréhensif et si bienveillant. J’avais oublié qu’il était assis torse nu, vêtu uniquement d’un caleçon. Ses muscles semblent avoir été ciselés par un sculpteur de génie. Pas un poil de graisse ! Mais c’est surtout son sourire et sa bonne humeur qui me frappent.
Il part d’un immense éclat de rire.
Il a pris un accent africain en prononçant cette dernière phrase et continue de se marrer. Je suis décontenancée par ce garçon et ne peux m’empêcher de sourire moi aussi.
Il ne répond pas et plonge son regard dans le mien. Je suis troublée.
J’ai presque crié ce « non » et j’en suis surprise moi-même. Je n’ai pas envie que ce garçon parte tout de suite.
Je lui tends la main qu’il serre chaleureusement avec ce sourire si craquant.
Du coup, on se marre tous les deux.
Re éclat de rire. Décidément, ce mec est une vraie thérapie pour moi. Sa bonne humeur et son humour me font un bien fou.
Oh putain. Ce n’est pas vrai ! Ma mâchoire a dû se décrocher de vingt centimètres. Il s’en aperçoit.
Je repense à la nuit. Un acteur porno a dormi à côté de moi et… il ne m’a pas touchée. Personne ne va me croire quand je vais raconter ça ! Tom reste silencieux, surveillant ma réaction.
Nous restons quelques secondes les yeux dans les yeux. Je suis complètement sous le charme de ce garçon. Il reprend :
Il fouille dans sa sacoche en cuir et en retire un petit dossier contenant plusieurs documents. Il me montre plusieurs photos et semble ravi de m’expliquer le fonctionnement de son travail.
Je distingue effectivement une superbe noire aux gros seins tenant un sexe masculin en main. Le sexe de Tom. Et là je suis scotchée ! Je pensais que les acteurs pornos étaient des étalons aux dimensions hors norme. Et bien pas du tout, ce n’est pas le cas de Tom qui a un sexe bien proportionné tout à fait dans la normalité. Il semble lire dans mes pensées.
« Passionnant. »
Bizarrement, je suis rassurée et je me marre intérieurement d’une pensée stupide qui me traverse l’esprit. On n’est pas au lit. Et pourtant…
L’aspirine a fait son effet. Mon mal de tête a disparu et une douce chaleur irradie mon ventre.
Il me fixe de son regard profond. Oh putain ! OK, je crois comprendre.
Il sourit.
Il se lève pour la première fois, ce qui me permet d’admirer sa grande taille et son torse athlétique. Il reste un moment à la fenêtre.
Façon de dire peut-être qu’il n’y a pas grand-chose à faire d’autre que…
Il se retourne et me sourit. « Bon, eh bien, comme ça c’est clair ! »
Sa silhouette se découpe dans la lumière de la fenêtre. Il est magnifique. J’ai la gorge sèche, mais la chatte humide.
La douche finit de me remettre complètement d’aplomb. Je vérifie dans le miroir de ma salle de bains que j’ai retrouvé un aspect correct et, effectivement, je suis redevenue « appétissante ».
Tandis que Tom me remplace sous la douche, je constate, amusée, que le lit est fait au carré. Sûrement pas pour longtemps. Je choisis parmi mes CD un morceau de musique japonaise et je fais brûler un bâtonnet de bois de santal. Parfait. Ambiance zen assurée.
Tom revient enfin s’allonger sur le lit près de moi. Tout comme moi, il est nu comme un ver. Je lui prends la main prolongeant le plus longtemps possible ce moment de tendresse. Mon acteur porno se comporte comme un gentleman, loin du cliché de l’étalon priapique. Je lâche toutefois sa main pour aller caresser son ventre, puis son bas-ventre entièrement épilé. Tom ne bande pas et il se laisse caresser les yeux fermés, en jouant avec mes mamelons qu’il fait durcir rapidement. Ma gueule de bois a maintenant complètement disparu. Le fait d’avoir à mes côtés ce beau mâle musclé me met en feu et c’est clairement de cul que j’ai envie.
J’ai l’intention de prouver à Tom que j’ai autant de talent que ses partenaires de travail et je commence à l’entreprendre sérieusement. J’empoigne sa queue et la suçote, tout en lui léchant les couilles de temps en temps. Ce que j’ai sous les yeux est beaucoup plus flatteur que ce que j’ai vu tout à l’heure sur la photo et mon esprit s’échauffe quand je pense que je vais avoir ça tout à l’heure dans la chatte ou dans le cul au choix. Je le pompe maintenant sérieusement avec fougue, engloutissant sa queue au plus profond de ma gorge. Mais c’est mon doigt qui s’agite furieusement dans son trou du cul qui le rend dingue.
Bientôt, je marque un temps d’arrêt, car il commence à haleter comme s’il allait jouir. « Pas possible, ma belle, en deux minutes, tu es en train d’envoyer un acteur porno au septième ciel ! » Je me prends tout à coup pour la championne du monde du cul, la reine des suceuses. « Doucement, cocotte, tu es en train de prendre le melon, là ». J’ai envie de rire de mes conneries, mais ce n’est pas le moment.
Tom ne veut pas jouir comme ça ; il se retourne pour me présenter ses fesses. Comme je suis particulièrement perspicace, j’ai pigé la demande. Ma langue s’aventure dans la raie et force gentiment sa rondelle. J’adore pénétrer ainsi le trou du cul de mes partenaires et, par expérience, je sais que le résultat ne se fait pas attendre. Mais Tom se retourne une nouvelle fois pour échapper à ma langue.
« Mais merde, qu’est-ce qu’il veut à la fin, mon beau blacky ? »
Il bande toujours sec. Je contemple un instant sa queue luisante et la réembouche voracement pour me l’introduire jusqu’au fond du gosier. En renouvelant ma manœuvre plusieurs fois, je pivote tout doucement pour venir me placer tête-bêche et poser ma chatte trempée au-dessus de sa bouche. Je sens alors sa langue explorant tous les recoins dans un ballet incessant. Et puis Tom découvre mon clitoris et déguste gloutonnement ce beau morceau de chair qui se durcit encore davantage sous les mouvements circulaires de sa langue. Oh putain que c’est bon ! La caresse est habile et m’arrache des cris de plaisir, même si j’essaie encore tant bien que mal de le sucer. Et puis, soudain, un orgasme fulgurant me terrasse : je ne me maîtrise plus, je jure, je bave, je griffe les draps. Tom m’observe, amusé. Après un court instant où je laisse les battements de mon cœur revenir à la normale, j’en redemande. Tant pis pour lui s’il n’a pas joui, mais, moi, je me sens prête à enchaîner.
Je saisis un tube de vaseline et le tends fébrilement à mon hardeur. Ma tête est enfouie dans les draps et ma croupe, relevée, est offerte. Tom est un garçon consciencieux : il force d’abord gentiment mon œillet avec sa langue et me l’enfonce à une profondeur que je n’aurais pas soupçonnée. S’ensuivent de merveilleux instants de va-et-vient dans mon trou du cul !
Du travail de pro qui me rend folle !
Puis, il lubrifie ensuite délicatement l’orifice et introduit un et puis deux doigts qu’il actionne en mouvements circulaires. Mais la manipulation dure beaucoup trop longtemps dans l’état où je suis. Je tortille de la croupe pour faire comprendre à Tom que j’attends quelque chose de plus important. La langue et les doigts, c’est bien, mais ça ne suffit pas à une chaudasse comme moi !
Et le garçon me met au supplice en continuant à me doigter tendrement. Je n’en peux plus, je murmure des horreurs, je rugis, je gronde.
Et ça m’arrive enfin, presque comme une délivrance. Je pousse un petit cri lorsque je sens son gland à la place de ses doigts. Tom me cramponne aux hanches et s’introduit avec une grande délicatesse. Je serre les dents de bonheur, car je m’attends à un pilonnage en règle. Mais non. Le garçon reste en moi, enfoncé jusqu’à la garde, immobile.
Mais ce n’est pas possible, il veut me faire péter les plombs !
Et puis, enfin, il commence à s’activer lentement tout d’abord, puis en accélérant progressivement le rythme. Oh que c’est bon ! Tandis que mes seins sont secoués au rythme des coups de queue, je porte la main à mon clito et commence à me caresser furieusement. Je sens et j’entends ses couilles qui claquent bruyamment en cadence sur ma chatte. Son rythme est maintenant au maximum. Je sais, je sens qu’il ne va pas tarder. Il se raidit tout à coup et, dans un cri bestial, il éjacule. Dès que je sens les longs jets de foutre qui me remplissent le ventre, je suis foudroyée moi aussi par une jouissance encore plus forte que la première qui m’arrache des hurlements de plaisir. Les voisins vont encore m’engueuler demain pour tout le raffut, mais je n’en ai rien à cirer.
Pendant un bon moment, nous restons là allongés sur le lit en reprenant notre souffle et puis je me mets sur le côté pour lui poser la question qui me brûle les lèvres.
Il se retourne vers moi, l’air sérieux.
Je continue de le fixer sans répondre, mais, pour la première fois, je lis de la détresse dans ses yeux. De longues secondes s’écoulent et je tente de détendre l’atmosphère.
Nous éclatons de rire comme deux gosses. Je regarde tout à coup ma montre : 13 h.
On se remarre à nouveau. Je me lève et je file à la cuisine.
Dans ma kitchenette, en mélangeant mes œufs, je repense à cette singulière matinée qui vient de s’écouler et j’en viens à remercier Laurent de m’avoir larguée et à Mélanie de ne pas se mêler de ses affaires.
Je reviens dans la chambre avec un plateau-repas : nous avons faim tous les deux et nous dévorons nos omelettes en déconnant comme des collégiens. Tom me chambre sur mes talents de cuisinière. Les vannes s’enchaînent. Je me sens vraiment bien avec ce mec.
Et puis, une fois le plateau ramené en cuisine, je m’assieds sur le lit. Tom me fixe.
Mon cœur se met à battre un peu plus vite. Je fais semblant de réfléchir.
Je regarde Tom intensément et je lis de la crainte dans son regard en attendant ma réponse.
Nous pouffons de rire tous les deux.
Mon cœur s’accélère. Une petite voix intérieure murmure : « Attention, pépette, tu es en train de devenir amoureuse là ». Mais comment ne pas admettre que ce moment de tendresse me fait autant de bien qu’une grosse partie de cul !
Sans me laisser terminer, Tom me saute au cou et me couvre de baisers. Il me renverse sur le lit. On se roule des pelles amoureusement. Ça me fait un bien fou. Il y a longtemps que je n’ai pas été aussi bien dans ma tête et dans mon corps.
Mais je ne tarde pas à ressentir dans mon bas-ventre un désir impérieux.
Immédiatement, je sens un doigt aller vérifier que je ne mens pas.
On éclate encore de rire. Je sens alors voluptueusement la « belle bite noire » pénétrer sans effort dans la moiteur de mon intimité.
En repliant mes jambes sur son dos, je m’ouvre complètement à mon beau black et je roucoule de bonheur en fermant les yeux.